L'Île de Marana Chapitre 03

Informations sur Récit
Arno continue son voyage dans l'île des amazones géantes.
3.3k mots
4.13
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/14/2018
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Je me réveille dans mon lit et me remémore ma nuit. Je n'ai jamais connu cela, c'était vraiment trop bien. Comment peut-on faire l'amour avec une autre femme? Il faut que je la revoie. Je me lève, je suis complètement nu. Avant toute chose, il me faut une douche, il me faut me revigorer. Je sors nu dans le couloir pour aller à la douche. Je laisse l'eau chaude puis froide longtemps couler sur moi. Je vais aller trouver cette femme merveilleuse. Mais quand j'ouvre la porte pour arriver dans le couloir, je me retrouve en face de mes compagnes françaises.

— Aah, la journée commence bien, fait la première en me regardant.

Elles viennent pour m'embrasser. Mais soudain, la porte derrière elle s'ouvre.

— Contrôle des papiers.

Trois géantes noires entrent dans le couloir.

Les filles se dirigent vers leur chambre. Les deux Coréennes viennent voir et retournent vite pour obtempérer et chercher leurs papiers. Elles doivent avoir un laisser-passer comme moi. J'entre vite pour m'habiller, mais je suis suivi par une des grandes noires.

— Ton laisser-passer, me dit-telle sévèrement.

J'arrête de chercher mes vêtements pour prendre le document sur mon sac.

Elle me l'arrache presque des mains et l'examine.

— Viens avec moi.

— Attendez, je m'habille.

Elle se retourne au moment où elle allait passer le pas de la porte.

— Refus d'obtempérer? Je t'ai donné un ordre.

— Mais je suis nu! Laissez-moi m'habiller.

Un pas vers moi et je me retrouve à nouveau pris dans l'étau de sa main gauche qui soutient mes deux poignets. Impossible de bouger, et elle passe entre les filles qui montrent leurs papiers aux deux autres géantes noires. Nous retournons dans la pièce principale où nous avons mangé hier. La femme continue de me tenir par les deux poignets. Deux autres géantes noires en uniforme se trouvent dans la pièce.

— Un mâle récalcitrant, annonce-t-elle à ses collègues.

— Encore? Ils ne peuvent donc obéir?

Un bruit et les filles entrent accompagnées des deux dernières géantes en uniforme.

— Les papiers de ces jeunes filles sont en règle, dit la première.

— Allez vous asseoir à table, leur ordonne une autre géante noire.

Les cinq filles sont soumises et ne disent rien. Elle vont s'asseoir à la même place que la veille alors que nous allons à la réception. Les cinq femmes se trouvent autour de moi et je suis pendu par les bras.

— Il vient d'arriver, dit la première. Son laisser-passer date d'hier, c'est la capitaine Sonya qui le lui a remis.

— Pourquoi n'obéis-tu pas aux ordres? Me demande une des femmes en prenant mon menton pour le soulever et me faire regarder son visage.

— Je ne veux pas d'ennuis, je ne voulais pas désobéir, réponds-je rapidement. Je suis désolé, c'est parce que je voulais m'habiller avant.

— Que viens-tu faire à Marana?

— Du tourisme. Je viens visiter, c'est tout.

La femme d'hier, celle qui m'a fait découvrir le nirvana sexuel approche.

— Je réponds de ce petit mâle, annonce-t-elle. Il est bien.

— Vraiment Mara?

— Je pourrais m'en porter garante, il n'est pas encore habitué à nos coutumes.

— Soit, mais allons quand même vérifier sa chambre.

La situation ne change pas. Nu et prisonnier de ces cinq géantes noires en uniforme, je retourne dans ma chambre. Mara est avec nous. Mes affaires sont emmenées sur la terrasse et fouillées à nouveau de fond en comble par trois femmes.

Mara vient près de moi.

— Ce sera bientôt terminé, ne t'en fais pas.

Je me sens mieux, en fait. Je commence à apprécier la situation. Ces femmes aiment que les hommes soient nus et se soumettent à leur volonté. Je n'ai qu'à respecter cela et je n'aurai plus de problème. D'ailleurs, ce n'est pas vraiment un calvaire, me retrouver tout nu au milieu de ces femmes superbes.

