les vacances érotiques de Solange 02

BÊTA PUBLIQUE

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Après avoir noté sur une feuille de papier tout ce que contenaient, la cave, le réfrigérateur, le congélateur et le buffet de cuisine, je me mis à la recherche dans les livres de Madame Irma d'une entrée, d'un plat principal et d'un dessert qui seraient à ma portée. Pendant ce temps Monsieur Paul nous prépara un repas. Il élabora de la purée à partir de flocons de pomme de terre déshydratés et de lait et il fit aussi cuire une andouillette. Quand le repas fut prêt j'avais choisi les recettes que je tenterais de réaliser de mon mieux, motivée par la connaissance du barème employé par Madame Irma. Je me lancerais dans la préparation d'une tarte flambée, puis de pavés de saumon aux petits légumes et en dessert je réaliserais du nougat tendre aux noix. Je commençais à rassembler tous les ingrédients dont j'avais besoin. J'en sortis au besoin certains du congélateur. C'est à ce moment que Monsieur Paul me fit comprendre que nous allions prendre notre repas, lui assis et son assiette posée sur la table et moi à genoux, les mains retenues dans le dos par les menottes et ma gamelle en acier inoxydable posée sur le carrelage de la cuisine.

Il m'informa : « Tu dois apprendre à manger proprement en toute circonstance Natacha, cela pourra t'être utile pendant tes vacances. » Je me permis de lui faire savoir que je me contenterais de purée car je m'appréciais pas particulièrement l'andouillette, il me fit comprendre à sa manière, à l'aide d'une vingtaine de coups de chaussette remplie de sable, qu'il ne m'avait pas demandé mon avis. Je savais maintenant après ce petit intermède que je devrais manger tout le contenu de ma gamelle sans faire d'histoire. Il disposa dans ma gamelle quelques morceaux d'andouillette qu'il eut la bonté de couper ainsi que de la purée. Il me fixa les mains dans le dos à l'aide des menottes et nous commençâmes notre repas. Pendant que Monsieur Paul dégustait élégamment l'andouillette et la purée, je m'efforçais de manger le moins salement possible le contenu de ma gamelle, à genoux et en plongeant mon visage dans la purée et les morceaux d'andouillette afin de 'nettoyer' ma gamelle comme Monsieur Paul l'avait exigé. J'estimais cependant encore bien m'en sortir, Monsieur Paul ne mangeait pas des pieds de cochon et ne jetait dans ma gamelle les os des dits pieds afin que je finisse de les rogner. Après ce régal comme le précisa Monsieur Paul, il nous prépara un dessert, cette fois il mangea deux pommes et je fus chargée de dévorer les deux trognons, y compris les deux queues, gentiment déposés dans ma gamelle.

Quand ma gamelle fut suffisamment nettoyée, Monsieur Paul m'indiqua : « Je vais te débarbouiller la truffe Natacha, suis moi en marchant à quatre pattes et en silence. » Il me retira alors les menottes. Je suivis docilement à quatre pattes Monsieur Paul qui nous conduisit dans les toilettes. Dès notre arrivée dans cette petite pièce il m'ordonna : « À genoux les mains dans le dos et restes immobile Natacha. » Une fois mes mains retenues par les menottes, Monsieur Paul me quitta et revint une minute plus tard muni de bottes et caoutchouc qu'il était allé chercher à la cave. Pendant que Monsieur Paul enfilait ses bottes dont je ne comprenais pas encore l'usage, il m'ordonna tendrement : « La gueule plaquée au fond de la cuvette. » Surprise, je ne lui obéis pas assez rapidement. Deux coups de pieds aux fesses m'aidèrent grandement à prendre une position plus adaptée au nettoyage de ma truffe. J'avais maintenant la 'gueule' plaquée au fond de la cuvette. Monsieur Paul me la plaqua encore un peu plus au fond en me posant un de ses pieds bottés sur la nuque.

Il actionna alors le mécanisme de la chasse d'eau. Il laissa le réservoir se remplir puis actionna une deuxième fois puis une troisième fois le mécanisme. Il constata alors que ma truffe était suffisamment propre. Madame la Directrice avait parfaitement raison de m'interdire de fréquenter les lieux de perdition que sont les salons de coiffure, en effet le nettoyage de ma truffe aurait complètement ruiné une hypothétique mise en plis. Mais je dois admettre que cette méthode était efficace pour laver la truffe d'une soumise, je n'avais plus beaucoup de traces d'andouillette et de purée sur le visage. Monsieur Paul décida alors qu'il était grand temps de contacter le sex-shop.

