L'échafaudage complété

BÊTA PUBLIQUE

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« Tu as vu cette bite ma chérie? Dans deux seconde tu vas l'avoir dans la chatte et rien que pour toi. J'espère que tu sauras apprécié ce cadeau. »

« Non! Non! Criais je ...je ...je ne veux pas! Il va me déchirer! Non! »

Se penchant vers moi, Hussein me caressa la joue du revers de sa main, « Allons, tu verras, il va te faire crier de bonheur avec son calibre ma chérie! » Mais je tremblais de tout mes membres et Hussein s'en aperçu. Je tournais vers lui un regard suppliant. « Je vous en prie, ne le laissez pas faire, je ...je vais avoir mal, j'ai déjà très mal au ventre. »

« Sois courageuse ma pute, tu vas voir, tu vas apprécier. » Il venait de me glisser ses mots à l'oreille en même temps qu'il faisait signe à son collègue de s'approcher. L'homme qui n'attendait qu'un feu vert pour monter sur le lit qui accusa le coup en gémissant. Il s'affala sur moi et je me sentis totalement écrasée sous lui, à jamais offerte sans possibilité de fuite. Aussitôt, son sexe se présenta à l'entrée de ma fente. Je retenais mon souffle tandis que Hussein continuait à me caresser la joue. Je lui jetais un regard éperdu quand je sentis mes lèvres intimes s'ouvrir et mes muscles vaginaux se distendre au passage de ce gland triomphant. Hussein me fixait avec curiosité, guettant le moindre rictus sur mon visage. Je crispais mes traits, me mordais les lèvres, mon souffle trahissait mon angoisse. Hussein semblait de plus en plus intéressé par mes réactions. Je me cambrais en lâchant une plainte quand le sexe démesuré atteignait le fond de mon ventre. Hussein me sourit, « Tu vois bien, il est entré en toi, tu as un peu mal parce que c'est la première fois, mais dis toi qu'après ça, tu es prête à accueillir toutes les bites de la terre. »

Je sentais cette chair dure et brulante sur toute la longueur de mon vagin. Mes chairs distendues à l'extrême me faisaient souffrir. Je serrais les dents pour ne pas crier, crispée sur la brulure qui irradiait dans tout mon ventre.

« Allez salope, prends ton pieds, profite en, tu n'en verras pas de si grosses tous les jours. Vas y Hamed, fais lui voir comment tu te sers de ta bite. »

A ces mots l'homme qui m'écrasait de son poids, se mit en mouvement. Je poussais une plainte, son sexe commençait à remuer en moi. Je criais de douleur, une douleur vive que je ressentais dans tout mon ventre. Mon pauvre utérus n'était plus qu'un feu au fond de mon vagin.

Je jetais un regard éperdu à Hussein mais il restait de marbre. Il se pencha vers moi et me demanda ce que je ressentais. « tu aimes sa queue à Hamed? Oui je sais elle est un peu grosse mais bon, tu verras comme elle est bonne. Chez lui au bled il lui faut trois femmes pour le soulager, alors tu imagines, ça fait presque un an qu'il attend une baise. Quand il rentre au bled, il engrosse ses trois femmes à chaque fois, que veux tu, il n'y a pas de pilule par la bas. »

Je regardais Hussein les dents serrées, m'efforçant de ne pas lui montrer une quelconque émotion, je figeais mon regard. Allongé sur moi, l'homme avait commencé à ahaner, j'avais son souffle pas très frais dans le cou, sa bite labourait mon pauvre vagin et son gland tapait durement mon utérus en feu.

« Laisse toi aller chérie, tu vas voir tu finiras par aimer. »

L'homme prenait son rythme maintenant, ses reins battaient à une cadence élevée. Je ne pouvais retenir des gémissements au-delà de la douleur que j'éprouvais. Je ne sais pas pourquoi, mais à ce moment la, j'étais femme, ces trois la, étaient en train de faire de moi une femme, une femelle, une vicieuse avide de bites. Hussein me fixait toujours, sans doute voyait il dans mes yeux la lueur de la lubricité.

Je sentis sa main s'agiter sur ma cheville soudain libre. Son compère de l'autre coté du lit avait lui aussi défait le lien sur ma cheville. Après ce furent mes bras qui furent délivrés, j'étais libre de mes mouvements. Hussein était attentif à mes réactions, il scrutait mon visage, cherchant la moindre réaction.

