les vacances érotiques de Solange 02

BÊTA PUBLIQUE

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L'heure de la fermeture du magasin étant arrivée Monsieur Paul demanda à Madame la Gérante s'il était possible de fermer la porte à clé afin que je puisse faire mes emplettes dans l'intimité. Madame la Gérante ne se fit pas plus attendre et ferma bien volontiers et d'un air malicieux la porte à double tour. Monsieur Paul m'ordonna alors : « Ecarte les jambes au maximum Natacha, puis penche toi en avant comme si tu voulais toucher le sol avec ta tête. » En plus de mes bas opaques et de mes talons aiguilles, je ne portais qu'une robe très courte et des menottes qui me retenaient les mains dans le dos, j'hésitai donc à prendre la position exigée ne voulant pas dévoiler mes fesses ma chatte et mon anus à la vue de tous. Monsieur Paul mit rapidement fin à cet accès de pudeur fort mal venu en caressant les dites fesses à l'aide de la solide baguette en noisetier de Bollwiller avec sa délicatesse habituelle. Ce gentleman m'ayant aidée à surmonter mon accès de pudibonderie, j'écartai les jambes au maximum tout en me penchant fortement en avant. Pour compléter le tableau, Monsieur Paul poursuivit : « Trousse ta robe jusqu'au milieu de ton dos Natacha et explique à Madame la Gérante que tu as fait deux très mauvaises chutes dans les escaliers et qu'à chaque fois tu t'es sévèrement meurtri les reins. » Je remontai courageusement ma robe jusqu'au milieu de mon dos, maintenant mes reins, mes fesses et le reste étaient totalement dévoilés. J'expliquai alors à Madame la Gérante qu'en fin de matinée, après avoir effectué quelques exercices sportifs, j'avais raté une marche dans les escaliers et que je m'étais à cette occasion sérieusement meurtri les reins. Je lui confirmai ensuite que juste avant de venir j'avais de nouveau chuté lamentablement sur mes reins dans les escaliers. Madame la Gérante ne fut pas du tout surprise de ma maladresse et me conseilla : « À l'avenir Natacha, fais bien attention où tu mets les pieds. » Monsieur Paul à son tour me sermonna : « En effet Natacha, sois moins étourdie à l'avenir et remercie Madame la Gérante de ses précieux conseils. » Ne souhaitant pas particulièrement faire prochainement une nouvelle chute dans les escaliers je remerciai Madame la Gérante fort courtoisement.

Monsieur Paul poursuivit : « Reste immobile Natacha et demande à Madame la Gérante qu'elle me présente tes deux nouveaux jouets, ceux que tu as réservés cet après-midi. » Je demandai très poliment à Madame la Gérante de bien vouloir montrer à Monsieur Paul les deux paires de boules de geisha que j'avais réservées par téléphone. Madame la Gérante qui avait, comme j'avais pu le constater la semaine dernière, la langue bien pendue, se permit de décrire à Monsieur Paul tous les usages que l'on pouvait faire des boules de geisha et ceci avec les détails les plus croustillants. Monsieur Paul apprécia ces commentaires douteux pendant qu'elle ouvrait les deux paquets et lui présentait les objets en questions. Monsieur Paul prit une paire de boules de geisha en main et m'introduisit les deux boules dans le vagin en précisant : « De ce côté ci cela rentre tout seul, Natacha a en permanence cet orifice bien lubrifié. » J'étais rouge de honte et je m'attendais au pire avec ces deux lascars, il ne fut pas long à arriver. Monsieur Paul m'invita ensuite : « Suce légèrement ces deux boules Natacha, je vais te les fourrer dans le cul. » Après une lubrification rapide et sommaire des deux boules à l'aide de ma langue et de ma salive, Monsieur Paul passa rapidement de la parole au geste. Il eut cependant le temps de dire : « Mais ouvre donc ton trou du cul Natacha, il faut que je pousse comme un veau pour te les enfoncer! » Ne parvenant pas à ses fins, il sortit la première paire de boules de geisha de mon vagin et m'introduisit la seconde paire de boules dans le vagin pour bien les lubrifier comme il eut le tact de le faire remarquer à Madame la Gérante. Muni de cette deuxième paire de boules bien lubrifiées, il me les introduisit cette fois sans difficulté aucune au fond de l'anus, puis il remit en place la première paire de boules où vous pouvez le deviner. Après s'être essuyé les mains sur mes bas il conclut en gentleman ce petit essayage : « Je constate que ces deux paires de boules de geisha lui vont à ravir, je ne comprends pas qu'elle n'en ait pas fait l'acquisition plus tôt. »

