L'Île de Marana Chapitre 02

Informations sur Récit
Arno se retrouve encore nu avec les femmes géantes.
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/14/2018
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Personne sur la petite place qui forme l'entrée du port, ou plutôt de la longue jetée sans bateau. J'avance avec mon sac sur mon dos jusqu'au bout de la jetée. J'y resterais bien pour être certain de pouvoir prendre le premier bateau en partance. Mais j'ai faim. Combien d'heures suis-je resté complètement nu dans ce commissariat?

Sur le côté droit, j'aperçois une rue et décide de m'y rendre. Il ne manquerait plus qu'il y ait un couvre-feu. Le village semble assez rustique, ce pourrait sembler un village colonial à ses débuts. Je pourrais voir surgir des pirates, mais tout est beaucoup trop grand, trop haut. Les habitants de cette île ont tous une taille de 2m50. Comment faire? Je ne suis pas David et je n'ai pas de fronde. Au bout de deux cents mètres, j'avise ce qui semble être une auberge. Je pousse la porte et me retrouve devant une réception vide. J'appelle et une géante noire vêtue d'une robe simple dans les tons gris apparaît.

— Bonsoir madame, commencé-je toujours impressionné par sa taille, est-ce que vous avez une chambre pour la nuit?

A ce moment, je regarde dans mon portefeuille. J'ai encore mes dollars.

— Euh, poursuis-je, j'ai des dollars, est-ce que vous acceptez cette devise? Je n'ai pas eu le temps de changer.

La dame sourit, presque maternellement.

— Bien sûr, viens.

Elle passe devant moi et m'emmène dans un couloir plein de portes. Tout au bout, elle ouvre la dernière et me fait entrer dans une petite chambre toute rouge. Il y a un lit et une petite armoire.

— Il n'y a pas de salle de bains?

— Non, mais viens.

Elle ouvre la dernière porte et nous sommes sur une terrasse. Il y a une douche externe entourée de planches, mais visible de partout.

— Voilà la douche, et nous avons également un patio avec une pièce d'eau centrale. Il ne faut pas s'y baigner.

— Non, réponds-je, c'est comme pour les maisons romaines.

— Voilà.

— Est-ce que vous avez encore à manger?

— Oui, viens dans une demi-heure.

Je la remercie. J'entre dans ma chambre, et déballe toutes mes affaires sur mon lit. Il faut que je refasse mon rangement correctement. Ensuite, je me déshabille complètement et sors pour aller prendre une douche. Cela me fait du bien. Longtemps je laisse couler l'eau fraiche sur ma peau.

Quand je retourne dans le couloir, je tombe sur les trois filles du commissariat, ainsi que les deux Asiatiques.

— On te voit toujours tout nu!

Revenu de ma surprise, j'ouvre la porte de ma chambre.

— Il n'y a qu'une douche externe.

— Non, nous avons des douches dans les chambres.

— Vous avez de la chance.

J'entre dans la mienne. Elles restent à la porte.

— Tu as finalement pu t'en sortir.

— Juste maintenant. Elles sont vraiment bizarres ici.

— Mais très agréables. Et elles ont une bonne idée de te faire mettre tout nu.

— Je vous rejoins, je m'habille.

Je ferme la porte et passe vite un short et un T-shirt, puis je rejoins la salle principale. Il y a une grande table où sont assises les six filles. Je les rejoins.

— Oh, dit une Coréenne, tu as des vêtements?

Elles rient.

— C'était très agréable de te voir tout nu comme ça, dit sa voisine.

— Merci. Vous avez des renseignements sur cette île et ces gens?

— Il n'y a rien en dehors d'ici.

— Et vous ne trouvez pas cela bizarre?

— Pourquoi? Tout ne doit pas être dans une encyclopédie. C'est sans doute trop petit.

— Mais ces femmes que nous avons vues, elle sont géantes. C'est exceptionnel, on en aurait entendu parler.

— Qu'est-ce que tu fais demain? Me coupe une des filles.

— Je ne sais pas encore, je voulais visiter l'île, sac à dos. Je vais marcher, il n'y a aucune donnée touristique sur les choses à faire. Mais après ma première journée, je me demande si je ne devrais pas retourner au bateau.

— Nous nous sommes renseignées, dit la fille blonde. Si tu veux faire le tour à pied, c'est immense, alors, il y a aller à pied, parfois en chariot, et aussi en bateau. Il n'y a pas de véhicules à moteur, tout est archaïque. Les grottes sont très bien, et aussi le grand temple dans la montagne. Un temple Mar'.

