Omar le premier jour de croisière

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La saga d'Omar, violeur et traiteur de blanches.
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Omar -- Le premier jour de croisière

Cruise Ship -- Day 1

Coulybaca / Black Demon

* * * * *

Cette histoire se suffit en elle-même,

Cependant elle est aussi la suite logique de :

Omar - Viols lors de la croisière inaugurale (Cruise ship captives)

* * * * *

Omar Shoron ne pouvait désirer meilleur poste que le sien, il était maître d'équipage sur le navire de croisière "Isle of Pleasure".

Il avait fait son chemin sur ce bateau, il occupait désormais la meilleure place pour assouvir son bon plaisir ..... Celui de posséder de ravissantes jeunes femmes ... Et plus précisément de ravissantes jeunes femmes blanches!..... Des femmes blanches mariées de préférence!....."

L'idée de posséder ces femmes qui appartenaient à des petits cons ar-rogants de blancs s'avérait le summum du plaisir pour Omar.

Il n'était pas question de séduire ou de charmer ces somptueuses salo-pes qui retenaient son attention, ce n'était pas le style d'Omar, ce qu'il aimait le plus, c'était de les baiser alors qu'elles étaient effrayées et qu'elles se débattaient en le suppliant d'épargner leur vertu.

Il avait eu l'idée du "moment d'Omar" comme il aimait l'appeler en regardant une série américaine portant sur les crimes sexuels où les victimes étaient souvent des jeunes femmes insouciantes désoeuvrées, il adorait agresser ces somptueuses proies alors qu'elles rejoignaient seules leurs cabines.

Il empoignait ces jeunes femme insoucieuses et les entraînait dans des cabines inoccupées, les douces jeunes épouses se trouvaient alors entièrement à sa merci, il se réjouissait alors d'entendre leurs supplications, leurs cris et leurs pleurs alors qu'elles l'imploraient :

- "S'il vous plait ..... Je vous en prie, non ..... Nonnnn ... Ne me vio-lez pas ....."

Comme les cabines étaient insonorisées, Omar pouvait les laisser crier miséricorde tout leur saoul, puis les laisser pousser des plaintes, des cris de douleur alors qu'il les violait sauvagement, fourrant sa grosse bite épaisse dans leurs petites chattes étroites et sèches.

Les cris, les pleurs et les plaintes de ses malheureuses victimes terrifiées en comprenant leur triste sort sonnaient comme une douce musique dans sa tête ... Cela l'encourageait à les violer, à dévaster en-core plus leur corps!

Et dans les ténèbres des cabines il aurait aimé qu'elles se défendent encore plus, lorsqu'il leur annonçait à ces salopes de blanches qu'elles allaient servir de casse-croûtes à un africain bon teint.

Se faire violer par un inconnu était une chose, mais pour ces victimes blanches, savoir que leur agresseur était noir rendait la chose encore plus insoutenable, les amenant à résister de toutes leurs forces pour échapper à cet infâme destin.

Il tenait fermement leurs mains jointes au dessus de leurs têtes tant qu'elles se débattaient, Omar prenait un énorme plaisir à labourer leurs étroites fentes de son énorme braquemart.

Et encore plus tard lorsqu'il les accablait en leur annonçant son intention de gicler au fin fond de leur utérus, elles se débattaient à nouveau, cherchant à le désarçonner pour échapper à cette ignoble conclusion.

Omar atteignait l'extase alors qu'elles jetaient leurs dernières forces dan la bataille, et que ses burnes se contractaient et expulsaient de longs jets de foutre brûlant dans leurs utérus fertiles.

Les ravissantes jeunes violées étaient totalement défaites à cet instant, leur combat était terminé, elles étaient maintenant ruinées, dévastées alors qu'elles sanglotaient folles de honte et d'humiliation.

Des informations récentes concernant les crimes sur des navires de croisières, et plus particulièrement sur l'un deux incluant la disparition d'un passager alors que des taches de sang avaient été relevées près de sa cabine révélaient que les investigations qui s'ensuivaient étaient minables, peu efficaces.

De ce fait, les individus concernés avaient pris conscience que les cri-mes commis en haute mer ne relevaient en fait de la juridiction d'aucun pays.