Alors, on me dépose sur le sol. Je masse un peu mes poignets. Mara me prend contre elle et passe sa main sur mon épaule.

— Tu es en ordre, me dit la femme qui me tenait. Tiens-toi bien et tu n'auras jamais de problème.

— Je le promets, madame.

Nous retournons dans la salle principale et Mara m'envoie presque tendrement à la table pour prendre mon petit déjeuner. Je me retrouve donc encore nu avec elles, cette fois je mange nu.

— Elles sont vraiment sévères, dit une des Coréennes. Ces contrôles deviennent barbant. Nous venons d'arriver, contrôle hier, contrôle ce matin, je ne sais pas ce que nous aurions pu faire pendant la nuit pour ne plus être en règle.

Une des femmes qui apporte la nourriture intervient.

— C'est à cause du mâle.

— Pourquoi?

— La police est très stricte avec les mâles, toujours. Il vaut mieux toujours obtempérer et ne jamais répondre, me conseille-t-elle en caressant mes épaules.

— Tu as entendu, Arno? Toujours bien obéir, dit la blonde en riant.

Je me demande comment elles connaissent mon nom, je n'ai pas demandé les leurs et je ne me rappelle pas avoir donné le mien. Bah, sans doute l'ont-elles entendu.

Nous terminons de manger et les filles se lèvent.

— Alors, bel Arno, qu'as-tu décidé pour le voyage?

— Je vous retrouve à Mar'Salla, et nous allons ensemble vers le temple. Je préfère marcher sur la côte. J'espère ne pas me faire arrêter à tous les coins de rue.

Elles vont dans leur chambre chercher leurs affaires. Mara vient s'asseoir près de moi pendant qu'une autre noire débarrasse.

— Tu vois, si tu obéis bien, tout ira toujours bien. Tu aimes les femmes puissantes et dominatrices, tu aimes les grandes femmes noires, n'est-ce pas?

Je me sens rougir. Elle touche mon sexe en érection.

— Allons, tu me l'as dit hier.

Je regarde autour de moi. Personne.

— Oui, avoué-je. J'aimerais vous revoir.

— Mais tu me verras toujours, je suis la propriétaire de cette auberge. Et tu verras, si tu adoptes la même attitude avec moi, tu n'auras jamais de problème à Marana.

Je termine de boire mon jus de fruit et les filles passent dans la pièce. Elles viennent près de moi. Promptement, Mara dépose une serviette sur mon sexe tendu et chacune vient me faire la bise.

— A dans dix jours, me disent-elles.

Elles nous laissent seuls dans la pièce. Une noire vient débarrasser.

— Tu vas les revoir?

— A Mar'Salla. Je prends les sentiers côtiers et nous nous retrouvons là pour aller au temple doré.

— Excellent choix. Tu aimerais connaître l'histoire de notre civilisation?

— Oh oui.

— Tu sauras tout quand tu seras au temple. Tu verras, c'est passionnant. Enfin, j'espère que tu pourras y aller. C'est assez strict.

Elle se lève. Je la suis. Je n'ai pas envie de partir, je voudrais rester pour toujours auprès de cette femme fantastique.

Nous allons voir mes affaires toujours éparpillées sous le péristyle, et je les ramasse pour les ranger dans ma chambre. J'étale le tout sur mon lit.

— Combien dois-je pour la chambre? Demandé-je.

— Rien, me dit-elle. J'ai eu le plaisir de ta visite.

— Comment cela se fait-il que les prix sont si bas?

— L'argent n'a pas tellement d'importance ici. Nous avons notre propre monnaie. Donc, tu vas prendre les chemins de la côte jusqu'à la rivière Mar'Okrôa?

— Oui, c'est cela.

— C'est un bon choix. Tu découvriras les beautés du pays, surtout si tu remontes la rivière à pied.

Je commence à plier toutes mes affaires pour les ranger dans mon sac. Mara continue de m'observer.

— J'aimerais revoir le jardin d'hier, demandé-je.

— Mais bien sûr, sourit-elle. Viens.

Je reste nu. Cela devient comme une drogue, cette femme est fantastique. Nous allons par le même chemin qu'hier et nous nous retrouvons dans le beau jardin, enfin sous la lueur du soleil. Encore plus beau que dans mon souvenir. Le mobilier est toujours à la même place. Oserais-je lui demander de recommencer ce que nous avons fait hier?