— C'est quoi Mar'?

— C'est une ancienne peuplade, dominée par des femmes. De puissantes femmes noires.

— Ah, c'est donc pour cela qu'il y a beaucoup de femmes noires ici. Des géantes.

— Ce sont des descendantes sans doute.

— Et le culte existe toujours?

— Il paraît. En tout cas, cela doit être intéressant à visiter.

— Oui, dis-je, j'irais bien jusque là. J'aimerais connaître un peu plus sur cette civilisation dont personne n'a entendu parler. Est-ce qu'elles sont humaines?

Une femme géante apporte des plateaux avec du pain, du fromage, de la soupe et des fruits. Tout est très frugal.

— Excusez-moi, demandé-je à la géante noire, à quelle heure sont les premiers bateaux demain?

— Je pense qu'il y en a un qui arrive à 9h, me dit-elle.

Le repas est délicieux. Il me semble que je n'ai jamais mangé meilleur pain, meilleur fromage et surtout meilleure soupe, sans qu'il ne nous soit possible de déterminer les légumes. Sans doute un légume local, conclut une des Asiatiques, qui s'avèrent être des Sud-Coréennes, qui ont également eu la chance de trouver ce séjour à des prix si bas.

— Tu sais combien nous payons nos chambres? Demande son amie, 2 dollars. Tu imagines? Ce n'est rien. Et cela inclut les repas.

— Ca compense le fait qu'elles aient confisqué nos téléphones et appareils photos. Même les montres. Interdiction d'avoir de la technologie.

— Pourquoi veux-tu déjà partir? Me demande une des Françaises.

— Tu as vu le traitement que j'ai subi? Je ne peux rien faire, elles sont fortes. Elles m'ont baladé à poil des heures, elles m'ont même mis en cage pendant des heures parce que j'avais osé contesté. Même si on vit avec 2$ par jour, je préfère partir.

— C'est dommage, il y a tellement de choses à voir. Nous voulons voir ce pays, on dirait qu'il est unique. Tu devrais rester, on ne va pas te manger.

— On te met en prison parce que tu oses parler. Je leur ai dit qu'elles n'avaient pas le droit de me foutre à poil et hop, je suis un contestataire.

— Tu ne dois pas t'en aller pour ça, nous devrions faire le voyage ensemble, ce serait chouette d'avoir un mec avec nous.

— Sur le bateau qui nous a amené, dit l'une des Coréennes, il y avait quatre mecs. Nous ne savons pas où ils sont. Les interrogatoires étaient vraiment plus poussés que le tien. Et ils ne sont pas dans l'auberge.

— Comme ça tu as cinq filles pour toi tout seul, rigole la fille blonde. Nous voulons aller voir le temple par l'intérieur de l'île.

— Si je reste, je préfère longer la côte. J'aime la plage.

— Dans ce cas, rejoins-nous à Mar' Salla. C'est la ville avant le temple. On ne peut y aller qu'en bateau fluvial.

Alors que nous finissons de manger, la fille prend une carte de l'île. Je tente de la mémoriser assez rapidement. La majeure partie de ce territoire est hachurée, comme si elle était inconnue, ou interdite. Toute la partie nord de l'île. Mais le sud est assez détaillé, comme la carte de mon livre « Le Seigneur des Anneaux ». Je vois que si je prend la plage je peux rejoindre à pied la petite ville de Mar' Oda, à l'embouchure d'une rivière qui s'appelle Mar' Okrôa. Il existe un sentier indiqué qui remonte la rivière jusqu'à Mar'Salla. Une géante noire vient retirer les plats et nous apporter des fruits en salade.

— Où as-tu eu cette carte? Demandé-je à la fille.

— A la réception, demande.

Nous convenons de nous donner rendez-vous à Mar'Salla dans dix jours. La salade de fruits terminée, les filles décident d'aller se coucher. Je quitte la table en dernier et retourne à la réception. Une géante noire s'y trouve. Elle est assez sexy avec sa robe de coton ouverte en large décolleté. Quelle poitrine! Chaque sein semble beaucoup plus gros que ma tête, et je commence à rêver de ces seins géants.

— Bonsoir, me dit-elle joyeusement, je peux faire quelque chose pour toi? Il paraît que tu veux quitter l'île demain.

— Votre police n'est pas très correcte.

— Ne t'arrête pas à cela, l'île est très accueillante pour ceux qui le méritent.

— Je ne dois pas le mériter, dans ce cas.

— Au contraire.