C'était l'idéal pour Omar : au vu du pourcentage extrêmement bas de femmes se plaignant d'avoir été violées au cours de croisières, il était évident que la plupart des victimes, voire même la totalité, ne rapportait pas leurs viols aux autorités.

Et même si le violeur était pris, le bateau de croisière ne pourrait que débarquer l'agresseur dans le port le plus proche en lui disant de tailler la route sans faire de publicité nuisible au renom de la compagnie.

Comme les lignes de croisière s'efforçaient de contenter leurs passagers, et en particulier les célébrités, les clients, et en particulier ceux qui prenaient leurs billets sur internet étaient tenus de révéler les raisons de leurs voyages.

Et comme Omar avait la charge de l'équipage, il pouvait se procurer faci-lement toutes ces infos qui étaient transmises au service du personnel chargé de veiller au bien-être des voyageurs.

Certains de ces hôtes, dont ils s'attachaient à satisfaire le moindre désir étaient là dans des circonstances mémorables, Omar se chargeait en particulier de leur bien-être.

Pour cette semaine de croisière aller retour à Mexico, environ1.800 pas-sagers s'étaient inscrits, Omar avait noté deux douzaines de couples qui étaient là pour fêter quelque chose, qui réclamaient donc une attention spéciale.

Il avait vérifié que le personnel était bien en place, de ce fait, il pouvait surveiller l'embarquement des voyageurs.

Dans son agenda, Omar inscrivait le nom et le numéro des cabines des couples qui retenaient son attention.

En les voyant présenté au capitaine, Omar décidait de les maintenir sur sa liste, ou de les rayer.

Une fois qu'il avait observé les couples dont il avait noté le nom, c'était juste son instinct qui emportait sa décision.

Il jeta un oeil sur la composition de la table d'honneur où seraient accueillis les couples à choyer, ceux qui avaient indiqués qu'ils étaient en voyage de noce ou qu'ils fêtaient l'anniversaire de leurs épousailles.

Se pourléchant les babines, il observait quelques ravissantes jeunes femmes ... De somptueuses jeunes beautés qui fêtaient leurs noces ou son anniversaire ....... Omar devait alors décider, avec sa queue s'il les gardait sur sa liste ou s'il les en rayait.

Omar voulait ramener sa liste à une petite douzaine de couples, il devait donc en éliminer la moitié, il gardait celles le plus à son goût, rayant celles qui ne correspondait pas à ses propres standards.

De cette douzaine d'élues, seule la chance et les opportunités décide-raient du nombre de celles qu'il se ferait.

L'insouciance, l'impression de séjourner dans un paradis faisait chuter l'attention de ses proies qui ne se tenaient plus sur leurs gardes et commettait alors l'erreur qui les précipitait dans les bras d'Omar leur séjour paradisiaque se transformait alors en ticket pour l'enfer.

La jeune et belle madame Lori Walker âgée de 25 ans était très élégante dans sa longue robe noir ornée d'un galon rose autour de la taille, la bite d'Omar avait tressauté d'impatience à sa vue.

Elle faisait cette croisière avec son mari pour fêter leur première année de mariage, il avait gratifié son nom de 5 étoiles dans son agenda.

Elle était si heureuse, si relaxée d'effectuer cette croisière loin du bruit et des nuisances de "Wall Street", elle se croyait totalement en sécurité à bord de ce navire où tout semblait clair et net.

Elle se promenait parmi une foule de joggers et de promeneurs qui al-laient et venaient sur le pont, elle avait planifié elle même leur croisière.

Cette première matinée, après s'être adaptée aux lentes oscillations du bateau et avoir passé une bonne nuit Lori s'était levée tôt pour faire ses exercices parcourant environ deux kilomètres sur le pont.

Le temps étant assez frais, elle avait enfilé son sweat-shirt et les écouteurs sur les oreilles elle avait écouté de la musique tout au long de on jogging.

Dès qu'elle avait mis le pied sur le pont extérieur, elle avait attiré l'atten-tion d'Omar alors qu'il surveillait la foule de son poste de commande-ment.

Elle devait peser une petite soixantaine de kilos pour 1,70 m, la proie idéale pour un futur agresseur ne pesant pas moins de 120 kgs qui sau-rait aisément la maîtriser.

