L'esclave Mystère Ch. 06

Informations sur Récit
Peter découvre sa propriétaire.
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2

Partie 6 de la série de 12 pièces

Actualisé 03/06/2024
Créé 07/26/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Les légères interférences avec « Un Centre pour Roux » n'impliquent pas d'avoir lu l'autre histoire. L'univer est commun et certains personnages peuvent se rencontrer, ou se croiser.

Ceci est le chapitre 6. Il y a un petit résumé en début d'histoire.

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-Peter, je voudrais te présenter Debbie O'Brian, ta nouvelle propriétaire. » me dit Ryan alors que la glace de ma nouvelle brûlure venait d'être été remplacée par un pansement. Comme l'avait ordonné le juge William Phelps, j'avais été vendu avant midi.

-Merci Monsieur, Merci Maitresse » dis-je un peu mal à l'aise.

-Ryan m'a raconté ton histoire, et voulait te racheter, ou te louer. Mais j'ai d'autres projets pour toi. » dit-elle en attrapant ma laisse.

-Je suis désolé, je n'avais voulu que ça se passe comme ça, Peter » dit Ryan.

-Moi, encore moins monsieur » dis-je tout en étant conscient de l'impertinence de ma réponse pour un esclave.

-Mais aussi, quelle idée de prendre les transports en commun! » s'exclama Ryan en haussant les épaules.

Puis d'un pas décidé ma Maîtresse traversa le bas du SCCM pour m'emmener vers sa voiture.

-Tu préfères le coffre, ou assis devant avec moi. » me dit-elle. J'étais ambivalent. Les maîtres testent souvent leurs esclaves, et dans ce cas-là le coffre était la bonne réponse.

-C'est à ma maitresse de décider. Si elle souhaite m'expliquer ses projets la place devant sera plus commode » dis-je.

-Tu es un malin toi, » me dit-elle. Et elle ouvrit la portière, et m'aida à m'assoir, je réalisais alors dans quel piège je venais de tomber. Si cela vous arrive, choisissez le coffre quand on vous a fait une marque sur chaque fesse, que vous avez été sodomisé, et marqué de coups de canne!

En effet ces derniers jours avaient été mouvementés. Ryan Crawford, le directeur du SCCM, le marché aux esclaves dans lequel j'étais manipulateur d'esclaves avait su que je me posais des questions sur ce que ressentent les esclaves au cours de leur parcours chez nous. Il jugeait cela dangereux. D'autres manipulateurs avant moi s'étaient laissés enfermés, ou même étaient devenus esclaves. Ryan me proposa donc une mutation au marketing afin que je sois moins proche du cheptel. Mais avant, il souhaitait que je sois un 'esclave mystère'. Je devais passer une journée comme un esclave jusqu'à la vente. C'est ce qui s'est passé. Mais le soir au moment de me libérer Ryan n'a pas voulu prendre le temps de suivre la procédure, et dans les transports en commun, sur le chemin de mon domicile, ma puce RFID m'a fait identifier comme un esclave en fuite. Dans l'hôtel de police, je ne me suis pas laissé violer, et la police m'a puni de coups de cannes. Le juge était choqué de notre démarche : il semblait penser qu'elle ridiculisait l'esclavage, et pour se protéger Ryan dit que je m'étais enfuit. C'est donc moi qui ai été condamné. Je suis donc repassé au SCCM, mais cette fois-ci comme esclave judiciaire. Une marque au fer rouge en forme de pêche à été appliqué sur une de mes fesses. Puis après ma vente, ma nouvelle maitresse a voulu que je porte la marque du SCCM, une cannette de soda, sur l'autre fesse.

-Etre malin, pour un esclave n'apporte que des douleurs » me dit ma Maitresse.

-Oui, Maitresse » dis-je.

-Il faut que tu sois obéissant. Comme quand tu as été marqué au fer rouge. Je t'ai trouvé très courageux à ce moment-là. On refera peut-être des marques comme ça. » dit-elle.

-Oh » me puis-je m'empêcher de dire.

-Tu n'es pas d'accord? »

-Je... C'est une modification permanente, maitresse » dis-je, un peu mal à l'aise.

-Qui sont interdites pour? »

-Pour... les périodes de servitudes judiciaires de moins de ... 10 ans, Maitresse » dis-je en réalisant mon erreur.

