Les Mauvaises Habitudes de Ma Sœur

Informations sur Récit
Libertine quand elle est ivre.
3.1k mots
4.42
3.1k
1
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Rainett
Rainett
63 Admirateurs

Comme souvent, allongé dans mon lit, j'entends ma sœur rentrer ivre à la maison, au milieu de la nuit. Ma bite se dresse déjà, impatiente.

Le vendredi soir, comme d'habitude, ma sœur Diane sort avec ses copines. De plus en plus souvent, elle rentre défoncée vers le milieu de la nuit. Elle est tellement stone, ce n'est pas possible qu'il n'y ait que de l'alcool. Je ne sais pas ce qu'elles prennent, ma sœur et ses copines, mais ça leur fait de l'effet.

Elle trébuche dans les escaliers en essayant vainement de ne pas faire de bruit, pour éviter de réveiller les parents. Je doute même qu'un coup de canon puisse les réveiller. Pas avec les ronflements bruyants de papa et les bouchons d'oreilles de maman. Moi, elle m'a réveillé.

Quelques instants plus tard, Diane surgit dans ma chambre, comme elle le fait souvent. Ma bite se dresse déjà joyeusement.

« Salut, chéri » marmonne-t-elle d'une voix pâteuse en titubant jusqu'à mon lit. Son haleine sent la bière, mais pas que, et j'essaie vainement d'analyser les divers arômes présents sur sa langue pendant qu'elle m'embrasse.

« J'ai envie de baiser, je suis trempée, goûte-ça »

Elle rigole et m'enfonce son doigt trempé de mouille entre mes lèvres. « Baise-moi »

L'arôme acidulé de sa chatte humide entre dans mon nez, et je goûte la douce acidité de son nectar féminin. Dans la pénombre, je ne peux pas distinguer la chatte épilée de ma sœur, mais je devine qu'elle a perdu sa culotte quelque part. Comme sa petite robe noire est vraiment très courte, j'espère qu'elle a perdu sa culotte à la maison, et pas en boîte. Dans son état, n'importe qui peut la baiser, d'ailleurs je ne vais pas me gêner.

Diane a probablement jeté ses sous-vêtements, impatiente dans son ivresse de baiser avec son frère. J'ai pris note de les chercher plus tard, de peur que maman ne les trouve quelque part, et se pose des questions. Mes préoccupations ont cessées dès que la petite robe noire est passée par-dessus la tête de ma chère sœur, et qu'elle a atterri par terre dans un coin de la pièce.

Ma sœur est complètement nue, elle se penche sur moi, ivre et excitée, plus chaude qu'une baraque à frites. Je sais que c'est immoral de profiter de ma sœur dans cet état, mais je ne suis qu'un homme, et j'ai des besoins moi aussi. D'abord, à 20 ans, elle doit savoir se comporter. Ensuite, ce n'est pas moi qui l'ai mise dans cet état. Enfin, quand elle rampe nue dans mon lit, et qu'elle m'embrasse sur la bouche, ou qu'elle caresse ma bite, je ne peux pas résister à ses avances.

Je sais que c'est ma petite sœur, qu'elle a trois ans de moins que moi, que j'ai promis à nos parents de la protéger, mais merde, c'était il y a longtemps, et je ne savais pas que cette petite peste deviendrait aussi jolie. Je ne suis qu'un homme, Diane est si douce, si belle, mais surtout elle est bonne. Au lit, c'est une fille ardente, passionnée et entreprenante. En résumé, elle est bien meilleure au lit que toutes les copines que j'ai pu avoir.

À chaque fois que je la baise, je regrette que cette poupée parfaite soit ma sœur. Si seulement se pouvait être une étrangère. Une fille que je pourrais ramener à la maison et présenter à mes parents comme ma petite amie. Une fille que je pourrais embrasser en public, et la baiser, même sobre. Non pas que je me plaigne, notez bien, surtout depuis le moment où elle a refermé sa main autour de ma bite.

