les vacances érotiques de Solange 02

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deuxième partie : la deuxième épreuve.
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 03/30/2012
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Interrogatoire -- Petites emplettes

Nous étions un samedi fin mars, ce matin depuis dix heures j'étais sous les ordres de Monsieur Paul, l'époux de Madame Irma. Madame la Directrice de l'établissement de dressage 'à la bourgeoise tourmentée' avait chargé Madame Irma de me préparer pour la deuxième épreuve. Je me nommais Solange mais mon nom de soumise était Natacha. En effet pour pouvoir passer mes vacances 'à la bourgeoise tourmentée', je devais encore réussir la deuxième épreuve. Madame Irma travaillant ce samedi, Monsieur Paul en début de matinée avait contrôlé mes progrès réalisés depuis la nuit de mardi à mercredi en matière sportive.

J'avais lamentablement échoué lors de ce contrôle et Monsieur Paul avait fini par m'administrer une raclée amplement méritée à l'aide d'un battoir en cuir. Monsieur Paul avait signalé mon échec à Madame Irma qui lui avait ordonné de passer à mon interrogatoire. Le voisin de Monsieur Paul, un homme fort charmant et très serviable, venait de me préparer pour cet interrogatoire. La préparation avait été assez courte mais cependant très efficace. Quand le voisin de Monsieur Paul estima que j'étais disposée à réponde aux questions de mon 'cousin', il arrêta le tapis de course, décrocha tout son petit matériel et le remit dans son sac. Il me tira de nouveau par la laisse jusqu'à mon 'cousin', puis il ajouta avant de nous quitter : « Votre cousine devrait maintenant ne plus faire de difficulté, mais si elle n'est pas assez bavarde, contactez moi, après mon petit tour au marché je serai de nouveau disponible. » Monsieur Paul le remercia pour ce petit service. Nous étions maintenant tous les deux. J'ignorais encore la nature des questions que Madame Irma avait notées dans son agenda, mais je savais que j'y répondrais avec la plus grande précision, en effet je ne souhaitais pas faire un nouveau jogging avec le voisin, équipée d'un godemiché gonflable enfoncé au fond du cul, surtout après son passage au marché et l'achat de piment rouge.

J'appréhendais les questions qui n'allaient pas tarder à tomber. En effet j'étais entravée les bras croisés dans le dos, les poignets solidement attachés au dessus des coudes et je portais la tenue suivante : porte-jarretelles noir, bas à résilles noirs, talons aiguilles, bâillon-boule, collier en cuir solide, cagoule en spandex et cagoule en cuir sur le visage. J'étais aussi désorientée par la chaleur régnant sous les cagoules et fatiguée d'avoir couru plusieurs kilomètres dans cette tenue sur le tapis de course de Madame Irma avec pour coachs, le voisin et son godemiché gonflable. J'avais cependant eu beaucoup de chance comme me l'avait si tendrement fait remarquer le voisin, en effet quand Monsieur Paul l'avait appelé, il n'avait malencontreusement plus de piment rouge.

Monsieur Paul en véritable gentleman eut alors un geste fort réconfortant, il passa ses mains sous les cagoules et me retira non sans mal le bâillon-boule. En effet il prétendit que j'adorais tellement ce bâillon que je ne voulais pas le lâcher en ouvrant la gueule et il fut donc dans l'obligation de me claquer les seins pour que je consente à l'ouvrir suffisamment. Je considère de mon point de vue qu'il avait tout simplement trop serré le bâillon derrière ma nuque, mais il faut bien l'admettre, mon point de vue, tout le monde s'en battait comme de l'an quarante. Après le retrait du bâillon, vous n'avez pas idée de tout le bien que je pensais de lui. En effet si ma mémoire ou mon inattention due à mon état ne me jouait pas des tours, je pouvais espérer répondre correctement aux questions qui me seraient posées et éviter des désagréments non indispensables.