La bite vibrante d'envie Omar avait décidé de consommer cette première proie dès le premier jour de la traversée.

Regardant la ravissante jeune femme vêtue d'un survêtement blanc, il grommela :

- "Bordel, elle semble bonne en tout ...... Et je parie qu'elle est en-core meilleure dans certaines disciplines!... hey, hey, hey ...."

S'emparant de son agenda, Omar nota qu'elle était au niveau bleu, dans une cabine extérieure située à bâbord à l'arrière du navire.

Il chercha alors le document de gestion du pont bleu, vérifia la liste des cabines occupées en espérant qu'une des cabines intérieures serait li-bre.

Il se demandait combien de temps elle s'accordait pour ses exercices matinaux, Omar appela un de ses assistants pour se faire remplacer ar-guant de vérifications à effectuer sur le pont inférieur, il le prévint qu'il en aurait pour un bon moment.

Armé de son passe partout qui lui permettait de pénétrer dans toutes les cabines du navire, Omar se dirigea lentement vers le pont situé juste au dessus de celui où la ravissante blonde se livrait à ses exercices.

Il se trouva une place d'où il pouvait confortablement épier la somp-tueuse jeune femme, il chercha alors une bonne raison pour envoyer ailleurs le marin de service qui parcourait le pont en tous sens à la disposition des voyageurs.

Il se trouvait du coté du pont où la jeune épouse était apparue pour se livrer à sa promenade sportive, Omar croisait les doigts espérant qu'elle reviendrait par ici lorsqu'elle en aurait terminé avec son jogging et qu'elle ne partirait pas par l'autre coté couvert d'une pergola.

Juste au moment où cette pensée lui traversa l'esprit, l'insouciante beau-té revint vers lui et soufflant avec force elle consulta la montre à son poi-gnet.

Elle ralentit alors son rythme, s'arrêta et s'assit sur un transatlantique en bois pour se reposer un instant sous la caresse du soleil levant.

Descendu sur le pont inférieur, il vit que la jeune femme avait tendu les bras au dessus du fauteuil, derrière sa tête. Sa bite frémit dans son pantalon à la vue du diamant étincelant à son index

- "Tu seras bientôt à moi!.... " se promit-il puis il bouscula le marin de service dans sa hâte de descendre au niveau bleu.

Rencontrant Raheed un des hommes d'équipage chargé de ce pont qui amenait de nouvelles serviettes dans une cabine, Omar l'envoya aider Musad, un jeune effectuant sa première croisière, en retour, Musad le seconderait ensuite pour gérer le pont bleu.

A peine Raheed disparu, Omar entendit s'ouvrir le loquet de la porte utilisée par les passagers.

Il se cacha prestement dans la cabine inoccupée située juste en face de celle occupée par monsieur et madame Walker, il tenait la porte entrou-verte pour surveiller aisément l'insouciante jeune beauté.

Un peu essoufflée au retour de son jogging, Lori avait quitté son transat pour gagner sa cabine, baissant la fermeture éclaire la banane qui lui ceignait la taille.

Bien que son mari lui ait conseillé, la nuit dernière, de déjeuner sans lui car il avait programmé de dormir jusqu'à midi, Lori voulait le réveiller pour qu'il prenne son petit déjeuner avec elle.

Et, même si elle n'y parvenait pas, elle voulait se rafraîchir un peu et enfiler une tenue plus appropriée pour déjeuner en compagnie d'autres passagers.

Cette croisière pour célébrer leur premier anniversaire de mariage concluait une année pleine de félicités pour Lori et son mari.

Et maintenant, elle brûlait d'envie de recevoir le cadeau d'anniversaire que lui avait promis son époux ...... Ils voulaient fonder une famille.

Elle avait momentanément arrêté de prendre la pilule comme sur les conseils avisés de son médecin, elle se trouvait maintenant en pleine période de fertilité, prête à être fécondée par son mari.

- "Hummmmm, si je ne parviens pas à le faire lever ..... Peut être qu'on pourrais-je le décider à me faire l'amour avant d'aller déjeu-ner!......" se sourit-elle à elle même, ressentant des fourmillements entre les cuisses à cette idée et ce aujourd'hui même le 14, le jour anniversaire de leur mariage.

