L'échafaudage complété

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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En revenant de l'épicerie, je croisais madame Félicie dans la cage d'escalier. Me guettait elle? J'en eue un fort soupçon, toujours est il qu'elle se précipita vers moi et me retint dans un coin sombre de son palier avant de me demander tout bas sur le ton d'une conspiratrice si les ouvriers étaient venus me voir. Prise au dépourvu, je commençais par rougir violemment avant de bégayer des mots incompréhensibles.

« Allons, allons ne soyez pas si prude » et se rapprochant de moi, levant la tête au niveau de mon oreille elle me glissa « Vous savez, ils viennent chez moi aussi! » Je la regardais bouche bée, même si je la soupçonnais d'être une coquette, comment imaginer que cette dame âgée et respectable puisse se laisser aller à des turpitudes avec des ouvriers jeunes et si vigoureux, je pouvais en témoigner! Mon regard devait parler pour moi car je vis naitre un sourire en coin sur ses lèvres. « Hé oui ma chère amie même une femme de mon âge peut avoir des besoins! » J'étais encore toute troublée de l'aventure de ce matin, coupable d'avoir ainsi trompé la confiance d'un mari aimant, et la, en plus, cette vieille dame qui me faisait ces confidences en prodiguant des encouragements, tout mon univers semblait vouloir basculer. La tête me tournait, je ne trouvais pas mes mots, je regardais Félicie avec un hébétement qui dut lui faire penser qu'elle avait à faire à une demeurée. Mais je vis toute son indulgence dans le sourire complice qu'elle m'adressa, un sourire qui se voulut rassurant. « Ne soyez pas si étonnée, je vous assure que moi aussi j'ai des besoins, ne culpabilisez pas, vous verrez que la vie est courte et que les plaisirs qui vous sont offerts sont rares, autant en profiter, je dirais même que c'est une nécessité. Avez-vous joui ce matin? » Cette interrogation me fit sursauter une autre fois, mes yeux criaient « mais comment savez-vous? » Le sourire indulgent de Félicie me désarma, « Hussein ne sait pas trop tenir sa langue, j'ai établi avec lui une sorte de complicité et nous échangeons nos confidences autour d'une tasse de thé après la baise bien entendu. Il m'a dit combien il avait apprécié votre hospitalité, dans les détails. Je vous félicite ma chère, trois hommes en même temps, vous avez du tempérament, et vous verrez que par la suite vous aurez du mal à marcher dans le droit chemin. » Cette dernière phrase me fit me reculer avec un tressaillement de désapprobation qui fit sourire Félicie. Me prenant le bras elle me rajouta en confidence « Quand on y a gouté, on y prend forcément du plaisir et on y revient, c'est ce qui m'est arrivé, et paix à son âme, mon pauvre mari portait les plus belles cornes de tout Paris. » Je la regardais de plus en plus interloquée. « Il s'est fait une raison, ajouta-t-elle, et finalement il a fini par accepter la situation. »

Je voyais mal Georges dans ce rôle la, lui si gentil, si prévenant, si amoureux de moi.

J'avais honte de moi, comment avais-je pu trahir sa confiance, le père de mon enfant, et en plus en quelle circonstance, sous notre toit, presque dans le lit conjugal, je me traitais mentalement de salope, la colère et la honte se mêlant en un cocktail impétueux qui tourbillonnait dans mon ventre.

Mais Félicie avait raison, inexorablement raison, et malgré ma répulsion, le souvenir de l'épisode revenait me hanter dans ma tête, au coin d'un instant de rêverie, pendant une lecture, tout à coup je sortais du contexte et mon esprit vagabondait pour revenir immanquablement vers « ça ». A ces moments la, je sentais la chaleur s'accumuler dans mon bas ventre, un frisson parcourir mon échine et je frottais instinctivement mes cuisses l'une sur l'autre en une espèce de masturbation, pour finir par me laisser aller à une vraie quête de la jouissance. Ma main se perdait sous ma jupe, je me troussais et elle y trouvait ma culotte humide, je fermais les yeux et laissais faire mes doigts.

