Les Directives du Directeur

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Un directeur de lycée soumet deux sœurs: une prof, une élève.
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(Texte traduit de « Principal Power » de Cindy Silver Eyes)

Tout en faisant un signe d'adieu de la main à sa mère, Cindy se rua vers la BMW rouge qui l'attendait dehors... Cathy klaxonna à nouveau ; elle était toujours furieuse quand Cindy les mettait en retard...

« Salut grande sœur ! » Cindy sauta dans la voiture. « Ou je dois t'appeler professeure ? » elle pouffa.

À 25 ans Cathy avait sept ans de plus que Cindy et était la nouvelle prof du lycée Crawford où elle enseignait la littérature anglaise. Tous les mecs dans la classe de Cindy étaient sous le charme de la jeune enseignante, ce qui mettait Cindy mal à l'aise puisqu'elle entendait des commentaires très cochons sur sa sœur.

Cathy avait toujours été au centre des regards : elle avait commencé une prometteuse carrière de top-modèle après la fac, mais elle avait dû arrêter car son fiancé désapprouvait ce métier. Il venait d'une famille très riche, c'était lui qui lui avait offert cette BMW comme cadeau, du coup son approbation était essentielle pour Cathy. Mais Cindy pensait souvent que si Cathy avait poursuivi sa carrière, elle aurait atteint le vedettariat - elle ressemblait beaucoup à Claudia Schiffer, mais en plus fraîche et en plus jeune.

« T'as pris ton uniforme de pom-pom girl ? demanda Cathy.

— Ouais... répondit sèchement Cindy. » Elle savait qu'elle était canon. Les garçons n'avaient jamais manqué de lui courir après. Elle savait qu'elle était, de loin, la fille la plus populaire de l'équipe de pom-pom girls. Mais sa grande sœur était encore d'une classe supérieure.

« Pourquoi on se dépêche ? » demanda-t-elle. Le premier cours de Cathy ne commencerait pas avant une heure ; elle en était sûre puisqu'elle suivrait son cours.

« Eh bien, ce boloss de Burns veut me voir... » répliqua Cathy.

John Burns était le directeur du lycée Crawford, et était méprisé par tout le monde, que ce soit par les élèves ou par les professeurs. Burns était en poste depuis 15 ans, et quoi qu'il fasse sa place ne risquait pas de lui être retirée. Il était bien pourtant bien connu que le directeur Burns matait les pom-pom girls et qu'il n'arrêtait pas d'importuner les jeunes enseignantes qu'il trouvait à son goût. Que ces enseignantes lui fassent clairement comprendre qu'elles n'étaient pas intéressées ne le dissuadait pas de continuer à les draguer. Et Cathy était sur son radar depuis qu'elle avait posé les pieds sur le campus... Les garçons n'appréciaient pas non plus le directeur - il distribuait des heures de colles à la volée et prononçait des exclusions avec un plaisir non dissimulé.

Il y avait aussi des rumeurs qu'il utilisait sa qualité de directeur d'un lycée privé pour mener des affaires louches. Mais louche ou pas, personne n'avait eu la preuve de quoi que ce soit. Cependant beaucoup se demandaient comme il avait obtenu l'énorme Lincoln Navigator qu'il était si fier de conduire... Ce devait être la seule voiture sur le parking du lycée qui coûtait plus que la BMW de Cathy...

« Pourquoi est-ce qu'il veut te voir ?

— Qui sait ? » Cathy tourna vers la route principale qui menait au lycée Crawford. « En temps normal je n'en aurais rien à foutre de ce que veut ce gros con puant, mais je suis à deux doigts d'obtenir un CDI avec l'école, alors...

— Ben, ne laisse pas ce bâtard te peloter les fesses ou quelque chose du genre... » les deux sœurs se mirent à rire à cette pensée improbable...

Cindy jeta cependant un œil à la tenue de Cathy. Celle-ci s'habillait de manière à éviter que les hommes ne la remarquent, et que Burns n'ai envie de la toucher avec ses mains baladeuses... elle portait une jupe très ample qui lui descendait jusqu'aux chevilles, un pull bien lâche qui parvenait presque à cacher ses plantureux 95C. Son maquillage était sobre et professionnel, ses chaussures étaient à talons plats. Cindy savait que malgré tous ses efforts, Cathy ne trompait personne quant à son corps de rêve, et encore moins ses élèves. Du temps où elle était top-modèle, elle portait des habits qui mettaient en avant ses atouts et mettaient les hommes sur des charbons ardents. Mais même avec des vêtements fades, elle restait une bombe sexuelle.

