Les Directives du Directeur

BÊTA PUBLIQUE

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C'était le genre de communiqué généralement réservé pour les élèves indisciplinés. Quant à la voix, c'était celle de la grosse secrétaire de Burns.

« Immédiatement ! » cria-t-elle dans son micro pour finir.

Cathy se rua vers le bureau du directeur avant que Cindy ne puisse lui toucher un mot - En courant, la jupe moulante enveloppait le cul de sa sœur et provoquait des regards appuyés de la part des étudiants et des profs...

Cindy resta derrière, la bouche ouverte...

******

Quand Cathy parvint au bureau du directeur, elle fut accueillie par la secrétaire qui se pissait dessus de rire et lui faisait un signe de tête vers la porte de Burns.

Burns fumait un cigare dans le bureau, ce qui était contraire au règlement, mais il s'en fichait bien. Il regarda Cathy et se marra : « Une pipe, salope. » Dit-il simplement en tirant une autre bouffée de son cigare...

« Oui, Monsieur... » Cathy déglutit et se mit à genoux devant le fauteuil en cuir de Burns, son visage était incandescent de honte - une frustration profonde la mangeait de l'intérieur, même si elle souriait à son Maître qui l'avait forcé à s'humilier devant une salle de classe toute entière.

Elle pouvait le souhaiter autant qu'elle voulait, il lui était impossible de désobéir. L'influence de la pierre était trop forte... la simple idée de se rebeller était suffisante pour déclencher des vagues de peur dans son cœur.

« Au fait... ta petite sœur... » dit Burns entre deux grognements, alors que Cathy prenait le chibre dans sa bouche de velours.

*****

« Cindy Cooper au bureau du directeur... Cindy Cooper au bureau du Directeur... » cette fois la sono s'activait pour Cindy.

Quand elle arriva au bureau de Burns, Cindy faillit heurter sa sœur -- elle sortait en hâte, de la même façon qu'elle était entrée. Cindy remarqua de nouvelles salissures sur son pull bleu saphir, mais elle n'eut pas le temps de lui parler, la secrétaire de Burns enjoignait la jeune sœur à entrer...

Cindy s'avança et prit un siège en face de Burns -- quel putain de sale porc...

Il leva les yeux des papiers posés sur le bureau et demanda : « Alors Cindy Cooper... vous êtes capitaine des pom-pom girls, toute sexy et mignonne comme il se doit ?

— Oui, ça doit être moi... dit Cindy ne cachant pas son agacement - elle avait beau être qu'une élève, elle n'était pas tenue d'écouter ce boloss. Qu'est-ce qu'il pouvait lui faire ? Même si elle ne savait pas pourquoi elle était convoquée, elle était certaine de n'avoir enfreint à aucune des règles de l'école.

« Mais c'est vrai... vous êtes presque aussi jolie que votre grande sœur, hein ?

— C'est quoi votre problème ? répondit sèchement Cindy. Bon, monsieur Burns pourquoi je suis là ? Je suis plutôt occupée, vous savez... l'entraînement des pom-pom girls commence bientôt... Si vous avez quelque chose à dire, dites-le qu'on en finisse vite.

— Oui, oui... je ne voudrais pas retenir inutilement une jeune demoiselle aussi occupée que vous ma chère... je vais aller droit au but alors... j'ai cru comprendre qu'il y avait eu des graffitis à propos de moi dans les toilettes des filles ? Il y en a toujours dans les toilettes pour hommes bien sûr - mais si vous ,les filles, vous vous y mettez aussi... hmm ?

Cindy resta immobile un moment, puis elle explosa de rire à s'en frapper les cuisses.

« Oh oui, je crois qu'il y en a Monsieur Bruns... Vous devez avoir raison... »

Elle pensait à tous les graffitis sur les murs : "Burns le boloss !... Burns le pervers !... Burns le répugnant !... Burns : grosse voiture, p'tite bite !"

Et il y avait des dessins hilarants - Burns avec de grandes oreilles, un grand nez et une grosse tête... ou Burns transformé en cochon, ou en chien avec la langue pendue jusqu'au sol... Il y avait même un dessin d'une énorme merde en forme de Burns... La plupart des filles trouvaient ce dernier dessin répugnant...

