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BÊTA PUBLIQUE

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Burns se mit à rire : « Qu'est-ce qui vous fait penser que la jeune Mademoiselle Cooper pourrait vous apprécier ?

— D'abord, à la façon dont elle marche... je crois qu'elle apprécierait n'importe quelle queue sur laquelle elle mettrait la main... Même si elle continue à me traiter comme de la merde... et je crois savoir ce qui se passe...

— Et alors qu'est ce que c'est ?

— Vous avez un moyen de pression sur cette salope snobinarde, Burns... Un truc pour les faire chanter toutes les deux...

— Vraiment ?

— Ouais... Et j'en rien à foutre de ce que c'est... je veux juste... un petit bonus pour moi...

Burns ricana dédaigneusement, puis tira sur son cigare : « Le bonus ! Eh bien alors... le mois prochain je devrai voir trente gros billets dans cette enveloppe ! »

Nick sourit en retour : « J'en parlerais à mon frère... »

***

« Salut Nick... »

Nick tourna la tête et fut surpris de voir Cindy se tenir juste à côté de lui. Il était assis au bar, avec deux de ses coéquipiers de l'équipe de foot, et Irène Cain qui sortait avec l'un des quaterback - certains faisaient courir la rumeur que c'était la cause de toutes les chamailleries entre elle et Cindy...

Le Pizza Pauly était le lieu de sortie idéal pour la plupart des gamins qui restaient dehors tard le soir. C'était un de ces endroits louches qui ne demandent pas aux clients s'ils ont les vingt et un ans réglementaire pour boire de l'alcool. Les ados pouvaient se prendre une bière loin des regards... comme ce soir.

« Hey, les mecs, ce serait pas la nouvelle Britney Spears qui vient nous voir ? » se moqua Irène.

Les garçons sortaient la langue devant ce qu'ils voyaient... ils en étaient à leur seconde bière et se sentaient un peu enivrés.

« Hey salut, ricana Nick. J'aurais pas cru que t'étais autorisée à traîner dans ce genre établissement... »

— Normalement non, » Cindy sourit du mieux qu'elle put... Dans d'autres circonstances si sa mère avait appris qu'elle venait ici, elle en aurait été bonne pour un mois d'interdiction de sortie.

« Alors ? » demanda le grand gaillard.

« Je suis venu pour te voir Nick...

— Ouais ? Et pourquoi ? Je ne savais que t'avais envie de traîner avec moi...

— Nick... » Son estomac se contracta, mais la désobéissance n'était pas une option, cette simple pensée remplissait son cœur d'un désespoir et d'une peur insoutenable. « J'ai besoin qu'on me baise bien à fond... » dit-elle le visage brûlant d'humiliation.

Scott, le quaterback de l'équipe, recracha sa bière en entendant ça... Sa petite amie laissa échapper un petit rire incrédule. Les deux autres gars de l'équipe étaient aussi choqués.

« J'ai besoin qu'on me baise, Nick. J'en ai besoin tout de suite, et tu es si fort... si dur... Amène-moi dans les toilettes... et tringle-moi comme une petite chienne..."

« Cindy t'es une salope pire que je l'imaginais, » dit Irène Cain en applaudissant.

Contrairement à Irène les camarades de Nick restaient muets...

Cindy essaya d'ignorer les réactions stupéfaites des garçons et les ricanements triomphants de sa rivale, mais son visage brûlait de honte.

« S'il te plaît, Nick, tu ne veux pas me donner un peu de bon temps ? S'il te plaît... tout de suite... ce serait si bien...

— Oh bon... » dit Nick avant de finir le reste de sa bière. « Quand une salope vous supplie de la baiser, il faut bien faire quelque chose... »

Il attrapa Cindy par le bras et le traîna brutalement à l'arrière du bar où il y avait une salle de stockage -- le surprenant couple disparu derrière la porte, laissant les potes de Nick sidérés. Ils se pincèrent pour y croire.

Dans la salle de stockage, Nick se régala en ordonnant : « Déshabille-toi, salope... complètement. »

L'uniforme d'écolière de Cindy tomba au sol. Elle était totalement nue quand elle se coucha sur l'une des lourdes caisses qui encombraient la salle.

Nick défit son jeans puis attrapa Cindy par la taille...