Autant que je m'en souvienne, le déroulement de l'interrogatoire fut le suivant. Monsieur Paul commença par me faire prendre une position adaptée à la situation : « À genoux morue. » L'ordre étant très clair j'obéis donc sans faire de difficulté. La première question qui figurait dans l'agenda de Madame Irma et que Monsieur Paul me posa fort courtoisement était : « Morue, où as-tu acheté ton martinet? » Je répondis sur un ton fort aimable : « Je l'ai acheté au supermarché ZZZZ de ma commune de résidence au rayon animalerie Monsieur Paul. » Il poursuivit : « Je vais composer le numéro de téléphone de ce supermarché et activer le haut-parleur et tu vas demander la taille et le prix d'une gamelle en inox adaptée aux repas d'une jeune chienne de soixante deux kilogrammes. » Connaissant mon poids je compris instantanément de quelle jeune chienne il parlait.

Bien que rouge de honte, mais le visage dissimulé sous les deux cagoules, je parvins à obtenir les informations souhaitées par Monsieur Paul. Je remerciai très poliment la personne qui m'avait donné ces renseignements précieux, en effet, elle m'avait par sa serviabilité évité un désagrément douloureux, j'en étais convaincue. La deuxième question, posée elle aussi aimablement fut : « Morue, où as-tu acheté ton godemiché? » Cette question était extrêmement indiscrète et embarrassante, j'hésitai quelques secondes, mais pensant à un futur (pas si lointain) jogging avec le voisin, je pris rapidement la bonne décision et répliquai d'un ton naturel : « Je l'ai acheté dans un sex-shop passage XXX de la commune de YYYY Monsieur Paul. » Il m'indiqua qu'il allait appeler ce sex-shop et que je devrais demander l'heure de fermeture du magasin ainsi que le prix des boules de geisha et en réserver deux paires que je viendrais prendre en fin de journée juste avant la fermeture du magasin.

J'en avais la nausée et je ne crois pas que j'aurais été capable de suivre ses instructions. Heureusement pour moi l'appel téléphonique aboutit à un répondeur donnant les périodes d'ouverture de magasin. Monsieur Paul se contenta de dire : « Nous appellerons plus tard, entre temps je ferai en sorte que tu puisses prendre tes repas soumise Natacha. » Cette remarque lancée d'un ton perfide me glaça le dos. Il ne perdit pas de temps et me détacha immédiatement les deux poignets. L'ordre tomba aussitôt d'un ton sans appel : « Retires les cagoules, mets ta robe noire ras la chatte et remplaces tes bas à résilles pas des bas noirs opaques soumise. » Mes bras complètement engourdis ne me permirent pas de m'exécuter avec la célérité souhaitée par Monsieur Paul. Quelques coups de chaussette remplie de sable bien appuyés et une remarque du type : « Tu traînes toujours autant morue. » m'aidèrent grandement à mettre une tenue plus décente afin que nous puissions nous rendre au supermarché de ma commune.

Il poursuivit : « Aboules tes cinquante euros plus vite que cela soumise! » Je gagnai en courant le garage, pris les cinquante euros, deux coupures de vingt et une de dix, d'argent de poche pour le week-end qui étaient dans mon sac à main et revins les donner sans tarder, toujours en courant à Monsieur Paul, en effet je voyais celui-ci pressé d'être en mesure de me faire prendre un repas. Quel gentleman ce Monsieur Paul, toujours très attentionné envers les soumises. Nous gagnâmes tous deux le garage, il me fit remarquer que j'étais maintenant une grande fille et que je pourrais de ce fait voyager à côté de lui à l'avant du véhicule. Je dois préciser que le véhicule de Madame Irma disposait de vitres traitées de telle sorte que de l'extérieur du véhicule nul ne pouvait nous voir. Je ne savais pas pourquoi, mais j'avais le sentiment que cela ne présageait rien de bon.

Une fois assise dans le véhicule, je mis en place ma ceinture de sécurité. Monsieur Paul me fixa sans tarder les menottes aux poignets, poignets que j'avais spontanément positionnés derrière mes reins, reins extrêmement douloureux suite à la raclée au battoir en cuir reçue en début de matinée. Il me disposa le plus naturellement du monde les deux cagoules sur le visage. Il faut dire que je commençais à maîtriser depuis ce matin le port de ces deux articles vestimentaires. Si j'avais eu le droit de fréquenter un salon de coiffure, ma mise en plis aurait pris un sacré coup de vieux depuis ce matin! Mais heureusement pour moi mes cheveux et mes poils appartenaient à Madame la Directrice et il m'était formellement interdit de fréquenter ces lieux de perditions.