« Tu es vraiment dur » roucoule-t-elle, en me branlant doucement. « Est-ce à cause de moi? »

Bien sûr, mais je ne vais pas l'avouer à ma petite sœur. Elle semble pensive, puis elle pose sa bouche sur ma bite. Une seconde plus tard, ses lèvres touchent mon pubis, et son haut-le-cœur confirme que le bout de ma bite est maintenant dans sa gorge. Elle me suce la bite comme une experte et je me demande qui lui a apprit.

Elle me suce la bite et les couilles pendant quelques minutes tout en me caressant. Il ne faut pas longtemps avant que je ressente mes premiers émois. J'essaye de résister à l'envie de jouir pour profiter de la bouche de ma petite sœur le plus longtemps possible. Bien trop tôt, et je dois reconnaître que c'est impossible.

« Je vais jouir! » Je grogne pour avertir ma sœur. Je suis surpris par sa rapidité d'intervention, compte tenu de son état d'ébriété. Diane recrache immédiatement ma bite, et elle presse fermement la base de mon sexe pour m'empêcher d'éjaculer. Une fois rassurée, elle attrape de nouveau ma bite et m'enjambe. Ensuite, elle guide ma bite entre ses lèvres juteuses et s'assoit dessus. La chatte de Diane est vraiment humide et ma bite pénètre sans effort son canal étroit. La chatte de ma sœur absorbe mon sexe en totalité. Puis elle se soulève, suffisamment haut pour que je puisse ressortir. Même dans la pénombre, je peux voir ma bite luisante de mouille.

Diane chevauche ma bite glissante à plusieurs reprises, répandant son humidité le long de ma tige en mélangeant nos sécrétions. Elle frotte le gland contre son clitoris en soupirant, puis elle glisse ma bite entre ses lèvres délicates, et me taquine en présentant le bout de ma bite à l'entrée de son vagin. Elle s'échappe en soulevant ses fesses quand j'essaye de la pénétrer. Finalement, elle me laisse gagner le combat, et l'empaler profondément. Elle retire sa main de ma bite et frotte sa chatte contre moi. D'un seul coup rapide, je suis enfoui entièrement dans son humidité brûlante.

Légèrement penchée en avant, elle pose ses mains sur ma poitrine, cambre ses reins et balance sensuellement ses hanches. Dans cette position, sa chatte presse ma bite et la masse comme une main ardente. De doux bruits humides s'échappent de sa chatte fiévreuse quand elle frotte son clitoris dressé contre mon os pubien.

J'ai une superbe vue sur sa poitrine ferme qui se balance devant mon nez. Je pourrais simplement rester allongé pendant des heures, à regarder les seins de ma sœur gigoter devant moi. Sa poitrine est juste parfaite, de bonne taille, ses seins parfaitement ronds et impertinents, décorés de tétons brunâtres qui ne demandent qu'à être léchés et embrassés. Je soulève ma tête pour poser ma bouche sur les mamelons que je convoite. Je réalise que son parfum m'enivre. Un mélange d'arômes d'excitation et d'eau de toilette, accompagné d'une touche de sueur.

Elle gémit doucement lorsque mes lèvres happent son mamelon et le tète durement. Elle se fige et je sens sa chatte se crisper sur ma bite. Juste le prélude d'un minuscule orgasme, annonciateur de la tempête qui se prépare.

Désireuse d'en recevoir plus, Diane arrête de frotter sa chatte contre moi pour se pencher en arrière. Au lieu de coulisser ses hanches d'avant en arrière, elle plonge de haut en bas sur ma bite, avec de longs mouvements assez rapides. Sa chatte me masturbe de manière très efficace, et la vision émoustillante de ses seins qui se balancent est complétée par la vue encore plus excitante de sa chatte qui avale ma bite chaque fois qu'elle plonge.

Tandis qu'elle chevauche mon pénis comme une écuyère, une main tendue derrière elle pour se soutenir, les doigts de sa main libre travaillent frénétiquement sur sa chatte, frottant en petits cercles autour de son clitoris pour obtenir autant de plaisir que possible. Généralement, elle est plutôt rapide pour exulter, et cette fois ne fait pas exception. A peine deux minutes de broyage, et elle s'abat sur moi, enfouit son visage dans mon cou, et son corps est secoué de secousses erratiques. Son premier véritable orgasme la touche durement. Elle tremble et gémit. Elle devient si bruyante et vocale, que je presse ma bouche sur la sienne pour qu'elle se taise.