« Vous trouvez ces illustrations amusantes, jeune demoiselle ? » demanda Burns.

Cindy y réfléchit une seconde -- qu'est-ce que ce nul pouvait lui faire ? Ce n'était pas un crime de trouver des graffitis amusants -- et ce n'était pas elle qui les avait dessinés...

« Oui -- oui je les trouve plutôt drôles, Monsieur Burns, » dit-elle, en le défiant du regard. « Je ne les pas dessinés, et je ne sais pas qui les a tracés, mais je pense qu'ils sont formidables... et drôles... vous allez me donner une punition pour ça ? » elle s'adossa à sa chaise, sûre d'elle et très heureuse de remettre Burns à sa place. Il avait peut-être le titre de directeur, mais ce n'était rien d'autre qu'un trou du cul et un minable, et c'était génial de pouvoir lui dire en face...

Surtout après les saloperies qu'il avait dit à Cathy. Sa grande sœur aurait dû lui botter les fesses...

Cependant, Burns restait calme : « Une punition, jeune demoiselle ? ça peut vous arriver plus vite que vous ne le pensez... »

Le directeur sortit sa pierre Minvari et joua avec. Cindy continuait à afficher sa morgue... jusqu'à ce que ses yeux croisent le maléfice distillé par la petite pièce verte.

***

Cathy était assise en face de son fiancé, Richard Harrignton III, dans un café huppé de Berverly Hills. Richard avait dix ans de plus et était un avocat d'affaires richissime et recherché... Comme son père et son grand-père avant lui. Trois générations de riches républicains pur jus.

« Cathy, cette tenue ne serait-elle pas trop osée pour une enseignante ? demanda-t-il d'un ton désapprobateur. Richard était celui qui avait poussé Cathy à quitter le mannequina, pour adopter un métier plus honorable... et professeure, avait-il pensé, était un métier suffisamment respectable pour sa future femme. Sauf si elle avait l'intention de s'habiller de façon à ce que ses élèves bourrés d'hormones se masturbent en pensant à elle.

Cathy déglutit et pendant un instant fugace envisagea de ne pas réciter les phrases que Burns lui avait gravées dans le crâne... mais cette pensée éphémère fut suffisante pour qu'une lame coupante de peur s'enfonce dans son cœur.

« Eh bien, Richard, j'aime que les hommes me regardent, qu'ils me matent... même mes élèves... surtout mes élèves, quoi de mal à ça ? J'adore ça... Alors je fais de mon mieux pour capter leur attention...

« Mais, qu'est-ce qui te prend? » s'indigna Richard.

« Tu m'as comprise... J'aime que les élèves me déshabillent des yeux, aient envie de me violer en me voyant... Que tous les hommes veulent me violer... j'aime qu'ils bandent sur moi... c'est ça que j'aimais quand j'étais mannequin...

— Doux Jésus ! cria Richard.

— Et je m'emmerde avec toi Richard... C'est pour ça que je suis venu ; pour te le dire en face. Je te largue, je vais prendre mon pied sans toi...

— Qu'est-ce qui te prend ? » marmonna Richard reposant son verre de vin sur la table.

Mais Cathy n'était pas d'humeur à écouter les objections de Richard. Elle était déjà debout. « Adieu, Richard, » dit-elle la voix ferme. Elle s'en alla jusqu'à sa BMW rouge que son fiancé lui avait offert...

******

Cindy glapit une nouvelle fois : « Sept ! Le Directeur Burns a toujours raison ! Je suis une salope minable ! »

Son jean et sa culotte étaient retroussés sur ses chevilles et elle était penchée sur le bureau de Burns

Burns était debout derrière elle, s'exerçant avec une bonne vieille règle en bois. Il fléchit son bras droit et assena un autre coup sur les fesses nues de Cindy.

« Huiit! Le Directeur Burns a toujours raison ! Je suis une salope minable ! » cria la jeune fille de dix-huit ans. Son visage était cramoisi, reflétant un mélange de choc, de honte et de douleur.

« Neuf ! Le Directeur Burns a toujours raison ! Je suis une salope minable ! » cria-t-elle à nouveau alors qu'un nouveau coup lui cinglait les fesses et que ses mains agrippaient les bords du bureau.

« Dix ! Le Directeur Burns a toujours raison ! Je suis une salope minable !