Il la pénétra de toute sa puissance... le joueur de foot mesurait trente centimètres de plus que Cindy et pesait le double... le cri douloureux que la fille poussa fut la récompense qu'il recherchait.

« Prends ça, sale conne de bourge. » grogna-t-il, lui entrant agressivement dedans une nouvelle fois, obligeant Cindy à hurler.

« Alors on fait moins la snob hein... »

« Prends ça, salope d'allumeuse... prends tout ce que je te donne... »

« Pute de merde... tu fais moins ta maline avec moi... »

Chacune de ses insultes était accompagnée d'une poussée brutale, et d'un cri aigu de Cindy - jusqu'à ce que les cris se transforment en gémissement de plaisir suite au viol brutal que son jeune corps subissait... Ce plaisir, pour autant qu'on puisse appeler ça du plaisir, était mélangé à la douleur physique et à l'humiliation. Elle pleurait tout en suant comme un animal.

« D'ailleurs... » dit Nick après avoir passé cinq minutes à l'assaillir sans faiblir et en grognant de joie. « J'ai toujours pensé qu'une salope d'allumeuse pourrie-gâtée comme toi avait besoin de se faire enculer profond pour être remise sa place... »

Nick ignora les appels désespérés de sa camarade de classe et avec une grande satisfaction positionna son membre contre son derrière... Il ne se sentait plus de joie - qui d'autre pouvait se vanter d'avoir baisé les deux sœurs Cooper ?

Les cris de Cindy devinrent si fort qu'on pouvait maintenant les entendre dans le bar - dans d'autres lieux cela aurait causé un choc, mais le "Pizza Pauly" était un rade si sordide que cela ne causa que quelques rires parmi les habitués assez proches pour entendre.

« Hey, peut-être que Nick nous laissera la prochaine fournée » dit un de ses amis. « Cette salope aura besoin de plus d'un gars ce soir, pas vrai ? »

Alors les deux gars se faisaient un high-five, Scott regarda Irène comme un gentil chaton.

« Oh, je m'en fous, dit Irène, tu peux la baiser aussi si tu veux... tringler cette salope c'est comme si tu te branlais... »

Son petit-ami sourit sans pouvoir se contrôler, mais Irène mit une condition : « Je veux des photos de cette chienne. Des photos d'elle avec une grosse bite dans sa bouche et plein de sperme sur sa face de snob... alors prend ton téléphone avec toi... »

***

Une semaine plus tard, Cindy était devant le bureau de Burns...

Elle se tortillait nerveusement... Burns ricana intérieurement : qu'était devenue la jeune fille hautaine et sûre d'elle ? Plus de regards condescendent de sa part, plus de réparties malignes, plus de blague sur ses supérieurs, plus d'avis de petite snobinarde - plus de tentatives d'allumer et de frustrer méchamment ses profs et ses camarades... Quoique... habillée comme la salope de l'école, elle devait provoquer plus d'envie qu'elle ne l'eût jamais souhaitée...

« Alors, j'ai cru comprendre que tu es en retard pour le cours de Madame Stratford, Cindy... »

Cindy avala sa salive... C'était vrai, elle était arrivée une petite minute en retard. Une faute mineure dont elle n'aurait vraiment eu rien à foutre une semaine plus tôt. Mais maintenant tout mauvais comportement était suffisant pour donner à Burns une excuse pour discipliner sa servile étudiante... Si Burns voulait lui donner une leçon, il pouvait toujours trouver une excuse, Cindy le savait, mais elle s'en voulait tout de même de lui donner un prétexte aussi commode. Elle savait ce qu'il comptait lui faire et elle en était mortifiée et frustrée : elle serait fessée comme une vilaine fille de 6 ans, puis elle se ferait baiser par Burns, le même homme qu'elle avait l'habitude de ridiculiser en le traitant de fumier et de pourriture il n'y a pas si longtemps...

L'intercom buzza : « Cathy Cooper est ici, Monsieur Burns » annonça la secrétaire.

Burns se pencha sur l'interphone : « Très bien, faites-la entrer, et veuillez informer toutes les personnes concernées que Cathy et Cindy Cooper louperont toutes deux les cours cet après-midi... »

Cindy se crispa encore plus... Depuis que son cauchemar avait commencé avec Burns, elle n'avait presque plus parlé avec sa grande sœur. Elles se lançaient des regards réprobateurs constants, qu'est-ce que ça voulait dire de la faire venir ici ?