Son attitude aussi avait radicalement changé. C'était prof sévère et qui ne s'en laissait pas compter ! Elle compensait sa jeunesse et son inexpérience -sans parler du reluquage de ses élèves- en agissant comme une garce auprès des camarades de Cindy... Surtout des garçons. Son premier jour, les garçons avaient bavé sur elle puis l'avaient sifflée. Cathy en avait bouilli de colère...

Grande sœur détestait ne pas être prise au sérieux ; toute gamine, Cindy avait déjà appris cette leçon...

*****

La jeune prof s'ennuyait pendant que John Burns la fixait avec un mélange de mépris et d'envie. Cathy Cooper était la prof la plus belle, la plus sexy, la plus baisable qui ne soit jamais entrée au lycée Crawford, aucun doute là-dessus... C'était incroyable qu'une top-modèle à tomber par terre décide de tout laisser derrière elle à 25 ans pour devenir une prof collet- montée à son école...

Le problème c'était son attitude... cette garce snobinarde le jugeait. C'était évident qu'elle le méprisait du plus profond de son être : elle ne répondait presque jamais à ses salutations, et n'envisageait même pas de bavarder avec lui. Elle le traitait comme s'il était un pestiféré. À chaque fois qu'il la croissait, elle semblait se retenir pour ne pas se boucher le nez tellement elle le trouvait dégoûtant. Comme si Burns était trop abject pour ses yeux angéliques.

Cela n'empêchait Burns de la déshabiller du regard. Il lorgnait la hautaine jeune femme à chaque occasion qui se présentait à lui... Il savait que les élèves le détestaient, que les professeurs pensaient qu'il était un dictateur en herbe, que les jeunes enseignantes se plaignaient de ses regards déplacés.... Qu'ils aillent tous se faire foutre ! Il s'en branlait de ce qu'on pouvait penser de lui.

Mais le mépris de Cathy le faisait chier - pour qui elle se prenait cette connasse pourrie-gâtée ? C'était une putain de mannequin idiote qui s'était fait photographier en bikini, et elle avait le toupet de le juger ? Elle se comportait comme si c'était une foutue sainte, mais avec un corps de succube... Quelqu'un allait devoir la remettre à sa place... Burns fermait souvent les yeux et fantasmait en imaginant baiser Cathy chaque fois qu'il en aurait envie, comme il en aurait envie, et aussi souvent qu'il en aurait envie.

Chaque fois qui la voyait, un scénario sexuel surgissait dans sa tête. Toujours d'une brutalité extrême. Mais il était ce genre d'homme : son ordinateur personnel archivait des gigaoctets de photos de femmes en bondage, des milliers d'histoires qui impliquaient la domination et l'humiliation de jeunes et jolies femmes... C'était son kiff, même s'il devait se contenter de prostituées pour assouvir ses envies... Il était divorcé, père de deux enfants et s'approchait de la cinquantaine. Il avait déjà survécu à une garce dans sa vie, il n'avait aucune intention de se laisser piéger par une autre...

« Mademoiselle Copper, » il sourit à la jeune femme assise de l'autre côté du bureau.

« Que voulez-vous, Monsieur Burns ? » répliqua froidement Cathy, de toute évidence contrariée. « Y a-t-il une bonne raison à ce que vous me convoquiez à votre bureau ? Parce que j'ai d'autres affaires dont je dois occuper...

Burns continua à sourire malgré sa colère. Tu vas t'occuper d'affaires vraiment importantes bientôt, salope, pensa-t-il

« Ceci, » il sortit une petite pièce verte de sa poche, « est la raison pour laquelle je vous ai fait venir. »

« Qu'est-ce que c'est ? » demanda la jeune femme, confuse. Ça ressemblait à un artefact d'Amérique latine.