-Je fais ce que je veux » dit-elle en me regardant droit dans les yeux. Ses yeux brillaient.

-Oui, maitresse, » reconnu-je, vaincu.

-Je vais vouloir une marque en plus, mais ce sera un tatouage » me dit-elle, sur un ton plus doux.

-Oui, Maitresse » dis-je.

-Tu ne veux pas savoir quoi? »

-Bien sûr Maitresse » dis-je.

-Un D et S en lettres cursives entremêlées entre elles. Je voudrais ce logo en haut de la raie des fesses. » m'expliqua-t-elle.

-Ce ne sont pas vos initiales? Et pourquoi pas sur l'omoplate plutôt? » dis-je.

-Non, c'est le nom de la société que je vais créer : Debbies' Slaves. » détailla-t-elle. Je frissonnais, elle était en train de monter un service d'esclaves!

-Vous ne l'avez pas créée déjà? »

-Non, petit curieux. On est arrivés. » me dit-elle coupant toute discussion. Fiscalement elle était en train de faire une erreur, mais comment le lui expliquer! Debbie entra sa voiture dans son garage, et me fit monter dans son appartement. Je n'avais pas l'habitude d'être promené en laisse et nu, mais heureusement nous n'avons rencontré personne dans les couloirs de son immeuble.

-Entre, Peter » me dit-elle. J'étais content que notre relation prenne cet aspect plutôt sympathique. Elle entra après moi, et referma la porte. Et me regarda en se léchant les lèvres.

Elle retira sa veste, puis ouvrit son pantalon, et le baissa. Je la regardais sans comprendre. Mais elle continua en baissant sa culotte. Là je remarquais une marque sur sa fesse : ma maitresse avait été esclave! Elle s'installa sur un fauteuil.

-Premier test Peter : viens donc entre mes jambes! » m'ordonna-t-elle. Je pris conscience de la faible longueur de ma cage. Mais que faire d'autre que d'obéir? Je vins m'agenouiller entre ses cuisses.

-Humm, bien, on va voir ce que tu sais faire avec ta langue. Par que sinon, tu n'as pas l'air bien doté » se moqua-t-elle. Evidement elle fit mouche en m'humiliant. J'aurais pu lui dire que sans la cage se serait différent, mais ma langue était bien occupée déjà.

-Humm, c'est bien, mais n'attaque pas tout de suite par mon clitoris, mais n'arrête pas, pas tout de suite, » gémit-elle.

Après trois orgasmes. Ma langue était douloureuse, et mon visage couvert des sécrétions de Debbie.

-Tu va me faire à manger. Et tu te prépares du Grit! » me dit-elle une fois satisfaite. Je fis une grimace. Pendant un moment j'avais oublié cette nourriture pour esclave. Je réalisais que ma maitresse voulait sans doute se venger de ce qu'elle avait subi en tant qu'esclave. J'étais inquiet, mais j'avalais ma salive. Il me restait juste vingt ans moins une heure!

Debbie avait prévu un menu. Je n'avais plus qu'à réaliser ce qu'elle avait prévu. Il y avait aussi de la préparation pour Grit. Mon dieu que ce truc sentait mauvais!

Je n'avais pas fini, que ma Maîtresse entrait dans la cuisine.

-Il va falloir aller plus vite Peter. Sinon, je vais devoir sévir. » me dit-elle.

-Pardon, Maitresse, je ne sais pas très bien faire, je vais m'améliorer. » m'excusais-je.

-Tu as intérêt si tu ne veux pas que je fasse des quadrillages sur tes fesses. » Mécaniquement je serrais les fesses. J'avais déjà gouté à ça.

Quelques instants plus tard elle était assise à table, et moi a genoux à côté d'elle.

-Dis-moi, Peter. Pourquoi tu as cette cage. » me demanda Debbie.

-C'est mon collègue vétérinaire d'esclave qui a choisi la plus petite cage qu'il avait, Maitresse. »

-Mais, c'est lui a décidé que tu en porterais une? » insistât-elle.

-Non, c'est le directeur de SCCM. Il m'a condamné pour une erreur punissable Maitresse. »

-Tu m'agaces! Tu fais bien attention de dire Maitresse, mais tu me mène en bateau. » me dit-elle.