- "Ce serait drôlement approprié .... De faire l'amour ..... De me faire engrosser juste le jour de notre premier anniversaire de mariage!..... Ce serait le cadeau que je préférerai recevoir ....."

- "Je sais comment je vais m'y prendre!...... Oh oui ..... C'est ça ..... Je vais me glisser dans la cabine, prendre une bonne douche chaude, puis j'enfilerai ma chemise de nuit rose qui excite toujours John ... je vais le séduire ..... Et je suppose que nous n'aurons qu'à penser à ce qui se passera ensuite ..."

Lori gloussait en son fort intérieur sachant très bien ce qui se passerait dès qu'elle se glisserait sous la couette.

Tâtonnant dans sa banane, Lori cherchait la clé de sa cabine lorsque soudain une main ferme fut pressée contre sa bouche tandis qu'on l'entraînait en arrière dans la cabine faisant face à la leur.

- "Aieeeeeeeeeee ..... A l'aideeeeeeeeee ..... Aieeeeeeeeeeee .... Arrêtez ...... Arrêtzzzzzzzzzzzzz .... Nonnnnnnnnnnn .... Au secourssssssss ..... Arrêtezzzzzzzzzzz!....." aurait-elle aimé hurler si la main la bâillonnant fermement ne l'en avait empêchée.

Enveloppé par les ténèbres de l'intérieur de la cabine, Lori recula alors que l'homme enlevait la main la bâillonnant une fois la porte de la cabine verrouillée.

Elle hurlait alors que les grosses mains s'attaquaient à ses vêtements la dépouillant de son pantalon de jogging et de sa petite culotte.

Comme elle cherchait à décocher des coups de pied à son agresseur, il les lui empoigna lui arrachant des pieds tennis et socquettes.

Ses cris qui résonnaient dans la cabine ne formaient qu'une douce mu-sique aux oreilles d'Omar qui maîtrisait bien la ravissante jeune femme paniquée, lui tenant les mains au dessus de la tête.

Il réunit ses deux poignets dans une seule de ses grosses mains, libé-rant l'autre qu'il put glisser dans son dos.

Il était ravi de la sentir trembler sous ses caresses alors qu'elle se débat-tait cherchant à le repousser.

Il empoigna son soutien-gorge, dégrafa le clip au creux de ses omoplates et tira, lui arrachant son soutien-gorge déchiré.

- " Oh mon Dieu ..... Mon Dieu ..... Mon Dieu ...... " balbutiait-elle sourdement alors qu'il lui palpait le nibard gauche, puis le droit.

- "Nonnnnnnnnnn ... Nonnnnnnnnnnnnnnnnnn ...." sanglotait-elle alors qu'il la dépouillait de sa veste de gym, il pouvait maintenant lui mignoter les deux mamelons, les prenant voluptueusement en bouche.

Elle pantelait alors qu'il manipulait lascivement les deux jumeaux, le su-çant tout à tour.

- "Owwwwwwwwwww ...... Ow ..... Arrêtez ....... Ne faites pas ça ......" l'implorait-elle alors qu'il mordillait la chair tendre de ses tétins dardés.

Il se guida lui même entre ses cuisses tremblantes, faisant bien attention de ne pas se prendre un coup de genoux dans les joyeuses, Omar se disposa correctement, frottant son épais bourgeon sur la face interne de ses cuisses pour lui faire évaluer la taille de la bite qui allait bientôt s'en-fouir au plus profond de son sexe.

Ses tétons raidissaient entre ses lèvres sous ses caresses in désirées, Omar sut alors que la jeune beauté était s'obligeait à refréner ses envies de répondre à ses assauts.

Et maintenant, alors qu'il s'engouffrait jusqu'au col de son utérus, elle se débattait de plus belle cherchant à s'épargner un sort que bien des fem-mes considèrent comme pire que la mort.

Elevée dans la chaude atmosphère d'une famille de la haute bourgeoisie conservative, allant à l'église chaque semaine, Laurie ne pouvait même pas concevoir qu'une chose aussi dégradante, aussi infâme, puisse lui arriver.