« Je voyage au Mexique de temps en temps, expliqua Burns. Les putes sont moins chères là-bas, si on sait où chercher... » Il se réjouit de voir le visage de Cathy outré, mais il ne s'arrêta pas : « En tout cas, j'ai acheté cette petite pierre magique - ça s'appelle une pierre Minvari - à un vieux gitan qui vivait là-bas la semaine dernière. Ça m'a coûté 50 dollars... mais ça marche à merveille... une femme que j'ai rencontrée au centre commercial pourrait vous le confirmer, mais il faudrait que je la relâche d'abord...»

Il joua à pile ou face en lançant la pierre dans les airs, la laissant tourner et retourner, captant le regard de Cathy...

Son sourire s'accentua alors que les yeux de la jeune femme étaient verrouillés sur la pièce, son regard devenait de plus en plus vide - exactement comme prévu.

La pierre Minvari avait encore marché...!!

Et cette fois, Burns n'avait aucune intention de se contenter d'un simple essai...

*****

Deux semaines plus tard, Burns entra dans son bureau à neuf heures, comme d'habitude.

Ce qui l'attendait était une vision de rêve, et il commençait tout juste à s'y habituer.

La vue de Cathy Cooper, nue, à genoux...

La jeune prof était dans la position de salutation qu'il lui avait enseignée :

Ses genoux étaient écartés, laissant voir toute sa nudité. Son corps était droit comme une flèche. Ses mains serrées derrière son cou et ses magnifiques nichons étaient poussés en avant, comme une offrande obscène.

« Bonjour, Maître. S'il vous plaît, baisez-moi... » implora la jeune femme comme elle y était entraînée.

Burns sourit -- il n'y a sûrement pas de meilleure façon de démarrer une journée que d'être salué par une magnifique top-modèle nue dans son bureau, suppliant de se faire utiliser...

Elle avait attendu là, dans cette position pendant une heure avant que son Maître n'arrive...

« Bonjour salope, » répliqua Burns. « Suce ma bite... »

« Merci Maître » répondit-elle rapidement se déplaçant immédiatement vers son entre-jambes comme une bonne esclave soumise.

On pouvait entrapercevoir sa répulsion dans ses yeux, cachée derrière un visage soumis et prêt à obéir. Burns souleva le menton de la jeune prof, il regarda ses grands et beaux yeux.

« Tu aimes servir ton maître, n'est-ce pas esclave ? »

Cathy hocha la tête sans hésitation, mais une légère grimace la trahit.

Parfois, le conditionnement avait des limites. La pierre Minvari fonctionnait grâce à la peur - il inspirait à la captive une peur absolue de désobéir au possesseur de la pierre, même si c'était irrationnel. C'était la beauté de la chose. Burns pouffa, même pas contrarié ; il aimait savoir que cette conne hautaine souffrait d'en être réduite à ça.

C'en était que plus drôle...

« Alors vas-y, salope... suce ma queue ! »

Et juste comme ça, la jeune femme le débraguetta. Burns était sûr que la plupart des hommes ne pouvaient concevoir de plus grand plaisir qu'avoir une femme comme Cathy à leurs genoux, leur suçant la bite. Et c'était un super remontant de voir sa queue bien dure disparaître dans ce beau et fier visage. La jeune femme faisait preuve d'un dévouement absolu à la tâche, comme on pouvait s'y attendre d'une esclave sexuelle, qu'elle soit volontaire ou non...

Burns grogna quand la langue de Cathy se mit à faire pression aux bons endroits, et que ses lèvres rouges et sa gorge serrée massaient doucement sa bite. Elle était vraiment un bon coup dans chacun de ses trous. La plupart des hommes auraient été ravis rien que de tenir Cathy dans leurs bras - Pas Burns : Lui avait le droit d'utiliser et de jouir de Cathy, son esclave sexuelle, de façon que les autres n'étaient même pas capables d'imaginer... Il aurait payé des putes en or pur, aucune n'aurait accepté ce qu'il faisait endurer à Cathy. Et pourtant Burns pouvait le faire chaque jour avec son jouet à baise, depuis deux semaines.

Mais il avait d'autres idées pour s'amuser encore plus...

Il allait donner une petite leçon d'éducation à une jeune salope... maintenant que Burns était certain des pouvoirs de la pierre Minvari....