Cathy entra dans le bureau de Burns, très surprise d'y découvrir Cindy : « Que fait-elle ici, Monsieur ? » demanda-t-elle avec appréhension.

Burns regarda les deux jeunes femmes avec délice - elles étaient toutes deux à croquer, toutes deux salopes dans un genre particulier : Cindy habillée en tenue d'écolière catholique un peu spéciale et qui était très à la mode parmi les élèves et les professeurs. En gros, une mini-jupe bouffante à carreaux rouge et un chemisier blanc qui devenait presque transparent sous un certain éclairage...

Burns n'avait rien de particulier à faire cette après-midi, et il ne pouvait imaginer de meilleures façons de passer le temps que de remettre les sœurs Cooper à leur place... Qu'elles soient ensemble, enfin...

« Eh bien, Cathy, ta petite sœur est ici parce qu'elle doit être punie. »

« Monsieur Burns, s'il vous plaît, laissez-la en dehors de ça... » plaida la jeune prof, ce qui fit rire le principal.

« Idiote ! Elle est déjà là-dedans jusqu'au cou... » Burns se tourna vers Cindy et ordonna : « Cindy, explique à ta grande sœur ce que tu es... »

Cindy déglutit - elle était si humiliée, elle ne pouvait que regarder ses pieds. Impossible de faire face à Cathy. Mais Burns perdait patience - il répéta :

« Allons, petite idiote, lève la tête et raconte à Cathy ce que tu es, comme je te l'ai enseigné...! Ou alors...! »

Cindy voulait résister - mais cette simple idée était horrible à envisager, au bout de quelques secondes la panique et la douleur devinrent insupportable. Désobéir n'était pas une option. Alors, elle se força à redresser la tête, son visage était rouge pivoine :

« je suis la petite chienne du principal Burns... son petit jouet sexuel... il peut me baiser comme il en a envie, où il en a envie, quand il en a envie... il peut me punir, me discipliner, abuser de moi, m'humilier de la manière qu'il juge appropriée - il est mon maître, et propriétaire. Je suis sa petite esclave sexuelle.

Cindy continua sans marquer de pause :

« Je suis tout juste bonne à le servir et à lui donner du plaisir. Je suis sa putain - sa petite pute ado, je dois toujours m'habiller comme la traînée de lycée... car c'est ce que je suis, une salope d'écolière... je dois donner à chaque homme une bonne grosse érection, parce qu'il n'y a qu'à ça que je suis bonne... J'aime quand les hommes imaginent me violer... me baiser par tous les trous... »

Elle continua :

« J'adore me faire violer et humilier par le principal Burns... j'adore me faire baiser le visage par le principal Burns... J'adore me faire discipliner par le principal Burns. Parce que c'est mon maître, et mon supérieur... Je suis sa chose, sa propriété, sa petite chatte, qui doit constamment se faire baiser et avilir... »

Dire ces choses en face de sa sœur lui causait une humiliation à lui faire couler des larmes.

Cathy regardait avec effroi sa sœur réciter ces paroles horribles et dégradantes. Elle voulait à la fois hurler et l'arrêter - mais le conditionnement était trop fort pour être brisé. Et enfin elle voyait la réalité en face et comprenait : Cindy était elle aussi sous le sortilège de Burns, et rien de ce qu'elle pouvait faire n'y mettrait fin.

« C'est exact... » se rengorgea Burns. « Et maintenant que j'ai deux petites chattes câlines à ma disposition, je vais prendre mon après-midi pour m'amuser un peu... Mais d'abord, il faut punir Cindy pour sa petite bêtise... »

Cindy regarda Cathy, elle aussi avait compris.

Burns n'en avait rien à faire.

« Alors ma jolie... » dit Burns à Cindy. « Tu m'enlèves ta tenue de chaudasse -- mets-toi complètement nue, et penche-toi sur le bureau - tu connais la manœuvre, vilaine chienne... »

Cindy se débarrassa de sa jupe et défit son chemisier, ses mains tremblaient.

Ensuite vinrent ses sous-vêtements...

Burns se cala dans son fauteuil en cuir et alluma un cigare avec un sourire goguenard.