— Bien, t'en aies à la moitié... » remarqua Burns avec une fermeté vengeresse. « On fait une petite pause. »

Cindy soufflait et tremblait, mais pourtant, pas un instant elle ne songea à abandonner sa position indécente et honteuse.

Burns saisit l'interphone et s'adressa à sa secrétaire : « Madame Loews, pouvez-vous informer les professeurs de Cindy Cooper qu'elle sera absente pour le reste de la journée... et qu'elle aura deux heures de colle après l'école, dans le bureau du Directeur...

— Oui, Monsieur.

— Tu sais, » Burns se tourna vers Cindy alors qu'il raccrochait l'interphone. « J'ai toujours voulu baiser une petite pom-pom girl bien sexy... une salope pourrie-gâtée au cul bien ferme... comme toi, p'tite chienne... tu te balades dans ce costume scandaleux, pour provoquer les hommes, montrer tes nichons et ton cul... une de ces salopes d'allumeuse ne demandant qu'à se faire violer et troncher... »

Il saisit à nouveau la règle.

« Cindy Cooper, tes heures de colle vont se passer comme j'ai toujours pensé que de sexy petites pom-pom girls devraient se faire coller... D'abord il y a la partie punition... ensuite il y a la partie où la vilaine petite salope se fait baiser... »

Il resserra sa prise sur la règle.

« Rien d'extraordinaire -- L'élève punie va devoir se racheter pour son mauvais comportement... Elle fera de son mieux pour prouver qu'elle est une bonne fille... ce qui veut dire offrir à ses supérieurs des faveurs sexuelles...

Burns fléchit son bras, regardant le cul nu, étroit et encore vierge de Cindy... un morceau de choix ! tout juste dix-huit ans... capitaine des pom-pom girls... tout ça rien que pour lui. Elle était prête à faire tout ce dont il avait envie... Plus jamais elle ne chercherait à se moquer de lui, à le contrarier... elle était prête à se faire niquer comme une salope... Burns voulait la pénétrer tout de suite... mais il devait d'abord finir de la punir...

Ses yeux tombèrent sur le jean tirebouchonné au pied de la jeune ado terrorisée. « Au fait, ce genre d'habit t'est maintenant interdit... ce n'est pas approprié pour la salope de l'école... faudra aussi qu'on en parle... »

Burns ne mégota pas sur le coup suivant, la pom-pom girl poussa un long cri de douleur...

« Onze ! — Le Directeur Burns a toujours raison ! je suis une salope minable ! » hurla Cindy, alors que des larmes lui coulaient des yeux...

***

Buns était assis à son bureau le matin suivant. Il alluma un cigare... il était encore épuisé des efforts fournis le jour précédent -- il avait quarante-huit ans après tout et tringler une pom-pom girl de dix-huit ans, ce n'était plus de son âge... mais c'était pourtant le genre d'exercice qu'il souhaitait poursuivre plus avant...

L'intercom de son bureau se fit entendre : « Monsieur Burns, Nick Foster est là...

— Bien, faites-le entrer, » dit-il à sa secrétaire. Nick Foster était un gamin braillard avec de sérieux problèmes de discipline. Burns l'avait mis en colle plusieurs fois avec satisfaction. Mais chaque pièce à son usage, et Burns sentait que lui et ce Monsieur Nick Foster pouvaient avoir des intérêts communs.

L'ado imposant s'assit en face de Burns - Il était costaud pour son âge, pas surprenant qu'il soit le défenseur star de l'équipe de foot de Crawford.

Burns ne perdit pas de temps en politesse :

« Nick... J'ai cru comprendre que ton frère est propriétaire d'une papeterie ?

— Ouais, c'est vrai...

— Eh bien... ça m'intéresse... tu vois, on achète toutes sortes de fournitures pour l'école... On pourrait se faire livrer par l'entreprise de ton frère...

— Aaah clair...

— En échange d'un bonus... » Burns regardait le grand gamin droit dans les yeux.

— Un bonus ?

— Oui... un renvoi d'ascenseur. Qu'il nous fasse une passe si tu préfères... qu'il me paie directement... et discrètement...

Burns fit une pause.

« Tu crois pouvoir arranger ça pour moi, mon jeune ami ? Je dois avoir un intermédiaire fiable dans ce genre d'affaire...