Je gémissais plus fort, entre douleur et jouissance que je sentais monter de mes chairs malmenées. La bite en moi fouillait mes entrailles, sa présence, sa force, ses palpitations de plus en plus proches me faisaient penser à une imminente délivrance, je décidais d'aider l'homme à venir, je nouais mes cuisses autour du corps trapu aux reins si forts, le retenant en moi. Je nouais mes bras autour de son torse puissant, Hussein en sourit, même si je le regardais sans broncher, j'accompagnais les coups de reins, les coups de bite tout en fixant Hussein penché sur moi son sourire aux coin des lèvres.

« Vas y ma pute, vas y! donne lui ta chatte, tu vas voir il va te noyer de foutre. » Puis s'adressant à Hamed, « Vas y Hamed lâche lui tout dans le ventre a cette salope! Vas y bourre la mec, remplit lui le ventre, fourre la jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus. »

Les reins d'Hamed étaient des marteaux pilons qui tapaient sans répit mon bas ventre, la douleur et la jouissance me faisaient crier, je hurlais sous l'homme qui m'étreignais sous lui, coupant mon souffle, me brisant entre ses bras puissants.

Quand il se figea, je tressaillis avant de sentir le spasme puissant qui secoua mon ventre et le jet brulant de sperme suivit d'autres spasmes encore et encore éjectant à chaque fois des giclées abondantes au fond de mon pauvre corps qui n'en pouvait plus.

Je fus soulagée de sentir qu'il relâchait son étreinte et roulait sur le coté dans un soupir de satisfaction. Aussitôt je portais un main sur mon sexe, ma fente était gluante de foutres mélangés. Dessous je sentis le lit trempé d'une grande flaque de sperme. Je m'empressais de me relever pour évaluer les dégâts. Je vis du sang mêlé au sperme qui trempait le lit. J'en eue peur.

Mais Hussein déjà était près de moi, « Assieds toi au bord du lit » m'ordonna-t-il. Comme je n'allais pas assez vite à son gout, il me prit le bras et me força à m'assoir. Ensuite il appela ses acolytes et tous les trois ils pressèrent devant moi, très près, tout contre moi et accolés les uns aux autres. J'avais un trio de bites face à moi.

« Suce »

Je me penchais sur le sexe qui était le plus proche et je le pris en bouche, aussitôt, un soupir de satisfaction exhala de la bouche de celui que je suçais. Une main vint se positionner derrière ma nuque, me forçant à prendre le membre bien au fond de ma bouche. Je sentais le gland qui frôlait mon palais tandis que me lèvres entouraient le sexe, le tout dans le gout mêlé de sperme et de ma propre cyprine.

Bientôt je fus sollicitée par un autre sexe qui vint frôler ma joue, je tournais la tête et bientôt une autre bite se mit à palpiter entre mes lèvres tandis que je pompais le long de la hampe durcie. Encore quelques secondes et puis la troisième, la plus grosse, je reconnu Hamed. Lui aussi me força la nuque pour que je le prenne bien dans ma bouche qui s'arrondissait autour de la tige et qu'il imprimait à ma tête des vas et vient impérieux. Encore une sollicitation, un gland me frôle la joue, je tourne la tête je prends en bouche, je suce et ainsi pendant un temps suffisamment long pour que j'attrape un mal à la mâchoire à force de crisper mes muscles autour des queues qui défilaient dans ma bouche.

Ce fut encore une fois Hussein qui donna ses ordres, « Allez les mecs on se branle bien pour cette pute elle va nous faire gicler les uns après les autres. » Dans le même temps il me prenait la tête, forçait mes lèvres et introduisit sa bite dans ma bouche. Sa main se positionna sur ma nuque et ce fut lui qui imprima le rythme de ses reins jusqu'au tressaillement de son membre suivi d'une longue giclée chaude qui me remplit la bouche d'un liquide épais et chaud qu'il m'ordonna d'avaler alors qu'il me maintenait fermement par l'arrière de ma tête. Je dus déglutir trois fois avant que ma bouche se trouve vidée de son sperme.