Monsieur Paul remit à Madame la Gérante le prix de mes deux jouets soit dix-sept euros et soixante centimes puis il s'autorisa après le paiement la question suivante : « Seriez-vous d'humeur Madame la Gérante à accorder une petite ristourne à Natacha en échange d'un ou plusieurs petits services? Vous verrez, je vous le promets, vous ne serez pas déçue de la qualité de ses prestations. » Elle répondit dans la foulée: « Mais quels genre de petits services Natacha pourrait-elle bien me rendre? » Il continua à décrire ma palette de services : « Après avoir passé l'après-midi debout derrière votre comptoir, n'avez-vous pas les chevilles enflées et les pieds légèrement endoloris Madame la Gérante? » Elle confirma que c'était effectivement le cas. La suite arriva tout naturellement : « Et bien, pour une modique ristourne de un euro, Natacha peut vous masser délicieusement la plante des pieds avec sa langue puis vous sucer érotiquement les orteils et ceci jusqu'à ce que vous la suppliez de cesser ses adorables caresses, vous verrez ce sera un moment de détente inoubliable. » Elle ajouta : « Je serais bien tentée par ce petit service. » La description de mes services n'était pas terminée : « Pour une ristourne plus importante, à savoir deux euros, Natacha prendra grand soin de votre poitrine, elle vous léchera les seins et vous sucera les tétons aussi tendrement que personne ne vous l'a jamais fait et ceci tant que vous ne lui demanderez pas d'arrêter. » Elle nous informa que cette prestation était elle aussi bien tentante.

Enfin il l'informa : « Pour une ristourne certes indécente de trois euros, Natacha vous léchera les grandes lèvres, l'intérieur du vagin et vous sucera le clitoris, elle vous fera jouir et vous fera une toilette complète du sexe après avoir avalé toute votre merveilleuse cyprine. » Après cette description de mes petits services, Madame la Gérante désirait savoir si elle ne pouvait pas bénéficier de plusieurs de ces prestations toutes aussi tentantes les unes que les autres. Monsieur Paul l'informa que j'étais dans une période de grande générosité et que je me ferais un plaisir de lui offrir gracieusement la ou les prestations d'un tarif plus faible que la prestation choisie.

Dans ces conditions Madame la Gérante nous annonça : « Je vais donc faire une folie, je choisis donc d'accorder à Natacha une ristourne de trois euros. » Elle s'empressa d'établir une facture rectificative mentionnant une ristourne de trois euros pour 'cliente exceptionnelle' et de rendre trois euros à Monsieur Paul. Il lui demanda alors si elle disposait d'une chaise très confortable ou d'un fauteuil, elle lui répondit qu'il était possible qu'un tel objet se trouve au sous-sol dans la réserve. Ils gagnèrent tous deux le sous-sol, avant de me quitter Monsieur Paul me conseilla vivement de bien serrer les fesses et la chatte afin que mes jouets ne tombent pas sur le sol du magasin ce qui pourrait le tacher et engendre pour moi des conséquences fâcheuses. Les jambes largement écartées et toujours penchée exagérément en avant, je serrai les fesses et la chatte de plus belle, voulant éviter autant que possible de tacher le sol du magasin avec mes jouets et par la même occasion de recevoir une correction au cas particulier amplement méritée et qui serait selon les habitudes de Monsieur Paul assez salée. Quelques minutes plus tard, Monsieur Paul remonta sur les talons de Madame la Gérante, et certainement en tentant de se rincer l'œil, tout en portant un fauteuil qui n'était plus flambant neuf mais qui permettrait à Madame la Gérante de s'installer confortablement pour recevoir tout les bénéfices de mes petites prestations. Elle prit rapidement place dans le fauteuil après l'avoir sommairement dépoussiéré.

