Liber Maleficarum

Informations sur Récit
Un jeune geek puceau découvre un livre magique.
12.6k mots
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Partie 1 de la série de 1 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 02/02/2022
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Liber Maleficarum Chapitre I

Avertissement : Tous les personnages mis en scène dans cette histoire ont plus de dix-huit ans, et toutes ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est une pure coïncidence.

Le chapitre est assez long et il n'y pas beaucoup de sexe, hormis une scène à la fin. Donc si vous aimez les histoires courtes, celle-ci n'est probablement pas pour vous.

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Au bruit de pas, je levais mes yeux épuisés de mes livres. Tout en faisant nerveusement tourner un de mes stylos entre mes doigts, j'attendais que Mme Rousseau, la bibliothécaire, vienne me dire de partir. Ce n'était pas l'idée de me faire expulser de la bibliothèque qui me rendait nerveux. Chaque semaine, après tout, ce scénario se reproduisait.

Le bruit des talons sur la moquette derrière moi signalait que ce moment allait bientôt se produire et je pris une profonde inspiration quand j'entendis Mme Rousseau arriver derrière moi. Cette profonde inspiration apportait avec elle l'odeur de son parfum qui, même si je n'avais aucune idée de sa marque, me faisait beaucoup d'effet et m'empêchait de me concentrer quand elle était dans les environs.

Enfin, c'est l'une des nombreuses choses qui a cet effet sur moi, songeais-je alors qu'elle se déplaçait pour arriver dans mon champ de vision, près du bord de la table.

Vous connaissez sans doute ce stéréotype : la bibliothécaire vieillotte et insupportable qui vous demande de vous taire sans arrêt et qui porte une vieille paire de lunettes accrochée à un genre de chaîne autour du cou? Eh bien avec Mme Rousseau, vous pouviez l'oublier.

Non seulement Margot Rousseau était la bibliothécaire en chef de la BU, mais elle était de loin la femme la plus sexy que j'aie jamais rencontrée. Elle était aussi bien sinon mieux que les meufs de ma fac, ce qui n'était pas peu dire.

Comme à son habitude, elle portait un tailleur noir serré avec un petit chemisier blanc moulant qu'elle rentrait dans sa jupe lisse à la limite de la descence. Ajoutez à cela une paire de talons aiguilles, et sa tenue mettaient en valeur ses meilleurs atouts : une taille de guêpe, qui s'épanouissait en une poitrine généreuse et en des hanches larges, supportant des fesses délicieusement rebondies et de longues jambes effilées descendant jusqu'à de minuscules chevilles. Elle portait souvent des bas et parfois quand elle se penchait, je tournais de l'œil en apercevant ses porte-jarretelles.

Comme beaucoup de rousses, sa peau était extrêmement pâle. Cette peau claire produisait un contraste très sexy avec ses longs cheveux roux brillants rassemblés en un chignon sévère. De légères tâches de rousseurs parsemaient ses joues. Ses yeux bleu profond toujours extrêmement intenses et qui semblaient ne jamais rien manquer (et j'étais d'ailleurs sûr qu'ils m'avaient surpris en train de la reluquer plus d'une fois ) brillaient derrière ses lunettes. Lunettes qu'elle portaient accrochées à une chaîne autour de son cou... Ok, elle se foutait peut-être un peu de ma gueule sur ce coup-là.

Aussi beaux que soient ces yeux, ils étaient la deuxième caractéristique la plus attrayante de son visage derrière une paire de lèvres pulpeuses et sensuelles qui semblaient faites sur mesure pour être resserrées autour d'une bite. Elle les avait mises en valeur avec une légère couche de gloss rose clair. Ces lèvres étaient d'ailleurs un élément récurrent dans mes rêves quand je pensais à cette femme sublime et...

— Léo?

Je clignai des yeux et vis que Mme Rousseau était désormais assise sur le bord de la table, le corps de profil par rapport à moi.

— Je t'ai appelé deux fois.

— Désolé Mme Rousseau. J'étais euh... en train de réfléchir.

— Oh? » Elle haussa un sourcil parfaitement épilé. « Et à quoi donc?

— Eh bien, mon, euh, mon cours de chimie. Il est un peu compliqué et...

— C'est vraiment à ça que tu pensais? » Elle soupira. « C'est un peu décevant.

