L'Invitation

BÊTA PUBLIQUE

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Se relevant du canapé, elle revint vers l'homme qui était resté à la porte, ne pensant même plus à cacher sa poitrine. Le chauffeur, tout sourire, déplia la grande cape qu'il positionna sur elle.

- Venez, dit-il, il est temps de rencontrer votre hôte.

- Heu... d'accord.

Lucie descendit les escaliers, suivant sagement le chauffeur, et sortit de l'immeuble sans rencontrer personne. L'homme se dirigea vers une grosse berline et la fit monter à l'arrière, un peu comme s'il s'agissait d'une star.

La jeune femme se sentait toute bizarre d'être ainsi emmenée mais elle n'avait pas peur. Elle se sentait étrangement bien, comme si elle atteignait un but dans son existence. Elle était bien blottie dans la grande cape, regardant le paysage défiler par la fenêtre alors que la nuit tombait sur la campagne.

De temps en temps le chauffeur l'observait dans le rétroviseur, regrettant de ne pas être invité à la fête. Il avait souvent ramené des jeunes femmes au manoir, mais celle-là était sûrement la plus belle de toutes.

Durant l'heure que dura le trajet, Lucie pensa à Marc qui travaillait alors qu'elle allait s'amuser à un bal. Comment allait-il réagir en apprenant cela. Elle savait qu'il lui faisait confiance mais elle se sentait coupable avec ce qui s'était passé chez le docteur.

Lorsque la grosse voiture s'arrêta devant le perron, la jeune femme eut une montée d'adrénaline en se disant qu'elle allait leur montrer son corps. Il y avait une trentaine de véhicules garés dans la grande cour et elle se demanda si tous les invités étaient tous arrivés.

Le chauffeur descendit pour lui ouvrir la porte, la laissant sortir toujours enveloppée dans la cape.

- Vous devez me la rendre, vous êtes arrivée à destination, dit-il en tendant la main pour récupérer l'étoffe qui la recouvrait.

- Heu... oui

Lucie, à contrecœur, la lui donna, dévoilant de nouveau son corps nu. Le chauffeur, juste avant de repartir, lui dit.

- Vous êtes magnifique, j'espère que vous apprécierez cette soirée et j'espère surtout que vous n'aurez aucun regret. Juste une dernière chose, rentrez sans frapper, ils vous attendent.

Sans attendre la réponse de la jeune femme, il remonta dans la voiture et la laissa devant la montée d'escalier.

Elle paniqua quelques secondes avant de se reprendre, excitée d'être nue devant ce grand manoir. Respirant à fond, elle se mit à gravir les marches, ignorant ce qu'elle allait trouver derrière cette porte. Elle sentait l'air frais de la nuit venir caresser sa peau et ses mamelons bien durs lui faisaient de nouveau souffrir.

Elle se dit qu'ils auraient pu venir l'accueillir au lieu de la laisser ainsi. Elle était également surprise de ne pas entendre de musique alors qu'il s'agissait d'un bal.

Lorsqu'elle fut en haut du perron, elle hésita à ouvrir la porte puis, se rappelant des paroles du chauffeur, elle appuya sur la poignée. Lorsque la porte s'ouvrit, son cœur se mit à battre la chamade en découvrant la grande salle et surtout ces gens qui l'attendaient.

Ils étaient une trentaine et étaient alignés sur un côté de la salle, silencieux, se contentant de la regarder. Ce qui surprit le plus Lucie était leur tenue faisant penser à des tenues de moines, d'un rouge sang et descendant jusqu'au sol. Ces tenues étaient fermées devant par des gros boutons noirs, alors que leurs têtes étaient recouvertes d'une cagoule pointue, un peu comme celle que les bourreaux portaient.

Lucie se rendit compte que ce n'était pas normal mais elle n'eut pas peur. Elle ne le savait pas mais sans la drogue ingurgitée, elle se serait sûrement enfuie très loin de ce lieu angoissant.

Au bout de la salle, se tenait un homme dans une autre tenue dont la couleur or tranchait avec celles des invités. Il tenait un masque de bouc sous le bras et souriait à la jeune femme qui hésita quelques secondes avant de se mettre à marcher.