— Voilà. Tu aimes mon jardin?

— Il est très beau, bien arrangé. Ce doit être agréable de se reposer ici.

— Certainement. Quand tu reviendras, tu pourras y passer le temps que tu veux.

— Il n'y a qu'ici que nous pouvons quitter l'île?

— Oui, uniquement ce port. Des autres endroits, c'est strictement interdit. N'essaie pas.

— Oh non, je veux respecter vos lois.

— Tu as raison, et c'est très bien.

Elle s'assied sur un banc près d'une fontaine qui gazouille agréablement.

Je la rejoins, et elle me prend sur ses genoux.

— C'était une excellente soirée, hier. Je suis certain que tu plairas aux Mars.

— Comment êtes-vous si grandes?

— Nous sommes comme cela. Tu t'y habitueras.

— J'aime beaucoup. Hier soir était ma meilleure nuit. Je n'ai jamais connu autant de plaisir.

— J'en suis ravie. Tu es le premier touriste mâle qui apprécie les femmes comme nous.

— Je n'ai pas encore vu d'autres garçons, juste les filles et vous.

— Il y en a pourtant eu beaucoup. Des milliers qui sont venus depuis deux ans que nous avons ouvert la région.

— Je voudrais savoir... Je n'ai jamais rien trouvé sur l'île, je ne sais même pas où nous sommes. En principe en allant trois heures à l'est de Nassau, il n'y a rien dans l'océan.

— Il y a bien cette île où tu te trouves. Si tu reviens du temple, tu auras les explications.

Je me serre contre sa grosse poitrine.

— Quel âge as-tu, petit mâle?

— Dix-sept ans, madame.

— C'est le bon âge. Cela ne te dérange pas que je sois beaucoup plus âgée? Tu m'as dit cela hier, tu adores les femmes noires géantes et de mon âge.

— Oh oui, réponds-je en espérant encore ses faveurs. Je ne crois pas que je puisse connaître quelque chose de mieux.

Elle sourit et prend mon sexe en main. J'adore, c'est une telle sensation!

Nous sommes interrompus. Une des filles qui travaille vient appeler Mara.

— Il y a quelques policières qui vous demandent.

Elle se lève et me dépose sur le sol.

— Tu viens avec moi?

— Oui Mara, réponds-je frustré.

Nous retournons à la réception, je marche derrière elle et admire ses fesses qui tendent sa robe. Trois policières s'y trouvent.

— Deux bateaux viennent d'arriver, leur annoncent les femmes en uniforme. Tu auras encore beaucoup de touristes ce soir.

— Les chambres seront prêtes.

— Ce mâle est toujours avec toi?

— Oui, il allait partir. Arno, va m'attendre dans ta chambre.

Je les laisse pour aller dans ma chambre. J'attends tout nu, je veux recommencer ce que nous avons fait hier. Dix minutes plus tard, Mara entre dans ma chambre.

— Voilà, tout est arrangé. Tu n'es pas encore prêt?

— Euh, vous aviez demandé de vous attendre.

— Il va falloir que tu y ailles. Tu as entendu, il y a pas mal de monde qui va arriver. Il faut tout préparer.

— D'accord, réponds-je encore plus frustré. J'aurais aimé encore passer du temps avec vous, comme hier soir.

— Ce sera pour la prochaine fois. Allez, prépare-toi!

Je ne veux pas montrer que je râle et je prends mon short trop petit ainsi que mon polo. Mon érection est flagrante. Mara m'accompagne jusqu'à la sortie et m'embrasse tendrement.

— A bientôt. Je te reverrai avec impatience.

Je me retrouve seul en rue. Je vais jusqu'au port, mais le bateau est parti. Un groupe d'une trentaine de filles attend sur l'embarcadère. Je les rejoins.

— Vous attendez le prochain bateau? Demandé-je à deux filles rousses.

— Oui. C'est assez difficile d'obtenir une place. Tu pars aussi?

— Je viens d'arriver.

— Tous les garçons ont disparu, me dit-elle ensuite. Nous n'en avons plus vu depuis une semaine.

