L'Île de Marana Chapitre 04

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Arno rencontre deux géantes et ose rester nu tout le temps.
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Partie 4 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/14/2018
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Je quitte Tia et continue mon chemin. Je ne rencontre personne, c'est vraiment désert. Je marche toute la journée. D'ailleurs, je me demande si une journée de marche, ce n'est pas en comptant comme ces géantes. Elles doivent faire d'immenses pas.

Mais non, j'arrive enfin à cette petite auberge. J'aperçois les bungalows sur la plage, une dizaine de huttes sur pilotis qui font face à la mer. Quand j'approche, je vois aussi un bâtiment principal, assez ouvert sur le beau temps et la brise venant de la mer.

Quand j'entre sous le grand porche du bâtiment, je suis accueilli par deux géantes noires, deux femmes assez grosses, ce qui les rend encore plus intimidantes. Mais ce n'est pas les policières, ces femmes sont finalement gentilles et ne me veulent que du bien.

— Bienvenue, tu veux loger ici?

— Oui. Je marche jusque Mar'Oda.

— C'est une belle promenade.

Je me demande si elles sont aussi intéressées par mon corps comme les autres. Même grosses comme elles, ces femmes géantes sont vraiment attirantes et sexy.

J'inscris mon nom sur le registre.

— C'est combien pour la nuit?

— 1$ tout compris.

Vraiment bon marché, et en plus je n'ai encore rien dépensé.

La première femme me donne une clef, et puis elles m'accompagnent toutes les deux jusqu'à un bungalow en face de la mer. C'est assez rustique mais confortable, à leur taille, avec un lit de trois mètres de long, une armoire et une table avec une chaise. Je dépose mon sac à dos.

— La douche est dehors, me dit la dame.

Depuis l'entrée, elle me montre la douche à une vingtaine de mètres, sous un arbre. Il n'y a que la douche, aucune paroi.

— Merci. Je vais aller nager et ensuite prendrai une douche.

Les femmes me laissent et je retire mes vêtements. Nu, je sors du bungalow et cours jusqu'à l'eau. Toujours avec le même plaisir, je nage nu dans l'océan. J'adore, je vais le plus loin possible, car finalement, il n'y a aucun rocher ni grande barre comme dans d'autres endroits, c'est presque la Méditerranée, calme. L'eau est limpide, aucune impureté, aucun plastique ou autre objet polluant qu'abandonnent les gens. Je sors finalement et vais vers la douche, pour m'apercevoir que les deux grosses géantes noires s'y trouvent et semblent m'observer depuis tout à l'heure. Et à nouveau, mon sexe se dresse d'une manière incontrôlée par la simple présence de ces géantes noires.

Je leur fais un petit signe et vais sous la douche. L'eau douce me débarrasse du sel de la mer et je m'y attarde un instant, tout en observant de temps en temps les deux femmes. J'arrête l'eau et trouve une serviette que j'utilise pour me sécher.

Je me poste nu et en érection devant elles.

— Tu as faim? Me demande celle de gauche.

— Pas encore. Je vais un peu me reposer sur la terrasse.

Je m'éloigne et vais au bungalow. J'adore ce pays, les femmes aiment les hommes nus, même un jeune comme moi

Je m'étends un peu au soleil de la fin du jour. C'est agréable d'exposer ainsi son corps. Je somnole un peu jusqu'à l'arrivée d'une des femmes.

— Viens, me dit-elle, c'est prêt.

Je m'assieds, chaque fois agréablement impressionné par la taille imposante de ces femmes.

— J'arrive, réponds-je en me levant.

C'est pour dîner. Est-ce que je peux y aller comme je suis. Au moment d'entrer dans le bungalow, la femme me rappelle.

— Si tu veux, viens comme tu es.

Je la regarde, elle me sourit. Alors, je la suis tout nu. Nous marchons jusqu'au bâtiment principal.

— A propos, je m'appelle Biba, me dit la dame, et mon amie s'appelle Lona.

— Moi je m'appelle Arno.

— Je sais, tu t'es enregistré il y a trois heures. Alors Arno, que penses-tu de Marana?

— J'adore.

Nous arrivons à la grande terrasse où attend Lona.

— Mais je dois avouer que j'ai failli partir. La police ne m'a pas bien traité.

— Pourquoi?

Nous allons au bar réalisé au moyen d'un bois qui ressemble à de l'osier. Il est trop haut pour moi, mais Biba me prend par la taille et m'assied sur un tabouret. Malgré tout, je suis beaucoup plus bas qu'elle. Lona va se placer derrière le comptoir et prend des verres.

— Elles m'ont arrêté, parlé comme à un bandit, déshabillé, et mis en prison.

— La police fait son devoir.