Elle eut le pressentiment d'être la seule femme dans cette grande salle et cela l'excita. Lentement, elle avança, le corps frissonnant en imaginant tous les yeux fixés sur son anatomie. Elle se sentait particulièrement fière de se montrer sans aucun fard, se sachant belle et désirable. Même son état d'esprit avait été modifié et elle aimait l'effet qu'elle pouvait susciter.

Parmi ces hommes qui regardaient, il y en avait un qui avait mal au ventre. Marc était subjugué par cette beauté qui n'était autre que sa petite copine mais il se demandait s'il avait bien agi. Pour faire partie de cette secte, il leur avait donné la femme de sa vie et c'est maintenant qu'il regrettait son acte.

Faire partie de leurs membres était-ce une bonne raison pour devenir un con. Plus il fixait cette femme sublime et plus il se traitait de salaud.

Elle était magnifique avec le dos cambré, la poitrine relevée et les cuisses bien galbées, ignorant complètement ce qui devait l'attendre. Il leur avait offert l'amour de sa vie et il se haïssait.

Pourtant, en la voyant aller vers le maître des lieux, il ne put s'empêcher d'avoir une érection, comme tous ceux qui comme lui regardaient la jeune femme.

Lucie essayait de ne pas penser, s'approchant de l'homme qui paraissait l'examiner des pieds à la tête. Le propriétaire des lieux devait avoir une cinquantaine d'années, et malgré son sourire qui ne le quittait pas, il avait un visage qui paraissait cruel. Pourtant la jeune femme ne ressentait plus aucune crainte, s'avançant vers lui comme si cela était normal.

- Bonjour Lucie, lui dit-il alors qu'elle s'arrêtait à moins d'un mètre de lui. Je m'appelle Alain Fernal et tu es mon invitée.

- Bonjour Monsieur, merci... pour cette invitation.

Même ses propos n'étaient pas naturels, mais elle ne s'en rendait absolument pas compte. L'homme tendit la main pour caresser un sein qu'il trouvait fort appétissant. Lucie, ne chercha même pas à se dérober et se cambra pour mieux s'offrir.

- Tu as une très belle poitrine, lui dit-il en lui malaxant son globe de chair

- merci.

Un murmure s'entendit dans la salle, parmi les invités.

Lucie avait la tête qui lui tournait un peu et étrangement, les mots qu'elle prononçait lui étaient étrangers, un peu comme si une autre personne lui dictait ses paroles.

Elle ne résista pas lorsque l'homme lui prit la main et qu'ils se dirigèrent vers le fond de la salle. Tous les invités les suivirent en silence un peu comme dans un lieu sacré.

La jeune femme fut un peu étonnée de trouver au fond de la salle des marches descendant sous le manoir. Un frisson la parcourut tout de même en empruntant ces marches en marbre, se demandant où cela menait.

En fait, ils arrivèrent dans un gigantesque sous-sol où plusieurs salles en enfilade éclairées faiblement, se succédaient majestueusement. Dans la première se trouvait des tables sur lesquelles verres, boissons et nourritures étaient en abondance. Mais Fernal ne s'arrêta pas pour prendre un verre, continuant sa marche jusqu'à la deuxième salle.

Lucie frissonna en découvrant ce lit tout rond dont le diamètre de quatre mètres accueillait sans problème plusieurs participants. Elle était excitée comme jamais car ce couchage hors normes n'était sûrement pas destiné à dormir.

- Il est temps de dévoiler quelle femme splendide tu es, afin que tout le monde ici puisse t'admirer, dit l'homme en retirant le masque du visage de la jeune femme.

En se retrouvant le visage découvert, Lucie se sentit encore plus dénudée, espérant que personne dans l'assemblée ne fasse partie de son voisinage. Elle ne résista pas lorsque l'homme, lui reprit la main pour la faire s'allonger sur le grand lit circulaire.

- Tu nous as été offerte pour notre plus grand plaisir, clama-t-il à haute voix.

Se retournant vers l'assemblée il leur dit.

- Allez prendre un verre ou manger un morceau pendant que je la prépare, ensuite, elle sera à votre disposition.

