Liber Maleficarum

BÊTA PUBLIQUE

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— Et qu'est-ce que tu m'offres? De me tuer?

— Mais non » rit-elle. « Je te proposes de m'aider dans ma résurrection. Si tu acceptes, je pourrais te transmettre une partie de mes pouvoirs, me nourrir de ta luxure sans te tuer ou même t'offrir du plaisir sans me nourrir du tout. Qu'est-ce que tu en dis?

Elle s'assit sur le bord du lit, les mains posées derrière elle et arquant sa silhouette, ses seins ronds semblant sur le point de sortir de sa robe. Ses longues jambes étaient écartées et mon regard était irrésistiblement attirés par le tissu noir entre ses cuisses.

一 Tu penses que tu ne devrais pas regarder, mais il n'y a rien de plus naturel. » ronronna-t-elle. « Un corps de femme est la plus belle chose au monde, et je suis la plus belle femme que tu ne verras jamais.

一 Tu es une espèce de démone disparue il y a des siècles. Et bien sûre de toi, avec ça.

Riala sourit et ses cornes s'évanouirent, sa queue se rétracta dans son dos, ses ailes disparurent, et même ses yeux perdirent leur couleur pour prendre une teinte marron, bien que je pouvais encore déceler quelques nuances de rouge dans ses iris. Elle était toujours aussi splendide, même si elle avait perdu son aspect monstrueux.

一 Me préfères-tu ainsi, jeune sorcier?» demanda-t-elle en passant lentement son doigt sur sa lèvre inférieure.

Honnêtement, je n'en savais rien. J'aimais bien son côté démoniaque, mais au moins elle était un peu moins intimidante comme ça.

一 Qu...qu'est-ce que tu veux que je fasse?

一 Eh bien, pour commencer nous pourrions sceller ton accord par un baiser. Ensuite, nous parlerons de ton apprentissage. » dit-elle en tapotant le lit à côté d'elle. « Je ne sais que tu n'en as pas beaucoup embrassé avant moi.

一 Une seule fois. » admis-je, en repensant à ma vie tandis qu'elle me fixait. « Bon d'accord, d'accord, c'était quand j'étais en grande section et qu'on jouait au docteur.

一 Tu es adorable Léo.

Je m'assis à côté d'elle, mais j'étais incapable de la regarder. Elle se rapprocha de moi. Son odeur, putain, c'était indescriptible : un mélange de sucre, d'épices et d'odeur de sexe. Il y avait quelque chose de magnétique dans son parfum enivrant, comme un goût d'interdit, qui me donnait l'impression d'avoir comme de la fièvre. Elle posa ses mains incroyablement douces de part et d'autre de mon visage et s'approcha de moi, si près que je pouvais sentir son souffle chaud caresser mes lèvres.

一 Oh mon Dieu » murmurai-je.

一 Tatata. Pas de ça ici » répondit-elle.

A ma surprise, elle descendit pour m'embrasser à la jonction entre mon cou et mon épaule.Son baiser fit naître comme un picotement chaud contre ma peau, et je retins une larme. Le plaisir était tellement intense, comme si c'était ma bite qu'elle avait embrassée. Elle caressa mon bras en descendant jusqu'à mes doigts et prit ma main dans la sienne. Je me tournais vers elle, le regard toujours par terre.

一 Ne me fais pas de mal » murmurai-je.

一 Tu n'as rien à craindre avec moi Léo» répondit-elle, ses lèvres dangereusement proches des miennes. « Avec moi il n'y aura que du plais...

Je n'en pouvais plus. Ok, j'étais un mec timide, un mec puceau et terrorisé, mais là, il fallait que je l'embrasse. Mes lèvres se pressèrent contre les siennes et la chaleur exotique de sa bouche sembla irradier vers la mienne. Elle ria durant notre baiser et caressa ma joue avec sa main, puis sa douce langue chaude serpenta entre mes lèvres

一 Mmmm! » m'exclamai-je.

Je n'avais jamais rien connu de comparable. C'était mon tout premier baiser et je me sentais fondre dans la bouche douce et humide de Riala.

一 Tu veux savoir, pas vrai? » demanda-t-elle entre deux baisers. « Tu veux savoir ce que ça fait de prendre et d'être pris. Mon corps est tout à toi jeune sorcier.

一 Arrête de m'appeler comme ça » gémis-je.