— Je sais, mais au début, c'était bizarre, et j'ai eu peur. Je ne pouvais rien faire.

— Mais finalement tu es resté?

— Oui. J'ai rencontré des femmes très sympas, qui m'ont fait comprendre que ce pays est formidable.

— Tant mieux, me dit Lona en plaçant un verre de jus de fruit devant moi. Je suis ravie que tu apprécies notre pays. Tu es bien le premier mâle que je rencontre qui l'apprécie.

— Je n'ai pas encore vu un seul homme, réponds-je. Il n'y a pas d'homme avec vous?

— Non, les Mars sont exclusivement femelles.

— Ah? Fais-je sans pouvoir dissimuler ma satisfaction. C'est encore mieux que je ne le pensais.

— Pourquoi?

— Un pays dont les habitants ne sont que des femmes. C'est génial à visiter?

— Et à habiter?

— Ce ne serait plus un pays avec uniquement des femmes.

— C'est un fait, sourit Biba en plaçant sa main sur ma cuisse. Donc tu aimes les habitantes de l'île? Même si elles sont si différentes des standards de ton pays?

— Oh oui. Franchement, vous êtes un fantasme réel. Il me semble que j'ai toujours rêvé de femmes à la peau foncée. Sans doute parce que les premières femmes que j'ai connues étaient noires. La directrice de mon orphelinat et toutes ses amies étaient des femmes noires et j'ai passé beaucoup de temps avec elles.

— Mais tu n'as jamais eu de petite amie noire?

— Non, je n'en ai jamais connue. Uniquement des camarades comme moi.

— Donc tu es heureux d'être ici.

— Oui, vraiment. Et en plus ce n'est pas cher, je pensais rester une semaine avec les fonds que j'avais, mais j'ai l'impression que je peux rester deux mois à ces prix.

— Même plus, un gentil et beau garçon comme toi pourrait s'installer ici.

— Je ne sais pas, je n'ai pas vu d'université. Et puis, je ne connais personne.

— Il n'y a pas que l'université dans la vie, le principal c'est d'être heureux. Dans ton pays, il faut sans doute toutes ces choses. Ici, nous n'en avons pas besoin, nous vivons très heureuses simplement.

— Oui, réponds-je en imaginant une vie ici. De toute façon, je vais rester quelques semaines. Je verrai quand mes fonds seront épuisés.

— Tu as marché deux journées, tu pourrais rester un peu ici. Nous t'invitons.

— Oui, c'est que... j'ai rendez-vous à Mar'Salla, je ne voudrais pas le manquer.

— Avec qui?

— Avec des filles que j'ai rencontrées ici. Dans huit jours.

— Ne te force pas. Elles t'attendront. Tu ne préfères pas la compagnie de femmes comme nous?

— C'est vrai, dis-je, je peux rester un peu ici.

— Super. Nous allons bien nous amuser. Tu verras, la vie ici est fantastique, et nous ne voyons pas tellement de monde. Tu aimes être nu?

— Oui, j'adore.

— Nous l'avons bien remarqué, tu peux rester ici nu tout le temps.

— Merci, réponds-je comme si elles me faisaient un cadeau.

— Tu aimes ton jus de fruit?

— Oui, mais je ne reconnais pas ce que c'est.

— Ce sont des fruits de l'île. Si tu veux, demain nous irons en cueillir, me dit Biba.

— Comme ça, tu vois un peu les activités.

Je bois encore un peu. Biba laisse sa main sur ma cuisse. Je bouge un peu pour que mon sexe tendu touche légèrement sa main. J'en avale de travers.

Pendant la demi-heure qui suit, elles s'intéressent à mes histoires où je me suis retrouvé tout nu dans le passé. Je raconte à nouveau ce que j'ai dit à Tia hier, en augmentant les détails, et en ajoutant des parties pour rendre mes histoires plus complètes.

Elles semblent vraiment apprécier. Il doit y avoir une sorte de tradition ici, les femmes aiment que je raconte des histoires de mon passé, surtout quand je suis nu. Même des histoires où je suis enfant ou trop jeune. Pour leur faire plaisir, il faudra peut-être que j'invente, et j'ai eu plein de fantasmes à ce sujet, j'ai de quoi broder.

— Allons manger, propose Lona en revenant de notre côté du bar.

Biba me prend à la taille pour me déposer par terre, et nous allons un peu plus loin à une table dressée. J'ai une chaise face à la mer et au coucher de soleil. Elles ont déjà pourvu à des coussins pour que je sois à bonne hauteur. Mon sexe dressé se trouvé coincé sous la table. Les deux femmes s'asseyent sur les deux côtés de la table et nous mangeons.

