Le Xchange Anal Challenge 11

Onzième partie d'une série. Je vous conseille de lire les dix premières parties, même s'il y a un résumé au début de chaque épisode.

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Résumé

Erik, Paul et moi-même partageons depuis moins d'une semaine une cage de chasteté qui transforme celui qui la porte en shemale obéissant. Je me reveille pour retourner au travail après un week-end particulier donc.

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Une semaine de travail

Alors que je me réveillais, j'étais surpris de ne pas porter la cage : depuis l'achat de la cage c'était la première nuit que je passais sans. La voyant sur la table de nuit, j'étais tenté de l'enfiler. Mais il était hors de question que mon équipe me voit en Jeanne!

Je repensais à ce que Paul m'avais fait subir la veille. D'un autre côté il m'avait un peu prévenu. Surtout j'étais étonné d'avoir autant pris à cœur ce qu'il me disait. Il n'y avait pas qu'une nuit de recul, la cage avait un effet important sur celui qui la portait. Quand au jeu de Paul, je lui en voulais un peu, mais en même temps, je comprenais qu'il ait tenté voir jusqu'où il pouvait aller, et je trouvais cela très excitant aussi.

En arrivant au travail, j'avais un mail de Paul me demandant de venir le voir.

-Je suis désolé Jean, je suis allé un peu trop loin hier, » me dit il pour m'accueillir.

-Je croyais que c'était une réunion pour le travail, » dis-je.

-Pas du tout, je suis obnubilé par la cage. J'ai cru comprendre que tu l'étais encore plus que moi. Je n'en ai pas parlé avec Erik »

-De ce que j'ai compris, il prefere ne pas la porter lui-même, mais aime bien en profiter »

-Alors puis-je te proposer un plan pour le week-end?

-Je t'écoute.

-Samedi je porte la cage pour aller acheter des vêtements, et Dimanche, on s'organise quelque chose avec Erik. »

-Pour les vêtements il te faudrait un petit kit de départ pour pouvoir aller dans les boutiques.

-OK, je suis tes indications. »

-Pour Dimanche... c'est moi qui porterais la cage? »

-Ca te gène?

-Non, mais je ne sais pas si je supporterais ce que tu m'as fait hier toute une journée, avec deux personnes! »

-Je suis désolé. Je te promets un moment Samedi pour te venger de moi, mais entre toi et moi, puis de te protéger Dimanche. »

-Ca me va. »

Le reste de la journée passa lentement. Et quand finalement je fus à la maison à nouveau, je me dépêchais de mettre la cage et de redevenir Jeanne pour la nuit. Le matin suivant utiliser la clé pour retirer la cage était difficile. Je pensais même proposer à Paul ou Erik de venir me libérer le matin.

Evidement je fis de même tous les jours. Le mercredi je passais simplement au sex shop pour acheter un cadeau pour Pauline.

Juste le Vendredi je savais que Paul viendrait le lendemain, et au cas-où, je me fis un lavement, pour être sûre d'être propre là.

-Bonjour Jean, enfin Jeanne! » dit-il en me voyant.

-Bonjour Paul! »

-Tu as passé toutes tes nuits en Jeanne? » demanda-t-il

-Oui » répondis-je en baissant les yeux.

-Et tu arrives à ouvrir la cage le matin. »

-C'est difficile »

-Et si elle se casse tu fais quoi? »

-J'irais au boulot en Jeanne. »

Paul me retira la cage, nous la lavâmes et avant que je la lui mette, il me regarda. »

-Puis-je la mettre moi-même? Je voudrais pouvoir choisir mes vêtements. En revenant ce soir, tu me retireras la cage pour me la remettre. Et ça jusqu'à Dimanche matin. » me demanda Paul.

J'approuvais. Il mit la cage et me donna la clé. Puis en enfila les quelques vêtements féminins qu'il avait. Il s'était entièrement épilé, et j'appréciais.

J'avoue que j'étais jaloux de lui. J'aurais voulu que ce soit lui qui ait la clé et moi la cage. Mais une fois dans les magasins, je m'amusais de mon pouvoir sur elle, pour lui faire essayer des choses. Mais sans jamais forcer.

Elle ne voulait pas de chaussures à talons, mais je lui en fais prendre une paier quand même, en plus, pour s'entraîner. Pauline aimait les collants mais a pris des bas aussi sur mes conseils. Elle aussi regrettait que la cage occupe tant de place dans les culottes féminines. La leçon de maquillage fut épique. Les robes tournaient, mais elle prit surtout des mini jupes.

Pauline s'amusait des regards sur elle, quand nous nous sommes posés pour manger. Je me sentais bien avec elle. Pendant un moment, j'ai cru qu'elle était la copine que je n'ai jamais eu. Puis j'ai remis conscience que Pauline n'existait pas. Bien sûr elle était là à côté de moi, mais en fait c'était Paul modifié par la cage.

Puis nous sommes rentrés chez moi. Je n'étais pas sûr de vouloir retirer la cage pour la remettre. D'abord, si je retirais la cage de Paul, pourquoi la lui remettre? Pourquoi ne pas me la remettre à moi plutôt? Pauline pourrait aussi garder la cage et on pourrait aussi faire l'amour. Normalement je veux dire : amoureusement, lentement, tendrement.

-Veux-tu prendre le contrôle tout de suite, ou je fais des essayages avant? » me proposa Pauline.

Je la laissais donc réessayer ses vêtements. Manifestement elle y prenait plaisir, et alors que je me faisais la réflexion qu'elle se comportait vraiment en fille, je me souvenais de la remarque d'Erik quand j'avais fait la même chose. Je notais aussi que Pauline n'hésitait pas à se mettre nue devant moi, et me montrait sa poitrine. Petit à petit je remarquais ses tétons tendus, mais aussi sa cage dans laquelle son pénis semblait plus à l'étroit.