-En fait, je ne devais pas être vendu. Je n'ai rien fait. Je devais être un esclave Mystère et observer le SCCM de l'intérieur. Le directeur m'a accusé d'avoir laissé mourir une esclave, après avoir profité d'elle. Du coup je devais porter une cage. » expliquais-je.

-Humm... tu refuses de répondre, et tu mens... » me dit-elle furieuse.

-C'est pour cela que j'étais vendu pour 20 ans avec un prix de réserve. Pour ne pas être vendu. » tentais-je encore, sans Maîtresse cette fois.

-Je t'ai bien acheté, moi! »

-Oui. Le soir, j'ai été libéré. Et je suis rentré chez moi en transport en commun, mais ils n'avaient pas fait clôturé mon dossier. J'ai été pris pour un esclave en fuite. »

-C'est idiot d'avoir pris les transports en commun »

-Je pensais qu'il avait clos mon dossier, et que juste ils m'avaient laissé la cage et le collier. Euh pensais que je ne prendrais pas les transports en commun, et n'avait rien fait. »

-20 ans pour fuite? »

-parce que j'avais été mise en vente pour 20 ans »

-Ah, oui... » dit-elle pensive.

-Quand j'étais esclave je me suis toujours demandé si ces puces fonctionnaient! » dit Debbie.

-Beaucoup d'esclaves en fuite sont tracés par ces puces. C'est plutôt efficace. » dis-je.

-Comme punition, en tant que manipulateur, tu préférais quoi? »

-Euh, la canne est une valeur sûre et commode... » dis-je incertain de la direction de cet entretien.

-Et combien de coups pour un esclave qui oublie de dire Maitresse? »

-Un rappel à la règle, Maîtresse? » proposais-je.

-C'est une bonne idée... Va me chercher la règle qui est sur mon bureau, là-bas. » bien-elle en riant. J'aurais sans doute mieux fait de dire deux ou trois coups au total!

-Donne là moi, et tourne-moi le dos. Je vais te faire un rappel à la règle! » Puis elle me frappa les testicules avec la règle par cinq fois. J'essayais de ne pas crier. Mais quand elle me fit me retourner elle rit de me voir pleurer.

-Aller viens dans ma chambre, on va changer tes pensements » me dit-elle. Elle me fit allonger sur le dos, et explora mes fesses. L'extérieur d'abord avec les marques au fer de chaque côté.

-Il faut que ça cicatrise » fut tout ce qu'elle avait à dire.

Puis, elle explora l'intérieur. J'étais affreusement gêné, et je tentais de me sortir de cette situation.

-Je t'ai acheté, donc c'est à moi. Et figure-toi, que je pensais louer cet espace. Et ne me dit rien, j'ai été à ta place » me dit-elle, avant d'entreprendre de ma passer une crème apaisante sur les marques rouges de la correction du commissariat.

Ses caresses étaient délicieuses, et je regrettais qu'elles ne soient pas plus sexuelles.

-Tu m'a impressionnée quand tu as été marqué du sceau du SCCM, tu sais. Je me souviens, moi, je m'étais débattue. » se souvenait-elle.

Elle se leva, alla chercher quelque chose et me présenta ce que je pensais être une veste.

-Pour la nuit, je te fais porter une camisole » me dit-elle.

Que pouvais je faire, que d'enfiler la camisole? Ensuite Debbie regarda un film, en me demandant de caser ma tête entre ses cuisses à nouveau. Puis nous partageâmes son lit.

La camisole n'était pas inconfortable, elle rendait mes bras inutilisables. Comme de toute manière j'urinais assis, et que Debbie voulait que je n'utilise que ma langue, tout était parfais.

Pour me relever la nuit, ce fut un peu délicat, mais je parvins à rejoindre les toilettes, puis a retourner m'allonger. La vraie difficulté fut de trouver à m'endormir entre les douleurs causées par mes brulures, et l'excitation sexuelle intense à laquelle j'étais soumis. Ma Maitresse, elle dormait calmement nue à côté de moi.

Une question me tournait dans la tête : que voulait Debbie?

D'un côté j'avais l'impression qu'elle vouait un esclave avec le quel jouer pour se venger de ce qu'elle avait subi. D'un autre côté elle semblait vouloir me vendre comme objet sexuel. Pour autant, ces deux solutions semblaient s'entrechoquer dans son esprit. Mais pour la seconde solution, un seul esclave ne serait pas suffisant. Son appartement ne serait pas assez grand pour loger tous les esclaves nécessaires. De plus des filles rapportent plus que des hommes!

