Les plaisirs d'Anna -- 11 (absence)

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Comme pour me punir, il m'a alors faite mettre à quatre pattes sur le lit et m'a sodomisée d'un coup, sans préparation, sans la moindre lubrification, à sec ! J'ai hurlé de douleur. Je me suis sentie déchirée. Mais bien vite c'est le plaisir qui a repris le dessus. Tu sais comme j'aime être prise comme ça. Alors qu'il me limait l'anus de son gros membre, je me contractais pour amplifier ses sensations et les miennes. Il a été surpris et y a vite pris goût. J'ai continué ces pressions pour l'amener au plaisir et je voyais bien son excitation. Il se déchaînait, augmentant son rythme et sa force, que je suivais en amplifiant de même mes contractions. Des gouttes de sueur tombaient de son front sur mon dos. Cette sodomie était trop forte, trop intense pour pouvoir durer encore longtemps. Je voulais le faire jouir. Alors j'ai passé un bras sous moi, amenant ma main sur ma chatte et, en me contorsionnant un peu, j'ai réussi a faire glisser deux doigts entre les lèvres. En forçant, j'ai pu faire rentrer quatre doigts dans mon vagin et j'ai caressé doucement son sexe à travers la fine peau qui sépare mes deux orifices. J'ai bien senti que cela le surprenait et l'excitait. Alors j'ai replié mes doigts et, comme mes ongles sont assez longs, c'est leur extrémité qui a un peu griffé. Cela m'a fait un peu mal, mais j'avais envie qu'il les sente bien. Cela a été efficace, car je l'ai entendu crier et j'ai tout de suite senti son sperme gicler abondamment dans mon fondement.

Lorsqu'il s'est retiré, Abdul m'a couverte de baisers avec la même passion qu'au début. Ma fellation ratée était déjà bien oubliée. Il est resté longtemps serré contre moi, me caressant doucement. Rage et fureur n'étaient plus là. Il n'était que douceur et tendresse. J'étais si bien que je l'ai regardé dans les yeux et lui ai dit 'je t'aime'. Mon petit cocu, tu ne m'en veux pas, j'espère? »

Jules répond par un « Ah.... » sans autre mot, ce qui interroge Anna :

« Que t'arrive-t-il? Pourquoi ne m'as-tu pas répondu? »

« C'était douloureux pour moi d'entendre ça, mais je ne t'en veux pas. Je ne souhaite que ton bonheur, même si c'est très dur pour moi. »

« Mais pourquoi ce 'Ah !' », cherche à savoir Anna.

« Je... je... j'ai joui encore une fois. Je n'ai pas pu me retenir. »

Cela fait sourire Anna qui conclut :

« Ça ne va pas marcher une troisième fois, mon petit bonhomme. C'est bien dommage car j'avais encore toute la journée d'aujourd'hui à te raconter et elle t'aurais plu, crois-moi ! Bon, comme je suis gentille et que n'ai pas très sommeil, ce soir, tu vas récupérer un peu et, quand tu te sentiras de nouveau en forme, même si c'est au milieu de la nuit, tu m'appelleras. Je te donne mon numéro. »

D'habitude, après une seule éjaculation, Jules doit attendre le lendemain pour reprendre de la vigueur. Alors, là, après deux jouissances rapprochées, déjà exceptionnelles, il n'a aucun espoir. Cependant, Jules veut éviter de s'endormir. Cela serait accepter sa défaite. Aussi, se repasse-t-il dans sa tête tout ce que sa femme lui a raconté. Son imagination aidant, il revit ce qu'elle a fait presque en images. Le récit tourne en boucle dans son esprit, sans s'arrêter, comme pour tout imprimer dans sa mémoire. Il ne peut penser à rien d'autre.