L'ordre tomba alors : « Prépare-toi à prodiguer avec ta langue des caresses agréables aux pieds et aux orteils de Madame la Gérante pendant qu'elle retire ses chaussures et ses chaussettes Natacha. » Je me couchai immédiatement sur le dos, la tête placée sous les pieds de Madame la Gérante et commençai à lui lécher délicieusement la plante des pieds dès que celle-ci eut retiré ses chaussures et ses chaussettes. Madame la Gérante appréciait pleinement mes divines caresses, n'en pouvant plus elle m'ordonna de lui sucer les orteils. Je me mis sans tarder à ma nouvelle tâche voyant Monsieur Paul manipuler la solide baguette en noisetier de Bollwiller. Profitant que je lui suçais les orteils, elle modifia ses intentions à mon égard, cette garce tentait maintenant en permanence de m'enfoncer l'un ou l'autre de ses pieds jusqu'au au fond de la gorge, elle prenait visiblement un malin plaisir à ce petit exercice. J'avais régulièrement des haut-le-cœur, pour ne pas vomir je cessais quelques secondes mes succions et reprenais ma respiration. Monsieur Paul pour me remettre au travail comme il disait me caressait la face avant des cuisses avec sa délicatesse et son outil habituels. En m'étouffant avec ses pieds, cette garce avait trouvé un moyen de distraire, si je puis dire, Monsieur Paul, ces deux là se connaissaient à peine mais s'entendaient déjà bien ensemble, trop bien à mon goût! Madame la Gérante finit heureusement par se lasser de ce petit divertissement qui avait duré trop longtemps à mon goût. Tout en restant assise dans le fauteuil elle retira la veste de son tailleur-pantalon, son chemisier et son soutien-gorge.

Ristourne importante puis indécente suivie du repas avec mes maîtres

Ne perdant pas de temps, et surtout pour éviter une raclée, je me roulai sur le côté sans l'aide de mes mains toujours menottées dans le dos et me redressai tant bien que mal avec toute l'aide apportée par mes talons aiguilles. Je me mis donc immédiatement au travail, je léchais tendrement les deux seins de Madame la Gérante qui semblait de son côté apprécier la qualité de ma nouvelle prestation. Après un certain temps consacré à ce petit exercice elle me fit comprendre que je devais maintenant m'occuper de ses tétons. Je léchais donc et suçais très délicatement ses tétons. Elle appréciait grandement ce petit service. Je me risquais de temps à autre à lui mordiller légèrement les tétons. Sa réaction me semblait positive. Prenant de l'assurance et afin de lui procurer des sensations plus fortes, je lui mordis un tétons avec nettement plus de vigueur. Sa réaction ne se fit pas attendre, elle le fit savoir ainsi à Monsieur Paul : « Cette chienne vient de me mordre sauvagement un téton faites quelque chose! »

Monsieur Paul vola immédiatement à son secours. À l'aide de quelques coups généreusement distribués à mes cuisses avec la solide baguette en noisetier de Bollwiller il parvint sans difficulté à me faire mette à genoux. Il ouvrit alors ma robe et la descendit suffisamment pour que mes deux épaules soient totalement dégagées. Il m'administra alors sur les deux épaules une terrible correction afin de bien me faire comprendre que je devais me contenter de lécher et sucer les tétons de Madame la Gérante. Celle-ci sembla être pleinement satisfaite de la raclée que je venais de recevoir, elle l'indiqua ainsi à Monsieur Paul : « Elle l'a bien méritée, elle a fait retomber mon excitation, pour la peine elle va recommencer à s'occuper de mes pieds. »

Je compris le message et me couchai donc immédiatement sur le dos, la tête sous les pieds de Madame la Gérante. Je lui léchai très tendrement la plante des pieds et lui suçai les orteils avec toute la délicatesse nécessaire. En effet avec la baguette en noisetier, Monsieur Paul m'avait bien fait comprendre que l'usage des mes dents m'était strictement interdit pendant mes prestations. Cette garce de gérante tenta de nouveau de m'étouffer en m'enfonçant l'un ou l'autre de ses pieds au fond de la gorge pendant que je lui suçais les orteils. Cependant je résistai à ses multiples tentatives d'étouffement, sans lui mordre les orteils, bien que l'envie ne m'en manquât pas! Mais la vision de Monsieur Paul tenant la terrible baguette en noisetier me mettait rapidement dans de meilleures dispositions vis-à-vis de Madame la Gérante. Après plusieurs tentatives destinées à m'étouffer, Madame la Gérante exigea de nouveau que je prenne soin de sa poitrine.