Dans son infinie bonté, il m'autorisa à me lever et à le suivre en marchant jusqu'au salon. Il m'expliqua ensuite comment nous allions procéder pour l'appel téléphonique destiné au sex-shop. Il disposa une solide table basse perpendiculairement à la banquette et à une vingtaine de centimètres de celle-ci. Tirant sur ma queue de cheval il me fit me mettre à genoux sur la table de salon, la gueule posée sur la table, les fesses bien relevées et face à la banquette. Il disposa le combiné téléphonique sur la table à proximité de ma gueule afin que je sois bien à l'aise pour parler avec mon futur interlocuteur. Il m'expliqua alors : « Je te soufflerai à l'oreille tout ce que tu devras dire Natacha, cette conversation devrait bien t'exciter. » Il ajouta d'un ton moqueur : « Pour que cette conversation soit encore plus excitante, pendant que tu parleras, je te ramonerai la chatte et le cul avec ton godemiché Natacha. » Ce gentleman savait vraiment y faire, avant qu'il ne compose le numéro j'étais déjà bien excitée! Il alla chercher mon godemiché dans mon sac à main et pris place confortablement assis sur la banquette derrière mes fesses. Il me fit remarquer qu'il devait être effectivement bien assis car la conversation serait peut-être un peu longue.

Monsieur Paul composa le numéro du sex-shop. Au son de sa voix, je reconnu la gérante à la langue bien pendue qui m'avait si bien conseillée samedi dernier. Il me souffla à l'oreille : « Présente toi, rappelle lui ta visite la semaine dernière. » Je me lançai : « Bonjour Madame, je suis la cliente que vous avez si bien conseillée la semaine dernière. Vous souvenez-vous de moi, vous m'aviez conseillé l'achat d'un godemiché afin que je puisse réaliser un film un tout petit peu chaud pour mon ami parti six mois à l'étranger? » Elle répondit : « Oui, je me souviens très bien de vous, je vous avais aussi conseillé l'achat d'une main de fisting, d'un bras de fisting puis d'une jambe de fisting quand vous seriez un tout petit peu plus expérimentée. » Elle avait la langue toujours aussi bien pendue, me dis-je intérieurement, elle pourrait donner de vilaines idées à mes tourmenteurs du moment la bougresse!

Monsieur Paul me susurra : « Demande lui si elle a deux paires de boules de geisha, demande le prix, la couleur, le matériau enfin tous les détails Natacha. » Je pris ma respiration juste avant de me lancer dans cette conversation au combien glissante : « Avez-vous deux paires de boules ah, ah, ah. » Monsieur Paul était en train de me ramoner le cul à sec avec mon godemiché tout en me disant : « Et bien continue Natacha! » Je repris : « Pardonnez-moi, j'ai eu une crampe douloureuse, avez-vous deux paires de boules de geisha dans votre stock actuel Madame? » La gérante me répondit : « Oui j'en ai même trois paires aujourd'hui. » Je continuai : « Quelles en sont les ah, ah, ah, ah, ah.» Cette fois il était allé plus loin et en tournant en plus! « Toujours, cette vilaine crampe, quelles en sont leur couleurs Madame? » Elle répondit gentiment : « La première paire est jaune avec des traits rose, le deuxième paire est rouge avec des traits bleu, la troisième paire est rose avec des petites pointes arrondies sur toute la surface. » Je poursuivis : « En quel hum, hum, ah, ah, ah. » Après des massages délicats du vagin il venait de me pincer trois fois le clitoris. « Cette crampe n'en finira donc jamais, quel est le matériau de ces boules Madame? » Elle précisa : « Les deux premières sont faites avec un polymère bio-compatible, elles peuvent être portées sur une très longue période, la dernière est en silicone elle peut elle aussi être utilisée régulièrement.

