L'esclave Mystère Ch. 07

Informations sur Récit
Peter se prepare pour une métamorphose.
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Partie 7 de la série de 12 pièces

Actualisé 03/06/2024
Créé 07/26/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Les légères interférences avec « Un Centre pour Roux » n'impliquent pas d'avoir lu l'autre histoire. L'univer est commun et certains personnages peuvent se rencontrer, ou se croiser.

Ceci est le chapitre 7. Il y a un petit résumé en début d'histoire.

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Métamorphose

Attaché nu sur la table d'opération, je cherchais à cacher mon inquiétude. Pour autant mon angoisse ne faisait que monter depuis la veille, depuis que je savais que j'allais être opéré, sans savoir ce que j'allais subir. Seuls les esclaves judiciaires condamnés à plus de 10 ans peuvent être définitivement modifiés par leurs propriétaires.

Les esclaves, je connais. J'ai de l'expérience en tant que manipulateur d'esclaves au sein du plus grand marché aux esclaves d'Atlanta. J'étais curieux de savoir ce que ressentaient les esclaves, et pour m'éviter de le devenir on m'a proposé de changer de poste. Mais avant, je devais devenir esclave Mystère. C'est comme ça que j'ai passé une journée dans le marché à observer comment mes collègues traitaient les esclaves. Mais en fin de journée, il y a eu une incompréhension. Je suis parti par les transports en commun alors que mon dossier n'avait pas été fermé. Dans le métro j'ai été pris pour un esclave en fuite. Au commissariat de police je ne me suis pas laissé enculer par d'autres détenus, et j'ai subi une correction, avant de passer en jugement. Là, le directeur du marché ne m'a pas soutenu, et j'ai écopé de 20 ans d'esclavage. Retour immédiat au marché, et marquage au fer rouge d'une pêche comme tous les esclaves judiciaires. Puis j'ai été réévalué une seconde fois et vendu. Un second marquage, celui du SCCM cette fois, a été appliqué, puis ma Maitresse est venue me chercher pour reconduire chez elle. Elle m'a conduit une première fois à l'ESCARE, puis a reçu un homme chez elle avant de me reconduire une seconde fois dans cette clinique pour esclave, où mon opération est imminente.

-Je pique ici, et vous allez voir, votre esclave va s'endormir » expliqua l'anesthésiste à ma maitresse. C'est mon dernier souvenir.

Quand je me réveillais, la douleur me marquais, et j'avais l'esprit embrumé.

-Alors cette petite salope se réveille enfin? Ce n'est pas trop tôt. Je vais te remettre une dose ma chérie » me dit un visage inconnu. Cette personne ouvrit un robinet au-dessus de moi et rapidement je m'endormais à nouveau.

La seconde fois, j'étais dans une chambre à six personnes, et Debbie était à côté de moi.

-C'est fini, maintenant tu dois juste te reposer. Tout s'est bien passé. » me dit-elle. Mais sans me dire ce que c'était que « tout ». C'est Debbie qui actionna le robinet qui me replongea dans un sommeil angoissant.

La troisième fois, je retrouvais le visage inconnu.

-Ta Maîtresse arrive bientôt. Tu dois avoir faim. Je vais te rechercher du Grit » me dit-elle.

Petit à petit je replaçais les choses, et je me souvenais de l'ESCARE, et que j'étais esclave. J'essayais alors de localiser mes douleurs. Un chose était sûr, il y avait mon visage, et mon nez au minimum. D'ailleurs j'avais des pensements là. Le reste était plus diffus. Je me souvenais de la référence faite à ma cage qui me serait retirée, mais mes mains étaient attachées. Je ne pouvais pas regarder.

L'angoisse de savoir restait tenance, mais mélangée à la peur de découvrir ce que j'étais maintenant. J'avais vu des esclaves transformés en chats, ou en chien. En général ils ne pouvaient pas parler. Je frottais mes doigts : j'en avait encore une dizaine environ. Ça ne devait pas être mon cas.

-Et bien ma chérie, comment te sens-tu? » me demanda Debbie en arrivant.

-Je... Maîtresse » dis-je d'une voix douloureuse, rauque et aigüe.

-Ta voix va s'éclaircir avec le temps ma chérie, tu vas voir. » me dit-elle.

