Le Xchange Anal Challenge 12

Douzième partie d'une série. Je vous conseille de lire les onze premières parties, même s'il y a un résumé au début de chaque épisode.

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Résumé

Erik, Paul et moi-même partageons depuis moins d'une semaine une cage de chasteté qui transforme celui qui la porte en shemale obéissant. Nous avons tous testé la soumission de la cage. Erik n'a manifestement pas aimé. Paul et moi développons une intimité liée à notre addiction à la cage.

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Nous sombrons dans la routine

Le lendemain matin, je réalise que je n'ai pas libéré Pauline, quand elle me réveille avec un café chaud.

-Je ne sais pas si j'ai de droit de marcher, Jean, mais pour le café c'est plus commode. » me dit-elle.

-Je vais te retirer le collier et la cage » dis-je. