L'ombre du Passé Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

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Les derniers mots s'étranglèrent dans sa bouche, car à son tour des mains, pour lui connues l'avaient décalotté, puis avaient enfourné sa bite dans un nid bouillant, onctueux.

Un autre des convives sursauta alors, les deux déjà sucés éclatèrent de rire, comprenant que le tour des amis venait, les quatre derniers, intrigués, continuaient de converser, attendant leurs tours.

Lorsque les huit convives eurent vidés leurs couilles au fond de leur gorge, en rampant la lèvre luisante, les joues rouges, elles sortirent de sous la tables, exposant aux yeux ravis leur intégrale nudité.

Le temps du repas, elles passèrent les plats, stationnant aux cotés des convives avides de faire connaissance.

Bientôt, leurs deux corps n'eurent plus aucun secret, tous connaissaient l'onctuosité de leurs sexes trempés, la cambrure de leurs reins, la fermeté de leurs croupes, des doigts avaient testé la souplesse de leurs vagins, l'élasticité de leurs anus.

Enfin ils passèrent au salon, là Ibo présenta ces dames :

-Messieurs, réjouissez-vous, après avoir goûté les discours du maire et du préfet cet après-midi, ..... Je vous convie à goûter aux charmes de leurs femmes ce soir! ..... énonça-t-il ironiquement. Mais comment as tu pu? ....

- C'est vraiment les femmes du maire et du préfet? ....

-C'est la femme du maire, Aurore Lepan, quant à madame Clothilde Marsac, c'est presque l'épouse du préfet, son mari est directeur de cabinet à la préfecture .... Quant à savoir comment, c'est mon se-cret ..... Mais chaque fois que nous reviendrons, mon fournisseur pourra nous fournir des bourgeoises .... Il en fait son affaire ..... Mais pour l'instant goûtons! ....

Arrachant leurs vêtements, ils se ruèrent sur les femelles, chacun vou-lant s'emparer d'un morceau de choix, finalement cinq gaillards s'occu-pèrent de Clothilde, tandis que les trois autres prenaient possession de Solange.

Menue, frêle, Clothilde semblait perdue entre ces grands corps d'ébène. Sa tendre carnation de blonde tranchait sur les corps bruns des cinq noirs qui l'accaparaient.

Ibo s'était étendu sur les peaux, Clothilde poussée par des mains fié-vreuses s'était empalée sur son chibre érigé, une pression au creux des épaules l'avait ployée en avant, offrant à une pine turgescente son anus fripé, de la bouche elle contentait un troisième membre tandis que cha-que main refermée sur deux gros cylindres, elle masturbait ses deux derniers suborneurs.

Solange, même s'ils n'étaient que trois n'étaient pas mieux lotie, une bite énorme lui distendait la rosette, elle endurait la torture du pal, le gigantesque gland lui écartelait atrocement le fondement, bâillonnée par un autre membre épais, elle ne pouvait clamer sa douleur tandis que l'énorme mandrin, lui refoulant les intestins faisait sa place dans son boyau, le dépliant, s'y installant de toute son ampleur, ce fut encore pire lorsqu'il se mit en mouvement, à chaque retrait, il lui semblait qu'il entraînait son intestin hors de son ventre, que ses entrailles s'arrachaient, à chaque coup de boutoir, toujours plus profond, elle se sentait percée jusqu'aux poumons, et cela dura, dura ..... jusqu'à son évanouissement.

Elle ne reprit conscience que pour sentir l'énorme membre enfin calé bien au chaud au fond de ses intestins, l'impression de plénitude était intense, toute sa gaine lui semblait dilatée, au bord de la rupture, et pourtant elle ne souffrait plus, comme anesthésiée par la fulgurance de la douleur.

La bite de son envahisseur était si serrée qu'il ne pouvait bouger beau-coup dans son rectum, aussi se contentait-il de la relever lentement pour l'embrocher avec la mˆme douceur.

De la bouche, les yeux fous, elle contentait deux autres noires, n'aban-donnant des lèvres une pine que pour la confier à ses fins doigts, déroulant le prépuce sur le gland, griffant d'un ongle léger les bourses velues tout en absorbant jusqu'à la luette l'autre pine à là forte sauveur.

Enfin des flots de sperme lui inondèrent l'anus, la bite du masturbé lui cracha à ce moment sa chaude liqueur, alors que son chevaucheur de tˆte se vidait à son tour dans sa gorge accueillante.

Avec précaution, elle s'arc-bouta sur les mollets pour se relever, jamais un tel étalon ne l'avait remplie, malgré la lenteur du déculage, il lui sem-bla à nouveau qu'on lui arrachait les intestins, grimaçante, elle fit deux pauses, avant de se désembrocher totalement dans un bruit de succion incongru.

Ddes flots de sperme jaillirent de son cul, lui coulant sur les fesses, entre les jambes, la graissant copieusement pour ses futurs partenaires.

Clothilde aussi, les yeux fous recevait l'hommage de ses cinq partenai-res qui se vidèrent successivement dans ses orifices et sur ses seins . Après avoir repris des forces, ils entamèrent quelques fantaisies, enfin, ceux qui le pouvaient encore, ayant parié qu'après le passage de leur collègue, Solange pourrait recevoir deux pines à la fois, deux gaillards, normalement constitués, l'avait disposé fesses grandes ouvertes sur un pouf.

Anéantie, presque inconsciente, elle se laissait manipuler passivement, adoptant les positions qu'ils lui indiquaient.

Sous l'œil attentif des sept spectateurs, ils commencèrent par ouvrir à fond le cul déjà béant, le goulot grand ouvert, Solange exposait son intérieur, blanchâtre maculé de sève, la maintenant bien ouverte, jambes repliées vers l'avant les deux bites jointes forcèrent la rondelle.

Les deux bites jointes n'égalaient pas l'ampleur du fut qui l'avait précé-demment forcée, le problème pour les deux noirs étaient surtout de coor-donner leurs efforts, ils y parvinrent, et lui râpant le boyau, les deux verges pénétrèrent d'un même pas dans le fondement soumis.

Les deux membres compressés, ils bougèrent lentement d'abord de concert, puis, et là la douleur fulgura, en sens inverse, il lui sembla alors que deux mains invisibles, agrippées à chaque extrémité de son intestin l'allongeait démesurément, lui déchirant les muqueuse, à nouveau cela craqua dans sa tête, et elle perdit conscience, c'est dans un cul inerte, que de concert, ils se vidèrent.

L'homme à l'énorme braquemart, la queue raidie par le spectacle encon-na durement Clothilde, mais l'élasticité plus grande du vagin, les visites précédentes qui l'avaient préparées, lui permirent de supporter la dou-leur.

Contrairement à Solange, elle eut la présence d'esprit de provoquer le plus rapidement possible la jouissance de son amant, lançant les mains en arrière, elle se saisit de ses couilles et les pétrit, les griffa tandis qu'elle sautait sur le pivot lui emboutissant la chatte.

A ce rythme, son enconneur ne tarda à projeter ses longs jets onctueux au fond de sa matrice, l'emplissant à son tour de semence chaude.

Lorsque Ali vint les reprendre, hébétées, saoulées d'alcool et de fatigue, des longues traces de sperme maculant tout leurs corps, il dut passer au club, pour les baigner longuement, tendrement, avant de les ramener chez elles titubantes de fatigue.

Coulybaca

Janvier 2008

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