A peine avais-je avalé qu'aussitôt un autre membre se présenta à mes lèvres, je le pris encore une fois et une autre main retint ma nuque pour que je ne puisse esquiver le spasme qui cracha dans ma bouche un long trait de semence d'un gout différent du précédent. Sans plus attendre le troisième réclama sa part et ma tête fut tournée dans sa direction, ma bouche absorba le plus gros des trois, une main encore me retenait, et le spasme ne tarda plus, j'avais la bouche pleine de sperme, il dégoulinait de mes lèvres, sur mon menton et mes seins.

Cette fois j'en avais bien fini avec les trois compères, c'est en tout cas ce que je me dis après le dernier tressaillement de bite entre mes lèvres.

« Mets toi à quatre pattes sur le lit. »

Je levais les yeux vers Hussein, incrédule. Comment? Ils n'en finiraient donc jamais? Je commençais à sentir l'épuisement me gagner, une lourde fatigue qui rendait mon corps lent.

« Plus vite salope! Mets toi à genoux. »

Je me mis dans la position qu'il me demandait. Aussitôt je sentis quelqu'un sauter sur le lit et me prendre les hanches, puis il fouilla vaguement entre mes cuisses et encore une fois une bite se présenta à ma fente. Un coup de reins et elle me pénétrait. Je poussais un cri de douleur, mon vagin endolori n'en pouvait plus de se faire prendre ainsi. Pourtant les coups de reins reprirent et la position où je me trouvais faisait que je ressentais mieux encore ce sexe qui labourait mon ventre. Je râlais de douleur quand tout à coup Hussein se glissa devant moi le sexe encore vigoureux et me força à le prendre en bouche. Sa main sur ma nuque me maintenait son membre presque dans la gorge tandis que derrière moi le pakistanais se défoulait dans mon ventre, une main vint se positionner sur mes fesses et je sentis un doigt me forcer l'anus pour imprimer à mes reins le mouvement voulu. Je ne pouvais que proférer des cris étouffés, la bouche remplie de cette chair où le sang affluait à nouveau, tendant le membre.

Cette fois la jouissance de mes tourmenteurs fut plus longue à venir, je n'en pouvais plus de maintenir cette position, surtout ma tête et mes lèvres qui se crispaient sur Hussein. Je fis de mon mieux pour les amener à la jouissance, et que cesse enfin mon calvaire.

Ce fut une éruption double, du sperme chaud envahit encore une fois mon ventre tandis que je devais déglutir celui qu'Hussein déversait dans ma gorge.

Quand ils se retirèrent, je m'affalais sur le lit ravagé, sans force. A ce moment la je sentis un poids lourd s'abattre sur moi et un sexe se positionner entre mes deux globes fessiers. Une main solide écarta mes fesses et des doigts cherchèrent mon anus. Je voulus protester, me soustraire, je criais que non je ne voulais pas mais les deux autres étaient déjà la et ils me tenaient fermement. Mes cuisses furent écartées et le corps lourd s'enfonça entre elles. Le sexe dur était à présent contre mon sphincter et il poussait fort contre lui. Je serrais les dents, décidée à résister, une plainte continue tombait de mes lèvres et je fermais mon sphincter aussi solidement que je pus. Mais un doigt dur s'efforçait de le détendre, et comme j'étais enduite de sperme il n'eut pas trop mal à s'introduire en moi. Je me cambrais, je hurlais n'attirant que des ricanements des deux autres qui me maintenaient. Je haletais, usant mes dernières forces en une résistance de plus en plus veine. Un second doigt s'introduit entre mes fesses, je criais encore, le visage crispé couvert de sueur. Les deux doigts allaient et venaient s'efforçant d'ouvrir la voie convoitée, ils tournaient dans mon cul, créant un passage. Après ce fut un autre doigt, je m'effondrais sur le lit, haletante, l'anus douloureux je les suppliais rien n'y fit, Hussein s'approcha de moi et me murmura à l'oreille « Sois courageuse, après tu pourras tout te permettre tu verras, ce n'est qu'un mauvais moment à passer. Cesse de te débattre, ça ne sert qu'à te faire plus mal encore. »