*****

« Hey, salut, Cin... T'as l'air tellllllllement canon ce matin...! »

Cindy leva les yeux au ciel en entendant Nick Foster - C'était un tel porc. Les joueurs de foot étaient normalement populaires, mais pas ceux dans son genre. Pour Cindy, Nick n'était qu'un gros con ; il était grand, massif et fort, mais c'était une brute et un trou du cul... Pas étonnant qu'il joue en défense ; il n'avait pas la finesse pour jouer dans une position plus complexe. Il adorait taper sur les gosses plus petits que lui, et draguer les pom-pom girls, même si elles ne répondaient pas ses avances. La plupart des filles aimaient flirter avec des joueurs de foot, mais pas avec des voyous comme Nick, peu importe sa taille ou son niveau sportif...

Peut-être que des filles moins populaires pouvaient se satisfaire de ce genre de type...

« T'es presque aussi sexy que ta grande sœur ! Sérieux j'adoooorre les cours de Miss Cooper... »

Les deux types marchant avec lui se joignirent à lui en rigolant...

Le visage de Cindy devint rouge de rage -- elle détestait ça quand des types faisaient ce genre de commentaires sur sa sœur, et maintenant que Cathy était prof au lycée Crawford elle en entendait constamment. Et puis elle était sûre que Nick la faisait chier parce qu'il avait une rancune particulière contre Cathy... elle l'avait envoyé deux ou trois fois en heures de colle, ce qui l'avait empêché de participer à des matchs de foot...

Mais c'était tout ce que Nick méritait pour faire le bouffon en classe.

« Ta gueule » répliqua-t-elle froidement, ne faisant que causer plus de rires.

« Ouais, je vais me la taper par tous les trous, » dit l'un des gars, et ils rirent encore plus - Cindy s'éloigna rapidement alors que l'un d'eux cria : « Et on te baisera aussi Cindy...! » C'était un motif suffisant pour aller chez monsieur Burns et obtenir l'exclusion de ces trous du cul, mais Cindy n'aurait jamais osé faire ça...

À la place, elle se dépêcha d'aller en cours et prit un siège au fond de la salle.

Elle n'avait pas encore vu Cathy ce matin - elle ignorait pourquoi, mais ces deux dernières semaines Cathy partait à l'école plus tôt. Cindy devait demander à sa mère de la conduire au bahut.

C'est pourquoi elle fut aussi choquée que le reste de la classe quand sa sœur entra en classe. Aujourd'hui, la Cathy qui avait l'habitude de s'habiller modestement, qui ne portait que des vêtements larges et fades avait disparu. La top-modèle reconvertie dans l'enseignement portait une jupe noire serrée qui lui ne descendait même pas à mi-cuisse. Son arrière-train admirable et ses cuisses fines étaient moulés à la perfection. En haut, elle portait un pull en cachemire bleu saphir lui collant à la peau et qui mettait en avant sa poitrine ferme de façon obscène. Cindy pouvait même distinguer les détails de la dentelle du soutien-gorge de sa sœur à travers le tissu fin et doux.

Elle portait des bas noirs en dentelle et un porte-jarretelles qui pouvait se voir quand elle s'asseyait - c'était un choix de vêtements absolument inapproprié pour une prof faisant cours. Elle portait des talons de dix centimètres - plus haut, ç'aurait uniquement convenu à une strip-teaseuse. Son maquillage n'était plus subtil et distingué comme elle l'aimait ; à la place elle avait appliqué un rouge à lèvres rose tape-à-l'œil et à un fond de teint épais, cela lui donnait l'air d'une jeune fille.

Malgré le fond de teint, Cindy pouvait voir que sa sœur était gênée par ce que ses vêtements l'obligeaient à exhiber. Elle ressemblait plus à une poule cherchant à plaire aux hommes, qu'à une prof d'un lycée privé cherchant à imposer le respect aux élèves... Cindy était incapable de comprendre ce qui était passé dans la tête de sa sœur pour qu'elle vienne à l'école comme ça.

Cathy déglutit un long moment avant de parler :

« Les élèves puis-je avoir votre attention ? » dit-elle d'une voix tremblante.

« Vous avez toute notre attention rien qu'en vous montrant comme ça, prof ! » dit un des gars du fond en ricanant - c'était Nick, bien sûr.