— Décevant? » répètai-je.

— Très. » Elle enleva son blazer noir. « J'espérais que tu pensais à quelque chose de plus... réjouissant.

Je ne répondis pas tout de suite car je me concentrais sur sa poitrine. Sous le blazer se trouvait sa petite blouse blanche en dentelle moulante qui donnait l'impression que ses seins impressionnants allaient la déchirer. Le décolleté était suffisamment profond pour laisser deviner les moitiés supérieures de ses seins pâles et bien arrondis.

Il y avait eu des rumeurs comme quoi Mme Rousseau était une ancienne star du porno. Elles n'étaient pas fondées, pour ce que ça vaut.

Bien sûr que j'avais fait mes recherches, vous croyez quoi! J'avais très facilement des coups de cœur, et l'opportunité de se branler devant des photos nues de l'un d'entre eux était trop belle pour que je la laisse passer. Ne rien trouver sur la toile, cependant, ne m'avait pas donné le sentiment de déception que j'avais anticipé, mais me fit plutôt me sentir un peu crasseux. J'étais là, à essayer de me toucher devant des photos de quelqu'un que je respectais et même que j'appréciais. Je me sentais coupable, et sale, et je trouvais parfois difficile de plonger mon regard dans les sublimes yeux azur de Mme Rousseau, et je jurerais qu'elle pouvait lire dans mes pensées et qu'elle savait ce que j'avais fait.

— Tu n'es pas très bavard aujourd'hui, hein Léo?

— Eh bien, euh, je ne sais pas ce que vous voulez que je vous dise Mme...

— Margot » dit-elle, inclinant la tête et m'adressant un de ses rares sourires. « Personne d'autre n'est ici et je te connais depuis un moment maintenant, alors tu peux bien m'appeler par mon prénom.

— D'accord » acquiesçai-je en essayant de garder mes yeux sur son visage.

— C'est vrai qu'on se fréquente depuis un petit moment » Elle retira la pince de ses cheveux et secoua la tête, sa longue crinière rousse tombant en cascade sur ses épaules. « Et qu'on peut se permettre d'être un peu plus familier tous les deux...

— Ah oui? Vous trouvez qu'on se connaît bien?

— Très. On pourrait même dire qu'on est assez proches...

Levant sa jambe, elle enleva son talon noir et j'étais vaguement conscient du bruit qu'il fit lorsqu'il tomba. Mon attention était plus fixée sur la façon dont sa jupe avait glissé le long de sa cuisse quand elle avait plié la jambe. Non seulement j'avais une vue imprenable sur la majeure partie de sa jambe, mais j'avais pu remarquer que ses bas noirs étaient à mi-cuisse, et qu'elle ne portait pas de porte-jarretelle ce jour-là. Le noir du tissu sur sa peau couleur crème était quand même sacrément chaud et un filet de sueur coula dans mon dos.

Posant son pied sur la table, elle leva son autre jambe et cette fois enleva la chaussure de manière plus joueuse. À mon grand étonnement, elle tourna sur la table et glissa dessus jusqu'à être devant moi. Elle posa ses pieds sur les bras de ma chaise et je ne pus m'empêcher de regarder entre ses jambes écartées. Entre les deux zones de peau nue de ses cuisses se trouvait un string en dentelle noire, et alors que j'essayais de me convaincre de détourner le regard, elle dit :

— En fait, j'aimerais même que nous soyons encore plus proches...

Elle parlait doucement et réussissant finalement à détacher mes yeux de son entrejambe, je baissai les yeux vers son pied où je pouvais distinguer ses orteils peints en rouge à travers le tissu noir transparent.

— Tu commences à comprendre pourquoi j'ai été déçue d'entendre que tu pensais à tes cours? Je croyais que tu avais autre chose en tête...

Saisissant le bas de sa chemise, Margot la souleva par-dessus sa tête et la jeta sur le côté pour prendre en coupe ses gros seins qui n'étaient maintenant enfermés que dans un soutien-gorge en dentelle noire.

— Putain de merde. » murmurai-je.

— Tu penses souvent à eux, pas vrai Léo?

Le soutien-gorge se fermait au milieu et alors que je regardais et que mon sexe se gonflait entre mes jambes, elle plaça ses doigts sur le petit fermoir en argent.

— Tu veux voir les seins de ta bibliothécaire préférée?