Je m'effondrais en larmes, cette fois je lâchais tout, vaincue, épuisée par la résistance veine que j'avais fournie. Je sentis les trois doigts ouvrir mes fesses, s'implanter en moi, tourner pour distendre mon sphincter et puis ils se retirèrent. Le corps de Hamed se fit plus lourd, son gland se présenta à l'entrée de mon cul et il poussa fort en continu. Je hurlais de douleur, je croyais qu'il était en train de me déchirer mais on ne se rend pas compte de la souplesse du corps humain. Je m'ouvrais, inexorablement son gland s'imposant à mon anus. J'avais les yeux exorbités, la bouche ouverte sur un cri sans fin, horrifiée de ce qui m'arrivait la. Il poussait fort et tout à coup il fut en moi, le gland avait passé le sphincter, instinctivement je me cambrais sous la douleur, mon cri déchirait l'air. Je sentis encore une poussée continue, il s'enfonçais dans mes tripes. J'implorais, je suppliais, les doigts crispés sur le drap, haletante, sous le double regard intéressé de Hussein et du pakistanais tandis que derrière moi, Hamed s'appuyait de tout son poids faisant entrer plus loin encore son sexe énorme.

Il restait en moi un long moment sans bouger, la douleur s'estompa un peu, mes gémissements de firent plus discrets. Hussein me caressa les cheveux, « Tu vois que tu peux prendre des grosses bites dans le cul! Je suis sur que dans tes rêves les plus fous tu n'aurais jamais imaginé qu'un jour tu te prennes une bite arabe aussi profond » Il m'interrogeait du regard. « Allons réponds moi salope, dis moi que tu aimes ça! Que tu aimes te faire enculer par Hamed! » Pour toute réponse je sanglotais, perdue et désespérée.

Son visage s'approcha du mien, sa main se referma sur mes cheveux qu'il tira en arrière, forçant ma tête à se relever et à lui faire face.

« Réponds moi! Dis moi que tu aimes prendre sa grosse queue dans ton cul! » Sa main se raffermissait sur mes cheveux, les tirant presque douloureusement. Ses yeux fiévreux se plantaient dans les miens, ils avaient une brillance presque irréelle, surnaturelle. Je pris peur et je murmurais doucement « Oui! Oui! J'aime sa bite. »

Il se recula un peu, toujours en me fixant, un sourire satisfait aux coins des lèvres. « Tu vois chérie que ce n'est pas si difficile de devenir une pute. Maintenant tu pourras aller tapiner sans problème, tu ne crains plus rien. Tiens, si j'étais plus libre, je m'occuperais de toi, je te trouverais un coin de trottoir du coté de la goutte d'or. »

Tout mon corps se révulsa en entendant ces mots. Je ne voulais pas, non, jamais, je tenais trop à mon fils à mon mari qui m'apportait le confort qui était le notre. Mais les yeux de Hussein étaient fous, je le voyais bien, il me fallait subir cet outrage pour le satisfaire et après, tout cela s'arrêterait. C'était mon désir, mon envie la plus profonde. Mon corps devenu un jouet me semblait extérieur à moi, j'avais mis la douleur entre parenthèses, les dents serrées je subissais.

Hussein encouragea Hamed et celui-ci se déchaina derrière moi, ses mains dures retenant mes hanches, il raffermit ses reins et trouva encore le moyen de progresser d'un centimètre dans mon ventre. Je cambrais mon corps en poussant une plainte avant que je ne sente les vas et viens meurtriés qu'il prodiguait à mon anus tétanisé de douleur. Je serrais encore les dents, crispais mon visage sous le regard persistant et intéressé de Hussein qui me fixait. Ses yeux laissaient percevoir une satisfaction perverse, sa main lâcha mes cheveux pour me caresser la joue. Encore une fois il s'approcha de moi pour me murmurer à l'oreille.

« Allons ma pute, laisse toi aller, tu vas voir, tu peux jouir par la aussi, décontracte toi et sa bite passera mieux, c'est toujours utile pour une pute de se faire enculer quand elle ne peut pas prendre de queues par devant, comme ça pendant tes règles tu pourras continuer à te faire baiser ma salope. Tu sais, les hommes aiment ça enculer, c'est la possession maximale, l'humiliation suprême à faire subir à une femme, et pour la femme, la preuve définitive de sa soumission. »

Je geignais sous les coups de reins derrière moi, je m'efforçais de me soustraire par la pensée, j'étais ailleurs, je n'entendais plus Hussein me proférer des horreurs à l'oreille, je me transportais ailleurs. Je fus même surprise quand Hamed se crispa, ses doigts s'enfonçant dans mes hanches en y laissant des traces rouges et qu'il se figea en moi. Encore une fois des jets chauds qui inondent mon ventre, des coups de reins et puis le soulagement. Il se retire. Je pousse une dernière plainte quand son gland franchit mon sphincter mais cette fois, c'est pour se retirer.