Mais ce n'est pas une bonne idée pour un esclave de faire part de ses doutes sur le modèle économique choisit par son maître. Pour autant, si Debbie se trouvait en cessation de paiement, elle serait venue comme esclave, et toutes ses possessions seraient venues également. J'étais une de ces possessions!

Au petit matin, Debbie me retira la camisole afin que je puisse préparer son petit déjeuner, ainsi que pour moi, du Grit. Après avoir mangé, Ma maitresse pris soin de mes fesses à nouveau. C'est donc avec des pensements neufs qu'elle me proposa de prendre place dans sa voiture.

Recroquevillé dans le coffre cette fois-ci, je ne pus voir notre destination, mais je n'étais pas assis sur mes blessures. Je sorti du coffre pour me retrouver dans le parking d'un immeuble. Je pensais à un centre commercial, mais qui m'était inconnu. C'est quand nous sommes arrivés à l'ascenseur que j'ai compris que nous étions au « Enslaved Servant Care Center » (Centre de soin pour les servants asservis -- ESCARE) Je m'arrêtais un instant, mais la laisse se tendit, et Debbie me regarda et tira sur la laisse avec un sourire en coin qui me montrant qu'elle appréciait la peur qu'elle générait en moi.

Quelques couloirs après nous arrivions « Transformation & Modification service ».

-Nous avons rendez-vous. O'Brian » dit simplement Debbie. Cela me rappelait qu'en tant qu'esclave j'avais aussi perdu mon nom.

-Le docteur va s'occuper de vous. La salle d'attente est à votre gauche. » dit la secrétaire-esclave.

Il y avait déjà des patients là. Un homme noir lisait le 'Atlanta Daily World' qui titrait sur la croissance du nombre d'afro-américains possesseurs d'esclaves en Géorgie. A côté de lui une jeune femme blonde était agenouillée. Elle ne portait qu'un collier dont la laisse était attachée au poignet de l'homme. Plus loin un homme lisait 'The Georgia Voice' dont la couverture titrait sur les moyens de financer sa transition de sexe par l'esclavage. Assise à côté de lui une femme habillée portait un collier dont la laisse pendait. Elle nous regarda inquiète. Je me demandais si elle était née femme. Debbie attrapa un vieil exemplaire d' 'Atlanta Magazine' et pris une chaise, m'indiquant de m'agenouiller à côté d'elle.

Je ne saurais dire combien de temps nous avons attendus. Mais finalement notre tour est venu.

-Allonges-toi sur la table ma salope » me dit le docteur.

-C'est une cage légale, elle ne figure pas sur son dossier au registre national? » demanda-t-il à Debbie.

-Il était Manipulateur d'esclave, et un de ses ancien collègue lui a joué un tour. On peut la retirer » dit Debbie. J'avoue que j'étais assez content de savoir qu'enfin j'allais être débarrassé de ça.

-OK. On fait des photos, et vous aurez un devis dans l'après-midi. J'ai une place qui s'est libéré demain. C'est pour ça que je vous propose d'aller vite. » dit-il.

-C'est inespéré » dit Debbie.

-Vous voulez que je lui retire sa cage, ou demain? »

-Demain ce sera parfait » répondit-elle pour mon désespoir.

Ils firent des photos détaillées de tout mon corps, et nous sommes repartis. Debbie au volant, et moi dans le coffre.

La question de ce qui m'attendait me brulait la langue, mais je savais qu'en tant qu'esclave je n'avais rien à dire.

On sonna à la porte.

-Max! je suis contente de te voir » s'exclama Debbie en ouvrant la porte. Un homme entra. A ce moment-là je réalisais que j'étais au service de ma Maitresse, mais aussi de ses amis. L'inquiétude monta en moi. Cela chassa l'ESCARE de mon esprit.

-Max, voici Peter, c'est un esclave que je viens d'acheter » dit-elle.

-Mais je croyais que tu détestais l'esclavage? » dit-elle en la prenant dans ses bras.

-J'ai travaillé en tant qu'esclave pour que d'autres s'enrichissaient, la roue tourne! » dit-elle en souriant. A l'entendre j'étais inquiet pour mon avenir. Debbie embrassa Max. Manifestement ces deux-là n'étaient pas gênées de ma présence.