-On t'a refait le visage » dit-elle en passant sa main autour de mon visage.

J'étais horrifié, même si je dois bien reconnaitre que je m'attendais à quelque chose comme ça. J'avais été féminisé. Restait à savoir jusqu'à quel point.

-Oh, et on ta retiré ta cage , » me dit-elle. En soulevant le drap, lentement pour contenir le suspense. Ou peut-être pour que je découvre les autres modifications...

Je me souvenais de sa déclaration de la veille... enfin la veille du jour mon opération, comme quoi jamais plus je ne pourrais... ma peur monta au rythme où elle levait le drap. Mais avant mon pénis, ce qui me frappa c'était ma poitrine bandée : j'avais des seins! Je regardais Debbie qui me sourit, mais continua à relever le drap pour que je vois ce qui m'avais été fait encore. J'étais épilé, mais ça, ça avait été fait au marché la veille de ma vente. Finalement, je vis mon pénis. Il n'était plus dans la cage : j'avais été libéré. Mais mon sort était-il plus enviable? Mon pénis était pris dans un clitorimorphe! Par ailleurs le bandage en dessous de mon pénis était aussi une indication.

-Je devine que tu sais ce que c'est » me demanda Debbie.

-C'est un clitorimorphe? »

-Oui, d'un faible diamètre il ne permet pas à la verge de se gorger de sang et donc plus d'érections. Mais il entoure le gland et y retient le sang. C'est-à-dire que ton gland peut durcir, comme un clitoris. » rit-elle.

-Mais déjà il faut que tu ais l'excitation correspondante. Comme tu as été castré, sera, au mieux long. » s'amusa-t-elle en me regardant alors que des larmes coulaient sur mes joues.

-Ne t'inquiète pas, ce n'est que le début. Avec les distributeurs d'hormones, tu verras comme tes émotions vont te submerger. » ajouta-t-elle, apparemment elle était ravie.

-Je te laisse y réfléchir et te préparer à ta nouvelle vie » me dit-elle en sortant. Puis, elle fit demi-tour, et me regarda. « On ne va pas pouvoir garder Peter comme prénom? Que penses-tu de Prue? » me lança-t-elle au travers de la chambrée.

-Oui, Maitresse » tentais-je de dire, en état de choc. Je savais aussi que ce genre de question posée à un esclave était purement rhétorique. La seule réponse admissible était « Oui, Maîtresse »

Debbie est partie, et moi, je suis resté sur le lit, les mains attachées. De toute manière tenter de fuir n'aurait-t-il pas été encore pire? En fait, je fus repris d'une crise de larmes.

-ça va Prue? » me demanda une infirmière pour me réveiller.

-Je... je crois » dis-je. Avant de réagir « j'ai besoin d'aller aux toilettes, Madame » m'écriais-je.

-voila » me dit l'infirmière en me présentant un bassin. Elle me fit surélever mes fesses pour qu'elle puisse le glisser dessous. Mon pénis dont l'extrémité était alourdie par le clitorimophe glissa entre mes cuisses, et je me relâchais, remplissant le bassin.

-ça se retire? » demandais-je, sans même remarquer l'absurdité de ma question.

-Ben non. Le clitorimorphe est collé à la peau. Il tient au moins 5 ans. Pour le retirer le plus simple c'est de tout couper, ma salope » me dit l'infirmière. Elle posa sa main sur mon membre. Je senti mon excitation monter et alors que dans la cage je sentais la pression monter, et mon sexe se caler contre la cage, là, il semblait ne pas se passer grand-chose, mais en même temps si. Elle ouvrit la main et me montra mon sexe, la hampe flasque, mais le gland gonflé.

-Je suis sûre que tu as envie de le toucher, tu verrais comme c'est sensible » dit-elle en passant un doigt.

-Mais tu vas rester avec les mains attachées. Il faut plusieurs heures pour que ça dégonfle. » ajouta-t-elle.

Après son départ, je me suis rendormi, je pense jusqu'au lendemain. Là, ce sont deux infirmières qui sont arrivées. Elles se sont mises de part et d'autre du lit qui était à ma gauche. Elles aidèrent la personne qui était dedans à en sortir, et il semblait avoir du mal. Il poussa des petits cris qui ressemblaient à des miaulements. Elles le posèrent au sol. Sa fesse arborait la pèche des esclaves judiciaires de Géorgie. Ses mouvements étaient curieux. Après qu'il eût fait quelques pas en suivant la laisse que tenait une des deux infirmières, je compris que ses membres avaient été amputés : il était devenu un chat! Dans sa démarche je vis ses boules et son pénis libres. Il revint quelques minutes plus tard et se mit comme il put sur un coussin.