En faisant abstraction du port simultané des menottes, du collier et des deux cagoules, le trajet vers le supermarché de ma commune fut tout à fait normal, du moins pendant sa première partie. À un certain moment, Monsieur Paul commençant à se lasser de conduire eut l'idée de se distraire à chaque feu rouge. Il m'informa alors : « Dès que le véhicule n'avance plus morue, tu dois me dire en boucle et sans t'arrêter 'Oh oui mon chéri, continue, tu vas me faire jouir.' Je ne veux rien entendre d'autre et surtout pas une seconde de silence! Si tu ne respectes pas mes consignes, dès notre retour, je te caresserai la plante des pieds avec une solide baguette en noisetier. » Suite à l'audition de ces consignes et constatant que le véhicule était immobile, je me mis immédiatement à réciter ces douces paroles sans interruption. Je ne souhaitais pas particulièrement que Monsieur Paul me caresse avec sa délicatesse habituelle la plante des pieds, j'aurais certainement encore besoin de mes pieds pour sortir ce soir pour la première fois avec Madame Irma dans son club échangiste préféré et lui servir de monnaie d'échange.

L'audition à chaque fois que le véhicule était au point mort de ces douces paroles finit par donner des idées à mon chauffeur. Au feu suivant, il me doigta sérieusement la chatte à l'aide de quatre doigts de sa main gauche. Il eut la galanterie de me faire remarquer que j'étais déjà trempée comme un chienne en chaleur et qu'il devrait donc s'essuyer la main gauche sur mon bas gauche pour ne pas engluer son volant. Non seulement, quand nous serions à l'intérieur du supermarché de ma commune, ma mise en plis ne serait pas impeccable, mais encore mes bas ne seraient plus de toute première fraîcheur pendant mes emplettes. À un autre feu, pour me distraire, il varia les plaisir comme il me le fit si gentiment remarquer. Il se contenta cette fois de deux doigts de la main droite pour me fourrager joyeusement au fond du cul. Il me fit très élégamment comprendre que mon cul n'était pas d'une propreté irréprochable et qu'il devrait aussi dans ces conditions se nettoyer la main droite sur mon bas droit. Comme quoi il y avait une certaine logique à son comportement.

Quand nous arrivâmes sur le parking du supermarché et bien que depuis une bonne semaine j'en aie vu des vertes et des pas mûres, Monsieur Paul parvint cependant à me prendre par surprise si je puis me permettre. Cela se passa ainsi, il commença par me retirer les deux cagoules et les menottes. Puis il me rendit mes cinquante euros et m'ordonna d'enlever mon bas droit, de disposer les cinquante euros au fond du bas et de le remettre aussitôt. Je me permis de lui faire remarquer : « Mais Monsieur Paul, à la caisse je ne pourrai pas payer ma gamelle si les billets sont au fond de mon bas! » Et il me répondit tout naturellement : « Oh que si tu pourras payer Natacha, et tu feras même un strip-tease érotique à la caisse pour retirer tes deux bas et tes deux chaussures à talon aiguille et les poser dans le chariot avec ta gamelle. » Il poursuivit : « Et tu sais pourquoi Natacha, et bien si nous rentrons sans ta gamelle, je me verrai dans l'obligation de te caresser très délicatement la plante des pieds, mais pas avec une simple baguette en noisetier. Non pour toi j'irai couper dans le jardin une très solide baguette en noisetier de Bollwiller, tu verras les rejets de cette variété sont particulièrement vigoureux et d'un diamètre impressionnant. »

Il m'informa ensuite : « Et pour que tu cesses de faire ta mauvaise tête après cela je proposerai à notre charmant voisin de te faire faire un jogging nettement plus long que celui de ce matin dans la cave. » Il me laissa encaisser le coup puis continua : « Alors Natacha disposée à aller faire des emplettes? » J'en avais les larmes aux yeux, mais je pris sur moi et lui répondis : « Puisqu'il le faut je vais aller la chercher cette gamelle. » Je disposai ensuite les trois billets au fond de mon bas droit, remis mon bas et mon talon aiguille et sortis du véhicule. Monsieur Paul en gentleman alla me chercher un chariot qu'il me confia après avoir engagé un euros pour le détacher. Il me dit alors : « Tu pourrais te barrer si tu en avais envie morue, mais pour être certain de récupérer ma pièce de un euro, je vais te menotter au chariot. » Et joignant le geste à la parole, il fixa une paire de menottes d'une part à mon poignet gauche et d'autre part au chariot. Il ajouta ensuite : « Je vais prendre quelques photographies de toi pendant que tu feras tes emplettes Natacha, mais surtout ne traîne pas en route tu pourrais rencontrer une voisine ou une amie! »