Sa langue se glissa en profondeur dans ma bouche. Elle semblait s'enrouler autour de la mienne et faire rejaillir tous mes désirs réprimés pendant trop longtemps. Elle posa sa main entre mes cuisses, caressant le renflement dans mon pantalon et serrant ma bite à travers mon jean.

一 Mmmaaah! » gémis-je en rompant le baiser.

Le plaisir m'envahit d'un coup. Je sentis ma bitte se contracter alors que mon orgasme m'envahissait. Je restais bouche bée sous les coups de boutoir du plaisir, submergé par les sensations. Elle m'embrassa à pleine bouche, passant sa langue sur mes lèvres, et massant mon entrejambe humide avec sa main. Une vague d'humiliation m'envahit alors.

一 Je suis désolé » gémis-je. « Je ne pensais pas que j'allais jouir, je...

一 Chuuut. Tout va bien, c'est normal. Je suis flattée quelque part » gloussa-t-elle. « Tu en avais tellement besoin.

Sa main ralentit alors que mon plaisir s'évanouit. Elle embrassa mes joues et mon cou pour m'accompagner gentiment pendant que mon orgasme refluait.

一 Maintenant, on se connaît mieux » dit-elle en se rasseyant dans sa position initiale.

一 C'est tout? On ne fait rien de plus?

一 Pour l'instant. Il ne faudrait pas que tu deviennes accro» Elle pencha la tête sur le côté. « Sauf si tu insistes, bien sûr.

一 Non, tu as raison » admis-je à contre-coeur. « C'est sans doute plus sage comme ça.

一 Bien! Tu es plus fort que tu en as l'air!

— Je... je peux me changer, ça ne te gêne pas?

— Bien sûr que non! » gloussa-t-elle en enroulant un doigt autour d'une de mes mèches de cheveux. Je faillis m'évanouir. « Fais comme chez toi.

Je me déshabillais donc pendant qu'elle me regardait. Quand j'étais ado et que je devais me changer pour aller en cours de sport, j'essayais de faire ça le plus vite possible ; mais là, sous le regard sensuel de Riala, je devais surtout combattre un puissant instinct qui me disait de tout déchirer et de lui sauter dessus pour la ravager. Je jetais mon caleçon souillé dans mon panier à linge en essayant de ne pas trop y penser, puis en pris un nouveau et me rhabillais.

Elle se leva lentement, me rappelant la glorieuse, l'impossible perfection de son corps. Des fantasmes torrides m'envahirent l'esprit tandis que je refermais mon jean, alors qu'elle trottinait vers mon bureau et mon PC.

一 Qu'est-ce que c'est? Est-ce une autre télé-vision?

一 Hmmm, en quelque sorte.

Je m'approchais d'elle et allumais l'ordinateur. Elle eut un brusque mouvement de recul lorsque l'écran prit vie, comme si elle était surprise.

一 Qu'est-ce que c'est?

一 Euh, ça c'est Wikipédia. Honnêtement je ne sais pas trop comment t'expliquer. DIsons que c'est comme un grand livre dans lequel chacun peut écrire depuis partout dans le monde, et tout le monde voit ce que les autres mettent, instantanément.

一 Les érudits dans ma famille n'osaient même pas rêver d'un outil aussi merveilleux » murmura-t-elle. « Le royaume de France doit être devenu incroyablement puissant.

一 Ouai, j'imagine qu'on peut dire ça » répondis-je avec un haussement d'épaules. « Tu euh, tu disais tout à l'heure que tu pourrais peut-être m'aider à...

一 Oui! Bien sûr Léo. En échange de ton aide dans ma résurrection, je pourrais t'enseigner de nombreux pouvoirs qui pourront t'être utiles pour séduire toutes celles que tu désires.

一 Ben, il y en a une en particulier... Elle s'appelle Clara » dis-je en lui montrant une de ses photos sur Facebook.

一 L'artiste est très bon!» remarqua-t-elle. « Elle a l'air vraie comme nature sur ce tableau.

一 Euh, ouai, euh, on va dire ça. Elle est méga sexy, mais elle ignore que j'existe.» Je fis un pas en arrière et attirais son attention vers mon corps. « Je ne suis pas vraiment un beau gosse et...