Chacune se plaça d'un côté de mon lit. Elles défirent les liens qui retenaient mes mains pour les attacher à mon collier. Elles m'aidèrent à me lever, puis me guidant par une laisse, elles me conduisirent aux toilettes où je dus m'assoir pour vider ma vessie, avant de revenir pour m'installer nu dans le fauteuil qui était à coté de mon lit.

Elles passèrent au lit suivant. L'esclave qui y était avait des pensements à l'entre jambe, et, au tuyau qui en ressortait, je suppose que lui avait subi une pénectomie et une castration. Il était maintenant un eunuque.

Dans les lits en face, il y avait une esclave qui avait subi une augmentation mammaire déraisonnable, et un autre esclave féminisé comme moi. Lui avait une minuscule cage de chasteté et avait dû subir l'ablation de deux côtes à voir ses pansements. Le dernier lit était vide.

C'est dur à dire, mais je me sentais moins mal servi par le sort, et finalement j'étais même soulagé.

Nous eûmes nos rations de Grit, pendant que les aides-soignantes refaisaient les lits.

Manger avec les mains attachées à son collier, était loin d'être évident. Manger du grit, qui a la consistance du sperme, au petit déjeuné était juste un standard de l'esclavage Géorgien auquel je ne m'étais pas encore fait. Sans doute par la faute de ma maitresse qui ne m'imposait pas cette nourriture.

Ayant refais les lits, nous fumes conduits, un à un à la douche, puis remis au lit, les mains attachées comme avant l'arrivée des infirmières.

Debbie arriva vers midi, fraiche et de bonne humeur.

-Alors Prue, si le chirurgien est d'accord, nous rentrons à la maison ce soir. » me dit-elle.

Et effectivement le chirurgien nous donna son feu vert.

-Par contre, on va lui faire porter un soutien-gorge post-opératoire. » Autant dire une armure faite d'acier empaqueté dans du coton blanc.

Je devais avoir l'air curieux, à me déplacer dans le parking pieds nus, avec mon clitorimorphe et mon soutien-gorge.

-Prue, j'ai fait des achats pour toi! » me dit Debbie une fois arrivés chez elle. J'étais curieux, mais aussi un peu anxieux.

-Je n'ai pas pris de soutien-gorge car je ne savais pas quelle taille prendre. Par contre j'ai des strings, des tangas! me dit-elle encore en reversant un sac sur une table basse. « Essaie » ajouta-t-elle.

Je senti mes joues chauffer. Je pris un des sous-vêtements et l'enfilais. Mon sexe faisait un peu de volume dans un espace qui n'était manifestement pas fait pour. Mais la situation aurait sans doute été pire avant ma castration.

-C'est pas mal, glisse ton clito entre tes jambes. » me dit-elle. J'étais mal à l'aise : je me sentais ridicule, mais ma Maîtresse semblait satisfaite. Dans un premier temps c'était déjà ça.

-Passe un string, et tourne sur toi-même » me dit-elle. Je fis comme indiqué.

-Oui, très très bien. » dit-elle.

-Juste... Tes mouvements, il faut qu'ils soient plus féminins. » ajouta-t-elle.

Je me mis à tourner en faisant des pointes.

-Non, là c'est trop » lâcha-t-elle en se levant, manifestement pas contente.

-Passe en un autre. Je suis contente du résultat. J'ai aussi pris des jupes, et des tee-shirts. » Je passais les différents sous-vêtements, puis les tee-shirts.

-les tee-shirts sont un peu grands, non, Maitresse? » Osais-je.

-Non, ils doivent te servir de chemise de nuit » répondit-elle.

-Mais... un esclave ne doit-il pas rester nu? » demandais-je pas tout à fait sûr de pouvoir m'exprimer librement.

-Pas les esclaves féminisés. » rit-elle.

-aller, tu vas essayer des bas. » ajouta-t-elle.

En fait le matériau tout doux était plutôt agréable, et je commençais à m'amuser. Je fis glisser le bas sur ma jambe pliée.

