L'été de mes 18 ans 19

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Entre Marianne et Joséphine.
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Récit n'a pas de balises

Partie 19 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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« Ben, je t'en prie, ne te gêne pas! »

A son tour, elle plongea sous la table. J'écartai largement les jambes pour lui faciliter l'accès. Je sentis ses doigts sur mes cuisses puis sur mon minou et je m'abandonnai en frémissant. Elle me caressa un moment, me faisant mouiller et soupirer. Puis elle reprit sa place. Elle eut un sourire mutin en voyant mon trouble dans mes yeux. Nous finîmes notre repas et, toutes les deux bien excitées, nous sortîmes du restaurant. Nous décidâmes d'aller au parc Montsouris en bus. Il arriva bientôt. Il était à moitié plein. Nous nous assîmes à l'arrière, là où il y avait le moins de monde. Nous nous mîmes à nous bécoter tendrement. Puis ma main se posa sur sa cuisse et remonta, entrainant le tissu. Marianne frémit mais se laissa faire. Je me mis à lui caresser le mont de vénus, puis à jouer avec ses grandes lèvres humides. Je m'aperçus tout à coup que quelqu'un nous regardait. Il s'agissait d'une brune très mince aux cheveux courts qui était assise à notre hauteur de l'autre côté de l'allée centrale. Je voyais qu'elle ne perdait pas une miette du spectacle. Je continuai à caresser Marianne, la doigtai puis je portai mes doigts trempés à ma bouche et les suçai en regardant l'inconnue dans les yeux. Elle eut un sourire, puis tira un carnet de sa poche et griffonna quelques mots. Pendant ce temps, Marianne soupirait de plus en plus et remuait le bassin. Elle finit par jouir avec un petit cri qui ne passa pas inaperçu de notre voisine. Peu de temps après nous descendîmes. L'inconnue me glissa quelque chose dans la poche latérale de mon sac à mains lorsque je passai à sa hauteur.

Nous entrâmes dans le par cet nous assîmes bientôt sur un banc dans une allée tranquille. Marianne était décidée à prendre sa revanche. Nous reprîmes nos bécots et je sentis ses doigts qui déboutonnaient les boutons en bas de ma robe. Bientôt celle-ci s'ouvrit jusqu'à mon nombril. Marianne m'empêcha de me reboutonner et se mit à caresser mon sexe dénudé. La douceur de ses caresses et la crainte d'être surprise m'excitaient terriblement. Elle dût s'interrompre deux fois et rabattre ma robe car il y avait des gens qui approchaient : d'abord une vieille dame, puis une jeune maman avec son landau. Dès qu'elles eurent passé notre banc ; Marianne reprit ses caresses diaboliques. Je ne tardais pas à jouir en gémissant et en donnant des coups de cul. En jetant un œil, je vis que le banc était trempé de ma mouille. Marianne avait un rendez-vous professionnel et je la quittai. Dès que je fus seule, je jetai un œil dans la poche de mon sac. Je dépliai le papier :

« RDV au café « Les vieux amis » à 18h. J'ai horreur d'attendre. Joséphine »

Un petit plan indiquait la station de métro la plus proche. J'avais juste le temps de m'y rendre. A peine arrivée au café, je repérai Joséphine assise sur un tabouret de bar. Elle portait un jeans moulant et un petit pull en coton. En l'observant, je constatai que le bas de son corps était très féminin -- Elle avait une jolie croupe rebondie -- par contre, elle avait apparemment très peu de poitrine. Je la trouvais très séduisante, avec un magnétisme animal. Je m'approchai et nous fîmes connaissance devant un Campari. Le garçon avait déposé devant nous une soucoupe avec des petits gâteaux apéritifs : il s'agissait de petits cylindres au sésame. Joséphine en goûta un et me murmura :

« Un peu fade! il manque quelque chose... »

Profitant que nous étions seules assises au bar -- les autres clients étaient assis dans notre dos - elle déboutonna deux boutons de ma robe puis glissa le gâteau entre mes cuisses et se mit à frotter mon sexe avec. Je frémis. Puis elle le porta à son nez, puis mordit dedans.

« Ah oui, c'est bien meilleur comme ça! »

Elle recommença plusieurs fois son manège et bien entendu, les biscuits étaient de plus en plus imbibés! Puis elle me prit la main et m'entraina. Juste à la sortie du café, elle ouvrit une porte dévoilant un escalier très raide. Elle me poussa en me faisant signe de grimper. J'obéis. Très vite, je sentis ses mains sur ma croupe. Je butai sur une porte et m'arrêtai. Elle en profita pour écarter mes fesses de ses mains et pour me mettre quelques coups de langue dans mon sillon. Puis elle ouvrit la porte et me poussa à l'intérieur.

« Retire ta robe! »

J'obéis sans hésiter. Elle fit passer son pull par-dessus sa tête. Comme je l'avais deviné, elle n'avait pas de seins du tout, mais néanmoins sur des aréoles assez petites de gros tétons très excitants. Puis elle déboutonna son jeans et l'ôta. Elle n'avait rien dessous. J'avais sous les yeux un spectacle ravissant : un petit triangle de poils noirs et des grandes lèvres vermillon proéminentes. Nous nous embrassâmes à bouche que veux-tu. Puis elle m'entraina dans sa chambre, ouvrit les tiroirs d'une commode et me dit :

« Regarde! Que penses-tu de ma collection? »

Je découvris plusieurs dizaines de sex toys de toutes formes et de toutes tailles. Elle saisit d'abord un phallus très long et souple en me disant :

« Viens, essayons celui-ci, il est pour nous deux! »

Elle m'allongea sur le canapé, écarta mes cuisses, me lécha un moment avec des hum de satisfaction, puis elle glissa le godemiché dans mon sexe trempé, l'enfilant d'un bon tiers. Elle s'allongea ensuite face à moi en mettant ses jambes ouvertes par-dessus les miennes. Elle glissa l'autre bout de l'engin dans son minou et se rapprocha. Je vis son sexe s'approcher du mien, le toucher. Je gémis. Elle se mit à aller et venir. A chaque fois, lorsque ses grandes lèvres se collaient aux miennes, je poussai un gémissement. Nous continuâmes un moment, j'étais au bord de l'orgasme.

Puis elle se releva et retourna à la commode. Elle revint avec une ceinture et un phallus assez gros accroché dessus. Elle me fit lever, puis me força à me mettre à quatre pattes sur la moquette. Elle se plaça derrière moi et commença par me fesser vigoureusement le postérieur. Je poussai de petits cris, mais en fait j'étais ravie. Lorsque j'eus les fesses cramoisies, elle s'interrompit et je sentis le phallus en latex sur mes fesses. Elle le fit glisser dans mon sillon, se rapprochant bientôt de ma vulve trempée. Puis elle l'introduisit dans mon minou et poussa un grand coup. Je gémis. Elle se mit à aller et venir brutalement, m'arrachant des cris. Bientôt pourtant, je tendis les fesses pour lui permettre de me prendre encore plus loin. Je sentis alors son doigt mouillé sur ma rosette qu'elle se mit à agacer. Puis elle me pénétra, d'abord d'un doigt, puis de deux. Puis elle les retira et j'entendis un ronronnement léger. Je sentis alors des vibrations sur mon anus dilaté qui me firent gémir de plus belle. La sensation était fabuleuse, surtout lorsqu'elle fit entrer le cylindre dans mes fesses.

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