一 Foutaises » répondit Riala. « Tu as un joli visage dépourvu de cicatrices, ton ventre est un peu gras, ce qui est signe de richesse. Tes yeux sont clairs, tes cheveux sont soyeux et ton odeur, par Lilith, je n'ai jamais croisé d'humain qui sentait aussi bon! Et je ne dis pas ça simplement à cause du délicieux arôme de ton innocence, on dirait vraiment que tu te laves quotidiennement, c'est étonnant.

一 Ben, ouai. On appelle ça prendre une douche. Tout le monde le fait de nos jours, et ce n'est pas vraiment mon problème.

一 Quel est-il dans ce cas?

一 Regarde la. Elle est parfaite, et moi... Je... je ne désire pas la perfection, mais il me faut quelque chose de mieux que ça si je veux avoir une chance. » dis-je en désignant mon corps et mon visage.

Riala poussa un soupir.

一 C'est faisable » dit-elle. « Je pourrais t'enseigner un sortilège simple qui te permettra de la séduire...

一 Merci! » répondis-je un peu plus fort que je ne l'aurais souhaité.

一 Ne me remercie pas maintenant Léo. Ce sortilège ne te garantit pas que cette fille te désirera. SI son cœur appartient déjà à un autre, et si ses yeux ont déjà pris l'habitude de t'ignorer, alors il ne servira à rien.

一 Je vais essayer quand même.

一 Très bien. Maintenant, mettons-nous au travail. Ouvre le grimoire page 180.

一 一 一 一 一 一 一 一 一 一 一 一 .

J'avais passé deux bonnes heures à m'entraîner à lancer le sort de séduction. Pendant ce temps, Riala était lascivement étendue sur mon lit, sur le côté, avec une petite nuisette translucide qui ne faisait absolument rien pour dissimuler ses courbes délicieuses. Ses tétons et le petit triangle de poils pubiens étaient visibles à travers le tissu soyeux, et ses cheveux étaient si beaux qu'on aurait dit qu'elle sortait de chez le coiffeur. Elle corrigeait ma prononciation, me donnait des conseils sur le meilleur moment pour l'employer tout en m'enseignant des rudiments de théorie magique. Apparemment, le sortilège ne serait efficace que si je me retrouvais seul avec ma cible. La présence d'autres personnes provoquerait des sortes d'interférences dans le domaine magique qui le rendrait inopérant.

一 Je pense que tu es prêt. Tu viens te coucher? » demanda-t-elle finalement en tapotant le lit à côté d'elle.

一 Je ne me sens pas spécialement différent » dis-je en refermant le grimoire. « J'ai juste l'impression d'avoir perdu mon temps à réciter des formules bizarres dans le vide. Je me sens un peu idiot.

一 C'est normal, mais demain matin, quand tu seras face à elle, tu me remercieras » répondit Riala. « Maintenant viens te coucher, j'ai froid.

一 Et où est-ce que tu as trouvé cette nuisette?

一 Je l'ai fabriquée moi même. Elle te plaît? Ou tu voudrais que je porte autre chose?

La nuisette disparut doucement. Elle passa une main sur ses jambes, son ventre et ses seins; des bas, une culotte noire, un porte-jartelles et un soutien-gorge bustier apparurent sur son corps. Elle passa une de ses longues jambes par-dessus l'autre et ma bite trembla de désir.

一 C'est... c'est bon. » dis-je en la regardant, estomaqué. « La... la nuisette était très bien.

Ses sous-vêtements disparurent et la petite tenue refit son apparition, graduellement, d'une façon qui me rappelait le zoom d'un appareil photo. Riala était ridiculement sexy et elle m'excitait constamment. Mais elle était également terrifiante. C'était une démone après tout, et elle-même m'avait avoué se nourrir des âmes de ses victimes. Pouvais-je vraiment lui faire confiance et partager mon lit avec elle?

La question occupait mes pensées alors que je me déshabillais et m'installais à ses côtés, tourné sur le flanc, dos à elle. Je ramenais les couvertures sur nous et sentis aussitôt son corps chaud se blottir contre le mien. Je retins un gémissement en sentant ses seins se presser contre mon dos. Elle passa une main autour de ma taille et ramena mes fesses contre son pubis. Je pouvais sentir la chaleur irradier de sa chate.

一 B... bonne nuit Riala » murmurai-je.

一 Fais de beaux rêves Léo » chuchota-t-elle en mordillant le lobe de mon oreille.

Ah! Tu parles! Comment trouver le sommeil avec son souffle chaud qui caressait l'arrière de mon cou et sa main si follement proche de ma bite? Et puis la chaleur de son corps contre le mien ne faisait qu'empirer les choses. Quelques minutes s'écoulèrent et j'étais toujours autant incapable de trouver le sommeil.