— Nous sommes vraiment ravies que tu aies accepté de rester, me dit Lona. Cela nous fera un peu de présence.

— Vous n'avez pas de touristes?

— Tu es le premier mâle. Sinon, quelques filles sont passées.

— Mais je n'ai même pas encore vu d'hommes, enfin, des gens de ma taille.

— Oh, il y en a eu beaucoup, mais ils n'aiment pas le pays, en tout cas pas comme toi, répond Biba

— Des amies en ont accueillis quelques-uns il y a peu. Ils étaient ingrats, ils détestaient être nus, ils détestaient se retrouver trop petits.

— Chacun ses gouts, réponds-je pour marquer des points. Moi en tout cas, j'adore.

— Tu aimerais un monde où toutes les femmes sont comme nous?

— Oh oui.

Les mets sont simples et délicieux, du poisson à la chair rosée, des légumes rouges aux saveurs exquises et inconnues. Quand nous finissons, je termine également une histoire avec la directrice et ses amies.

— Nous étions allés à la mer. Elles aimaient un endroit isolé. Alors que je suis allé dans les vagues, j'ai prétendu que mon maillot avait été arraché et je suis retourné tout nu auprès d'elles. La directrice a eu la réaction attendue, elle m'a fait rester nu toute la journée.

— Et bien, tu provoquais la situation, c'est bien. Tu t'es retrouvé tout nu avec elle?

— Et ses amies. J'adorais. Mais dans la fin de l'après-midi, elles ont décidé de rentrer. Je pensais rentrer, et elles m'ont laissé nu dans la voiture. Nous ne sommes pas allés loin, une ville d'une amie, et j'ai dû encore passer du temps tout nu avec ces femmes. Mais depuis un an, cela n'arrive plus, je suis parti habiter tout seul pour terminer mon bac.

— Heureusement, ici tu peux retrouver tes plaisirs avec nous.

— Oui, merci beaucoup.

Elles sourient. Lona se lève pour débarrasser la table. J'aimerais aider et descend pour prendre quelques plats, mais c'est assez difficile avec ma taille. Quand je reviens, elles décident d'aller se promener sur la plage. Il fait pratiquement nuit. Chacune me prend une main et nous marchons. C'est bizarre, mes mains sont en l'air comme lorsque j'avais six ans. La différence c'est que je suis adulte et d'ailleurs mon sexe dressé qui me précède me le rappelle si besoin en était.

— Allons nous baigner, propose Biba quelques centaines de mètres plus loin.

Nous nous arrêtons et je vois les deux femmes retirer leur robe. Elles sont énormes. Toutes leurs formes sont bien rondes et luisantes sous la lune. Elles sont nues. Elles reprennent mes mains pour courir à l'eau et sauter dans les vagues. Je tente de nager mais elles me gardent contre elles.

— Reste près de nous, me dit Biba en me coinçant dans son énorme poitrine.

Lona vient en face et me soulève, elle prend mon sexe en bouche.

— Alors comme ça on force le destin en se mettant nu devant les femmes?

Je suis tellement excité que je ne peux pas répondre. Je suffoque de plaisir. Ma tête est plus petite que les deux seins, je suis complètement enfoncé dans ces deux obus noirs. Et je vois Lona devant moi avec mon sexe en bouche. Un moment, puis elle commence à me masturber des deux mains. J'éjacule rapidement et elle continue. Ces femmes semblent préférer masturber que faire l'amour, elles aiment tirer le maximum. Heureusement, ce soir elles ne me le font pas jusqu'à évanouissement. Malgré tout, je me sens pantelant. Je n'ai jamais eu autant d'orgasmes à la suite, et surtout je n'ai jamais pu avoir autant de performance. Lorsque je rentre en France, je serai la coqueluche des filles.

Biba me maintient la tête entre ses gros seins pour retourner à la plage. Elle s'allonge sur le sable, et Lona vient nous rejoindre. Les deux grosses femmes sont autour de moi, je me sens minuscule entre ces deux énormes corps féminins, dont les seins me couvrent une partie du corps. Il doit y avoir quelque chose de spécial chez ces femmes. Je ne sais plus penser, je suis entouré de paroxysme de féminité. Les deux femmes me regardent, et leurs mains continuent de jouer avec mon sexe et mes testicules. Ce sont les mains les plus expertes que je connaisse.

— Tu aimes ta soirée?

— Oh oui, réponds-je machinalement. C'est super. Vous êtes géniales.

— Alors, raconte encore, tu avais fait exprès de perdre ton maillot?

— Oui. Je l'avais retiré et coincé entre des cailloux dans le sol. Et je suis retourné vers la directrice en lui disant que mon maillot avait été emporté par les vagues.

— Et qu'est-ce qu'elle a dit?