Mais son exaltation est contagieuse. Je la retourne pour pilonner furieusement son corps frémissant avec ma bite. En un instant, un nouvel orgasme suit le premier, sans une pause. Elle enroule ses bras et ses jambes autour de moi pour me serrer contre elle. Sa chatte avide suce et presse ma bite tout le temps qu'elle continue de jouir. Elle gémit et pantèle dans ma bouche. Elle semble foudroyée, j'ai peur qu'elle s'évanouisse à cause d'une surcharge de drogue et d'alcool, mais bientôt, sa bouche collée à la mienne, elle m'embrasse langoureusement en me caressant la nuque.

« C'était sympa, j'ai bien aimé. On remet ça? »

Sans attendre ma réponse, et avec une force insoupçonnée, elle me bascule sur le dos et me chevauche. Ma bite n'a même pas eu le temps de sortir de sa chatte. Elle commence un twerk endiablé, sa chatte heurtant mon pubis avec force. J'ai juste attrapé ses hanches pour la baiser plus profondément, à mon propre rythme, jusqu'à ce que j'inonde de jets puissants sa vulve accueillante. Son souffle chaud dans ma bouche, je sors ma langue qu'elle suce avec passion, frissonnante de bonheur.

Je suppose que Diane se protège en prenant la pilule, parce qu'elle ne semble pas avoir la moindre crainte lorsque j'éjacule dans sa chatte supposée fertile. A vrai dire, cela ne me posait pas le moindre problème jusqu'à présent. Maintenant que j'ai joui abondamment, ma fièvre s'apaise, et mon cerveau se remet à fonctionner. C'est bien connu, les hommes ne peuvent pas faire deux choses à la fois.

« Putain, quel pied ! Celui-là, c'était le meilleur ! » Elle sourit en me câlinant tendrement.

Mes mains parcourent son dos et ses fesses bien rondes, caressant sa peau douce et moite, tout en l'embrassant amoureusement. Mon seul regret, c'est que cette fille soit ma sœur, et qu'elle ne se rappelle de rien le lendemain matin.

« Mais, c'est de nouveau tout dur ! » Dit-elle en s'emparant de ma bite.

Elle est partante pour un nouveau tour. Moi aussi. Elle s'est installée à quatre pattes, les fesses en l'air.

« Prêt pour une levrette, petit frère? »

La levrette est ma position préférée, et baiser ma sœur de cette façon est un véritable délice. Son cul musclé est un vrai régal, bien rond, en forme de sablier avec sa taille étroite juste au-dessus. Détail croustillant, deux mignonnes fossettes à la base de la colonne vertébrale ajoutent une touche sexy. Et ce cul magnifique s'offre à moi, prêt à être conquis. Diane est délicieuse, et ma bite ne pourrait pas être plus dure lorsque je pose mes mains sur ses hanches.

Je sépare les deux globes moelleux. Un peu de sperme mousse sur les lèvres roses de sa chatte. Je pointe ma bite vers l'antre poisseux et je pousse vers l'avant, séparant les lèvres de Diane pour cogner ma bite au fond de sa chatte. Diane sursaute et grogne. Dans cette position, je vais plus profond et je dois être plus doux pour ne pas lui faire mal. Elle est serrée mais ma bite coulisse facilement grâce à nos jus mêlés qui tapissent les parois de sa chatte.

La réduction de friction m'aide à renforcer mon endurance, et je la baise froidement pendant un temps délicieusement long. Des bruits de pistons humides s'échappent de nos sexes en mouvement. Le visage de Diane est plongé dans les coussins, ce qui la rend plus silencieuse. Mais sa mélopée s'intensifie, ce qui signifie qu'un nouvel orgasme se construit. Mais je ne veux pas que tout cela s'arrête, alors je ralentis encore mes poussées pour refroidir ses ardeurs.