-Oui, oui, c'est bien ça! » dit-elle excité. Cela m'encourageait, et je remis un tanga avec une jupe un peu plus longue que les autres, et je mis un tee-shirt un peu court.

-C'est bien comme ça, non, Maitresse? » demandais-je, en prenant un peu d'assurance.

-Oui. C'est ce que tu mettras demain pour aller faire des courses! »

J'avoue que j'étais nerveux habillée en femme dans la voiture. Et quand nous sommes descendus, j'angoissais à ma réaction face au système de détection des esclaves qu'il y avait à l'entrée de tout centre commercial. J'avais encore un souvenir cuisant de celui du métro.

-Alors, on va tester ça... deux heures ça va suffire? » me dit-elle en manipulant son portable et l'application « Slave Free Way » qui permet de désactiver la surveillance des esclaves.

-Euh... Vous n'avez pas peur que je m'enfuie, Maîtresse? » demandais-je, en me doutant que je provoquais un peu, mais ma Maîtresse avait l'air de ne pas détester.

-Que ferais-tu une fois les deux heures écoulées. J'ai dans l'idée qu'après avoir été arrêté comme esclave en fuite, tu n'as pas envie de recommencer » me dit-elle avec un sourire en coin. IL est vrai que dans mon cas ça serait de la récidive.

Effectivement, je savais que fuir n'étais pas une solution. L'application était efficace, nous entrâmes dans le centre commercial sans difficultés. Elle me conduit dans un magasin de chaussures.

-Avec des talons, ta démarche va s'améliorer. » me dit-elle. Ma facilité à marcher, elle se détériora immédiatement.

-Maintenant on va voir des hauts. » m'expliqua-t-elle.

-Et des soutiens-gorges, Maitresse » demandais-je par curiosité et pour montrer ma bonne volonté. Je n'étais pas réellement fan, mais au point où j'en était jouer le jeu était la seule solution.

-Oh non, pas tout de suite. Il faut attendre que les distributeurs d'hormones que je t'ai fait poser aient fait leur effet. Ta poitrine va grossir encore » m'expliqua-t-elle.

Je marquais une pause.

-Tu devrais me remercier, j'investi en toi. » me dit-elle.

-Pardon, Maitresse » dis-je de cette voix féminine qui m'agaçait.

Nous avions des paquets. Debbie ne semblait pas vouloir partir.

-Je voulais encore venir ici me » dit-elle, devant une boutique de tatouages et de piercings.

-Je voudrais lui faire tatouer ces symboles sur la poitrine à gauche et en haut des fesse » demanda Debbie en présentant un papier avec un D et S en cursives entremêlées.

Là je réalisais qu'effectivement Debbie investissait. Après il allait falloir que cet investissement rapporte. J'avais l'estomac noué en pensant à mon futur.

Le tatoueur fit un joli travail juste au coin de l'aine à la naissance de mon sein gauche. J'étais officiellement la première des Debbie's Slaves, même si je devais me forcer pour utiliser le féminin à propos de moi. Pour autant c'était de rigueur mainteant.

Oh et un piercing aussi? » dit-elle

-Maitresse? » protestais-je.

-Tu protestes, mais je suis sûre que c'est une bonne idée, tu me remercieras ensuite. »

-Quoi comme piercing, Madame? » demanda la tatoueur.

-Un anneau entre ses cuisses, pour qu'elle puisse y attacher son pénis. » le tatoueurs me regarda, puis me fit me déculotter dans le magasin.

Se promener en fille était déjà difficile, devoir me mettre nu, avouer ma castration et mon clitorimorphe, c'était atroce.

Le tatoueur devait en avoir vu d'autres car il ne réagit pas spécialement. Il plaça le piercing sur mon périnée après avoir évalué la position idéale.

-Il faut que ça cicatrise avant de l'utiliser » fut la seule instruction qu'il donna.

Les deux heures ne s'était tout fait écoulées. Sortir du centre commercial ne déclencha aucune alarme de sécurité.

-On va rentrer à la maison. Pour le maquillage on va attendre que tes pansements soient retirés. » me dit Debbie.

Je repensais à mon futur. Heureusement j'avais un peu de temps pour passer de Peter à Prue : le temps de la cicatrisation.

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