Un brouhaha se fit entendre et certains montrèrent même des signes d'impatience. Mais tous obéirent au maître des lieux, ne voulant pas gâcher la soirée à venir.

Lucie ne réalisa pas qu'il venait de parler d'elle tant le brouillard devenait de plus en plus épais. Elle se sentait de mieux en mieux et ne résista pas lorsque l'homme la fit s'allonger au centre du grand lit. Quelques hommes cagoulés vinrent se positionner au bord de la grande couche, préférant regarder plutôt que d'aller boire. En étant à côté, ils seraient les premiers à la prendre une fois que Fernal en aurait terminé. Ce dernier, pressé lui aussi de goûter à la fille, retira sa grande toge sous laquelle il était déjà nu et monta à son tour sur le lit.

Lucie frémit de contentement en voyant l'homme la rejoindre. Son bas-ventre était de nouveau en feu et seul un sexe pouvait l'apaiser. Lorsqu'elle sentit le pieu de chair s'enfoncer dans son intimité, elle poussa un gémissement de bonheur, oubliant tout ce qui l'entourait.

Elle n'était plus cette femme mais une chienne en chaleur qui avait besoin d'être baisée.

Elle se mit à haleter au rythme des coups de reins, sentant monter en elle une vague de jouissance. Elle adorait être prise par cet homme mystérieux qui prenait lui aussi un plaisir incroyable.

Les hommes qui regardaient la scène ne pouvaient s'empêcher d'admirer cette jeune femme qui s'offrait sans aucune retenue. Ils n'avaient plus qu'une hâte, c'était de grimper sur le lit pour la prendre à leur tour.

Lucie eut un premier orgasme qui arriva très rapidement alors que l'homme continuait à piocher comme un fou dans son intimité. Cette femme était une pure merveille et elle dépassait de loin leurs attentes.

Lorsque Fernal se cambra pour se vider en elle, Lucie était toujours en pleine extase et reçut la semence avec délectation.

Il resta un long moment en elle, attendant que son membre soit complètement tari avant de ressortir.

S'allongeant sur le dos, il dit d'une voix ralliée

- Viens me sucer, nettoie-moi la queue

Jamais encore Marc ne lui avait parlé de la sorte et pourtant elle n'en fut pas choquée. Son maître lui demandait de venir le sucer et obéissante elle se mit à quatre pattes pour déguster son membre.

Tous les hommes qui entouraient le lit étaient émerveillés par la beauté de ce jeune corps. Lucie, avide de prendre en bouche le sexe collant du maître de maison, l'emprisonna entre sa langue et son palais. Elle se mit à le masser, se délectant du goût âcre et salé. Pour elle, c'était un pur régal alors qu'elle n'aimait pas le faire dans son état normal. Voyant que le membre grossissait, elle se mit à le sucer avec voracité, adorant faire plaisir à l'homme allongé là.

Fernal se mit à respirer plus fort car la jeune femme y aller vraiment avec fougue. Ne voulant pas éjaculer trop vite, il lui dit d'arrêter et fut même obligé de la repousser car elle continuait sans vouloir stopper.

- Ça suffit maintenant, dit-il une fois qu'elle eut relâché son membre. Maintenant grimpe sur moi.

Les yeux hagards, Lucie mit quelques secondes à comprendre ce que voulait l'homme et, heureuse en découvrant ce qu'il désirait, elle vint se positionner à cheval sur lui.

L'homme qui était resté sur le dos, ne bougea pas un muscle alors que la jeune femme s'empalait sur sa queue. La douceur de ses chairs était en vrai bonheur et alors que son membre était entièrement englouti au fond de la vulve brûlante, il fit signe à un homme de venir les rejoindre.

Ce dernier ne se fit pas prier et enleva à la hâte sa cagoule ainsi que sa grande toge. Il avait compris que Fernal voulait lui faire subir une double pénétration et il était tout excité à cette idée.

Lorsqu'il se positionna derrière Lucie, cette dernière appréhenda en pensant à ce qu'elle allait subir sans pour autant se rebeller. Son corps était en manque et elle n'était plus trop capable de raisonner correctement. Elle, ce qu'elle voulait, c'était s'offrir à eux et leur laisser tout faire.

