Les Aventures au Bureau Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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- Oui, oui, oui... C'est ça, petite pute... Gémit-elle.

Elle appuie ma tête contre son sexe, l'œuf dans ma bouche contre son clitoris. Mon jus coule sur mes cuisses pendant qu'elle gémit et m'insulte.

- Oui, je veux que tu me fasses jouir, salope. Fais-moi plaisir, putain.

Tout d'un coup, elle se cabre, gémit et se met à trembler. Le jus de sa chatte gicle sur ma bouche et mon visage. Son sexe se resserre sur mes doigts.

Puis elle me repousse et rajuste sa robe comme si rien n'était arrivé. Elle prend l'œuf dans ma bouche et elle le glisse dans son sac à main. Puis elle se dirige vers la porte. Je trouve la force de dire :

- Mme Carter, vous... Vous avez dit que je pourrais jouir si vous aviez un orgasme.

Ma voix est tremblante de désespoir. Elle rit. Je la supplie :

- S'il vous plaît Mme Carter, puis-je jouir? Ma chatte est tellement mouillée et je suis désespérée.

- Elle rit encore et, sans un mot, sort de mon bureau sans m'autoriser à jouir. Mon humiliation continue de croître.

Quelques instants plus tard, M. Thomas me contacte pour me dire d'enlever le plug et de le laisser sur mon bureau.

A 18 heures, je quitte mon travail, tendue, excitée et honteuse en pensant au plug qui trône sur le dessus de mon bureau. Je n'ai pas de nouvelles de M. Thomas dans la soirée à part un message laconique qui me dit de prendre le métro demain matin et me rappelle que je ne dois pas jouir. Il ne me donne pas d'instructions sur ce que je dois porter, je ne reçois pas de colis avec des objets pervers non plus qui pourraient m'embarrasser le lendemain. Je me couche la chatte humide et anxieuse.

Toute la nuit, je suis tourmentée par de mauvais rêves où je suis fouettée, torturée et obligée de jouir. Je me réveille encore plus excitée, plus mouillée et complètement honteuse. Qu'est-ce qui se passe avec moi? Qu'est-ce que je deviens? Je me pose ces questions alors que je me dirige vers la douche. Je grimace quand je me lave, mon cul étant encore douloureux du port du plug hier toute la journée. Mes pensées se tournent vers ce plug bien en évidence sur mon bureau. Je suis tellement humiliée, je me demande ce qui va arriver. Ma chatte et encore plus humide quand je sors de la douche pour m'habiller. C'est étrange de ne pas avoir reçu d'instructions de M. Thomas, pas de SMS ou d'appel téléphonique. C'est trop bizarre.

Je choisis une jupe crayon qui descend juste au-dessous du genou. Pour une fois, je suis heureuse de la longueur. J'enfile un chemisier bleu par-dessus un soutien-gorge en dentelle violette. Ainsi j'ai l'air sexy, mais professionnelle, en tout cas bien différente de la salope durant cette semaine. J'enfile des talons de 8 centimètres et je me dirige vers le métro. M. Stewart me salue quand je passe. Il a l'air presque déçu de ma tenue.

En arrivant au travail, je me dirige rapidement vers mon bureau. A l'intérieur je regarde et je ne vois ni le plug ni une note quelconque. Toute la matinée je me demande où est passé l'objet et qui l'a pris. Mais je ne le découvre pas. En fait mon travail me paraît trop normal, ennuyeux même. Je n'ai pas de nouvelles de M. Thomas et Mme Carter agit comme si rien ne s'était passé hier. Ce calme me rend folle. J'ai un manque d'humiliations. Mon Dieu, que c'est horrible de penser ça, me dis-je.

Quand je reviens d'une réunion à 16h30, j'ouvre ma porte de bureau et je trouve, posée soigneusement sur mon bureau, une très courte robe noire avec un profond décolleté en V et de fines bretelles. Je trouve aussi un string noir, le soutien-gorge assorti et des talons noirs de 10 centimètres. Il y a un message disant : « Salope Anna, ce soir nous allons à une soirée spéciale. Tu dois porter ça et rien d'autre. Je serai là à 17h30 pour te prendre. Sois prête : »

Je verrouille ma porte de bureau et je me déshabille. Le string est très doux quand je le tire sur mes cuisses lisses. Ma chatte répond déjà au port de cette lingerie fantaisie. La robe couvre à peine mes fesses et plonge bien au-dessous de mes seins. Avec les chaussures et mon maquillage, je ressemble à une escort-girl de grande classe. Mon estomac se crispe lorsque M. Thomas frappe à ma porte.

- Tu es superbe! Dit-il quand j'ouvre.