Nick rit tout bas... les rumeurs disaient que Burns était un enfoiré de ripoux, et là, il le constatait pour de vrai. Et il n'en avait rien à foutre... aider son grand frère à se faire un peu de blé ? c'était bonnard. Mais lui, il y gagnait quoi ?

« Ben, sûr... » dit le jeune homme. « Y a pas de blème... mais je veux ma part ; il y a quoi comme thune pour moi ?

Cette fois c'est Burns qui laissa échapper un rire...

« L'argent, il y a rien de plus simple... Mais j'ai un meilleur marché... bien meilleur...

— Ouais ? Vous pouvez faire quoi pour moi ? »

Burns rit à nouveau et tira une autre bouffée de cigare. « On va en parler, mon grand garçon... »

***

Comme le jour précédent, Cathy était habillée de manière indécente... une robe rouge d'une pièce qui lui moulait les formes, pas de manches et si la robe lui montait jusqu'au cou elle ne descendait pas jusqu'à ses genoux... de nouveau ses talons mesuraient plus de dix centimètres et son maquillage était bien plus épais que ce qui était normal pour une enseignante de lycée.

Les élèves passaient tout le cours à baver sur elle et à s'amuser de leur statut supérieur. Les longues conférences sur Shakespeare étaient finies. Les cours de Cathy étaient maintenant les plus agréables du lycée Crawford... toutes les blagues étaient tolérées, elles étaient même accueillies avec admiration par la jeune prof... il semblait que Cathy soit prête à tout pour gagner l'approbation de ses élèves.

« Monsieur Foster, dit la jeune femme alors que la sonnerie mettait fin au cours, pourriez-vous rester quelques minutes ? »

Nick fit sa grimace typique à la requête de Cathy : « Bien sûr, prof, comme vous voulez... »

Ils furent bientôt seuls dans la classe. Cathy marcha jusqu'à la porte qu'elle verrouilla pendant que Nick la regardait faire un peu perplexe.

Elle revint alors devant Nick - assez proche pour toucher la grande brute.

« Nick, j'ai été tellement garce... » elle chuchotait, sa main se plaça sur le torse de son élève qu'elle caressait à travers son t-shirt. « La vérité c'est que tu me rends siiii chaude... tu es si grand et si fort.... tu pourrais me soumettre avec tes poings, faire de moi ce que tu veux... je devrais être ton professeure, et pourtant tu te moques de moi tout le temps... Je devrais te punir, j'essaie vraiment...

Mais au fond, je suis tellement excitée... me faire humilier et ridiculiser par un garçon si fort... être remise à ma place... ça me rend folle... j'en mouille ma culotte... J'imagine que tu te lèves, que tu m'attrapes par les cheveux, que tu déchires mes vêtements... en plein cours... devant toute la classe... tu me violes comme une esclave de harem... tu me prends de force par le trou que tu veux... tu me fais crier... de terreur, de plaisir... je ne pense qu'à ça, tout le temps... »

Elle s'arrêta de parler et d'un mouvement de sa main elle commença à descendre la fermeture éclair dans le dos de sa robe.

Elle chuchota encore : « Et puis il y a le petit souci de l'évaluation de fin d'année... Monsieur Burns a été très clair avec moi, si je n'ai pas ton accord, j'échouerais pour mon CDI. Peu importe si tous les autres élèves me donnent de bonnes notes... »

La robe tomba sur le sol, lassant l'ex-top model en lingerie. C'était l'ensemble le plus osé de sa collection, et les talons étaient de quinze centimètres.

« Je serais votre petite salope, Monsieur Foster. Une petite salope qui rêve de vous servir et est prête à tout pour se faire baiser par vous... parce que je suis trempée en pensant à votre bite... et parce que j'ai besoin d'une bonne critique de votre part... et parce que je suis excitée par ce que j'aurais à faire pour avoir votre bonne note... »

Le sourire de Nick s'élargissait progressivement jusqu'à s'étendre d'une oreille à l'autre.

« Je me masturbe chaque nuit avant de m'endormir en m'imaginant à vos genoux, à sucer votre puissante queue, Monsieur... alors laissez-moi faire... » chuchota-t-elle avant de s'agenouiller devant le cancre.