Par inadvertance, alors que mes mains tâtent ses fesses, mon pouce est venu taquiner son trou du cul. Je me sens assez tranquille avec ça, de toute façon elle ne se rappellera de rien le lendemain matin. A ma grande surprise, cela semble l'émoustiller. J'appuie un peu plus fort et ma première phalange entre sans effort. Elle se cambre un peu pour me signifier son accord. Je déplace mon pouce, entrant et sortant, et je teste son élasticité. Pendant ce temps, je ralentis encore le rythme de ma bite. Je n'ai pas l'intention d'aller plus loin, quand elle relève la tête, regarde autour d'elle avec un regard confus, et me demande :

« Mets ta bite dans mon cul »

Je n'en crois pas mes oreilles.

« Quoi? »

« Encule-moi, j'en ai envie ! »

Persuadé que je suis en train de vivre un rêve éveillé, je ressors de sa chatte crémeuse et pose le bout de ma bite contre son petit trou plissé. Mon pouce l'a déjà un peu détendu, mais je dois quand même appuyer fort pour l'ouvrir suffisamment pour qu'il accepte ma bite. Diane endure vaillamment en essayant de détendre son muscle autant que possible. Soudain, l'anus cède et ma bite saute dans son cul. Diane pousse un cri de douleur et tend son bras derrière elle. Sa main contre mon ventre, elle me dit :

« Attends, ne vas pas trop vite »

Je ne sais pas quoi faire, ni comment me comporter, alors je reste immobile. Quelques instants plus tard, ma sœur retire sa main, me donnant ainsi le feu vert pour entrer un peu plus. Je crache sur ma bite puis je commence à coulisser dans l'étroit canal, entrant et sortant lentement, progressant légèrement plus profondément à chaque poussée, jusqu'à ce que ma bite soit complètement en elle.

Jamais je n'aurais pu imaginer vivre ce moment. Ma sœur agenouillée devant moi, m'offrant son cul soulevé, le visage dans les coussins, avec ma bite enfoncée jusqu'à la garde dans son petit trou du cul serré. Je ne sais pas si je suis le premier avec lequel elle accepte le sexe anal, mais pour moi c'est la première fille qui accepte de m'accueillir ainsi. Je suis simplement stupéfié par les sensations ressenties.

Je ressors presque entièrement, je crache encore un peu plus de salive sur ma bite, et je commence à la baiser. Bientôt, je sens mes couilles se durcir de nouveau, en prévision d'un orgasme intense. Diane gémit fortement en jouant avec sa chatte, d'ailleurs je sens ses doigts sur mes couilles chaque fois que je vais à fond. Soudain, son corps se met à trembler, ses gémissements se finissent par un cri aigu, heureusement étouffé par les coussins, et son anus se resserre sur ma bite, m'empêchant de bouger.

C'est ainsi que j'ai fini, paralysé par le sphincter de ma sœur, déversant mon sperme dans son cul, secoué par les contractions de ses fesses. C'est si intense, physiquement et émotionnellement, que cette sensation m'étourdit. Incapable de me soutenir, mon corps s'affaisse lentement sur le dos de ma sœur. Diane ne va pas mieux, épuisée par tant d'efforts, son corps ne peut pas nous soutenir tous les deux, elle s'allonge sur le matelas, avec moi couché sur elle.

Blotti contre elle, avec ma bite plantée dans ses fesses, nous restons ainsi un long moment, trop fatigués pour bouger. Un ronflement léger m'apprend que ma sœur s'est endormie. Je retire doucement ma bite ramollie. Son merveilleux parfum chatouille mes narines, et j'embrasse ma sœur tendrement dans le cou. Elle murmure un grognement :

« Fais pas chier ! »

Pendant un instant, j'hésite, je suis tenté de la laisser dormir dans mon lit, mais j'appréhende sa réaction au matin, lorsqu'elle sera redevenue sobre. Ensuite, je pense au risque d'être surpris par ma mère, et je décide de la coucher dans son lit. Comme je peux, je porte ma sœur indolente dans son lit. Je l'embrasse une dernière fois et je la laisse dormir. Dans les escaliers, j'ai retrouvé ses sous-vêtements que j'ai jetés en tas avec sa robe dans un coin de sa chambre. Elle aurait probablement fait de même dans son ivresse.