La fille se retourne. Je n'ai pas eu la carte, mais j'avise le début du chemin pour remonter vers Mar'Oda. Je n'ai qu'à suivre la plage. Je quitte donc le petit village qui pourrait avoir été construit il y a trois cents ans. C'est un monde différent. La végétation est superbe, mais je ne vois que peu d'arbres et fleurs connus. Au bout de quelques kilomètres, il n'y a plus rien, le sentier disparaît et je suis isolé sur une plage splendide. Du sable blanc à perte de vue devant moi, la mer turquoise à ma gauche et la végétation tropicale à ma droite. Je retire mes chaussures pour marcher dans l'eau tiède. Mon sexe est enfin calmé. Les arbres portent des fruits, mais je ne sais pas si je peux les manger, et je m'abstiens. Vers 15h, que je crois deviner avec la position du soleil, j'avise une cabane un peu en retrait et m'y dirige. Je n'ai encore vu personne. Alors que j'approche, une belle géante noire sort et me regarde arriver. Elle porte une petite robe blanche et comme j'approche, je sens déjà mon sexe se relever.

—Bonjour, me dit-elle, tu es touriste?

— Bonjour. Oui, je suis arrivé hier soir. Est-ce que vous avez de l'eau?

— Bien sûr, viens. Et si tu as faim, j'ai également tout ce qu'il faut.

— Oh merci.

Je dépose mon sac à dos. Cela fait du bien.

— Je m'appelle Arno, lui dis-je.

— Moi Tia. Enchantée. Tu es un mignon garçon.

C'et toujours bizarre, je ne m'habitue pas encore à arriver au pubis de ces femmes. Encore une femme noire géante. Elle entre dans sa cabane et revient avec un pichet d'eau glacée. Elle dépose cela sur la table avec un verre. A nouveau, cette table est trop haute pour moi et je dois monter debout sur le banc pour me servir.

— L'île est faite pour les Mars. C'est difficile pour les étrangers.

— Je m'y fais, lui réponds-je excité par cette belle femme. J'adore cet endroit, alors ce n'est pas vraiment un inconvénient.

— C'est bien, tu es le premier mâle qui adore l'île.

— Et ses habitantes également, ajouté-je.

— Encore mieux.

Elle apporte des coussins et je peux m'asseoir à bonne hauteur. Alors, elle apporte aussi un plat, une sorte de ragoût de poisson et s'installe en face de moi.

— Alors Arno, d'où viens-tu?

— De France.

— Tu es venu seul?

— Oui. J'ai gagné un voyage et je suis venu seul. Je vis seul de toute façon, et je suis orphelin.

— Tu as l'air bien jeune pour voyager seul.

— J'ai 17 ans. Et je suis émancipé.

— Mais tu es tout mignon. Tu as l'âge parfait.

— Est-ce que c'est encore loin pour la rivière Mar-Okrôa?

— Deux jours. Tu peux passer la nuit ici et partir demain matin. Tu auras une journée de marche pour arriver à une petite auberge sur la plage. Et ensuite encore une journée et tu es à Mar'Oda.

— Merci de m'accueillir.

— Je t'en prie, tout le plaisir est pour moi.

Nous finissons de manger et elle me donne encore des fruits juteux. Je l'aide à débarrasser.

— On peut se baigner dans la mer ici?

— Oui, il n'y a rien de dangereux sur Marana. La mer est calme.

Je retire mon polo. J'ai encore envie d'être tout nu devant une de ces grandes femmes. Puis mon short tombe et je suis tout nu devant elle. Je me retourne et cours vers la plage et ensuite la mer. Cela me fait un bien fou. Je m'aventure jusqu'à une cinquantaine de mètres et reviens à la plage. Je marche un peu pour sécher au soleil et retourne à la cabane. Tia est occupée de nettoyer de légumes bleus. J'approche.

— Est-ce que je peux vous aider?

— C'est gentil, mais tu ne connais pas ces légumes, je crois. Tu ne sauras pas quoi faire. J'ai bientôt fini de toute façon.

Je l'observe cinq minutes et elle se lève pour entrer dans sa cabane. Elle revient vite. Je ne me suis pas habillé. J'ai envie de rester nu avec elle. Elle sourit.

— Tu es un chouette petit mâle, c'est la première fois que j'en vois un ravi de rester nu. Tu aimes être nu?