Il a dans les mains une bouteille de champagne et un sac. De celui-ci il retire un plug et du lubrifiant.

- Maintenant, sois une bonne fille Anna et mets ce plug pendant que je verse deux coupes d ece merveilleux champagne.

Il fait sauter le bouchon de la bouteille alors que je lubrifie mon cul et le plug. A ma grande surprise il glisse facilement dans mon petit trou pour le remplir. Le port de l'autre plug a été payant.

M. Thomas me tend une coupe de champagne. j'en prends une gorgée. J'apprendrai plus tard qu'il a mélangé du somnifère avec le liquide.

- Mmmm, très bon Monsieur! Dis-je en savourant le champagne.

Je prends une autre gorgée et je me sens étourdie tout d'un coup. Je monte une main à ma tête alors que la coupe s'échappe de mon autre main. Je m'effondre dans mon fauteuil de bureau et la dernière chose que je me souviens est d'entendre M. Thomas dire que je suis une bonne fille.

Je me réveille, il fait sombre. Ai-je les yeux bandés? Non, c'est une cagoule. Je suis enchaînée. Mes bras sont tirés au-dessus de mon corps, mes jambes sont écartées et mes chevilles enchaînées au sol. Tout d'un coup il y a une lumière vive et j'entends quelque chose être tiré, comme des rideaux. J'entends des hoquets de stupéfaction de personnes invisibles, puis une voix. C'est M. Thomas.

- Ce soir, nous avons une surprise pour notre collecte de fond. Il s'agit d'une salope, d'une pute pour notre divertissement.

Je rougis alors que je me rends compte qu'il parle de moi. Il continue :

- Mais attention ce n'est pas une salope ordinaire, une pute ordinaire. Il s'agit d'une femme mariée exerçant le métier d'avocate qui est devenue une vraie traînée.

J'entends des applaudissements ainsi que des acclamations. Tout d'un coup, la cagoule est enlevée. Je plisse les yeux pour m'habituer à la lumière. Je vois que je suis sur une scène. Il y a environ cent personnes devant moi. Ils portent tous des masques. Heureusement j'en porte un aussi. Je regarde M. Thomas en l'implorant des yeux. c'et si humiliant de se trouver ainsi. Mais je n'ose pas dire quoi que ce soit.

- Maintenant, nous allons commencer les enchères pour lui enlever ses vêtements. On commence à 200, je vois 250, oui 300!

Il murmure que je suis très populaire. Je rougis encore. Quelqu'un dans la salle lance :

- 500

- 500? Est-ce que ça va? Alors 500 oui!

Je regarde avec horreur M. Thomas tendre à un homme un étrange couteau brillant qui lui à la lumière des projecteurs. L'homme prend le couteau et le pose sur mes jambes nues, me faisant frissonner. Le public rigole quand je gémis et je tremble de mon humiliation. Le couteau tranche rapidement ma robe, je me retrouve en string et soutien-gorge. Le couteau est froid sur ma peau quand il passe sous mon soutien-gorge pour le trancher. Mes seins sont libérés. Quand mon string tailladé tombe sur le sol, ma chatte est bien humide.

- Regarde l'écran à droite!

Je regarde, comme le public, un grand écran de télévision. Je vois un gros plan de ma chatte humide.

- Je vous avais dit que c'était une salope spéciale. Elle mouille déjà.

Je secoue la tête d'embarras et d'excitation. La caméra bouge et révèle mes tétons dressés et bien durs puis mon visage rougissant.

- Continuons! Cette salope n'a pas été très sage je crois! Une fessée est appropriée. Je pense que 50 est un bon prix pour une claque sur son cul. Mais nous allons plafonner son châtiment à 20 coups. Dit M. Thomas en tenant une raquette. En sanglotant je laisse échapper un « non » de ma bouche.

Tandis que les gens font la queue pour me punir, la chaîne qui enserre mes poignets est abaissée et déplacée vers l'avant ce qui fait que je me retrouve pliée à la taille. Le premier coup est rapide et fort. Un cri s'échappe de ma gorge.

- Stop, arrêtez! Commande M. Thomas.

Il dit alors au public que l'on doit compter. Les gens crient :

- Un!

Le deuxième coup est violent et fait trembler mon cul. Le public crie et rit. Au cinquième coup, mes fesses sont rouges et chaudes. L'écran de télé révèle à quel point je suis humide. Les gens, en criant les chiffres, ne font qu'augmenter mon excitation et ma honte. Le dixième coup tombe. J'halète dans la douleur et le plaisir. Ça ne passe pas inaperçu.

- Bon sang, je crois qu'elle pourrait jouir d'être fessées. Je vous avais dit qu'elle est spéciale.