C'est ainsi que deux jours plus tard, Hussein et sa bande me trouvèrent sur mon canapé. Était ce voulu de ma part, j'avais laissé le rideau entrouvert et lorsque j'entendis de petits « toc toc » contre la vitre, je sursautais. Trop tard, trois paires d'yeux me regardaient, affalée sur le canapé, les cuisses largement ouvertes et une main glissée dans ma culotte. Comble de tout, j'avais laissé la baie vitrée entrouverte sans trop m'en rendre compte et il fut trop tard quand je vis trois mains sombres tirer la vitre qui coulissa avec un feulement sur ses rails.

Hussein et ses deux acolytes étaient devant moi, je m'empressais de rabattre ma jupe mais ils étaient déjà sur le canapé et leurs mains m'empêchèrent d'aller plus loin. Bientôt j'eus leurs mains sur mon corps, je tentais bien de m'échapper mais les trois hommes étaient forts, et le fait que je me débatte, que je me tortille alors qu'ils m'entouraient semblait décupler leurs ardeurs. Ma jupe ne tarda pas à rejoindre la moquette, mon corsage fut ouvert, à moitié déchiré, j'entendais craquer les coutures et bientôt il vola lui aussi à travers la pièce. Mes seins dilatés par la maternité furent sortis du soutien gorge qui après mes autres vêtements me fut enlevé en même temps que ma culotte, mon dernier rempart, glissait le long de mes cuisses.

J'étais nue.

Des mains calleuses me forcèrent à me lever et à les suivre, et comme je me débattais encore, en proie à une panique irraisonnée, je me sentis tout à coup quitter le sol et je fus transportée et jetée sur notre lit. Je poussais un cri en tombant lourdement, je rebondissais sur le matelas moelleux et avant même que les mouvements ne cessent ils étaient la autour de moi, se saisissant de mon corps, pour de rudes caresses. Je gémis tant de surprise que de désapprobation mais leurs mains déjà me clouaient sur le lit tandis qu'ils massaient durement mes globes, faisant gicler de longs geysers de lait qui retombaient sur mon ventre. Ils se précipitaient, ils léchaient mon ventre, me prenaient les seins en bouche, je me tortillais j'essayais vainement de leur échapper, donnant des coups de pieds, de poings mais des mains fermes m'immobilisèrent. Rapidement ils fouillèrent la penderie et ils revinrent avec les cravates de Georges, qu'allaient ils faire? Je fus vite renseignée sur ce point quand ils me prirent fermement les poignets pour me passer les cravates autour et les lier au lit. Bientôt il firent de même avec mes chevilles et je me retrouvais pieds et poings liés à notre lit.

Satisfaits de leur travail ils pouvaient tout à leur aise me peloter, me lécher, me sucer ce qu'ils ne se privèrent pas de faire. Hussein me regarda dans les yeux en même temps que sa main remontait le long de mes cuisses, il avait au coin des lèvres un sourire ironique. « C'est notre dernier jour » dit il en même temps que je sursautais quand ses doigts atteignaient ma fente. « On a bien travaillé et on mérite une petite récompense. » En même temps qu'il proférait cette dernière phrase, ses doigts écartaient mes lèvres intimes et s'insinuaient dans mon vagin. Je me raidis, je voulus me soustraire malgré mes liens mais rien n'y fit, Hussein le sourire au coin des lèvres glissait deux doigts dans ma fente et me masturbait doucement tandis que ses deux autres compagnons me pompaient le lait de mes seins en les pressant comme des outres. Leurs langues ne manquaient pas de me caresser les tétons et bientôt sous l'action conjuguée de tout ces attouchements je sentis mon corps frissonner et je ne pus retenir un gémissement qui tira un grand sourire à Hussein toujours occupé à branler ma chatte en me regardant dans les yeux. Je le suppliais du regard mais rien n'y fit, mes suppliques n'aboutirent qu'à accentuer son sourire et à affermir ses doigts qui me fouillaient le ventre. Je ne pouvais pas mentir, il le sentait bien que petit à petit mon vagin devenait plus humide, que ses doigts allaient sans peine jusqu'au fond. Je poussais un cri, une légère douleur me fit me cabrer, des souvenirs de mon accouchement, l'utérus encore sensible, les muscles vaginaux endoloris d'avoir été distendus. Hussein sembla trouver un plaisir à me faire gémir, il enfonça un peu plus ses doigts, je poussais un cri en tortillant mon bassin essayant en vain d'échapper à lui, mais ses deux doigts s'étaient fichés en moi jusqu'à sa paume et refoulaient mon utérus dans des élancements de douleurs vives. Je lui dis le mal qu'il me faisait et il se pencha sur moi « Je te fais mal? » je hochais la tête vigoureusement « Oui! Vous me faites mal, je ne suis pas totalement remise de mon accouchement » Sans me lâcher, Hussein s'assis sur le lit et se pencha vers moi « Tu as souffert dans ta petite chatte quand ton gosse est né? » Je fis oui de la tête. « Il t'a bien dilatée pour sortir? Tu as gueulé? Tu as maudit ton mari de t'avoir engrossée? Je suis sur que tu as juré que jamais plus on ne t'y reprendrait, pas vrai? » Je le regardais de mes yeux exorbités, surprise par ses propos aussi crus.