Je me contentai cette fois de la lécher divinement puis de me consacrer de mon mieux à ses adorables tétons qui gonflaient et durcissaient de plus en plus. Cette garce était maintenant bien chaude! N'en pouvant plus elle retira rapidement son pantalon et sa culotte déjà bien mouillée et m'ordonna : « Bouffe-moi la chatte Natacha! » Je ne me fis pas prier, m'agenouillai devant elle et entrepris dans la foulée de lui lécher divinement les grandes lèvres. Je me contentais de lui prodiguer mes caresses linguales à l'extérieur du vagin, afin de faire monter lentement son plaisir. Ne pouvant plus se retenir elle exigea : « Dévore-moi l'intérieur du vagin avec ta langue Natacha! » Je commençai cette nouvelle tâche, mais son odeur intime prononcée finit par me repousser, j'eus un haut-le-cœur et reculai afin de reprendre mon souffle. Mal m'en avait pris!

Madame la Gérante hurla alors : « Petite garce tu trouves que je pue de la moule! » Monsieur Paul reprit immédiatement la situation en main. J'étais déjà à genoux et ma robe était largement ouverte, il lui suffit de six coups de baguette bien appuyés sur mes épaules pour me remettre au travail. Madame la Gérante lui fit remarquer à cette occasion qu'il était d'une efficacité remarquable. Mes caresses linguales prodiguées si tendrement à l'intérieur du vagin de Madame la Gérante ne tardèrent pas à produire leur effet, Madame la Gérante gémissait de plus en plus fort, l'orgasme n'était plus très loin. Elle me demanda alors tout naturellement de lui mordiller légèrement le clitoris. Après ces deux raclées administrées à l'aide de la baguette en noisetier, je ne pris aucun risque et me contentai de lui mordiller très légèrement le clitoris. Elle eut un orgasme particulièrement violent et cria son plaisir sans retenue, au moins je ne me pris pas une raclée supplémentaire. Je terminai donc la prestation prévue en contrepartie de la ristourne certes indécente de trois euros en nettoyant dans les moindres détails l'intérieur du vagin de Madame la Gérante ainsi que l'extérieur de son sexe avec ma grosse langue de chienne affamée comme me le fit si tendrement remarquer Monsieur Paul, je m'abstins de tout commentaire, en effet celui-ci manipulait toujours la grosse baguette en noisetier de Bollwiller.

Monsieur Paul m'ordonna de me remettre debout, puis referma légèrement ma robe, en effet trois boutons étaient encore ouverts, mais je jugeai plus prudent de m'abstenir de le lui faire remarquer. Nous prîmes congé de Madame la Gérante qui ouvrit la porte afin que nous puissions sortir, avant de nous laisser partir elle fît savoir à Monsieur Paul qu'elle était disposée à m'accorder une nouvelle ristourne pour cliente exceptionnelle, si je souhaitais dans le futur faire l'acquisition d'un nouveau gadget érotique ou de tout autre article en vente dans son sex-shop. Monsieur Paul lui répondit qu'il n'était pas du tout impossible que j'aie besoin prochainement d'un nouvel article en vente dans sa charmante boutique et qu'il était sensible à l'accueil qui nous avait été réservé. Il fixa de nouveau la laisse à mon collier et me traîna rapidement jusqu'à la voiture, au moins ma poitrine grandement dévêtue n'eut pas le temps de refroidir par cette soirée bien fraîche. Je tiens aussi à préciser que tenue en laisse, menottée et la robe largement ouverte, je ne tenais pas spécialement à traîner dans la rue.