« CLAC » fait la raquette. Je gémis et la chaleur de mon cul envahit mon corps. Au moment ou le vingtième coup frappe mon cul à vif, je suis dans un bonheur orgasmique, mes gémissements et mes cris se mélangeant aux acclamations du public qui finit de compter pendant que je jouis.

- Quelle salope! Constate M. Thomas.

Puis il annonce :

- Maintenant, qui va être le premier à la baiser? Le trou que vous voulez! Avons-nous 1000? Oh j'entends 1200! 1500! Wow 2000!

Je n'arrive pas à croire que l'on dépense autant d'argent pour moi. j'en suis presque fière. L'homme qui a gagné monte sur scène. Il est grand, musclé, vêtu d'un costume de très bonne qualité et d'un masque noir. Il sourit en sortant sa queue déjà bien raide. J'en ai un bref aperçu quand il frappe mon visage avec avant de me contourner et se placer derrière moi. Sans avertissement, il m'encule. Mon pauvre cul, son engin est vraiment épais alors qu'il s'enfonce centimètre par centimètre dans mes entrailles. Je gémis encore à cause de la douleur et du plaisir. Il passe une main sous moi et frotte ma chatte trempée alors qu'il me sodomise brutalement. Être enculée devant un public joyeux de mon sort ne fait qu'exacerber mon excitation et mon humiliation. Il m'encule sur un rythme soutenu et je peux bien sentir sa queue dans mon cul. Soudain il se raidit et éjacule en moi. Puis il sort sa queue et l'écran de télévision montre du sperme glisser sur ma chatte et mes cuisses.

- Maintenant Mesdames et Messieurs, nous offrons ces trous pour 500. S'il vous plaît, alignez-vous ici devant elle. Je peux voir tous ces gens payer et faire la queue. Bon sang, ils vont tous me baiser, ou me lécher, ou me faire sucer! On détache mes chevilles et mes bras. Je suis obligée de chevaucher une bite qui s'enfonce facilement dans ma chatte. Une autre queue se glisse dans ma bouche alors qu'une troisième s'enfonce dans mon cul. Je vois sur l'écran que je suis bien coincée entre trois hommes. Je gémis autour de la bite dans ma bouche. Mon cul part à la rencontre de ces queues. Puis l'homme dans ma chatte ainsi que celui dans mon cul éjaculent en même temps. Un autre orgasme me fait crier. L'homme devant moi retire son engin de ma bouche alors que je jouis. Il arrose mon visage. Son foutre coule sur mon menton et tombe au sol. Le public rit.

Les bites sont rapidement remplacées par d'autres. Une femme glisse sous moi et pose sa langue sur ma chatte. Je jouis instantanément quand elle me lèche soigneusement. Puis des bites, toujours des bites, je suis dans un état de jouissance continu.

A un moment donné, j'ai dû m'évanouir. Quand je me réveille, je suis dans une belle chambre. Le soleil brille, il est évident que nous sommes le lendemain. Je suis nue, mais propre. Je grimace en passant mes doigts sur les zébrures de mon cul et les contusions de mon corps. J'ai mal à la chatte et au cul. Je regarde autour de moi et je vois une belle robe sexy accrochée à une penderie ainsi qu'un mot sur la table :

« Salope, tu es libre de partir. Je te libère du chantage et de toutes les obligations que tu avais envers moi. Tu peux retrouver ton mari et revenir au travail, notre relation ne sera désormais que professionnel. Toutefois, tu peux aussi choisir de rester dans cette maison et je te garantis tout le plaisir que tu n'as jamais imaginé. Tu as le choix. M. Thomas.»

Je relis encore et encore ce bout de papier. La liberté est-elle possible? J'enfile la robe et je mets mes pieds dans des talons de 6 centimètres qui m'attendent. J'essaie d'ouvrir la porte. Elle n'est pas verrouillée et ouvre sur un long couloir bien décoré. Je franchis le seuil, mais ma chatte palpite. J'hésite.

Alors je ferme la porte, je m'allonge sur le lit, écarte les jambes et commence à caresser mon clitoris. Tandis que je me rappelle des évènements de la nuit précédente, je jouis en sachant que je ne reverrai plus mon mari.

FIN.

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AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Enfin un récit de soumission qui ne passe pas par le sempiternel cocu qui assume ce statut ! Enfin une héroïne qui comprend qu’elle a basculé de l’autre côté du miroir et ne fera pas marche arrière. Enfin un récit qui ne s’enlise pas dans un nombre ahurissant de chapitres. C’est un très beau récit et je remercie trouchard de l’avoir traduit.

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