Deux heures passent comme ça, jusqu'au moment où Jules s'aperçoit que son sexe durcit de nouveau. Il a l'impression d'avoir retrouvé ses possibilités d'adolescent et se dit que c'est grâce à Anna. Que sa femme ne l'a-t-elle pas fait cocu plus tôt, regrette-t-il. Mais, ce n'est pas le moment de rêver, il lui faut agir tout de suite. Jules appelle Anna, qui décroche instantanément. Jules commence la conversation en disant :

« Je... je... suis prêt », car c'est tout ce qu'il a trouvé à dire.

« Et bien, elle te font de l'effet mes aventures ! », s'exclame Anna.

« Raconte-moi la suite », dit Jules, dont le ton trahit son impatience.

« J'avais oublié de te dire quelque chose d'important. Dès le premier soir, une infirmière est venue me faire une prise de sang. Pendant le week-end un médecin m'a examinée. Il voulait s'assurer que je n'avais pas de moyen contraceptif, comme un stérilet. Il m'a dit que les analyses permettraient de voir si j'avais pris la pilule, ajoutant que ma température serait prise chaque soir pour détecter mon ovulation. C'est lui qui devra certifier le jour de mon pic de fertilité. J'ai vu qu'ils faisaient ça très sérieusement. Il est vrai que ceux qui paieront plus de 1000€ pour une simple passe doivent avoir une certaine garantie... »

Jules l'interrompt pour dire :

« Anna, cela m'angoisse vraiment. Cela ne va plus être un risque excitant, mais une certitude dramatique. Il faudrait renoncer. »

Anna ne veut pas le laisser continuer :

« Renoncer? C'est juste impossible ! Moi, aussi, je n'ai pas envie que cela soit une certitude. Cela enlèverait toute excitation. J'ai quelques idées pour que ça reste un risque, alors fais-moi confiance. »

Puis elle ajoute après une courte pause :

« Veux-tu que l'on en reste là ce soir, ou as-tu encore envie d'écouter la suite de mon récit? »

Sans hésiter, Jules lui répond, malgré son angoisse :

« Oui, continue », alors qu'il a un peu honte de donner ainsi priorité à son excitation malsaine.

« Ce matin, Bouma et Abdul sont venus dans ma chambre et m'ont tirée de mon lit. Il m'ont entraînée dans la cuisine sans même me laisser mettre un vêtement sur moi. J'ai un peu protesté mais rien n'y a fait : ils voulaient me voir nue. Je me suis sentie très gênée, car eux deux étaient habillés et Silvia, la jeune femme qui entretient les lieux, était là également pour nous préparer le petit-déjeuner. Bouma, se rendant compte de mon embarras, m'a questionnée :

« Qu'est-ce qui te gêne, ma belle? »

« Je suis toute nue et vous êtes tous les deux habillés », ai-je répondu, ajoutant :

« Et il y a Silvia qui regarde ! »

En riant, Bouma m'a dit :

« Ne t'inquiète pas pour elle. Silvia a l'habitude de nous voir avec nos putes. »

Puis il a ajouté :

« Voilà, tu seras moins gênée si on se montre un peu, nous aussi. »

Au même instant, les deux frères ont ouvert leur braguette et deux gros sexes bien tendus sont apparus. J'ai trouvée cette situation plus érotique que s'ils avaient été intégralement nus. Je me suis dit que c'était moi qui était responsable de leur état et j'ai senti ma chatte se mouiller immédiatement.

Pendant que nous prenions notre petit-déjeuner, ils m'ont expliqué comment allait se passer ma semaine. Je devrai recevoir un par un les hommes qui attendraient dans le couloir. Je n'aurai jamais à les faire payer car Silvia s'en sera occupée dès leur arrivée. Je serai dans la grande pièce qui se trouve en face de ma chambre. J'avais déjà jeté un coup d'œil dans cette pièce, dont la porte était restée entrouverte. J'y avais vu une décoration un peu trop chargée, des miroirs presque partout et même au plafond, ainsi qu'un gigantesque lit carré, de plus de deux mètres de côté. J'avais remarqué que ce lit était très surélevé, probablement pour faciliter certaines positions. Ils m'ont dit que je devrai éviter les préliminaires pour les faire jouir le plus vite possible, car il y aura beaucoup de monde. J'aurai le droit de retourner à chaque fois dans ma chambre pour me rafraîchir à la salle de bains, à condition de ne ne pas m'y attarder. Douma a ajouté que je trouverai dès ce soir la tenue dans ma chambre.