« Allons, réponds moi! » Il accompagna ses paroles d'une poussée de ses doigts dans mon ventre. Je poussais un cri de douleur en tordant le bassin, mais il me tenait toujours à sa merci, ouverte et pénétrée. Se penchant encore, il me murmura à l'oreille « Allons raconte moi comment tu as accouché. » Dans le même mouvement, je sentis ses doigts se retirer un peu, je poussais un soupir de soulagement. « Raconte moi chérie! » Je me lançais alors dans le récit délirant de mon accouchement, mon premier bébé qui effectivement m'avait fait souffrir, écartelant mes chairs à me faire gueuler dans la salle de la clinique, les invectives, les insultes même, que je proférais envers mon mari alors que mes mains se crispaient de part et d'autre de la table de travail, les voix fortes du médecin penché entre mes cuisses, celles des infirmières qui m'encourageaient et cette douleur omniprésente qui allait crescendo au fur et à mesure que je sentais le bébé descendre dans mes entrailles. Hussein écoutait religieusement, son oreille presque à hauteur de ma bouche, je sentais ses doigts qui me branlaient avec douceur maintenant. Je répondais à ses sollicitations, je m'offrais maintenant sans honte, j'avais dépassé ce stade, je sentais monter une onde de désir accentuée par les deux autres qui s'accrochaient à mes seins, agaçant mes tétons de leurs langues, tirant de ma gorge des gémissements.

« Tu as bien souffert chérie! me dit Hussein, mais je suis sur que tu as pardonné à ton époux de t'avoir fait si mal malgré lui. Je suis sur que tu l'as laissé te toucher depuis l'accouchement et qu'il te baise encore plus fort. » Je fermais les yeux, j'avais l'impression que Hussein s'était caché dans la penderie pour nous surprendre moi et Georges en train de faire l'amour dans notre chambre, sur ce lit. « Il te baise bien ton mari? » Autre surprise, comment répondre à ça, j'ignorais en fermant les yeux. Mais Hussein répéta la question, « réponds moi salope! Ton mari te baise bien? » Son insulte me toucha comme la lanière d'un fouet, je le regardais mieux, penché sur moi le sourire au coin des lèvres qui ne l'avait pas quitté. « Réponds! » Je sentis ses doigts s'enfoncer plus avant dans ma chatte et la douleur revint.

« Oui, oui! »

« Oui quoi salope? »

« Il...il me baise bien! »

« En es tu sure? »

« Heu... » Nouveau sourire supérieur de mon agresseur.

« Moi je suis sur que non! Il suffit de le regarder pour comprendre que ce n'est pas un étalon ton mec! » Je sursautais et faillis demander comment il connaissait Georges mais je m'abstins. « Oui chérie, je le connais, je l'ai vu plusieurs fois partir au boulot le matin, et puis revenir le soir aussi. » Ainsi la bande nous surveillait, ma panique augmenta d'un cran. D'un mot Hussein fit reculer ses deux acolytes pour se pencher encore plus vers moi au point de se coucher à mes cotés. « Depuis quand as-tu repris des rapports sexuels avec ton mari? »

« Pas...pas encore! »

Il me regarda un peu surpris « Il ne t'a pas baisée depuis l'accouchement? » Je secouais le tête de gauche à droite.

