L'été de mes 18 ans 18

Informations sur Récit
L'amour avec Marianne.
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Récit n'a pas de balises

Partie 18 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Marianne me poussa sur son lit. Je me laissai faire. Elle se coucha sur moi et me fit plusieurs bisous sur la bouche. Je profitai de l'occasion et sortis ma langue. Marianne hésita, puis nos langues se rencontrèrent en un baiser passionné. Mes mains se posèrent sur ses seins et je les massai tendrement en insistant sur les aréoles et les pointes longues. Elle gémit.

Je sentis son envie. Tout en continuant à pincer ses tétons de la main gauche, je glissai ma main droite entre ses cuisses et caressai son minou trempé. Puis je me mis à la doigter, d'abord d'un doigt, puis de deux. Ses gémissements devinrent plus marqués. Je sentais sa croupe onduler. Abandonnant ses seins, ma main gauche se posa sur ses fesses, qu'elle pétrit avant que mon index se glisse dans son sillon. Il atteignit bientôt sa rosette que je me mis à agacer avant de la pénétrer doucement. Elle frémit et tendit encore davantage sa croupe. Je me mis alors à doigter alternativement son minou et son petit trou. Elle gémissait maintenant sans discontinuer. J'accélérai mes caresses et son corps se mit à trembler avant qu'elle ne s'abatte sur moi. Son cœur battait la chamade.

« Oh Claire, mon Dieu, je ne pensais pas pouvoir me lâcher à ce point! Tu m'excites si bien... »

Puis elle se redressa et commença à parcourir mon corps de ses lèvres. Elle s'attarda d'abord sur mes seins dont elle lécha les pointes avant de les suçoter. Je me mis à soupirer de plus en plus fort. Puis sa bouche descendit le long de mon abdomen. Elle se mit à m'embrasser l'intérieur des cuisses. Puis je sentis son souffle chaud sur mon sexe. Elle y déposa les lèvres et lui fit plusieurs bisous. N'y tenant plus, je pris sa tête et appliquai sa bouche sur mes lèvres intimes. Elle hésita quelques secondes puis je sentis sa langue lécher mon minou, puis glisser dans ma fente. Je soupirai d'aise. Ne voulant pas être en reste, je la fis pivoter et m'enjamber : j'avais maintenant son minou bien ouvert par mes précédentes caresses juste sous le nez. Je mis à la lécher et à la sucer, ce qui l'incita à redoubler d'efforts pour me satisfaire. Bientôt nous gémîmes de concert et je fus la première à jouir, bientôt suivie par Marianne qui en était à son troisième orgasme. Epuisée, elle s'allongea près de moi.

« Je t'en prie, reste dormir, Claire ».

Nous nous lovâmes l'une contre l'autre et nous endormîmes rapidement. Lorsque je me réveillai, Marianne était déjà levée. Je l'entendis s'affairer dans la cuisine. Je me levai et la rejoignis. Je m'approchai d'elle par derrière, écartai d'une main la ceinture de son peignoir et glissai ma main dans l'échancrure, gagnant ses seins que je soupesai dans ma main puis je les pressai. Surprise tout d'abord, elle se laissa bien vite aller contre moi. J'agaçais ses pointes bientôt toutes dures. Puis ma main gauche descendit entre ses cuisses qu'elle écarta spontanément. Je caressai son minou un moment, puis je la fis pivoter et l'aidai à s'asseoir sur le plan de travail. D'elle-même, elle plia les genoux, les enserrant de ses bras, m'offrant la vue de son sexe déjà bien mouillé. Je me penchai et me mis à la lécher. Bientôt mon index pénétra sa fente tandis que j'aspirai son bouton et le suçotai. Elle ne résista pas longtemps et se rendis au plaisir en criant.

« Oh Claire, mon Dieu, que j'aime tes caresses! Tu me fais jouir comme jamais aucun homme ne m'a fait jouir. »

« Hmmm, j'aime ton goût intime... Dommage que... »

« Que veux-tu dire, Claire? »

« Tu sais j'adore les minous tout lisses... C'est nettement plus gouteux! »

Troublée, elle me regarda dans les yeux.

« Je vais chez l'esthéticienne pour mes jambes ce matin. Je vais lui demander », dit-elle rougissante. »

« Oui, et retrouvons-nous après, nous déjeunerons ensemble... enfin, si tu m'invites! »

« Bien sûr, Claire, j'en serais ravie. »

Je la quittai rapidement car je devais aller rassurer mes parents. Je pris une douche, puis enfilai une petite robe assez courte et boutonnée devant. Je retrouvai Marianne à midi dans un petit resto près de la place des Vosges. Tout de suite, je ne pus m'empêcher de lui demander :

« Alors, raconte! »

« L'esthéticienne m'a fait ce que tu voulais », m'avoua-t-elle en rosissant.

« Oui? Viens, allons aux toilettes, j'ai hâte de voir ça! »

Arrivées aux toilettes des dames, je lui pris la main et l'entrainai dans une cabine. Je mis le loquet, puis je retroussai sa jupe et descendis sa culotte. Puis je soulevai son pied droit et le posai sur le rebord du siège des toilettes. Les jambes ainsi ouvertes, son minou apparut. A part une mince bande juste au-dessus de sa fente, il n'y avait plus trace de poils. Je m'agenouillai :

« Hmmm, quel délicieux spectacle! J'ai envie de te déguster à l'apéritif... »

Et avant qu'elle n'ait le temps de protester, je me mis à lécher son sexe dénudé. Ses grandes lèvres toutes gonflées, son parfum poivré me chaviraient les sens. Je la léchai et la suçai jusqu'à ce qu'elle jouisse en gémissant. Puis je me relevai et mis sa culotte dans mon sac.

« Que fais-tu? Rends-la-moi, s'il te plait! »

« Pas question! J'ai envie de te sentir toute offerte. D'ailleurs moi aussi, j'ôte la mienne. »

Je troussai ma robe et ôtai ma culotte que je lui tendis. Elle la prit et la porta à ses narines :

« Hmm, moi aussi j'aime ton odeur. Viens, allons déjeuner, cela m'a donné faim. »

Nous retournâmes dans la salle de restaurant. Tandis que je finissais mon hors d'œuvre, j'eus envie de m'amuser. Je laissai tomber ma serviette et plongeai sous la table. Avant que Marianne ne réalise, j'avais écarté ses jambes et ma main caressait son entrecuisse, remontant lentement jusqu'à son pubis. Puis je caressai ses lèvres intimes encore humides. Elle se raidit, puis ouvrit davantage les cuisses. Je la doigtai quelques secondes, puis me rassis à ma place. A son regard trouble, je vis qu'elle avait apprécié :

« Alors, tu vois que c'est bien mieux de ne pas porter de culotte! »

« Oui, c'est vrai! J'ai très envie de te faire subir le même traitement! »

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