— Elle était fâchée, et m'a dit que pour ma punition, je resterais tout nu toute la journée.

— Mais ce n'était pas une punition, c'était ce que tu voulais.

— Oui, admets-je, ce n'était pas une punition. Mais c'était quand même gênant. J'aimais bien, mais en même temps, je n'avais rien si je devais en avoir besoin.

— Oui, mais c'était mieux, non? Ainsi tu n'avais pas le choix et tu étais entièrement sous le pouvoir de ta directrice.

— C'est vrai. Je ne l'ai pas regretté de toute façon, mais j'avais toujours un peu peur.

— De quoi avais-tu peur?

— Que quelqu'un me voie.

— Pourquoi? Tu étais déjà tout nu avec un groupe de femmes, ce n'était pas pour une ou deux personne en plus.

— Non, d'ailleurs après nous sommes allées chez des amies à elle, mais c'était surtout pour ne pas me faire voir par des hommes, par des gens qui n'étaient pas comme elles.

— Ah, tu n'aimes être nu qu'avec des femmes?

— Des femmes comme nous? Ajoute même Lona.

— Oui, avoué-je du bout des lèvres alors que leurs mains expertes continuent de me tourmenter.

— Heureusement, ici tu n'auras que des femmes comme nous.

— Oui, réponds-je le cœur battant la chamade. Oh, gémis-je, c'est trop, je n'en peux plus.

Elles n'arrêtent pas pour autant.

— Tu n'en peux plus? Mais nous venons de commencer.

— C'est trop, murmuré-je.

Les deux femmes m'embrassent et continuent leur douce torture.

— Raconte la suite.

— Je suis resté avec elles. Dès que j'ai été nu, elles ont toutes voulu être près de moi. Je voulais aller nager, elles venaient, nous avons joué toute la journée.

— Tu étais en érection?

— Parfois, mais pas comme avec vous.

— Nous sommes flattées de te produire autant d'effets, dit Biba

— Et ensuite?

— Nous nous sommes promenés, et elles ont décidé d'aller chez des amies. Le pire chez les amies, c'était d'arriver tout nu, sans raison. J'étais nu dans la voiture, et la directrice leur a simplement annoncé que j'avais perdu mon maillot. Elles ont trouvé normal que je sois nu, et le pire c'est qu'elles m'ont fait aller jouer avec leurs filles et que nous sommes restés toute la soirée. Et en rentrant, la directrice m'a dit que cela devait me servir de leçon, parce que la prochaine, ce serait plus longtemps.

— Et tu ne lui as pas dit que tu l'avais fait exprès?

— Oh non, je n'ai pas osé.

Les mains s'activent et me font éjaculer. Je me tends un moment avant de m'affaler.

— Tu tiens bien le coup, tu ne mens pas en tout cas.

— Je ne mens pas? Mais non, pourquoi?

— Tu dis la vérité, tu adores être nu avec nous, et tu nous trouves très sexy.

— Oui, réponds-je, je n'ai jamais vu de femmes plus belles que sur cette île.

Elles se lèvent et enfilent leur robe. Ainsi rentrons-nous vers le bungalow. Nous allons à la douche et elles me lavent, puis se rincent également pour retirer tout le sable.

Je n'en peux plus de plaisir et d'excitation. Malgré tout ce qui vient de se passer, j'ai toujours envie d'elles et de leur plantureuse poitrine.

Biba et Lona me ramènent dans mon bungalow et me déposent sur mon lit.

— Tu vas nous montrer comment tu sais adorer une femme, me dit Biba en venant s'asseoir sur mon visage.

C'est comme avec Mara, c'est aphrodisiaque, les parfums et les saveurs sont uniques et inimaginables sans y avoir été. Je donne tout ce que j'ai pour satisfaire Biba jusqu'à ce qu'elle jouisse. Elle se retire alors. Mon corps était écrasé sous son poids et ses grosses fesses. Maintenant c'est déjà Lona qui vient prendre sa place.

Elles ont l'air de préférer le sexe oral à la pénétration. De toute façon, elles font ce qu'elles veulent. Elles décident de tout. J'ose mettre mes mains sur leur peau, caresser ces formes voluptueuses, mais je ne crois pas qu'elles s'attendent à des initiatives de ma part.

Lona a pris son pied et déjà Biba me tire à nouveau à elle pour que je m'installe entre ses cuisses. Je me sens enfermé par ses jambes, comme s'il n'y avait plus rien d'autre. Et puis Lona revient.

Rien que du sexe oral. Je ne peux que les embrasser et les lécher, et quand elles en ont bien profité, elles me terminent à la main jusqu'à ce que je tombe dans les pommes.

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AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

Super cette plage et ces bungalows .... et les deux géantes !

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