« Pourquoi? »

« Heu... vous savez le premier mois il faut...enfin on doit s'abstenir et lui ne veut pas que je retombe enceinte. »

« Ah! Il ne veut pas, alors il ne te baise plus! Et toi tu as très envie de baiser! »

Je ne répondais pas, regardant fixement le plafond, redoutant les moments qui allaient suivre. « Toi, tu as envie d'un autre bébé? »

« Je ...je ne sais pas, pas tout de suite.. »

« Pourquoi pas tout de suite? »

« Il faut que je m'occupe d'Eric et ... »

« Il est sage, il ne te pose aucun problème, tu pourrais en avoir un autre. »

« Plus tard. »

Je sentis Hussein s'agiter près de moi, il s'affairait à se mettre nu, il faisait bouger le lit, se tortillant pour quitter ses vêtements. Il dut donner l'ordre aux deux autres de se mettre nus aussi, ce qu'ils firent avec enthousiasme. Quand il fut nu Hussein me regarda encore « Je vais te montrer comment dans mon pays font les hommes pour honorer leurs épouses et en faire des mères. » Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, il était sur moi et déjà je sentais un membre dur qui cherchait la voie vers mon vagin. Son gland trouva facilement le passage déjà ouvert et lubrifié. Il entra sans résistance envahissant mon ventre d'une chair dure et palpitante. Je poussais un cri quand le gland vint taper mon utérus, Hussein me fixait, je n'osais l'affronter du regard, la tête penchée sur le coté je m'efforçais de fermer les yeux, oublier cette situation horrible que m'imposaient ces hommes frustres.

Hussein donna un coup de reins violent qui me tira un vrai cri de douleur et me fit me cambrer. Mes muscles vaginaux réagirent et je sentis son sexe palpiter plus fort en moi. « Alors salope? Tu la sens bien ma queue? Tu l'as bien au fond de la chatte? » Des phrases qui n'attendaient pas de réponse, juste une humiliation supplémentaire. Je sentis qu'il se mettait en mouvement pour me besogner, il s'était redressé sur ses coudes pour mieux m'observer. Je gardais les yeux clos, je mordais ma lèvre inférieure pour ne pas crier mais le rythme de ma respiration me trahissait. Je gardais toujours les yeux fermés pour ne pas croiser son regard, paraissant indifférente au supplice qu'il m'infligeait. Mais son sexe allait et venait dans mon vagin déjà excitée par la masturbation et malgré moi je lâchais un cri qui cette fois n'était pas de douleur. Hussein se pencha sur moi, ses bras passés sous les miens, il me maintenait fermement. Sa bouche près de mon oreille me murmurait des insanités « Tu la sens bien ma bite? Elle te plait? C'est autre chose que ton mari non? Elle va te remplir ma salope, tu vas voir, un bon jus de bite qui te fera du bien. Regarde moi! Regarde moi salope! » Ses mains libres me tenaient le visage droit et j'ouvris les yeux pour retrouver sa face crispée par l'effort et la jouissance qui faisaient saillir les veines sur ses tempes.

A peine eut il fini de parler qu'un tressaillement puissant secouait son sexe et un jet chaud envahit mon vagin, suivi d'autres spasmes tout aussi puissants et impétueux. Hussein se vida sans fin en mon ventre jusqu'à la dernière goute de sa semence.

En poussant un long soupir, Hussein se redressa sur ses coudes, « Tu as aimé ma salope? » Je le regardais hébétée par la situation mais aussi par sa jouissance puissante qui avait provoqué mon propre orgasme. J'écarquillais les yeux, incrédule de mon comportement, je vis son sourire toujours au coin des lèvres et cette expression dans son regard comme pour me montrer sa supériorité.

« Au fond toi, tu aimes la bite ma cochonne, tu ne le sais peut être pas encore mais tu aimes te faire baiser et ton bonhomme ne te suffira plus maintenant. Tu es réceptive et au fond de toi tu appelles la bite, tu en as envie! Dis moi que tu en as envie! » Comme je le regardais bouche bée il me secoua pour répéter « Dis moi que tu en as envie! » Ses yeux me fixaient profondément, je le sentais encore en moi, sa bandaison était moins intense mais il était encore bien présent dans mon ventre.

« Allez! Dis le moi que tu aimes la bite! » Cet homme avait une trempe particulière, il était de ceux à qui on ne résiste pas.

« Oui... » Ce ne fut qu'un souffle entre mes lèvres mais je le proférais à ma grande honte. Mais en matière de honte j'étais au-delà de toute pudeur.

« Tu vois me dit il, je le savais, je le savais! Tu vas devenir la bonne pute que tu as toujours rêvé d'être sans jamais te l'avouer. » Je le regardais horrifiée et il partit d'un grand rire en voyant mon expression.