Il avait vu juste, avec un collier de chienne autour du coup et menottée au chariot, je n'allais pas traîner pour faire mes emplettes! Je me dirigeai à toute hâte vers le rayon animalerie. Monsieur Paul me collait à la culotte (que je ne portais pas) et prenait régulièrement des photographies de moi sous toutes les coutures. Peu avant d'arriver au rayon animalerie je fus soudain terrassée quand j'entendis : « Bonjour Solange, tu as changé de style! » J'étais au bord de l'évanouissement, mais j'eus la présence d'esprit de rétorquer à Madame Claude : « Chère voisine, cela fait un certain temps que nous ne nous étions pas rencontrées. Je suis avec mon cousin, il est photographe de charme et nous prenons rapidement quelques clichés dans ce magasin, vous m'excuserez mais je suis pressée. » Et sur cette remarque je pris mes jambes à mon cou. Je surveillai de loin cette gêneuse et à un moment propice, disposai ma gamelle d'un prix de onze euros et vingt centimes, dans le chariot. Après cet achat il me resterait donc trente huit euros et quatre-vingts centime d'argent de poche.

Le plus difficile restait à faire : le strip-tease et le paiement! Je choisis la caisse rapide, celle où l'on doit avoir moins de dix articles, en fait je n'en avais qu'un, la fameuse gamelle. Je m'y pris donc ainsi. Ma main gauche était attachée à la barre du chariot par les menottes, j'utilisai donc ma seule main droite pour enlever mes escarpins. Ces damnés escarpins avaient une bride, j'eus bien du mal à les enlever d'une seule main et il me serait impossible de les remettre! Toujours à l'aide de ma seule main droite je détachai les jarretelles de mon bas gauche, retirai mon bas gauche et le disposais dans le chariot. Je retirai ensuite les jarretelles de mon bas droit, mon bas droit et le disposai lui aussi dans le chariot, les billets étant à l'intérieur de ce bas. Monsieur Paul faisait semblant de ne pas me connaître et pour ajouter à mon trouble dit à haute voix : « Mais Madame, pourquoi retirez-vous vos bas il ne fait pas si chaud! » Je lui répondis du tac au tac : « Je suis en chaleur Monsieur et j'ai particulièrement chaud au cuisses! » Il prit un air outré et partit. J'entendis alors : « Chère voisine vous l'avez bien remis en place, mais ce n'est donc pas votre cousin? » J'étais prise au piège, je ne savais plus quoi dire, je pris les billets dans le bas, jetai mes escarpins dans le chariot, payai rapidement la gamelle, rangeai la monnaie et le ticket de caisse dans le bas et dis à la voisine : « Foutez-moi la paix, je suis pressée. » Je partis ensuite en pleurant et en courant vers le véhicule de Madame Irma.

Monsieur Paul m'attendait, il était aux anges. Il me dit : « J'ai quelques clichés qui vont satisfaire la curiosité de Madame la Directrice, mais il est regrettable que toutes ces emplettes n'aient pas été filmées, il y a eu de véritables moments d'anthologie, des scènes d'exception. » Il poursuivit : « Natacha es-tu affamée au point de devoir manger dans ta gamelle à quatre pattes sur le parking du supermarché ou préfères-tu attendre notre retour à la maison? » Une fois de plus, en véritable gentleman, Monsieur Paul m'offrait une porte de sortie honorable. Sautant sur l'occasion je lui répondis : « J'attendrai que nous soyons de retour à la maison. » Il continua alors d'un ton moqueur : « Natacha, tu es merveilleuse, les pieds nus, menottée au chariot, avec ton collier de chienne, tes bas, tes escarpins et ta gamelle dans le chariot. Tu vas pousser ton chariot dans toutes les allées du parking et je prendrai encore quelques photographies assez érotiques. »