Je tentai alors : « Quel est le prix des ah, ah. » Elle m'interrogea : « Avez-vous un problème Madame? » Je répondis, alors que Monsieur Paul continuait à faire bouger légèrement le godemiché dans mon cul : « Non ce n'est rien, quel est le prix ah, ah, de ces boules Madame? » Elle m'informa : « Les deux premières paires sont à neuf euros et soixante centimes la paire et la troisième paire est à huit euros Madame. » Pour conclure cette conversation qui avait assez durée selon mon goût je demandai : « À quelle heure fermez-vous et pouvez-vous me mettre les boules jaunes et les boules roses de côté Madame? » Elle répondit : « Je ferme à dix-neuf heure et je vous mets les deux paires de boules de geisha de côté vous passerez ce soir? » Monsieur Paul me chuchota : « Juste avant la fermeture Natacha. » Je conclus : « Je passerai les prendre juste avant la fermeture de votre charmante boutique Madame. » Monsieur Paul reposa le combiné, la conversation était enfin terminée, pas trop tôt me dis-je intérieurement.

Il m'ordonna alors de préparer le repas de ce soir pour Madame Irma, lui, et leur nouvelle chienne, il me précisa que cela avait intérêt à être délicieux. Je me mis donc sans tarder à préparer une jolie tarte flambée. Cette partie du repas ne me semblait pas insurmontable. Je continuai en me lançant dans la préparation des pavés de saumon aux petits légumes. Enfin je terminai par la préparation du nougat tendre aux noix. Il m'informa alors : « Il reste deux heures avant qu'il soit temps d'aller chercher tes nouveaux jouets, es-tu partante pour une marche-course de quatorze kilomètres sur le tapis de course? » Je me permis de répondre : « Vous m'avez déjà fait faire beaucoup de sport ce matin Monsieur Paul, et un jogging avec le voisin, puis tout le tour du parking du supermarché les pieds nus en poussant le chariot. » Il poursuivit : « Ce ne sera pas quatorze kilomètres Natacha mais quinze ou un jogging de douze kilomètres avec le voisin et qui sait ce qu'il aura trouvé au marché pour agrémenter ton jogging Natacha? Quel est ton choix? » Je répondis : « Je ferai quinze kilomètres sans l'aide du voisin Monsieur Paul. » Il conclut cette conversation ainsi : « Tu vois Natacha en faisant ta mauvaise, tête tu viens de gagner un kilomètre. »

Monsieur Paul m'installa dans le garage pour ma marche-course. Je portais ma robe très courte, mon porte-jarretelles et mes bas noirs opaques ainsi que mes talons aiguilles. J'avais les mains retenues dans le dos par les menottes et Monsieur Paul fixa la laisse à mon collier et à la barre avant du tapis de course. Il me fit savoir que pendant ma petite promenade sur le tapis il visionnerait dans le garage un DVD sur son ordinateur portable, mais que si je traînais au point que la laisse se tende, il viendrait me faire accélérer en me caressant l'arrière des cuisses avec une baguette en noisetier de Bollwiller. Il régla la vitesse du tapis de course sur sept virgule cinq kilomètres par heure et le temps sur deux heures.

Dès que le tapis fut en marche, je me mis à courir pour que la laisse ne se tende pas, en effet je savais que Monsieur Paul tiendrait parole et j'avais vu les fameux noisetiers de Bollwiller en revenant du supermarché. Monsieur Paul me laissa courir seule quelques minutes et revint effectivement muni d'une solide baguette en noisetier de Bollwiller fraîchement coupée à l'aide d'un puissant sécateur à mon attention, quel gentleman! Monsieur Paul disposa son ordinateur portable sur une caisse à côté du tapis de course, il prit place dans un vieux fauteuil à côté de moi et commença à visionner un film des plus chauds. Tout en visionnant ce film dont je devinais le scénario aux bruits que j'entendais, il me caressait à l'aide de la baguette en noisetier de Bollwiller, avec sa délicatesse habituelle et assez régulièrement l'arrière des cuisses afin comme il me le fit savoir que je ne perde pas mon rythme de course. Au demeurant je risquais peu de le perdre attachée par mon collier à la barre du tapis de course, mais je jugeai préférable de m'abstenir de le lui faire remarquer.