Je me retrouve de l'autre côté de son bureau, à hauteur de mes yeux. Elle se penche pour s'abaisser à ma hauteur et sa lourde poitrine touche la table, me donnant une vision exquise sur son décolleté profond. Je déglutis.

— Alors? Que puis-je faire pour toi?

En pleine séduction? Je n'en crois pas mes yeux. Cette femme géante semble me draguer.

— Euh, je voudrais savoir si vous n'aviez pas une carte de l'île comme vous avez donné aux filles.

— Bien sûr, je vais t'en donner une. Tu sais que tu es un garçon très séduisant?

Je sens mon sexe pousser mon short pour sortir. C'est vraiment dingue, ces femmes parviennent rien que par leur présence à me donner des réactions jamais eues auparavant. Elle est vraiment très belle. Et le fait qu'elle soit si grande ne change rien. La femme me caresse la joue.

— Viens, allons voir la carte.

Elle se relève de toute sa splendeur et passe de mon côté. C'est vraiment bizarre, ce mode séduction d'une femme si grande. Je dois la regarder d'en bas, mon visage est à hauteur de son pubis. Elle ouvre la porte d'un corridor que je ne connaissais pas encore, et nous passons pour entrer dans un jardin très zen, avec fontaines et verdure luxuriante, très reposante. Elle me désigne un fauteuil à sa taille.

Je dois me hisser pour m'asseoir. Elle vient près de moi.

— Comment t'appelles-tu, beau petit mâle?

— Arno.

— Tu es magnifique. Cela fait longtemps que je n'ai plus vu un garçon aussi joli.

Elle écarte son bras et me serre contre elle. Mon sexe gonfle mon short, j'en ai mal, il passe d'ailleurs la ceinture pour grandir dans mon polo. Elle doit s'en apercevoir. Sa main libre vient caresser mon cou et descendre sur l'échancrure de mon polo, elle tire un peu dessus.

— Je suis certaine que tu as un corps sublime.

Je ne sais que dire. Alors, la femme prend mon polo par le bas et le tire pour le passer au dessus de ma tête. Elle le jette derrière elle et caresse mon torse.

— Tu es sublime, j'adore ta peau toute douce. Et quels beaux muscles.

Elle palpe mes abdos et touche mon sexe qui sort de mon short.

— Tu dois avoir mal, tu devrais te mettre plus à l'aise.

Excité, je bouge et retire mon short et mes sandales, je suis complètement nu dans ses bras. La femme me serre contre elle et m'embrasse. Elle me tire ensuite sur ses genoux, face à elle. Mon visage est dans ses gros seins. Je suffoque de plaisir.

— Tu me plais beaucoup, me dit-elle. Et tu sembles m'apprécier également.

Elle m'embrasse sur la bouche, c'est bizarre cette grande bouche, mais c'est le meilleur baiser que j'aie jamais eu. Ses mains me palpent les hanches et l'une prend mes fesses pendant que l'autre empoigne tout à coup mon sexe. Je me détend et faillis éjaculer tout de suite. Sa main est experte. Elle me caresse doucement sans me laisser l'opportunité de finir. J'ose enfin bouger un peu et poser mes mains sur son énorme poitrine. Quelle sensation, ses seins sont volumineux, fermes et doux. J'ose embrasser le sommet.

— Allons nous allonger, me dit-elle soudain en se levant mais en me gardant contre elle.

Elle me porte avec une facilité déconcertante. Une main me garde par les fesses, et l'autre tient toujours mon sexe. Je me laisse porter ainsi, c'est beaucoup plus agréable que lorsque les policières me portaient par les poignets, quoique mon sexe demeure dans la même situation. Elle marche un moment, je ne sais même pas où je suis, dans ses bras, je ne vois pas le sol, je la regarde et je ne veux pas quitter ses gros seins.

Alors, je me retrouve sur une couche immense et moelleuse, étendu sur le dos. La femme est devant moi et elle me toise de toute sa hauteur. Alors, elle retire sa robe et la laisse tomber à ses pieds. Son corps entièrement nu et superbe m'apparaît. C'est le plus beau corps féminin que je n'aie jamais vu. Cette femme est magnifique. Ses courbes sont voluptueuses, elle est immense, très noire de peau. Sa peau est totalement dépourvue de poils, totalement dépourvue d'imperfections. Elle me sourit et vient se coucher près de moi, en gardant ma tête dans ses seins et sa main pour contrôler mon sexe. Elle me regarde en souriant.

— Tu es très sexy.

— Merci, vous aussi, vous êtes très belle, je n'ai jamais vu une femme aussi belle.