Elle poussa juste un petit cri lorsque le sexe força son cul, oubliant vite la douleur pour découvrir très vite un plaisir inédit. Les deux sexes en elle étaient incroyables et elle se laissa aller à une jouissance nouvelle.

Les deux hommes la possédèrent durant un certain temps et lorsqu'ils eurent fini de prendre du plaisir, ils furent très vite remplacés par d'autres hommes excités.

Depuis la salle d'a côté, Marc ne pouvait détacher ses yeux du grand lit rond. Il avait retiré sa cagoule pour prendre une collation mais il n'avait pas faim. Il avait mal au ventre en voyant la jeune femme prise comme une poupée gonflable. Elle se laissait manipuler sans aucune résistance par tous ces hommes surexcités. Ils la prenaient en continu par tous les trous sans exception leur donnant à tous du plaisir pour le plus grand malheur de Marc.

Mais qu'est-ce qui lui était passé par la tête en faisant une telle chose. Pourquoi l'avait-il drogué pour faire partie de ces gens qu'il haïssait maintenant.

Il leur avait donné la femme de sa vie et souffrait en les voyant la prendre.

Il était écœuré de ce qu'il avait fait et ne pouvait plus supporter de les voir la baiser. Reposant son verre, il quitta le sous-sol, partant presque en courant pour ne plus regarder sa chérie se faire prendre par ces pervers en manque de sexe.

Il traversa la salle de réception et entra dans la pièce servant de vestiaire. Se changeant en vitesse, il quitta le manoir, pleurant comme un enfant pour monter dans la voiture louée pour l'occasion.

Il mit presque une heure pour revenir chez lui, les yeux mouillés par la détresse qui l'avait envahie. Il savait que ce qu'il avait fait été impardonnable et s'en voulait à mort.

Une fois chez lui, il se coucha tout habillé, pensant à la jeune femme restée entre leurs mains.

Il se traita de tous les noms, n'arrivant pas à trouver le sommeil en la sachant là-bas.

Marc se retourna une bonne centaine de fois, ressassant sans arrêt la soirée infernale que devait endurer sa chérie. Vers cinq heures, il n'était toujours pas endormi, ne cessant de penser à Lucie.

Non, il devait réagir et aller la chercher. Il ne pouvait pas leur laisser la femme qu'il aimait comme un fou. Quittant son lit, il enfila ses chaussures ne prenant que les clefs de sa voiture.

Durant tout le trajet qui le mena au manoir, il ne pensa qu'à sa chérie, évitant de justesse une sortie de route. Lorsqu'il arriva enfin à destination, le jour commençait à se lever. Jamais encore il n'avait été autant inquiet, se demandant comment elle allait.

Il n'y avait plus que cinq voitures dans la cour gravillonnée et il eut peur que la porte d'entrée soit fermée. Se garant en vitesse, il fut soulagé de constater que cette dernière n'était pas verrouillée. Il allait pouvoir retrouver Lucie et l'extirper de cette demeure.

Courant jusqu'aux escaliers, il descendit les marches le cœur serré ignorant, ce qu'il allait trouver. En arrivant dans le sous-sol, ce dernier était presque vide à part quelques retardataires.

Sur une table, un homme nu dormait, trop ivre pour rentrer chez lui alors que deux autres discutaient, un verre à la main. Ils ne se retournèrent même pas lorsqu'il fit son apparition, trop occupé à parler de la soirée. Marc ne s'en occupa pas, préférant se diriger vers la deuxième salle où se trouvait Lucie.

Elle était toujours sur le lit mais elle paraissait inconsciente. Deux hommes étaient avec elle dont un en train de la baiser. La jeune femme avait les cuisses écartées et l'homme piochait en elle comme un forcené, encouragé par son copain. Marc eut envie de hurler, de les rouer de coups mais il se contenta de stopper au bord du lit, les regardant sans rien dire.

Malgré la douleur et la haine, il ne pouvait intervenir comme bloqué par une force invisible.

Il ne comprit pas pourquoi il était dans l'impossibilité d'agir, ne pouvant que les regarder. Que se passait-il et pourquoi ses muscles étaient tétanisés, ne lui répondant pas.