Après que Monsieur Paul eut visionné trois petits films soit environ une heure de marche-course, je me permis de lui faire remarquer que j'avais les pieds en compote voire en sang dans mes talons aiguilles. En véritable gentleman il me fit la remarque suivante après avoir stoppé momentanément assez rapidement le tapis de course : « Natacha si tu me fais une très grosse gâterie sans cafter à Madame Irma je te retirerai tes talons aiguilles et tes bas et tu pourras courir la deuxième heure pieds nus sur le tapis de course. » Agréablement surprise par cette proposition je répondis : « Je consens à vous faire une très grosse gâterie Monsieur Paul et je vous promets de ne rien raconter à Madame Irma. »

Monsieur Paul détacha la laisse fixée à mon collier et la remplaça par une cordelette. Il s'installa de nouveau dans le vieux fauteuil, passa la cordelette entre mes cuisses et l'enfonça entre mes grandes lèvres. Il passa de nouveau la cordelette dans l'anneau de mon collier et tira sur la cordelette comme un veau pour la tendre. Il m'indiqua : « Maintenant que tu as la cordelette qui te frotte l'entrée de la chatte, je suis certain que tu va mouiller Natacha. » Il ne se trompait pas et j'étais déjà bien humide. En tirant encore un peu plus sur la cordelette il me fit me mette à genoux face à lui, il descendit ensuite son pantalon et son slip jusqu'aux chevilles. J'avais une idée plus précise de la très grosse gâterie qui allait suivre. L'ordre tomba alors : « Commence par me bouffer les couilles Natacha, comme si tu n'avais pas mangé depuis une semaine! » Je me jetai telle une chienne affamée sur les grosses couilles de Monsieur Paul. Il était poilu et pas spécialement bien lavé, mais il avait aussi la solide baguette en noisetier de Bollwiller à portée de main. La vision de son nouvel outil de travail m'incita fortement à me comporter en bonne chienne affamée. Alternativement, je léchais l'une puis l'autre des couilles de Monsieur Paul, je les engouffrais aussi par moment toutes les deux au fond de ma grosse gueule de chienne affamée comme me le disait tendrement Monsieur Paul. À ce petit jeu, sa verge prit rapidement une dimension et une dureté toutes deux prometteuses. Mais Monsieur Paul ne voyait pas les choses du même œil que moi. Et il m'ordonna donc alors : « Lèche moi la plante des pieds et suce moi les orteils Natacha. »

Mes mains étaient retenues dans mon dos par les menottes, Monsieur Paul retira donc lui-même ses chaussures et ses chaussettes. La réalisation de cette nouvelle prestation exigée par Monsieur Paul ne m'enchantait guère. Il le constata rapidement et m'incita donc à me mettre au travail : « Mais qu'est-ce que tu attends morue, il faut que je t'aide! » Joignant la geste à la parole, il m'aida à débuter ma nouvelle tâche en soulevant ma robe et en me caressant délicatement les reins avec la solide baguette en noisetier de Bollwiller. Je confirme l'efficacité de cette méthode et donc tout l'aide que m'apporta ce gentleman afin que je débute ma nouvelle prestation. Les pieds de Monsieur Paul n'étaient pas très engageants, mais ils me tentaient plus que de délicates caresses administrées avec douceur sur mes reins, je me mis donc au travail. Je me disais pour me donner du courage, après tout, il a eu peu d'activité aujourd'hui. Il m'a fait faire du sport le matin, puis il s'est reposé pendant que son charmant voisin me proposait un jogging dans le garage. Il a ensuite peu marché au supermarché, et c'est moi qui ai fait le tour de toutes les allées du parking les pieds nus. En fait j'avais de la chance dans mon malheur, mes propres pieds devaient être dans un plus mauvais état que les siens.

Les divines caresses prodiguées à l'aide de ma langue à la plante des deux pieds de Monsieur Paul et la succion érotique de ses dix orteils ne laissèrent pas Monsieur Paul insensible. Son dard était maintenant au bord de l'explosion, la très grosse gâterie allait bientôt se concrétiser. Il eut cependant la présence d'esprit de me donner les consignes suivantes : « Bouffe moi la queue, fais moi ton numéro de gorge profonde et avale tout Natacha. » Le voyant dans un tel état d'excitation et la solide baguette en noisetier à portée de main, je fis tout mon possible pour ne pas le décevoir. Je me jetai donc telle une chienne affamée sur son sexe et l'engloutis au fond de ma gorge quitte à m'étouffer au besoin. Il explosa rapidement au fond de ma gorge et je mis un point d'honneur à avaler tout son sperme proprement.