« D'abord la punition... » dit-il en soufflant la fumée, « ensuite ce sera de l'amour entre sœurs... »

La façon dont les deux filles se raidirent à cette suggestion donna une érection immédiate à Burns.

« Oh oui, » il exultait. « je suis impatient de voir la top-model canon devenu prof baiser sa mignonne petite sœur - j'ai toujours adoré les spectacles lesbiens...! Des filles qui se baisent l'une l'autre pour des hommes... Et avec des sœurs si bien roulées, ce sera encore mieux !"

« Tu sais quoi... Cathy soit une bonne pute, déshabille-toi aussi... complètement... et prend cette règle... tu vas rougir le cul à ta salope de petite sœur jusqu'à ce que je dise stop... Vas-y aussi fort que tu peux... si tu sais ce qui est bon pour vous deux... »

Cathy aurait voulu disparaître sous terre... à la place, elle défit sa jupe et son chemisier, jeta un œil sur sa sœur nue et tremblante, et un autre sur l'effrayante règle en bois avec laquelle elle devait amuser leur Maître...

La révulsion et la honte qui battait dans son cœur étaient incommensurables...

Mais, il n'y avait pas d'autre choix...

L'emprise de la pierre Minvari était impossible à renverser...

***

Six semaines plus tard

Burns était assis dans son bureau, observant avec dégoût les photos sur son ordinateur - elles lui avaient été envoyées par un expéditionnaire inconnu, lui indiquant qu'un site web se créait, mais n'était pas encore mis en ligne. Un site web dédié aux sœurs Cooper du lycée Crawford... Cela pouvait lui causer des problèmes, des putains problèmes...

Les photos ne laissaient pas de place aux doutes :

Elle était là - nul autre que Cathy Cooper, la respectable prof de littérature anglaise avec les meilleures recommandations d'entrées qu'un prof ait reçues eu lycée Crawford en train de se faire prendre en tournante dans une salle remplie par les joueurs de foot du lycée... ç'avait été une requête de Nick ; la possibilité d'une pipe par Mademoiselle Cooper pour chaque plaquage et chaque touche réussit. Cela s'était révélé une motivation excellente pour la victoire en demi-finale contre le lycée Greenwood et inévitablement, la troisième mi-temps pour juste quelques-uns s'était transformée en gang-bang collectif avec la prof canon... La victoire en finale avait donné lieu à une récompense encore plus généreuse avec, en bonus, Cindy Copper rejoignant sa sœur pour le plus grand plaisir des garçons - Burns n'en voyait pour l'instant aucune photo, mais il avait peur que cela aussi ait été enregistré.

Il y avait de toute façon plein d'autres photos montrant les deux sœurs en action entre-elles dans la collection :

Certaines semblaient avoir été prises carrément dans ce bureau, même si Burns n'apparaissait dans aucun des clichés - toutes les personnes en dehors de Cathy et Cindy étaient floutées. Mais le bureau du directeur était facilement reconnaissable pour tous ceux du lycée de Crawford. Elles étaient là, les deux filles complètement nues, Cindy donnant une fessée à Cathy avec le plat de la main. C'était une inversion des rôles, l'élève fessant la prof, qui avait eu lieu sur le canapé en cuir de Burns... Sur cette autre photo, il y avait Cathy en train de démonter sa petite sœur avec un énorme gode ceinture noir... Là, Cindy suçant la queue en plastique après qu'elle l'ait violentée... Et ici un long et chaud accouplement lesbien, beaucoup de baisés et de pelotages toujours sur le même canapé en cuir. Burns se rappelait avoir dirigé de nombreuses sessions, et peu lui importait que les deux sœurs haïssent ça, elles finissaient presque toujours en 69, avec une punition supplémentaire si l'une des salopes n'atteignait pas trois fois l'orgasme en quinze minutes. Il y avait plein de ces finales en 69 sur les photos aussi. Et leur visage avait toujours ce sourire de chaudasse que Burns exigeait d'elles. Peu importe à quel point cela révoltait les filles, il n'y avait jamais de protestation ou de désobéissance, ces photos aussi en témoignaient.