Elle débraguetta la grande brute avec le sourire le plus pétasse qu'elle pouvait lui offrir.

« Salope, retire ton soutien-gorge... l'interrompit Nick. Je veux voir tes gros nichons... »

Cathy déglutit et répondit : « Oui, Monsieur. » Ses mains déclipsèrent le soutif, mettant sa poitrine à nue devant l'élève.

Elle sortit la bite bandée de Nick du pantalon et en lécha le gland, souriant toujours comme si elle était submergée d'un désir insatiable pour le bouffon de la classe.

Son sourire était parfait...

Pourtant, dans son cœur, elle détestait ce jeune trou du cul arrogant avec sa tête de con et son sourire méprisant.

***

Une semaine plus tard, Burns grognait en agrippant la chevelure blonde placée devant son entre-jambes, il gardait la tête de Cindy bien en place pendant qu'il lui éjaculait au fond de la gorge. Il n'y avait rien de tel que de baiser un beau visage de toute juste dix-huit ans - un plaisir dont il profitait maintenant à chaque déjeuner... Et c'était encore plus savoureux en sachant que la sœur de cette petite salope avait été agenouillée à la même place ce matin, suppliant elle aussi de se faire baiser par son Maître.

Un souhait qui lui avait été accordé, comme toujours... Burns n'avait d'ailleurs dit à aucune des deux sœurs les nouvelles tâches que l'autre devait accomplir - ça lui semblait être une bonne petite blague à leur faire. Il fallait juste qu'il trouve le bon moment...

« Tu peux retourner en classe, salope. » Sit Burns se rebraguettant lui-même. Cindy dévastée et brisée se remettait debout bien obéissante.

Le lycée tout entier pensait maintenant que les deux sœurs Cooper faisaient une compétition pour savoir laquelle des deux attirera le plus l'attention des hommes - Cathy portait les habits les plus aguichants que pouvait mettre une professeure en charge d'ados. Son choix de vêtement ne laissant le plus souvent que très peu de place à l'imagination... Le tissu fin, moulant et la tenue minimaliste exposait ses courbes les plus désirables.

Mais c'était Cindy qui fournissait le plus matière à fantasmes, la rendant aussi la fille la plus humiliée et ridicule des terminales. Depuis que Cindy avait fait connaissance avec la pierre Minvari, elle n'était plus autorisée qu'à porter un seul type de vêtements -- en dehors de son entraînement de pom-pom girls- des variations sur le thème de la tenue d'écolière. Sauf qu'elles étaient toutes trop courtes, trop échancrées, trop serrées pour son splendide jeune corps. Chaque jour elle marchait dans le campus habillée comme un fantasme d'écolière que se ferait un vieillard. Ses camarades de classe semblaient beaucoup aimés, même si elle était maintenant la cible de toutes les blagues des terminales. On aurait dit qu'elle essayait d'imiter Britney Spears en début de carrière et de donner une érection à tous les garçons. Ceux de sa classe devenaient dingues en la voyant, avec des sourires débiles et des bosses dans les jeans. Que ce soit Cathy ou Cindy, elles étaient le centre de tous les regards pendant les cours.

Alors que Cindy sortait de son bureau, Burns regardait lui aussi les petites fesses bien fermes à peine couvertes par la jupe à carreau - il était tenté de la rappeler immédiatement et de lui violer son sexy petit cul à nouveau.

Mais l'intercom se mit à buzer pour annoncer l'arrivée de Nick Foster...

« Dooonc... » dit Nick en s'asseyant en face de Burns - il lui tendit une enveloppe bien grasse. « Tout est là Monsieur Burns - 20 000 dollars de bonus... »

Burns soupesa l'enveloppe en souriant et la mit dans le tiroir du haut.

« Et il y aura la même le mois prochain, a dit mon frère...

— Dis à ton frère que le Lycée Crawford est toujours heureux de faire des affaires avec une entreprise de son calibre- tant que les bonus continuent d'arriver.

— Cool... Mais mon bonus à moi ?

— J'ai eu l'impression que votre professeure d'anglais vous a donné du bon temps mon jeune ami...

— C'est vrai... Mais en ce qui concerne la petite salope d'allumeuse qui vient de sortir d'ici... j'ai une quille assez grosse pour déchirer mon jeans chaque fois que je la vois...