Je mentirais en disant que la situation ne m'excitait pas. Mais fondamentalement, j'aurais préféré porter la cage. J'aurais préféré que ce soit à Paul ne venir vers moi. Essayant de me baser sur ce que Jeanne aurait voulu, je me levais, et vient embrasser Pauline dans le cou.

J'avais déjà fait ça avec des copines, mais elles s'étaient toujours rebellées en me disant que ce n'était pas le moment. Pauline, elle inclina la tête pour me faciliter la tâche. Et caressa mes cheveux de sa main. Puis de son autre main elle caressa ma cuisse. Puis elle s'arrêta, et se retourna vers moi.

-Jean, il faut que tu me mettes la cage, toi! »

-Est-ce nécessaire, pourquoi ne continue-t-on pas comme ça? »

-Pour être juste envers toi. Pour aussi que je comprenne comment ça fait, » dit-elle

-Et puis j'ai plus confiance en toi qu'en Erik, » avoua-t-elle.

Alors je me resignais. Je retirais la cage remplie par le petit sexe gonflé, puis j'attendais la transformation de Paul, pour le retransformer en Pauline.

-Oh là la! » dit-elle seulement en redevenant Pauline.

-Ca va? Pas trop difficile les deux transformations à la suite? »

-Non, ça, ça va, dit-elle en souriant! »

-Alors quoi? »

-Rien, je suis à tes ordre » dit-elle en se mordant la lèvre.

Je sortais de mes achats un collier métallique et des bracelets en cuir. Je vis les yeux de Pauline s'écarquiller.

-Je vais te mettre cela. » dis-je. Pauline se laissa faire. Et j'attachais ses mains dans son dos.

-Nous allons passer à table, j'ai prévu un repas froid, tu viens, mais en restant à genoux. » Pauline me regarda, puis entreprit de se déplacer à genoux.

Je m'installais, et posais les plats sur la table. Pauline restait à genoux près de la table, manifestement elle ne savait pas quoi faire.

-Viens à côté de moi, et tu restes à genoux. »

Je commençais à manger, puis à chaque plat, après quelques bouchées je donnais des morceaux de mon assiette à Pauline qui mangeait donc dans ma main.

-Bien, tu es une bonne fille » dis-je, et je vis ses yeux briller.

-Tu veux boire? » Demandais-je et elle me fit oui de la tête. Je la fis boire dans mon verre.

Alors que Pauline me regardait manger, je me demandais si j'allais lui imposer un lavement. Mais en fait cela ne me tentait pas. En fait j'avais envie de la libérer. En même temps Paul avait voulu une expérience complète. Je fini de manger.

-Pauline, tu as été sage, tu peux te lever. Nous allons aller dans le salon, » ordonnais-je. Le compliment lui plu, je le lu dans ses yeux, et elle se leva difficilement, ses mains toujours attachées dans son dos.

Je m'installais devant la télé, les jambes écartées. Et je lui fis signe de se mettre là devant moi. Puis je baissais ma braguette. Pauline ne se fit pas prier, et ouvrit la bouche. Je sorti mon sexe déjà en érection, et Pauline se dressa et goba mon sexe. Les mains dans le dos, je comprenais ses difficultés, mais elle semblait motivée. Je caressais sa tête, pendant qu'elle s'activait. Sentant ma main elle se recula un peu, puis repris de plus belle.

Je sentais mon orgasme arriver. Alors je relevais la tête de Pauline. Son maquillage avait un peu souffert. « Va t'allonger sur le lit, » et elle se leva pour obéir.

J'attachais ses mains au coins du lit, puis ses chevilles près de ses mains. La position semblait un peu pénible, mais m'offrait un accès de maître sur toute sa zone génitale. Sa respiration rapide me disait qu'elle anticipait quelque chose. Je pris du lubrifiant et commençait à en enduire cette zone. Manifestement Pauline appréciait les caresses sur le périnée. Je passait un moment à lui caresser les boules qui dépassaient de la cage, provoquant gloussements et gémissements de la part de ma soumise.

Elle finit par demander : « s'il te plait, prend moi! »

-C'est moi qui décide, non? » dis-je et je la vis rougir et fermer les yeux.

-Oui, Jean! »

Pour autant, je m'avançais vers elle et je posais mon sexe sur son anus. Je vis ses yeux s'écarquiller. Elle avait peur.

-ca ne va pas? »

-J'ai peur, tu ne m'as pas dilatée? »

-Tu voulais que je te prenne? »

-Je... oui... » dit-elle en baissant les yeux encore.

Je poussais avec mon sexe, en massant ses fesses et en tirant pour ouvrir son trou. Je lisais la peur et l'excitation sur son visage.

Mes doigts rentrèrent alors dans son anus. Et l'ouvrirent lentement. Apparemment c'était supportable.

Puis je reforçais avec mon sexe, qui finalement entra. Pauline eut un « oui ».

Je restais en position, puis quand elle commença à bouger les fesses, et m'enfonçais en elle.

Là, les bras et les jambes écartelées, elle me regardait dans les yeux alors que je l'enculais. Dans cette position je devais entrer profondément en elle. Et elle appréciait. Elle me lacha alors un :

-C'est bon, s'il te plait, plus fort! »

A vrai dire je n'attendais que cela.

Elle jouit juste avant moi. Mais avant de 'écrouler, je la détachais.

-Merci » me dit-elle en m'embrassant.

Je me collais derrière elle en cuillères et nous nous endormirent.