— Oui, réponds-je. En pleine nature comme cela c'est encore mieux.

— Tu as raison. Moi j'aime qu'un garçon soit nu. Tu es vraiment le mâle parfait, on dirait.

— Merci. Vous vivez seule ici?

— Oui

— Et vous n'avez pas peur?

Elle rit.

— De quoi?

— Je ne sais pas, des voleurs, des animaux.

— Non, je suis une Mar, la race supérieure. Personne ne peut rien me faire. Tu as vu ma taille? Et je t'ai dit, il n'y a pas d'animaux dangereux ici. Je suis isolée car je suis magicienne.

Elle doit débloquer un peu. La magie? Cela n'existe pas.

— Vous faites de la magie? Comment?

— Quand il le faut, mais tu n'es pas Mar, tu ne peux savoir ce que je suis capable de faire.

Evidemment, pensé-je. Enfin, cela n'empêche qu'elle est très belle. Je n'ose pas dire à une telle géante qu'elle me plait. Comment draguer une telle femme, surtout en étant tout nu?

— Viens, allons nous promener un peu avant le coucher du soleil.

Elle me prend la main et nous retournons vers la plage. Elle me fait parler de moi, de mon passé, de mes aventures à l'orphelinat. Je ne sais si elle est vraiment intéressée. Tout ce qu'elle veut savoir finalement, c'est quand je suis nu. Je lui raconte alors quelques histoires où je suis nu, dans la nature ou mieux devant une ou plusieurs femmes. Elle semble adorer, et je raconte le plus d'histoires possibles. Alors, elle s'assied et me prend contre elle, sur ses genoux. Ses mains caressent mon corps doucement.

— Tu aimes les Mars? Me demande-t-elle.

— Oui, beaucoup, je trouve que vous êtes les plus belles femmes du monde. J'ai toujours aimé les femmes noires, ajouté-je, mais je n'en connaissais pas vraiment avant vous. Enfin, la directrice de mon pensionnat était noire aussi. Je connaissais beaucoup de ses amies.

— Elles t'ont vu tout nu?

— Oui, souvent.

— Comment?

— Un jour, nous sommes allés passer quelques jours chez une amie de la directrice. Quand je suis arrivé, j'ai sali mes vêtements, et en punition, la directrice m'a déshabillé et j'ai dû rester une semaine tout nu avec ses amies.

— C'était il y a longtemps?

— Non. J'avais quinze ans.

— Tu aimais bien?

— J'ai trouvé cela bizarre, mais finalement, j'ai adoré.

— Tu l'as dit à ta directrice?

— Non, je n'aurais jamais osé.

— Tu aurais dû, tu aurais pu sans doute vivre ainsi tous les jours.

— Je me rattrape ici, lui avoué-je. Et c'est encore mieux.

— Pourquoi?

— J'adore être avec une femme aussi grande. Il n'y a rien de mieux.

— Tu as raison. C'est ce que je pense aussi.

Elle prend mon sexe et le caresse.

— Tu aimerais vivre toujours nu?

— Ce n'est pas possible, réponds-je.

— Pourquoi?

— Mais on doit s'habiller, je ne sais pas, en ville, aux cours, dans les avions...

— Tu aurais aimé vivre nu avec ta directrice?

— Oui, réponds-je encore plus excité.

— Mais tu préfères vivre nu avec nous, les Mars?

— Oui, oui.

Elle me fait jouir. Un grand jet qui tombe dans le sable, et tout de suite, elle continue.

Tout comme Mara hier, elle me masturbe huit ou neuf fois, j'en tombe dans les pommes.

Je me réveille dans un lit, tout seul alors que l'aube point. Je me lève et trouve Tia dehors.

— Tu as bien dormi?

— Oui... C'était fabuleux hier soir. Vous m'avez bien vidé.

— Tu as une bonne résistance. Viens manger.

Elle m'offre du pain et des fruits. Je mange de bon appétit. Puis, il me faut partir. Je trouve mes affaires et m'habille d'un T-shirt et d'un short. Pas de chaussures, je marcherai sur le sable fin. Tia me dit adieu.

— Je repasserai sans doute par ici pour rentrer.

— Dans ce cas, tu seras le bienvenu.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

Vraiment bien !

Rudy

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
Love the story

I want to see more.

I want to be Arno.

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