Le Xchange Anal Challenge 10

Dixième partie d'une série. Je vous conseille de lire les neuf premières parties, même s'il y a un résumé au début de chaque épisode.

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Résumé

Paul Erik et moi apprenons à comprendre la cage de chasteté X-change purple submissive que nous avons acheté, et porté. Après un week-end dans la cage et une mise au point Je choisi que Paul me mette la cage : je lui donne les plein pouvoir, surtout qu'il a été clair sur ses intentions.

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Paul aime dominer

Un instant plus tard j'étais nu, et Paul avait la clé dans le cadenas, et j'entendis le clic précéder mon étourdissement et donc ma transformation.

-Bonjour Jeanne. Tu sais que tu es une vilaine fille? » dit Paul sur un ton en colère.

-Pardon, Paul qu'ai-je fait » dis-je vraiment embêtée.

-Hier tu ne t'étais pas lavée le cul avant que l'on t'encule, » dit Paul. C'était vrai.

-Je suis désolée... je m'étais douchée, mais je ne sais pas ce que dois faire de plus! »

-Tu avais fait un lavement? »

-Non... je ne sais pas faire... »

-Je m'en doutais, je vais te montrer, mais tu as besoin d'une punition pour t'en souvenir. »

-Oui bien sur » répondis-je un peu angoissée sur le tour que prenait notre jeu.

-Non, demande-moi cette punition, Jeanne... »

-Paul punis moi, pour ne pas m'être lavée le cul »

Il fouilla dans le sac qu'il avait apporté.

Il en sorti des pinces avec de petits poids accrochées. Des pinces à seins. Evidement je n'en avais jamais porté, mais je savais que ces petites choses pouvaient être terribles.

-Je te regarde les mettre. C'est toi qui veux une punition! » même avec l'option submissive, je voyais le jeu de Paul de me reprocher de lui avoir demandé une punition. Malgré tout je me sentais coupable de l'avoir méritée, et de l'avoir demandé. Après coup j'avais un regard plus critique sur ce qui s'est passé à ce moment-là.

J'attrapais les pinces, mon téton gauche. Et je laissais lentement se refermer la pince.

-Ah! » je laissais échapper un cri de douleur. » Mon dieu j'avais goûté au plaisir que peuvent donner les seins, mais pas encore au revers de la médaille. »

-Allons ne traîne donc pas! » se moqua Paul. Je relâchais alors la pince sur le second téton sans les ménagements que j'avais pris pour le premier. Et vite je le regrettais.

La première sensation par l'intensité fût la douleur provoquée par l'écrasement des tétons entre les pinces crocodile qui mordaient dans ma chair. Mais je dois être honnête vis-à-vis de vous lecteurs. J'étais déjà très troublée par la dominance de Paul sur moi. Par un sentiment de ne pouvoir y échapper, et surtout une excitation. Comment la décrire?

Quand l'ordre est tombé c'était une excitation intellectuelle. Je me doutais que ce serait excitant, et être obligée de le faire moi-même amplifié se ressenti. Mais une fois les tétons stimulés jusqu'à la douleur, une vague de chaleur et d'excitation physique m'envahit. Mon sexe également se trouvait à l'étroit dans sa gaine métallique. J'avais hâte que Paul me bouscule sur une table et me pénètre.

-Montre-moi! » Je gonflais la poitrine, mais chaque mouvement était douloureux. Il l'était en soit, mais surtout il provoquait un mouvement de balancier des poids, qui perdurait. Je voulais être brave pour Paul, mais c'était trop et je commençais à pleurer.

-Allez, tu joues les chialeuses! Allez, je vais te montrer comment faire un lavement, » il prit son sac et nous nous dirigions vers ma salle de bain. Dois-je préciser que chaque pas faisait balancer les poids des pinces? J'eus la mauvaise idée de tenir mes seins avec mes mains, pour les stabiliser.

-Tu te mets dans la baignoire, mais qui t'a donné le droit de toucher tes seins? les mains dans le dos! » J'étais mortifiée dans la baignoire. Paul remplissait une poche avec de l'eau tiède, puis l'accrochait en hauteur. Un tube en descendait.

-On peut mettre de l'eau savonneuse, mais pour la première fois, j'ai mis de l'eau tiède. La poche fait 2,5l. Mets-toi à genoux, et lève les fesses. » dit-il froidement. Encore une fois ses paroles me blessaient. Mais je me mettais en position provoquant des mouvements des pinces.

Paul me massa alors l'anus avec un liquide froid, il me lubrifiait. Puis il introduit une canule. Sur le moment je pensais au plug. Puis ouvrant la vanne le liquide commença à entrer en moi.

Sensation curieuse, pas si désagréable que ça, en tout cas au début. Parce qu'avec le temps la pression montait. J'avais l'impression que le liquide introduit dans mon anus remontait jusque dans mon ventre.

-Voilà, tu en as la moitié à peu près. Tu attends 15 minutes, et pas d'accidents » ordonna-t-il en retirant la canule. La pression dans mon bas ventre était de plus en plus difficile à supporter, et chaque mouvement faisait se balancer les pinces, qui finalement n'était qu'un souci de plus, mais plus mon problème principal. Je serrais les fesses, mais je sentais que je ne tiendrais pas. Je me sentais comme une petite fille qui a besoin d'aller aux toilettes, mais n'ose pas demander. Je sais que n'ai jamais été une petite fille, mais en étant Jeanne, je ne me sentais pas vraiment comme le petit garçon que j'ai été.

-Je vois bien que tu vas te faire dessus, file aux toilettes. » Les mouvements étaient difficiles. Et je craquais juste au-dessus de la cuvette des toilettes. Avant même d'être assise, je laissais s'échapper un liquide marron et malodorant sous les yeux de Paul. Situation incroyablement humiliante.

-Dès que tu as fini, on recommence jusqu'à ce que le liquide soit clair. » Et nous avons recommencé. J'espérais que le liquide soit clair la seconde fois. Mais il fallut une troisième fois. J'étais encore dans la baignoire à me retenir avec difficulté quand Paul sembla avoir pitié de moi.

-Aller on va retirer les pinces, je lève la punition. » dit-il avant de le faire, retirant les deux pinces en même temps. A vrai dire les pinces ne me faisaient presque plus mal, mais j'étais contente d'en être débarrassée. Mais le retour du sang dans mes tétons changea la donne.

-Aïie! » Hurlais-je! Et sous l'effet de surprise, je laissais le lavement s'écouler de mon cul.

-C'est pas vrai tu es une vrai godiche. » S'exclama Paul alors que j'éclatais en sanglots.

Paul ensuite me doucha et me sécha. Puis il me conduit dans ma chambre.

Là il me mit le plug délicatement. Avant de me demander de le sucer. J'avais envie de me racheter alors je suivais scrupuleusement ses indications. A vrai dire, je suis pas sure que j'étais encore moi-même, j'étais un peu comme sortie de mon corps, et spectatrice de ce qui m'arrivait.

Evidemment, Paul me demanda d'arrêter pour utiliser mon autre orifice pour notre plaisir mutuel.

Paul me retira la cage ensuite.

-Je n'ai pas le temps pour que tu me mettes la cage, et puis j'ai un peu peur que tu te venges. Si tu veux bien Samedi je la porterais.

J'étais épuisé, et je m'endormis facilement. Le lendemain matin, j'étais même surpris de ne pas être Jeanne.