Burns cliqua sur une autre photo, et vit Cathy à genoux, sa crinière blonde entre les cuisses grasses et nues d'une autre femme - ça devait être Monica, la grosse secrétaire de Burns. Étant de l'autre côté de la porte, elle était au courant de tout ce qui se passait dans le bureau. Alors Burns avait donné à cette grosse gouine une compensation -- avait-elle pris ces photos ? Peu probable, elle ne trahirait jamais Burns... Pas avec les gros chèques qu'elle encaissait pour les affaires louches de Burns.

Était-ce cette petite ordure de Nick Foster ? Douteux, il y avait plein de photo de lui, qu'on reconnaissait même le visage flouté : Nick tringlant sa prof d'anglais, Nick fourrant la capitaine des pom-pom girls... Il y avait des douzaines de ces photos. Beaucoup plus que Burns ne souhaitait en voir, et plus qu'il pensait que Nick avait droit... Peut-être que c'était bien ce connard de fils de pute... Si c'était le cas, il allait le payer cher ; Burns allait s'en assurer.

Encore d'autres images de Nick : Il y avait des photos de Cindy - de toute évidence prise à la fête annuel de l'entreprise de son frère, à laquelle l'ado blonde était venue dans sa tenue habituelle d'écolière. Elle souriait à des hommes ivres qui prenaient toutes sortes de libertés avec "l'invité" de Nick. Burns avait du mal à imaginer que cela se soit bien terminé pour la jeune fille...

Mais tout n'était lié à Nick -- Il y avait des douzaines de photos montrant Cathy donner des pipes à différents étudiants. Toutes ces photos étaient prises dans sa salle de classe. Apparemment la jeune prof n'avait pas ménagé ses efforts pour obtenir de bonnes notes de la part de ses élèves, comme Burns le lui avait ordonné.

Et bien sûr, il y avait des photos de Mo, le concierge noir et géant du lycée, avec les filles. Ç'avait été le cadeau d'anniversaire de Burns pour colosse de deux mètres et 140 kilos, juste pour se marrer. Les filles avaient détesté ça, bien sûr, mais ça n'avait aucune importante : là, il y avait une photo de Cindy léchant les couilles d'ébène de Mo pendant que Cathy essayait d'enfourner dans sa bouche un simple quart de l'énorme bite noire.

L'interphone buzza :

« Monsieur Burns, il y a un Richard Harrington qui voudrait vous voir... »

Il fallut quelque temps à Burns pour se rappeler qu'il s'agissait du fiancé que Cathy avait laissé tomber sur son ordre. Il portait un exorbitant costume sur mesure et semblait plutôt courtois. Il s'assit en face du principal...

« Comment puis-je vous aider, Monsieur Harrington ? demanda Burns.

— D'abord, j'aurais une question, répondit le jeune homme. Avez-vous vu la version bêta du site web... celui dédié à l'une de vos jeunes étudiantes et à une professeure ? »

Burns fut brièvement déstabilisé, puis il parvint à former un sourire : « Alors, c'est vous qui avez fait ça...

— En bonne partie... » Richard sourit en retour. « Quoi qu'il en soit, j'ai peur que cela puisse se transformer en scandale, pour l'école, et pour vous.

— Possible...

— C'est ce que je pense... Toutefois, je pourrais faire disparaître tout ça... plus de photos, plus de site internet... plus de scandale...

— En échange de quoi ? »

Richard marqua une pause pendant quelques secondes. « Elles. Je les veux...

— C'est-à-dire ? vous voulez retrouver Cathy ? Votre fiancée ?

— Oui, répondit sévèrement le jeune homme.

— Après qu'elle ait baisé et sucé la moitié de l'école ? C'est la fiancée dont vous avez envie ? »

Richard se mit à rire : « Non bien sûr... Je ne voudrais même pas être vu en public avec cette salope... Mais je sais ce qui se passe ici, Monsieur Burns - vous exercez une pression sur elle. Elle et sa chaudasse de petite sœur. Et je veux que vous me donniez ce qui vous permet de les contrôler.

Vous voyez... continua Richard. Après que Cathy m'ait laissé tomber si peu aimablement j'ai commencé à sortir avec une autre dame très séduisante... Une autre mannequin en fait - pas une ex-mannequin comme Cathy, mais une top model qui défile toujours... Et elle a certaines tendances... que je qualifierais de... dominantes envers les autres femmes.