En fait, elle avait déjà lu dans les journaux et vu des reportages à la télé relatant des arrestations de violeurs noirs identifiés par leurs victimes, comme ce violeur en série qui avait terrifié une des petites villes côtières proche de l'endroit où elle demeurait, Laurie avait frémi en voyant des photos de cet ignoble individu, elle avait pensé au fond d'elle même :

- "Mon Dieu .... J'aurai préféré mourir que de sentir ses mains se poser sur moi!..."

Et maintenant alors qu'elle essayait désespérément d'échapper à cet assaillant surpuissant, allongée sur le lit, Laurie se tordait sous l'homme qui lui clouait les mains au dessus de la tête.

Elle sentait la dure colonne de chair vibrer entre ses cuisses, se bra-quant sur sa petite chatte affolée, Laurie était affolée en sentant quelque chose de la taille du bras d'un enfant se positionner à l'entrée de sa fé-minité, ce n'était sûrement pas le bras d'un bébé!....

- "Mon Dieu .... Mon Dieu ..... Personne ... personne ne peut avoir .... Ne peut avoir un membre aussi démesuré ...... " frissonnait-elle to-talement paniquée.

- "S'il vous plait ..... Je vous en prie ...... Je vous en prie, ne me vio-lez pas ...... S'il vous plait ..... Votre ..... Votre pénis ..... Est trop gros ...... beaucoup trop groooooooooos ...... Il ne rentrera jamais ....... Je vous en prieeeeeeeeeee ....... " se lamentait Laurie, sup-pliant son assaillant de ne pas la violer de sa monstrueuse mentule qui frappait à l' instant même à l'entrée de sa féminité.

- "Owwwwwwwwww ...... Nonnnnnnnnnnnnnn!...." glapit-elle alors que l'épaisse bite s'engouffrait d'une seule et violente poussée jusqu'au col de son utérus, il se mit ensuite à la labourer sauvage-ment.

-

Omar se délectait de son nouveau jouet sexuel, il adorait la douce peau soyeuse de cette blonde beauté dont il savourait les charmes, d'autant plus qu'il savait que son mari était endormi dans une cabine à moins de 10 mètres d'eux.

Il aimait tout chez elle, sa façon de crier, sa façon de se débattre, la fa-çon dont elle avait lutté, ses sanglots, mais le meilleur restait à venir.

- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee .......

Cette douce musique retentit à nouveau dans ses oreilles alors qu'il s'en-gouffrait avec succès dans son fourreau étroit, s'enfouissant du premier coup au fond de son utérus si resserré.

Une bite bien plus grosse que celle de son mari s'enfonçait brutalement dans sa chatte étriquée, la distendant aux limites de la rupture.

Il se retira lentement et d'un violent coup de boutoir s'enfonça encore plus profondément dans son utérus meurtri, visitant des zones jusqu'ici inexplorées, elle comprit alors qu'elle n'oublierait la taille démesurée de cette bite qui forait son trou en elle.

- "Arrêtez .... Arrêtez ..... S'il vous plait .... Arrêtez je vous en prie ..... J'ai, mal ..... Si maaaaaaaaaal ....." hurlait elle tétanisée de dou-leur.

Elle comparait ce qu'elle subissait à ce qui se passait normalement entre amants ordinaires, d'après ce qu'elle avait vécu jusqu'ici, n'ayant connu que le pénis de son mari qui s'avérait au moins deux moins épais et moins large que celle de cet ignoble individu.

Omar railleur ironisait :

- "Alors ma gentille petite beauté américaine ... A la peau si douce, si soyeuse ..... A la chatte si étroite .... Apprécies- tu la bite de l'africain!....."

Comme il s'y attendait, elle s'était débattue deux fois plus vigoureusement à cette information, elle savait maintenant que son violeur était noir, ce pourquoi il se fondait si bien dans l'obscurité les environnant.

Dans les ténèbres, Omar sourit il adorait voir sa victime redoubler d'efforts pour se libérer.

De ce fait,il s'enfouissait de plus en plus profondément dans sa ravis-sante proie ... La bourrant jusqu'à la garde alors qu'elle laissait échapper de déchirants cris de détresse.

Soudain sa résistance s'amollit, Omar savait que le combat était terminé, la somptueuse pute était définitivement matée. Il relâcha ses poignets et lui saisissant les hanches il commença à coulisser lascivement en elle.

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