Cathy fit de son mieux pour ignorer l'élève indiscipliné, ce qui était une sacrée nouveauté ; normalement Cathy aurait donné un mot à Nick et l'aurait envoyé voir Burns sur le champ. Et elle aurait aussi balancé une réplique bien sentie pour se moquer de ses capacités intellectuels limités. Aujourd'hui, elle préférait ignorer Nick et continuer sur sa lancée.

« Monsieur Burns m'a convoqué dans son bureau hier - comme vous le savez je cherche à obtenir un CDI avec l'école, et je le souhaite vraiment, vraiment beaucoup... Mais mon mauvais comportement envers les élèves s'est révélé un obstacle majeur. »

Cathy avala de nouveau sa salive, et parvint à continuer : « Je réalise maintenant que j'ai été une sale garce depuis que j'ai commencé à enseigner ici. »

Il y eut en des ricanements et des chuchotements dans toute la classe.

« Le directeur Burns m'a réprimandée très sévèrement pour ma bévue et dorénavant mon engagement en CDI dépendra de l'évaluation que je recevrais en fin d'année scolaire, » continua à expliquer Cathy.

« Cette évaluation sera basée sur les critiques que vous me donnerez à la fin de l'année. Chaque étudiant m'attribuera aussi une note. Cette note reflétera votre avis sur mon comportement, si je me suis suffisamment améliorée et si je suis devenu suffisamment aimable envers les élèves. Monsieur Burns lira chacun de vos comptes-rendus et décidera si je suis autorisé à rester de façon définitive.

Des ricanements et des blagues fusèrent dans toute la classe à la suite des paroles de Cathy - son visage était devenu cramoisi pendant qu'elle expliquait sa situation aux élèves.

Donc, dorénavant, je ne serais plus une sale garce... et je ferais de mon mieux pour que nos relations s'améliorent... » conclut Cathy en souriant honteusement. « Des questions ?

— Mademoiselle Copper ? » C'était Irène Cain qui levait la main.

— Humm, vous pouvez m'appeler Cathy maintenant, Mademoiselle Cain, » dit la jeune professeure avec une voix tremblotante. « Monsieur Burns pense que cette inversion sur la façon de nous appeler me sera bénéfique. Que puis-je faire pour vous, Madame ? »

« Eh bien, Cathy... » Irène sourit avec condescendance, « Est-ce que Cindy vous notera aussi ? C'est votre petite sœur adorée après tout, et je ne pense pas qu'elle sera impartiale... »

Il y eut encore plus de rires dans la classe. Cathy et Cindy avaient la gorge sèche chacune de leur côté et leurs regards se croisèrent - Cindy ressentait l'humiliation suffocante de sa sœur.

« Non, Madame. Cindy n'aura pas droit de me noter, vous avez raison... » répondit Cathy.

« Oh, bien, » répliqua Irène avec un autre sourire hautain - Cindy et Irène étaient toutes deux membres des pom-pom girls et elles étaient en froid... c'était une bonne occasion pour Irène d'appuyer là où ça faisait mal...

« Hey, Cathy... » c'était Nick qui levait la main cette fois.

— Oui Nick... Monsieur Foster... Que puis-je faire pour vous ?

— Eh bien, je voulais dire que j'adore ces nouvelles règles et votre nouvelle attitude... Et je vous évaluerais de façon très appondit les prochains mois... je dois dire qu'en vous regardant ce matin, on est mis en appétit.... c'est un bon début... Bravo ! »

Il y eut de grands éclats de rire de tous les coins de la salle, et quelques applaudissements - les garçons s'amusaient particulièrement.

Cindy était sûre que ça sa sœur allait se mettre en rogne... Cathy avala sa salive et parvint à répondre : « Merci Monsieur Foster... » dit-elle à voix basse. « Je vous prouverais que peut être une bonne enseignante... »

Cindy frissonna devant l'humiliation de sa grande sœur alors que ses camarades de classe se moquaient et la mataient impunément - Cathy était-elle devenue complètement folle ?

Elle essaya de rattraper Cathy après le cours - mais alors que les deux sœurs allaient discuter, et que Cindy allait demander ce que c'était que toutes ces conneries, les haut-parleurs du lycée se mirent bruyamment en marche :

« Cathy Copper au bureau du directeur, Cathy Cooper au bureau du directeur... »