-Debbie, tu ne lui demandes pas d'aller dans une autre pièce? » demanda Max au bout d'un moment

-Au contraire, Peter apporte nous des boissons. Tu veux quoi Max? » réagit-elle.

-Un whisky on the rocks. » rit Max. Je me levais pour aller préparer la demande

-Un Mojito pour moi » demanda Debbie.

-C'est une cage ridiculement petite! » s'exclama Max quand je fus debout.

-Tu vois, tu ne crains rien! » taquina Debbie. Les amoureux restèrent dans le salon pendant que je préparais les boissons. Quand je retournais dans le salon ils étaient nus et se caressaient l'un l'autre. Je dois dire que la scène était excitante. Elle l'était tellement que je débordais un peu la limite qui m'était permise.

-Peter, tu veux bien sucer Max » demanda Debbie avec son sourire en coin.

-Humm, oui... comme ça tu en profite un peu aussi, veinard » me dit Max alors que je m'agenouillais devant lui. Son sexe était imposant, même sans cage il aurait été plus membré que moi. Je le rpis entre mes mains. Je dois dire que la sensation du membre chaud, légèrement élastique était plaisante. Mon excitation trouvait une forme de libération alors que je suçais. »

-Voilà, c'est bien, ça va être ta place maintenant » dit Debbie en me caressant la tête. J'avais l'impression d'être son chien.

-Oui, attention à tes dents... » me dit Max, en appuyant légèrement sur ma tête, je compris le message, plutôt que lécher, je devais le prendre ne bouche. Je tremblais un peu. Je trouvais ça humiliant, rabaissant. Mais c'était aussi excitant, et en cage, que pouvais-je faire d'autre?

-Alors? » demanda Debbie.

-Oh oui, il est bien... il avale? » demanda-il.

-Justement on va voir! Et teste-le en gorge profonde! » dit-elle. Je sentais qu'elle se vengeait de ce qu'elle avait pu endurer. Max accéléra et on passa de 'Peter fait une fellation à Max' à 'Max baise la bouche de Peter'. Finalement le moment où il jouit fut un soulagement car enfin cela allait s'arrêter.

J'avais honte, mais j'avais bien aimé faire la fellation. A défaut du mien toucher un pénis avait été une bonne expérience, jusqu'à cette accélération! Le sperme n'est pas très agréable, mais finalement c'était le signe que c'était fini, et que j'allais pouvoir relâcher ma mâchoire pas tout à fait habituée à rester ouverte aussi largement.

-Lèche bien ce qui reste, mon esclave » dit Debbie qui me regardait faire avec une grande délectation. A tel point que je me demandais si elle n'avait pas fait venir Max juste pour m'humilier comme ça. Evidement je léchais sous son prépuce à la recherche des moindres traces de sperme, que pouvais faire d'autre que d'obéir. Dans ma cage mon pénis occupait tout l'espace disponible. Moi aussi j'aurais aimé un peu d'attention là.

-Tu aimes ça. Ne t'inquiète pas, tu va s en avoir » me glissa Debbie à l'oreille.

-Aller, continue, lèche-le, branles le, qu'il rebande » ordonna-t-elle. « Hummm, oh oui, » dit il en se laissant faire. J'utilisais ma bouche, mais aussi mes mains.

-Humm, viens me lécher maintenant, mais remercie-moi avant de m'occuper de ta formation de petite pute. » me dit-elle. Max rit en se masturbant.

-Maitresse merci de vous occuper de ma formation de pute » dis-je, avant de venir appliquer ma langue déjà fatiguée sur les lèvres intimes de Debbie. J'y découvrais une excitation intense trahie par l'intense lubrification des lieux.

-Il essaye de bander » me moqua Max en passant sa main sur ma cage puis sur mes boules. J'en gémis dans un mélange de plaisir et de frustration intense.

-Tu aimes, hein, laisse la place à Max, et guide son sexe dans le mien » fut l'ordre suivant. Max n'était pas encore vraiment en érection. Mais il l'était toujours plus que je ne pouvais l'être. Guider son sexe avait un côté machiavélique je trouvais. Cela me faisait me sentir encore plus eunuque. Ils gémirent de plaisir alors que l'un s'emboitait dans l'autre sous mes yeux. Je ne pu que les accompagner de frustration.

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