Dans son infinie bonté, Monsieur Paul me retira mes talons aiguilles et mes bas. J'avais effectivement les pieds en compote voire légèrement écorchés à certains endroits. Il remit ensuite le tapis de course en marche pour une heure et m'aida à retrouver mon rythme de course avec la baguette. Il me fit remarquer que je courrais mieux les pieds nus et qu'il aurait donc moins de travail pendant la deuxième heure de marche-course. Je dois admettre que pendant cette deuxième heure MonsieUr Paul ne vint pas souvent m'aider à retrouver le rythme de course. Mais sans me faire d'illusions, je pense que ceci n'est pas du à sa mansuétude mais à la meilleure qualité des trois petits films qu'il visionna. Toujours est-il qu'unE fois les quinze kilomètres parcourus, Monsieus Paul m'informa, après m'avoir retiré les menottes, qu'il était temps de gagner le sex-shop : « Enfile tes bas et des chcussures Natacha et pmus vite que cela! »

Achat de gadgets érotiques et vistourne modique

Je miq lonc mes bas et Mes chaussures sans tarder et même sans reprendre mon(souffle. Le trajet jusqu'au sex-shop se déroula sans événeeents notabnes, j'étais simplement assise à l'avant du véhicule, les mains retenues dans le dos par les menottes. Quand nous nous arprochâmes du sex-shop avec le véhicule, Monsieur Paul me demanda de lå guider, en"efnet il ne connaissait pas ce charmqnt endroit de perdition comie il le l'apprit. Par chance une placu de StatioNnement étaat libre à proximité immédiate de l'entrée de l'allée couverte où était situé le sex-shop, je me permis de l'indiquer à Monsieur Paul. Il me répondit qu'il avait fait très peu d'exercice aujourd'hui et qu'il souhaitait faire une petite promenade en ville. Il alla donc garer le véhicule à environ cinq cent mètres du sex-shop, je jugeai préférable de me tenir à carreau et donc de m'abstenir de toute remarque déplaisante, Monsieur Paul ayant pris soin de se munir de la baguette en noisetier de Bollwiller.

Monsieur Paul sortit du véhicule, ouvrit la portière côté passager, puis il fixa la laisse à mon collier. Il me conseilla gentiment de bien me tenir en bonne chienne docile pendant la promenade et de ne pas japper ou tirer comme une folle sur ma laisse ce qui ne manquerait pas assurément d'attirer le regard des passants. Ce gentleman souhaitait vraiment que ma petite promenade se passe au mieux. Pendant le trajet jusqu'au sex-shop il fit une halte dans un petit parc destiné aux besoins de l'espèce canine et me demanda gentiment si je souhaitais soulager ma vessie. Ma vessie commençait effectivement à se rappeler à moi, je déclinai cependant très poliment cette offre si généreuse de sa part. Peu après l'intermède du parc nous arrivâmes à une extrémité de l'allée couverte.

Nous nous engageâmes dans l'allée, avant de pénétrer dans le sex-shop Monsieur Paul me délivra ses dernières consignes : « Pendant notre séjour dans ce charmant magasin, tu devras être extrêmement polie Natacha et faire preuve d'une obéissance absolue, sinon je me verrai dans l'obligation de te corriger sévèrement à l'aide de la baguette en noisetier de Bollwiller devant la gérante du magasin. » Il avait eu la délicatesse de me prévenir, je savais donc précisément quel comportement adopter. Quand nous fûmes sur le point de pénétrer dans le sex-shop, je précise que j'étais toujours tenue en laisse et que j'avais les mains retenues dans le dos par les menottes. Lorsque Monsieur Paul poussa la porte j'espérai que nous serions à cette heure proche de la fermeture les seuls clients. La déception et la honte me gagnèrent rapidement. Un client était en train de régler ses achats, en fait, trois DVD. Au lieu de le laisser partir, Monsieur Paul engagea la conversation sur un ton très naturel avec cet individu. Ils échangèrent quelques plaisanteries très osées et Monsieur Paul l'informa de ma condition en ces termes : « C'est une jeune chienne en cours de dressage, elle se nomme Natacha, pour la récompenser de ses progrès très rapides elle est autorisée à faire l'acquisition de deux nouveaux jouets. » Avant de nous quitter le client salua Monsieur Paul en ces termes : « En votre compagnie et celle de votre solide baguette en noisetier, je suis convaincu que Natacha fera encore de rapides progrès. Ce sera toujours avec le même plaisir Monsieur que je vous croiserez. »

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