J'étais installée a l'extrémité de la table et les deux frères en angle de chaque côté de moi. Je n'ai pas pu manger tranquillement, car leurs mains passaient sur les miennes, sur mes cuisses, ou frôlaient les lèvres de mon sexe. Lorsqu'ils ne me touchaient pas, je voyais que, d'une main, ils entretenaient leur érection. Voir ces énormes mandrins brillants d'humidité faisait déjà couler ma chatte. Sur la table, une grande coupe contenait de belles grappes de raisin bien doré, que nous égrainions. J'en ai fait remarqué le bon goût, mais Abdul est intervenu, disant :

« Ce raisin peut être encore meilleur. Fais-toi un peu glisser sur ta chaise et écarte bien tes cuisses. »

Me doutant de ce qui m'attendait, j'ai pris la position demandée et ai même écarté les lèvres de ma chatte avec mes deux mains. Tu m'imagines dans cette position ! Quelle indécence... mais quelle excitation aussi ! Comme tu peux le deviner, à chaque fois qu'ils prenaient un grain de raisin, ils l'enfonçaient dans mon vagin, avant de le faire ressortir bien mouillé et de le déguster en me disant qu'il avait un bien meilleur goût. Je peux te le confirmer, car ils m'ont donné ma part de la même façon. Ta femme est vraiment devenue une salope... et elle aime ça ! Sur la table, il y avait également tout un assortiment de confitures différentes. Ils ont voulu que je les goûte toutes. Pour ce faire, chacun en déposait un peu sur le bout de son sexe et je venais m'en régaler en suçant bien les deux glands. Tu imagines mon excitation lorsque j'ai eu terminé ce petit-déjeuner spécial. »

« Je suppose que ça ne s'est pas arrêté là, n'est-ce pas? », l'interrompt Jules.

« En fait, oui et non », lui répond Anna, avant de poursuivre son récit :

« Ils avaient visiblement quelque chose à faire ce dimanche matin, car ils m'ont laissée en disant qu'ils reviendraient me voir dans l'après-midi, ajoutant que je ne perdrais rien pour attendre. J'ai donc profité de la matinée, flânant, nue sur mon lit, lisant quelques magazines, mais j'avais certainement accumulé de la fatigue pendant ces derniers jours, tu peux comprendre pourquoi, aussi me suis-je endormie.

Je me suis réveillée vers midi avec un petite faim et me suis contentée d'une corbeille de fruits. Je voulais me sentir en forme car j'imaginais que l'après-midi avec ces deux gaillards n'allait pas être de tout repos pour moi. »

« Et ça a été le cas?», questionne son mari, déjà bien excité à cette idée.

« Oui, là, ça a été vraiment ma fête. Alors que j'étais couchée sur le dos, ils sont arrivés dans ma chambre, tous deux complètement nus, et se sont jetés sur moi. Abdul, pourtant si gentil, a plaqué durement ses mains sur mes épaules pour m'immobiliser, alors que son frère écartait brutalement mes jambes. Bouma m'a pénétré sans aucune préparation, enfonçant son gros sexe d'un coup en moi, jusqu'au fond. Au passage, son gland a entraîné les lèvres de ma chatte vers l'intérieur. Cela m'a fait hurler, mais mon excitation soudaine m'a tout de suite fait mouiller et la douleur s'est très vite transformée en plaisir. Bouma s'est mis a me pilonner à une vitesse folle, alors qu'Abdul m'immobilisait tout en criant :

« Vas-y, baise-la à fond, cette salope ! »

Tu sais, j'ai un peu honte de ce que j'ai ressenti à cet instant. Je me sentais violée et, malgré l'angoisse, j'avais envie qu'ils continuent comme ça. Tu te rends compte? »

« Oui, mais il n'y pas de honte à avoir », lui répond Jules, « tu réalisais un de tes fantasmes et tu étais sûrement plus que consentante ».