— Vraiment? Ma taille ne te dérange pas?

— Oh non, réponds-je complètement perdu d'excitation, vous êtes si belle.

— Les femmes sont comme moi sur cette île, tu vois, tu ne devrais pas partir.

Elle m'embrasse et ensuite elle me laisse embrasser et lécher ses seins. Ils sont tellement gros que cela prend du temps pour passer partout. J'ai envie de cette femme comme je n'ai jamais eu envie avant.

— Tu as déjà fait l'amour à une fille?

— Oui, réponds-je distrait.

— Et à une fille noire?

— Non.

— Pourquoi?

— Parce que je n'ai pas de copine noire, réponds-je en ne pouvant plus arrêter de toucher ce corps merveilleux. Mais... mais j'adore les femmes noires, je fantasme dessus depuis que je suis petit, la directrice de mon orphelinat était noire, je l'ai adorée. J'aimerais une femme noire plus âgée que moi, c'est vraiment mon fantasme. Vous êtes mon fantasme.

Je ne parviens pas à réaliser tout ce que je dis. Je suis trop excité et ne parviens pas à penser.

— C'est bien cela. Tu as déjà adoré une femme?

— Adoré?

— La considérer comme une déesse, est-ce que tu as déjà léché le sexe d'une femme?

— Oui, réponds-je, j'adore cela.

— Est-ce que tu veux me le faire?

— Oh oui.

Elle me couche et se relève pour aller s'asseoir cinq mètres plus loin, sur une grande chaise. J'approche et vais me placer à ses pieds. Alors, elle écarte ses cuisses. Son sexe est magnifique, plus beau que ceux que j'ai vus, l'odeur est aphrodisiaque, j'ai envie d'aller m'y perdre. Je me trouve sur les genoux mais le torse droit pour être à sa hauteur. J'approche et applique mes lèvres sur les siennes et les embrasse avant d'aller plus avant. La femme ferme un peu ses cuisses. J'ai l'impression que si elle le désire, elle peut écraser ma tête comme dans un étau. Je m'applique. Il y a six mois, une femme d'une trentaine d'années m'avait appris à ainsi prendre soin du sexe d'une femme. Elle m'avait entrainé des nuits et des nuits jusqu'à ce que je sois parfait. Donc ce soir, je produits ma meilleure performance. La femme semble apprécier, je l'entends gémir, et soudain elle se tend et jouit dans un grand cri. Je me recule et tombe en arrière.

La femme se redresse et me regarde.

— Tu es un champion, on voit que tu adores les femmes, que tu aimes les traiter comme il faut. Tu aimes les femmes fortes?

— Oui, réponds-je.

— Les femmes grandes et puissantes? Tu aimes que la femme te domine?

— Oui, m'écrié-je trop excité par ses paroles.

Elle sourit et se lève au dessus de moi. Elle se penche pour me prendre et me soulever, alors elle me couche à nouveau sur le grand lit moelleux. Elle vient me rejoindre et elle s'assied sur mon ventre. Heureusement, elle ne met pas tout son poids. Elle me met ses énormes seins dans la figure et tout à coup bouge pour me placer en elle.

Quelle sensation, je faillis en terminer tout de suite. Mais ses muscles vaginaux semblent puissants et contrôlables. Elle les serre pour que je ne puisse pas jouir. Et alors, elle monte et descend d'une manière exquise que je ne peux contrôler. Elle fait l'amour divinement, je n'ai jamais connu cela. Le paroxysme de la féminité, tout en elle respire le sexe. Son vagin contrôle et je ne peux jouir, alors elle en profite pour faire longuement l'amour, cela n'arrête pas, je n'en peux plus. Elle me prend dans toutes les positions, je ne pèse rien pour cette femme puissante.

Il me semble que cela dure des heures, mais je ne voudrais arrêter pour rien au monde. La femme arrête alors, tout à coup et se lève en me prenant dans ses bras, ma tête entre ses seins, mon dos contre son ventre, alors, elle prend mon sexe et me masturbe un peu plus loin. Je jouis dans un long cri alors que ma semence semble jaillir loin en plusieurs grands jets.

Pour la première fois peut-être, cela ne me calme pas, même pas une minute. Je suis toujours au garde-à-vous, et la femme continue à mes masturber et à me faire jouir ainsi. Au bout de sept fois, je n'en peux plus, je supplie d'arrêter. Je me sens défaillir. Elle me fait encore jouir plusieurs fois et il me semble que je perds connaissance.

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