一 Tu es toujours réveillé Léo? » ronronna-t-elle.

一 Oui » répondis-je d'une toute petite voix.

一 Tu as bien travaillé aujourd'hui, et tu mérites une récompense. Est-ce que tu voudrais que je t'offre du plaisir? » Elle déposa un petit baiser sur mon épaule. « Cela t'aiderait à trouver le sommeil, et puis, j'ai besoin de récupérer un peu d'énergie.

一 Quoi?

一 Je pourrais me nourrir un tout petit peu de ta luxure » murmura-t-elle , ses petits baisers remontant le long de mon cou. « Cela te détendrait et t'aiderait à dormir.

一 C... comment ferais-tu exactement pour te nourrir? » demandai-je, tremblant rien qu'à cette pensée.

一 Chuuut, du calme » dit-elle en caressant doucement mon estomac et le devant de mon boxer. Ses mains passèrent sous l'avant pour masser mes couilles et mes cuisses. « Ton essence est jeune et encore pure, je n'aurais pas besoin de beaucoup. Juste un baiser, ça ne te fera aucun mal. Mais tu es mon apprenti et il me faut ta permission.

一 Tu ne me feras pas de mal? » Je me tortillais en sentant ses doigts caresser mon érection douloureusement dure à travers le tissu.

一 Pas le moins du monde » murmura-t-elle en passant doucement ses lèvres sensuelles sur mon épaule. « Tout ce que tu dois faire c'est me donner ta permission.

Qu'auriez-vous fait à ma place? Moi je sais ce que j'aurais dû faire. J'aurais dû dire non. Mais bon, j'avais le sexe incarné qui me murmurait des trucs sexy dans le creux de l'oreille et qui me pormettait que ça ne me ferait aucun mal. Je pourrais blâmer son odeur enivrante, où ses petits chuchotements insidieux, mais au fond, c'était surtout des années de frustration sexuelle qui me firent répondre. J'avais envie de ça, même si c'était avec Riala la sorcière-démone et pas Clara la meuf mignonne de la fac. Et honnêtement, je me doutais bien que ça allait se produire quand je m'étais glissé sous les draps à côté de cette fille. J'étais prêt à être aimé, merde.

一 Ou...oui vas-y » gémis-je alors que sa main continuait ses caresses implacables à travers le tissu. « Tu... tu as ma permission pour te nou.. nourrir... ohhh... un petit peu.

Donner à Riala la permission de se nourrir, c'était un peu comme ouvrir la porte à un intrus. Elle me fit tourner sur le dos avec une force surprenante, rejetant la couverture d'un coup et me chevauchant en un instant. Sa chatte chaude se pressait contre moi, ses seins se balançaient sous sa nuisette, leurs tétons gras pointant sous sa tenue échancrée. J'avais l'impression d'être sa proie, s'en était presque effrayant.

一 Cela va faire au moins des centaines d'années que je n'ai pas goûté à un puceau » gémit-elle, ses mains douces caressant mon torse. « C'est uniquement parce que tu es mon apprenti que je n'ai pu t'arracher tes vêtements et te dévorer sur le champ!

一 Oh mon Dieu! Qu'est-ce que j'ai fait! » gémis-je.

一 Tu n'arrêtes pas de dire ça, mais je n'ai rien à voir avec lui » ricana-t-elle.

Ses mains continuèrent à caresser mon torse et elle enfonça ses ongles dans ma peau, traçant de légers sillons en redescendant vers mon pubis. J'avais vraiment l'impression d'être un animal pris dans les griffes d'une lionne. Elle s'abaissa et pressa ses seins contre moi. Partout où sa peau me touchait, la chaleur et le plaisir envahissaient mon corps. Je haletai et sa bouche tomba sur la mienne, sa langue s'enfonça profondément et la douceur de notre baiser me submergea.

Ses lèvres laissèrent les miennes et elle commença à ramper le long de mon corps, embrassant mon cou, ma gorge, et descendant plus bas. Je gémissais et arquais mon dos alors qu'elle déposait des baisers au niveau de mon cœur. J'avais l'impression qu'il allait éclater. Puis sa langue chaude taquina un de mes mamelons et le plaisir m'envahit à travers le petit noeud tendre. Merde, je n'aurais jamais cru que cette zone pouvait être aussi sensible! Elle tira dessus entre ses lèvres et je criais, me relevant presque sous l'intensité de la sensation.