On ne me demandait pas mon avis, je m'exécutai donc sans délai. Pour me donner du courage je me disais que j'avais bien de la chance, le parking était goudronné, d'immondes graviers ne me labouraient pas le plante des pieds, d'autre part il ne faisait pas trop chaud et le goudron n'était pas en train de fondre, ne me brûlait pas et ne me noircissait pas les pieds. Monsieur Paul me suivait d'assez loin et prenait régulièrement des clichés de moi menottée au chariot et les pieds nus. J'avais déjà parcouru plus des deux tiers des allées du parking sans le moindre incident quand j'entendis : « Tu nous fais une exhibition salope, les pieds nus, ton collier de chienne, menottée au chariot, tes bas et tes escarpins dans le chariot avec ta gamelle de chienne, tu crois que je n'ai pas compris ton petit manège. Est-ce que tu commences à tapiner la semaine prochaine? » C'était cette immonde voisine, Madame Claude, qui me haranguait depuis son véhicule, la fenêtre côté conducteur ouverte ; je devais au plus vite faire taire cette gêneuse qui allait liguer la foule contre ma personne.

Je m'approchai d'elle en poussant le chariot de la main gauche qui y était menottée et en levant la main droite d'un air menaçant et lui criai : « Bourgeoise frigide, rentre chez toi te faire chier avec ton mari ou je t'en colle une. » Cette gêneuse piqua un fard et me prit au mot, elle partit en trombe, bon vent! Je poursuivis ma petite promenade sur le parking jusqu'à la dernière allée, Monsieur Paul toujours aussi prévenant m'y attendait avec le véhicule, il me fit l'honneur de me retirer les menottes et m'annonça d'un ton menaçant : « Donnes moi le ticket de caisse et la monnaie Natacha. » Il vérifia à l'aide du ticket de caisse que je lui avais bien rendu toute la monnaie et la rangea dans sa poche, puis il poursuivit : « Prends ta gamelle puis remets tes bas et tes escarpins sur le parking pendant que je range le chariot Natacha. » Dès que mes deux mains furent libres, je ne me fis pas prier pour prendre ma gamelle et remettre mes bas et mes chaussures. En effet, j'avais froid aux cuisses et mes pieds devenaient douloureux. D'autre part, la possession et l'utilisation future de cet accessoire de table ne me posait plus d'état d'âme.

Repas -- Commande de gadgets érotiques -- Petite séance sportive

Le trajet de retour fut des plus ordinaires, menottes derrière les reins et port des deux cagoules mais sans distraction. Peu avant l'arrivée Monsieur Paul me retira les deux cagoules estimant que j'étais maintenant une grande fille sage et que je pourrais donc voyager sans ces articles vestimentaires. Dès mon retour je fus chargée de préparer un excellent dîner pour Monsieur Paul et Madame Irma, je pouvais utiliser tout ce que contenaient le réfrigérateur, la cave, le congélateur et le buffet de cuisine. Il eut l'honnêteté de m'informer que si le repas n'était pas assez savoureux, j'en ferais les frais. En effet le barème habituellement employé par Madame Irma afin de récompenser les prouesses culinaires des soumises était le suivant : Un mets excellent conduisait à une petite récompense pour la soumise, un bon mets aboutissait à une raclée légère administrée à l'aide d'un battoir en bois, un mets moyen se soldait par une raclée moyenne dispensée avec une canne en bambou et enfin un mets médiocre était gratifié d'une correction sévère généreusement distribuée à l'aide d'une cravache.

Je n'étais pas un fin cordon-bleu mais plutôt une cuisinière médiocre, c'était de fait une des raisons du départ de mon ex. Décidément, je devais pendant mon dressage faire des efforts permanent pour améliorer ma condition physique, rendre mes tenues vestimentaires plus sexy, et devenir un véritable cordon-bleu. Devinant par avance la faible tolérance qu'aurait Madame Irma face à la qualité gustative du repas que j'allais préparer, j'étais terrorisée mais cependant décidée à mettre toutes les chances de mon côté, je me permis donc cette remarque : « Madame Irma dispose-t-elle de livres de cuisine que vous pourriez mettre à ma disposition Monsieur Paul? » Monsieur Paul me remit deux livres traitant de cette discipline en me précisant d'en prendre soin, Madame Irma y tenant comme à la prunelle de ses yeux selon ses dires.

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