Tard le lendemain, Diane s'est levée avec une terrible gueule de bois. Elle ne semble avoir aucun souvenir de nos ébats nocturnes, même si elle rougit un peu lorsque je lui fais remarquer son inconfort quand elle s'assoit à table. Jamais elle ne me montre de signes d'envies sexuelles lorsqu'elle est à jeun. Je me dégoûte. Je suis un véritable salaud. Profiter de ma petite sœur quand elle est dans un état de faiblesse. Comme chaque fois, les regrets m'assaillent, et je me jure de ne plus recommencer. De résister à ses avances la prochaine fois.

Chaque fois, c'est pareil. Je me jure de me comporter en homme responsable, de ne plus profiter d'elle, et chaque fois je suis incapable de me retenir. Et chaque fois, le lendemain, je suis mal dans ma peau. Je me sens coupable, alors qu'elle ne se souvient de rien. Et chaque fois, mon dégoût et mon mépris de moi-même augmentent. Finalement, j'imagine une solution, la convaincre de moins boire.

Délicatement, avec autant de diplomatie que j'en suis capable, j'essaye de lui suggérer de se modérer. Elle se moque de moi et me dit de ne pas m'inquiéter. Comprenant que Diane ne m'écoutera jamais, et qu'elle n'en fera qu'à sa tête, je décide de biaiser. Le vendredi suivant, quand sa copine Laurence est venue chercher Diane, j'ai profité d'une absence momentanée de ma sœur pour entreprendre ma démarche.

« Pourrais-je avoir un mot avec toi? » Je lui demande à voix basse.

Laurence lève brièvement les yeux de son téléphone : « Ouais? »

« Je suis inquiet pour Diane »

« Inquiet? Pourquoi? »

Au moins, j'ai réussi à capter son attention et elle pose son téléphone.

« Elle boit beaucoup trop, et elle ne sait plus ce qu'elle fait »

« Elle boit? » Répète-t-elle, confuse.

« Tu es sa meilleure amie, peux-tu garder un œil sur elle? »

« Bien sûr, mais je ne comprends pas ton inquiétude. Elle boit très peu. Moins que les autres, en tout cas »

Laurence ne donne pas l'impression de prendre mon inquiétude au sérieux. Alors, j'insiste :

«Elle est en train de se suicider en buvant autant »

Laurence me regarde avec étonnement et reste sans voix pendant un moment. Puis :

« Je viens de te dire que Diane ne boit pas ! Elle est particulière, d'accord, mais elle ne boit pas. Juste des jus de fruits, ou de l'eau. Elle ne boit qu'une bière, juste avant de partir pour rentrer à la maison. Elle ne peut pas se détruire la santé avec juste une bière ! »

Cette conversation n'a aucun sens. Puis, je commence à comprendre. Toutes les pièces du puzzle s'assemblent dans mon cerveau. Ma sœur me joue la comédie ! Elle simule l'ivresse pour baiser avec moi ! La salope !

« Excuse-moi, Laurence. Oublie ce que je t'ai dit et, s'il te plaît, pas un mot à Diane de cette conversation »

Cette nuit, j'attendrai Diane, et son corps sera à moi. Pour toujours.

Rainett
Rainett
63 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a environ 2 mois

Belle histoire ! Et on s'y croirait, on a l'impression d'être à la place de cet heureux frangin. Et la frangine... on en rêve !

Partagez cette Récit

récit TAGS

Histoires SIMILAIRES

Mes Cousines Sont Deux Salopes Mes cousines me suce la queue !
Mes Vacances Avec Ma Tante 01 Les vacances très chaudes avec ma tante en Australie.
Frère Sœur L'improbable La débauche d'une sœur par son frère.
Mon oncle Henri 01 Impétueuse je perds mon pucelage.
La débauche de Manon Un père surprend sa fille et ne peut résister.
Plus d'histoires