« C'est vrai, mais j'ai un peu honte, tout de même d'apprécier ça. Tu vois, je me sens encore plus salope... et ça m'excite », dit-elle avant de reprendre son récit :

« Bouma a continué à me pilonner à une cadence infernale. C'était si fort que j'ai enchaîné des orgasmes successifs, alors que, lui, n'atteignait pas la jouissance. Comment pouvait-il tenir aussi longtemps? Puis, il a ralenti et, gardant toujours son sexe planté en moi, il m'a retournée, pour que je sois sur lui. Bouma m'a serrée fortement dans ses bras, me faisant creuser les reins. Dans cette position, j'étais cambrée et mes fesses étaient très relevées. Je me sentais vraiment impudique. J'ai tout de suite compris que j'étais ainsi pour qu'ils puissent me prendre à deux. J'ai senti Abdul se plaquer sur mon dos. En même temps, il avait pris son sexe en main, pour le guider en moi. Son gland est passé plusieurs fois, lentement mais fortement, entre mes fesses, s'attardant à chaque fois sur mon anus palpitant, qu'il pressait un peu. Je poussais un peu vers lui, à ce moment là, attendant avec envie cette sodomie profonde que j'espérais. Pourtant, cette pénétration n'arrivait pas. Rien ne s'est passé comme prévu. »

Jules l'interrompt alors par :

« Comment ça? Il ne t'as pas pénétrée? »

« Si, mais pas comme ça. Après quelques passages entre mes fesses, j'ai senti son gland descendre plus bas, touchant un peu le bord de mon vagin. Non, ce n'était pas possible ! Il n'allait pas essayer... ! Mais si ! Bouma s'est à demi retiré et Abdul a serré leurs deux sexes dans sa main, comme s'il voulait n'en faire qu'un. J'ai crié 'non, non', mais, d'une forte pression, il a poussé en avant. J'ai hurlé et ai été prise de tremblements incontrôlables. Lorsque son sexe a rejoint celui de son frère, j'ai cru que je ne pourrais supporter cette douleur. Je n'avais jamais été aussi dilatée. J'ai cru m'évanouir. Heureusement, mes deux amants n'ont plus bougé, me laissant m'habituer à cette dilatation si anormale. J'ai senti une chaleur envahir tout mon vagin, chaleur qui me faisait prendre conscience des parois sensibles, des chairs écrasées, et ma jouissance est venue, incroyablement violente. Mon orgasme, le plus fort que j'ai jamais connu, a encore été amplifié par le lent mouvement des deux sexes qui, ensemble, se sont enfoncés lentement, jusqu'à venir pincer le col de mon utérus entre les deux glands, avant de faire gicler au même instant leurs deux semences. »

Anna arrête son récit instantanément en entendant un râle qui lui fait dire :

« Toi, mon petit cocu, je sais ce que tu viens de faire ! »

Puis elle ajoute :

« Cela te rassurera peut-être si je te dis que je me suis bien lavée le vagin avec la douche dès leur départ. Allez, dors bien... si tu peux... en pensant à moi. Je t'appellerai dans la semaine. »

... à suivre ...

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

La suite,VITE!!!!

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Génial.

Rudy

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Accidental Cuckold A misunderstanding leads his wife into the arms of a BBC.
Amanda and Jeff Ch. 01 A bored couple fall into a rabbit hole.
I Told My Wife My Biggest Secret Ch. 01 Husband talks his loyal wife into fucking his black friend.
Zara Betrayed Ch. 01 A night of hot passion leads to betrayal.
A Happy Marriage: Aubrey's Epiphany In which Aubrey awakens to her true nature.
Plus d'histoires