— Madame... je veux dire Margot... » Je déglutis difficilement, puis d'une voix à peine audible : « Oui.

— Bien, parce que j'avais justement l'intention de te les montrer!

Avec un mouvement habile de ses doigts, le soutien-gorge se détacha et ma mâchoire tomba avec. Les seins de Margot étaient de loin les plus gros que j'avais jamais vus en personne. Bien plus gros que les seins de n'importe quelle fille que j'avais pu reluquer sur le net. Ses tétons étaient rose clair et pointaient droit vers moi. Les prenant en coupe, elle les souleva et, caressant ses mamelons avec ses ongles rouges, roucoula :

— Tu y penses beaucoup?

— Oh oui. » acquiessai-je, hochant la tête comme un idiot.

— Ouais? Tu penses à mes seins? Et à ma chatte?

— Je...

— Je parie que tu penses aussi à ma bouche, n'est-ce pas Léo?

— Euh, je...

Mes mots se transformèrent en un halètement de surprise lorsqu'en poussant avec ses jambes, Margot fit reculer ma chaise de quelques centimètres. Elle glissa sensuellement de la table et s'agenouilla à mes pieds. En me regardant, elle attrapa le haut de mon pantalon avec une force que je ne lui aurais pas soupçonnée et le déchira, faisant voler le bouton.

— Moi j'y ai pensé » souffla-t-elle en tirant ma fermeture éclair vers le bas. « J'ai pensé à passer mes lèvres partout sur cette belle... grosse... »Elle se lécha les lèvres « bite bien juteuse!

Elle glissa sa main dans mes sous-vêtements et je gémis quand ses doigts s'enroulèrent autour de ma bite palpitante et la sortirent.

— Hmm, tout ça pour moi? sourit-elle. « Tu veux que ta bibliothécaire préférée te suce? Tu veux jouir... dans ma bouche?

— Oui s'il te plaît» gémis-je quand elle commença à me branler.

— Alors demande » Ses yeux bleus, brillants de luxure, plongeaient dans les miens. « Allez Léo, dis-moi ce que tu veux!

— Je... Margot, je veux que tu me suces » dis-je aussi fermement que possible.

— Alors on est deux...

Me regardant toujours droit dans les yeux, elle agita sa langue de manière provocante vers moi puis, ouvrant la bouche, prit ma bite entre ses lèvres et...

— Il est 20h55, la bibliothèque va bientôt fermer! » annonça la voix de Mme Rousseau dans le micro.

Je sursautai.

Merde, je me suis encore endormi!

Ça m'arrivait fréquemment ces derniers temps à cause mon rythme de travail effréné, ce qui inquiétait un peu mes amis. Ils m'avaient d'ailleurs invité à une soirée ce jour-là, mais j'avais décliné, prétextant du retard dans mes révisions, ce qui était le cas. Quoi qu'il en soit, il fallait vite que je range les livres que j'avais pris sans trop tarder si je ne voulais pas me retrouver enfermé ici. Je frottais mes yeux qui me piquaient et réajustai la position de ma bite à moitié dure dans mon pantalon.

La BU était totalement déserte en ces temps de soirées étudiantes, ce qui n'était pas plus mal.

Est-ce que tout ça en vaut vraiment la peine? songeai-je en me levant, mon corps long et maigre craquant après des heures penché sur mes cours. Encore une autre année de chimie après ça. Et puis je devrais trouver des stages. Et puis être embauché par quelqu'un. Et même dans ce cas là, il me restera encore toute une pile de prêts étudiants à rembourser. A quoi bon, sérieux? Ça va faire des années que je poursuis ce rêve. Qu'est-ce que je vais faire ensuite? Est-ce que je ne serais pas en train de changer de chaînes? Échapper à toute une vie de corvée passée dans mon trou en échange de dizaines de milliers d'euros de prêts qui me prendront des années à rembourser? À quoi sert un diplôme si tout l'argent que j'en tirerai finira simplement dans les caisses d'une banque?

Non.

Je fourrais mes notes dans mon sac, mis mon blouson et me dirigeai vers les étagères pour y replacer mes livres, tout en songeant. Non, j'ai pris ma décision il y a des années, quand j'ai reçu la lettre d'admission à cette fac. J'aurais pu rester dans mon coin et me contenter d'une moins bonne fac. Mais non, j'ai choisi d'essayer de devenir quelqu'un. Je n'abandonnerai pas maintenant. Et un jour, quand j'irai à une réunion d'anciens élèves de mon lycée avec une super voiture et une fille canon à mon bras ils seront tous verts de jalousie!