Mon corps est brisé, je suis incapable de bouger sur ce lit de torture, et que je ne regarderais plus jamais comme avant.

Les trois hommes discutent autour du lit. Ils se rhabillent. J'évite de montrer un quelconque soulagement, je n'attends qu'une chose, qu'ils partent pour me précipiter sous la douche.

Hussein se penche encore vers moi, « On va te laisser ma pute, on doit démonter l'échafaudage, j'espère que tu te souviendra de nous. »

Les voila partis! Mon corps tout endolori ne répond plus et je reste la, affalée sur ce lit qui ressemble plus à un champs de bataille. Pourtant il me faut réagir, j'entends Eric qui s'est réveillé et qui réclame son lait. Il me faudra aussi mettre de l'ordre dans cette chambre où les cravates de Georges trainent par terre, froissées, où les draps de lit sont souillés de sperme et de sang.

J'essaie de bouger, j'y parviens avec mille douleurs qui se réveillent en moi. Mon anus me fait souffrir, je sens mes cuisses gluantes de sperme pas encore tout à fait figé. J'arrive à me mettre debout, ma tête tourne, je dois me raccrocher aux meubles, il faut que j'y arrive, Eric pleure dans son berceau. Je me force à rejoindre la salle de bains, je fais couler de l'eau pour me faire un semblant de toilette, laver mes seins douloureux de diverses morsures, salis de la salive des trois salopards. Je frissonne, je ne veux pas que mon fils tête ces seins la, dans cet état. Après je passe rapidement le gant de toilette entre mes cuisses, enlever le plus gros, ce qui coule encore sur mes cuisses, ne plus sentir ce liquide gluant couler sur ma peau.

Quand ma toilette est faite, je me précipite dans la chambre d'Eric qui pleure dans son lit. Je le prends dans mes bras, je le serre fort, les yeux fermés. Puis je lui donne mon sein pour la tétée. Sa petite bouche avide s'empare de mon téton pour l'aspirer. Je gémis, mon téton endolori par mes tourmenteurs me fait mal. Je serre les dents pour ne pas crier. Eric, affamé et inconscient de me faire aussi mal me tète avec avidité. Je sens bien que mon lait manque, ils m'ont tellement pompé les seins! Eric lui ne s'embarrasse pas de ça, il veut sa part de lait et il tire avidement sur mon sein droit fatigué. Je le change de sein, peut être que le sein gauche lui apportera plus de lait? Encore une fois je gémis quand il me prend de sa bouche avide. Mon téton aspiré dans sa petite bouche me fait souffrir. Je serre les dents, le laissant faire, il tire fort à la recherche de son lait mais le lait n'a pas encore eu le temps d'affluer à mes seins. Je fais de mon mieux pour qu'il mange un peu mais en fin de compte je sens bien qu'il n'a pas eu sa part.

Je repose l'enfant dans son berceau, il est grognon, pas vraiment rassasié, mais il faudra bien qu'il s'en satisfasse avant que mon lait ne revienne.

Enfin je mets de l'ordre dans la chambre, faisant disparaitre les draps souillés dans le lave linge et tournant frénétiquement les boutons pour qu'enfin tout cela disparaisse et ne demeure qu'un mauvais souvenir dans un coin de ma mémoire.

Et maintenant la douche, longue, chaude, je me lave et me relave, me frottant la peau au gant de toilette pour me purifier de tous les outrages que j'ai subis. Je dirige le jet puissant vers mon sexe que j'ouvre entre mes doigts, je lave de mon mieux tout l'intérieur de mon vagin. A cet instant, je regrette ne pas avoir une poire de caoutchouc, comme possédait ma mère. Une poire avec un embout de plastique qu'elle entrait en elle pour se laver l'intérieur. Cette poire lui servait aussi de contraception, combien de fois l'ai-je entendu dans la nuit, courir vers la salle de bains serrant contre elle la boite qui contenait le précieux objet. J'entendais l'eau couler et je me demandais si je devais aider maman. Mais à chaque fois elle s'en sortait bien toute seule.