Alors qu'elle explorait mon corps avec ses lèvres, je me demandais si elle s'attendait à ce que je lui donne du plaisir moi aussi. J'aurais été ravi de le faire, mais l'idée était quand même un peu intimidante. Tout ça était complètement nouveau pour moi, sans compter qu'en plus elle était une démone, et que j'étais complètement abasourdi par ce que je vivais. Pour l'instant cependant, le plaisir était plus important que mes inquiétudes. Je le sentais monter alors que Riala descendait le long de mon ventre en déposant de petits baisers. Un de ses doigts caressa la tâche de liquide pré-éjaculatoire sur mon boxer. D'un geste sec, elle tira mon sous-vêtement sur mes genoux et ma bite jaillit enfin à l'air libre. Elle se lécha les lèvres à sa vue.

一 Hmmmm pas mal » ronronna-t-elle.

Oh merde, elle va me sucer!

一 Oui, tout à fait!

Le cul divin de Riala se tortilla alors qu'elle prenait position en reculant entre mes cuisses. Ses baisers atterrirent sur mes poils pubiens et je pris une grande inspiration alors que sa langue chaude glissa tout le long de ma hampe. Je regardai entre mes cuisses cette beauté extraordinaire alors que sa bouche commençait à descendre sur mon sexe, comme au ralenti. Elle enroula sa main autour de ma bite alors que sa langue passait paresseusement sur mon frein.

一 Oh putain!

Riala respirait de façon saccadée alors qu'elle regardait ma bite dure comme un roc palpiter devant elle. Quelque chose se brisa en moi alors que je réalisais pleinement ce que nous étions sur le point de faire. J'y étais. Ce n'était pas qu'une simple caresse à travers un vêtement. Elle n'allait pas seulement me toucher. Elle allait me prendre en elle. Le fait que le trou par lequel j'entrerais dans son corps soit sa bouche faisait peu de différence pour moi. J'allais franchir la ligne pour de vrai, avoir un rapport sexuel avec une créature qui se repaîssait de luxure, laissant derrière moi ma dernière chance d'ignorer toute cette expérience idiote avec des forces qui me dépassaient. Et puis surtout j'allais vraiment me faire sucer. Et visiblement, elle ne pouvait pas attendre une seconde de plus pour le faire.

Mes yeux s'écarquillèrent d'incrédulité alors que je regardais la succube agenouillée plonger son beau visage sur mon entrejambe, ses lèvres entrouvertes se rapprochant de plus en plus dangereusement de mon gland. Je grognais au moment où je sentis sa bouche chaude et douce sur ma tige palpitante, me prenant et enveloppant mon bout gonflé d'un baiser humide et aspirant. Ses ronronnements sexy résonnaient comme une musique céleste dans mes oreilles alors que Riala resserrait lentement ses lèvres gonflées autour de mon épaisseur et se frayait un chemin le long de ma hampe, accueillant centimètre après centimètre de ma viande dans la chaleur et la moiteur de sa cavité buccale.

一 Ooooh Riala... C'est incroyable!» balbutiai-je, les yeux rivés sur mon érection raide alors qu'elle disparaissait lentement mais sûrement dans l'étonnante bouche avide de la démone.

Riala entendit sans doute à peine les gémissements de plaisir que je poussais, tant elle avait l'air elle-même perdue dans sa propre brume de luxure. Rien n'avait plus d'importance hormis la sensation douce et spongieuse de mon gland qui s'enfonçait de plus en plus profondément dans son œsophage, l'épaisseur palpitante de ma bite dure remplissant sa bouche et étirant ses lèvres, mon pré-sperme dégoulinant et saturant ses papilles gustatives.

Creusant ses joues pour mieux me masser, passant sa langue sur mon dessous veiné, bavant et prenant des gorges bruyantes comme une salope folle qui n'avait pas connu de sexe depuis des siècles, Riala dévora toute la longueur de ma queue avec un abandon téméraire. Gémissant et roucoulant autour de cette bouchée juteuse, elle enroula son index et son pouce autour de la base épaisse de ma queue pour incliner parfaitement ma hampe tandis qu'elle travaillait sans relâche à se l'enfoncer de plus en plus profondément dans son œsophage, descendant sur moi comme si elle était affamée de bite.