L'esprit remplit de rêves de gloire, je rangeais mes livres dans l'étagère correspondante lorsque je remarquai quelque chose d'étrange.

— Qu'est-ce que c'est que ce truc? » murmurai-je.

Je tendis la main et retirai le livre. Il faisait la taille d'un volume d'encyclopédie, en cuir noir, étonnamment orné. Il n'y avait pas de texte, ni sur sa couverture, ni sur la tranche. En revanche, je pouvais discerner un pentagramme rouge sur le devant. C'était super bizarre, on aurait clairement dit un livre religieux ou un truc d'occultiste.

J'avais bien entendu parler de cette vieille légende comme quoi la ville aurait autrefois été un haut-lieu de la sorcellerie au Moyen-Age, mais je ne croyais pas du tout à ce genre de chose, je n'avais même jamais été intéressé par l'ésotérisme. Et malgré tout, je trouvais le livre absolument fascinant. Il dégageait quelque chose, une aura un peu dangereuse et malfaisante. Ce devait être un exemplaire unique, et ç'aurait été un crime de le condamner à l'oubli et à la solitude, perdu dans son étagère au fin fond d'un rayonnage que personne ne fréquentait. Je jetais un coup d'œil aux alentours, pour m'assurer que Mme Rousseau n'allait pas apparaître d'un moment à l'autre, et fourrais le drôle de livre dans mon sac avant de me diriger vers la sortie.

Intérieurement, mon cœur battait la chamade. C'était bien la première fois que j'allais dérober un livre! Par contre, je m'efforçais d'avoir une allure calme et un pas nonchalant. Tout cet extérieur se décomposa bien vite quand j'entendis le claquement familier de talons sur le sol. Je me redressai un peu et déglutis difficilement.

— Tout va bien Léo? »demanda Mme Rousseau. « Vous êtes un peu pâle je trouve.

— Oh, euh, ce doit être à cause de l'approche des partiels.

Elle pencha sa tête légèrement sur le côté, comme si elle se doutait de quelque chose. Mon cœur explosa à l'idée qu'elle me grille en train de lui raconter un bobard. Que ferait-elle si elle réalisait que j'essayais de lui voler un de ses précieux livres?

一 Je vous cherchais Léo car je voulais vous demander une faveur.

Une faveur?

— Je suis tout ouïe.

— Bien! J'espère que vous aurez un peu de temps car j'aurais besoin de votre aide demain pour mettre de l'ordre dans certains livres de la réserve. » demanda-t-elle en battant des cils. « Vous pensez pouvoir faire ça pour moi?

Si ça avait été n'importe quelle autre bibliothécaire...

一 C'est d'accord.» répondis-je en retenant un soupir de soulagement. Ce n'était que ça.

一 Mais vous êtes sûr que tout va bien Léo? Je ne sais pas, je vous sens nerveux, comme si vous craignez quelque chose.

— Quoi? Non, vous n'y pensez pas! » Je mis ma main sur mon cœur comme si j'avais été mortellement blessé par sa suggestion.

— Mmmh » dit-elle en faisant une petite moue.

Je voulais disparaître le plus vite possible mais me forçais à regarder Mme Rousseau droit dans les yeux. Elle semblait toujours me juger intensément, comme si j'étais un énorme truand. Je n'avais jamais ne serait-ce qu'envisagé voler un livre de la bibliothèque avant, et comme par hasard il fallait qu'elle choisisse ce jour-là pour me traiter comme un criminel.

— Très bien, dans ce cas, à demain! » dit finalement Mme Rousseau.

— A demain!

Je retins un soupir de soulagement et courus pratiquement vers la sortie. Une fois dehors, devinez qui je vis sur le parking? Samuel Bachelet, en jean et t-shirt en flanelle, toujours aussi cool, assis contre le capot de sa voiture, en train de pianoter sur son portable.

A la fac, tout le monde connaissait Samuel Bachelet.