« Tiens, me dit il, tu vas commencer tout de suite, regarde les bien, tu as vu comme ils sont beaux avec leurs bites bien droite et bien gonflées pour toi? » Il partit d'un grand éclat de rire tout en roulant sur le lit. Il fit signe au pakistanais de venir le rejoindre.

C'était un homme de taille moyenne au corps brun, sombre. Son regard était enflammé et brillait comme deux perles noires sur sa face mate. Son sexe se dressait sur son bas ventre, tendu à l'extrême, dur à peine secoué de balancement quand il bougeait. Hussein l'encouragea et il s'affala sur mon corps, je ressentis son poids qui m'écrasait tandis que sa verge dure cherchait à s'introduire entre mes cuisses. Ce lui fut facile de trouver ma fente, car j'étais toujours écartelée sur mon propre lit. Je tressaillis de sentir un nouveau sexe raide et palpitant dans mon ventre. Hussein ricana près de moi, « Tu as senti comme il bande pour toi? Tu la sens bien sa queue de pakistanais? Il y a des mois qu'il n'a pas eu de femme ce pauvre homme, je compte sur toi pur lui donner ce qu'il attend. »

L'homme qui me chevauchait n'attendit pas la fin de la diatribe de Hussein pour commencer à me donner de furieux coups de reins. Je le sentais aller facilement mais sans ménagement jusqu'au fond de mon vagin. Je me cambrais sous la douleur dans mon ventre. Je me mis à gémir, je tournais les yeux vers Hussein pour le supplier de lui dire de ne pas aller si loin. Mais je ne rencontrais que son sourire ironique comme figé à ses lèvres. Je criais sous les coups de reins forcenés qui propulsaient dans ma chatte endolorie un piston dur comme de l'acier. Je finis par serrer les dents, ne laissant échapper que des plaines assourdies. Mes yeux fixaient toujours Hussein, je haïssais cet homme maintenant mais il me fascinait aussi tant le vice suintait de sa personne, il lisait si bien mes pensées, il voyait en moi comme à travers une vitre. L'autre me tenait aux épaules, ses reins battaient à une cadence que je n'aurais jamais imaginée, il me faisait mal et pour la première fois je me laissais aller à la jouissance et à la douleur, les reins cambrés, me tortillant pour éviter que ce pieu de chair ne déclenche ce feu dans mon ventre à chaque poussée.

« Vite, vite! »

Je criais ces mots, sans réfléchir, juste l'envie que ça cesse, que je ne sente plus mon ventre souffrir, je m'offrais à lui espérant provoquer au plus vite son orgasme. Il m'étreignait sous lui, immobilisant nos corps en sueur et tout à coup il se planta en moi provoquant un tressaillement de ma part tant la douleur était intense. Je criais et puis ce fut l'inondation, le sperme trop longtemps retenu irruptait dans mon vagin, noyant mon utérus et débordant sur mes cuisses, mes fesses avant de former une grande tache mouillée sur le lit. L'homme m'étreignait toujours, il semblait qu'il ne voulait plus me lâcher à m'en étouffer. Encore une fois je regardais Hussein près de moi, j'avais la bouche ouverte à la recherche de souffle et je voyais ses yeux qui me fixaient, impitoyables.

« Tu vois ma pute, c'est le métier qui rentre, bientôt tu ne craindras plus rien ni personne pour te baiser! » Un grand rire suivit cette funeste prédiction. Sans trop le ménager il repoussa le pakistanais qui ahanait encore, la bite toujours raide et qui glissa du lit. Sans plus attendre le troisième larron se présenta avec un large sourire au milieu de sa barbe de deux jours. Sa bouche s'ouvrait sur des dents mal rangées, parfois manquantes, souvent cariées. Je regardais le type avec crainte, il était plus vieux que mes deux précédents tourmenteurs, pour tout dire je jugeais qu'il devait bien avoir le double de mon âge. Il avait le corps solide et trapu, musculeux, rond avec un début de ventre, comme beaucoup d'hommes passé la cinquantaine. Mais ce qui attirait le plus le regard c'était son sexe. Comment un homme pouvait il être pourvu d'un tel membre? Je regardais avec terreur ce pieu droit dont le gland fendu brillait d'une lubrification abondante. Hussein lui demanda d'approcher et il le guida de façon que j'ai son sexe à la hauteur de mes yeux.

Jipai
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