Lorsque l'homme se vida en elle, ce fut son copain qui le remplaça mais avant, ils la retournèrent pour la mettre face contre le matelas. Elle était magnifique et paraissait sereine malgré les yeux fermés.

Elle ne réagit même pas lorsqu'ils lui écartèrent les jambes pour la stabiliser.

Dès qu'elle fut bien positionnée, le deuxième homme lui grimpa dessus et, guidant son membre, il la sodomisa avec une facilité inouïe. Son anus devait être bien taraudée pour recevoir le membre aussi facilement.

Remarquant Marc au bord du lit, il ne put s'empêcher de lui dire.

- C'est au moins la cinquième fois que j'encule cette pute depuis hier. Elle est vraiment trop bonne et elle adore ça.

Le jeune homme ne put pas répondre, lui dire combien il le détestait. Non seulement il ne pouvait plus agir mais en plus il était muet, se contentant d'être spectateur.

Durant de longues minutes, l'homme la prit sans retenue, recherchant uniquement son plaisir. Lucie était devenue leur vide couille et malgré son manque de réaction, son visage avait l'air reposé.

Lorsque les deux hommes en eurent fini avec la jeune femme, ils quittèrent le lit pour aller boire un verre. Celui qui venait de la sodomiser, dit en riant à Marc.

- Si tu veux la baiser toi aussi, il va falloir te mettre à poil.

Ils n'attendirent pas sa réponse et allèrent dans la salle attenante.

Ce fut comme un déclic pour Marc qui retrouva l'usage de ses membres. Il se précipita pour tirer Lucie sur le bord du lit avant de la prendre dans ses bras. Elle resta complètement amorphe et cela inquiéta le jeune homme.

Il décida de sortir de ce lieu infernal et passa avec son précieux fardeau devant les autres qui ne réagirent même pas.

Une fois hors du manoir, il se sentit bien mieux et allongea avec précaution Lucie sur la banquette arrière. Il faisait grand jour maintenant et il reprit la direction de leur appartement en espérant que la jeune femme revienne très vite à elle.

Heureusement, il ne croisa personne dans son immeuble alors qu'il portait Lucie complètement nue. Une fois dans son appartement, il la déposa sur le sol et alla chercher une bassine et un gant de toilette. Son corps était collant et tous ses trous débordaient de semence. Il n'osa pas s'imaginer tout ce qu'elle avait dû subir mais il allait se racheter en prenant bien soin d'elle.

*********

Cela faisait deux semaines que le bal s'était déroulé et Lucie avait finit par reprendre des forces. Marc avait été aux petits soins pour elle et pour se donner bonne conscience, il lui avait même tout avoué, s'excusant un bon millier de fois

La jeune femme fut choquée en apprenant ce qu'il avait fait mais il était tellement malheureux qu'elle finit par lui pardonner, Après tout, ses souvenirs concernant cette soirée étaient plutôt flous et elle ne se rappelait que du plaisir qu'elle avait ressenti en étant sur ce lit.

Demain, elle reprendrait le travail et même si ses seins et son bas-ventre ne la faisaient plus souffrir, elle était obligée de se caresser de plus en plus souvent pour assouvir ses pulsions sexuelles

Peut-être qu'avec la reprise de son travail à l'hôpital, ses envies de sexes finiraient par passer. Après tout, elle était jeune et vouloir faire l'amour était chose naturelle.

Epilogue

Fernal avait peur comme à chaque fois que son maître venait. Il entra dans le bureau en se forçant à sourire, trop effrayé de lui déplaire. En franchissant la porte, il sentit cette odeur de soufre, caractéristique de la présence du maître qu'il découvrit assis dans le fauteuil en cuir.

Comme à chaque fois, il portait son costume noir et son regard faisait froid dans le dos.

- Bonjour Alain, comment s'est passé cette soirée

- Très bien maître, votre drogue était fantastique

- C'est plus un élixir qu'une drogue mais je suis heureux de voir que cela t'a plu.

En voyant que Fernal était hésitant, il lui demanda

- Tu as une question à me poser?

- Heu... oui maître. Concernant cette drogue, enfin cet élixir...

- Oui?

- Serait-il possible d'en avoir de nouveau.