Son nom donnait l'impression qu'il devait être précédé par un titre honorifique genre « sire » ou « monseigneur ». Il était grand, musclé, beau gosse (argh! ça me coûte de l'admettre!) avec une mâchoire à 90° et des yeux bleus pétillants de malice. Il avait cette coupe de cheveux qui faisait penser à John Snow, il avait remporté des compétitions de surf et il était capitaine de l'équipe de foot. Une fois, il aurait même sauvé un type de la noyade.

Trop cheaté le mec!

Il était tout ce que je n'étais pas. Les filles l'adoraient; je le détestais.

Samuel leva la tête mais j'aurais aussi bien pu être pigeon : il n'avait d'yeux que pour Clara, la fille qui courait à sa rencontre, sa queue de cheval châtain et sa jolie petite jupe s'agitant sous la brise chaude de cette soirée, me montrant ses cuisses. Clara était mon premier crush, depuis le tout début de mes études à la fac. La voir se jeter ainsi dans ses bras, l'embrasser si passionnément alors qu'il la faisait tournoyer c'était... répugnant. Et principalement parce qu'il recevait ce baiser, et pas moi.

Oh, j'avais eu ma revanche sur « John Snow » des centaines de fois. Par exemple, j'aimais bien l'attacher à une chaise près de mon lit et le forcer à regarder alors que je prenais la petite chatte étroite de Clara en levrette. Elle tournait la tête pour me regarder avec adoration et, lorsque je jouissais, je regardais Samuel d'un air narquois tout en la sentant serrer ma bite jaillissante avec ses muscles internes incroyables. D'autres fois, Clara et moi étions dans un placard à balais dans un des couloirs de la fac, et je téléphonais à Samuel pour le torturer en lui décrivant avec force détails la manière dont Clara bouffait ma bite comme une possédée.

Franchement, le pauvre garçon, comment faisait-il pour supporter tout ça? Oh, mais bien sûr, tout ceci n'avait lieu que dans ma tête...

Je n'étais qu'un jeune geek puceau et introverti après tout, qui essayait de ne pas être trop excité à l'idée de toutes les choses que je lui ferais si on m'en donnait l'occasion. Ce qui faisait partie du problème. Si j'avais été un jeune homme normal, je me serais fait une raison. Je n'étais pas si dégueu, j'aurais pu me trouver une copine sans avoir à me contenter du fond du panier. Mais le problème, c était que j'avais un esprit particulièrement dépravé, et les esprits dépravés ne veulent que les actrices les plus chaudes. Dans mes sales petits scénarios , Clara avait sucé ma bite des centaines et des centaines de fois, je l'avais baisée dans des dizaines de positions et de lieux différents. Merde, elle m'avait même donné son cul à la fin de notre premier rencard imaginaire. En réalité, allongé dans mon lit, c'était surtout ma bite que je détruisais avec ma main droite en m'imaginant que c'était son petit cul que j'avais face à moi et en maudissant l'existence de Samuel.

Poussant un soupir de résignation, j'enfourchais mon vélo. Je me dirigeais jusque chez moi en essayant d'ignorer les deux tourtereaux qui se léchaient les amygdales sur le capot de la voiture et qui allaient probablement baiser là, sur le parking de la BU.

Je secouais la tête, impatient d'oublier cette image et de découvrir les secrets que le livre renfermait.

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Je rentrai dans ma chambre, allumai la lumière, fermai la porte et balançai le livre sur mon bureau. Je ne savais pas si j'étais essoufflé après avoir monté quatre à quatre les escaliers jusque chez moi où si c'était parce que j'avais eu peur de me faire prendre par Mme Rousseau. De toute façon, je m'en foutais un peu, ce qui m'importait maintenant c'était de voir ce qu'il y avait dans ce livre. J'aurais pu rejoindre les autres à la soirée et m'en occuper plus tard, mais j'étais trop fasciné par le mystérieux ouvrage.

Malheureusement, un puissant fermoir en métal m'empêchait d'accéder à son contenu! J'avais beau essayer de tirer dessus, rien à faire. Je pris alors un tournevis pour l'utiliser comme un levier et forcer l'ouverture, mais sans succès. Je m'acharnais à le tenir fermement dans ma paume couverte de sueur et y mettre toute ma force, mais le fermoir demeurait implacable. A un moment, le tournevis m'échappa et ma main glissa contre le fermoir. Je sentis alors une vive douleur irradier de ma paume. Un peu de sang coula.