Quand nous fûmes de retour au domicile de Monsieur Paul et de Madame Irma, celle-ci prenait un bain. Monsieur Paul lui apprit en lui parlant à travers la porte de la salle de bains que le voisin m'avait bien délié la langue en me faisant un peu courir sur son tapis de course dans la cave, que j'avais accompli brillamment l'épreuve de l'achat d'une gamelle en inox dans mon supermarché habituel et que je m'étais même fait une ennemie d'une de mes voisines qui m'avait fait remarquer que je m'exhibais menottée au chariot et m'avait demandé si je commencerais à faire la tapin la semaine suivante. Enfin il lui apprit aussi que j'avais fait l'acquisition de deux paires de boules de geisha et qu'à l'aide de mes talents cachés j'avais pu obtenir une ristourne indécente de trois euros en rendant trois petits services à Madame la Gérante du sex-shop. Monsieur Paul m'autorisa à retirer les deux paires de boules de geisha de mes orifices intimes. Madame Irma me demanda ensuite de mettre la table pour deux personnes à la salle à manger, de servir le repas que j'avais préparé et m'autorisa à manger un peu de chacun des plats dans ma gamelle à quatre pattes à la salle à manger, mais dans son infinie bonté en utilisant une petite cuillère.

Pendant que je dressais la table celle-ci disposa à portée de sa main droite, la plus musclée, le battoir en bois, la canne en bambou et la cravache, au moins je savais que ce matin Monsieur Paul n'avait pas plaisanté quand il m'avait indiqué la nature du barème qu'utilisait Madame Irma pour faire prendre conscience aux soumises de la qualité relative de leurs différents plats. Je mangeai donc en même temps que mes maîtres, quel privilège, ma portion de tarte flambée, dans ma gamelle en inox, à quatre pattes mais avec une petite cuillère tout de même. Madame Irma me fit rapidement savoir que la tarte flambée était à son goût et que je ne serais pas battue du fait de la qualité de cette entrée. Elle me demanda même de monter sur la table de me mette à quatre pattes, de remonter ma robe pour qu'elle puisse me récompenser. Elle tenait en main sa cravache, je ne savais plus à quoi m'en tenir, plaisantait-elle? Allais-je être sérieusement cravachée pour la qualité médiocre de ma tarte flambée ou au contraire récompensée? Je me mis à quatre pattes, remontai ma robe le long de mon dos et n'en menais plus large!

Elle m'ordonna alors de sucer le manche de la cravache et de la laisser me l'introduire au fond de la gorge. Je la laissai faire n'osant pas protester, elle me l'enfonça dans la bouche et la gorge sur une quinzaine de centimètres, j'en avais des haut-le-cœur. Puis sans la moindre transition, estimant le manche de la cravache suffisamment lubrifié, elle la retira du fond de ma gorge et me l'enfonça d'un seul coup de quinze centimètres dans le cul! La douleur fut vive, je ne pus retenir un hurlement. Elle me remit à ma place sans me battre, simplement en criant : « Silence Natacha, je suis en train de te récompenser. » Je repris une contenance et préférai faire semblant d'apprécier sa récompense ; en effet c'était elle qui manipulait la cravache et je jugeai plus prudent de ne pas la décevoir à ce moment précis. Quand elle se lassa de m'accorder la juste récompense que je méritais, elle m'ordonna de servir le plat suivant.

Je revins donc avec les pavés de saumon et les petits légumes. Monsieur Paul m'ordonna après que j'eus servi mes maîtres de manger moi aussi un pavé de saumon et des petits légumes dans ma gamelle en inox. Tout en mangeant le saumon et les petits légumes, je me rendis compte que le saumon était pour le moins un peu sec et que les légumes étaient très peu assaisonnés, ceci ne présageait rien de bon pour la suite. Madame Irma me demanda alors si je m'étais foutu de sa gueule en laissant cuire le saumon trop longtemps et en oubliant d'assaisonner les légumes. Je n'osai même pas répondre, connaissant une personne qui allait, elle, être copieusement assaisonnée! L'ordre tomba : « Sur la table Natacha et retire ta robe! » Ne souhaitant pas augmenter la colère de Madame Irma, je retirai rapidement ma robe et pris la pose à quatre pattes sur la table de la salle à manger. Pendant mon strip-tease, Madame Irma prit le battoir en bois, je n'avais jamais goûté à cet instrument de punition, je sentais, je ne sais pour quelle raison que je n'allais pas tarder à connaître de nouvelles sensations!

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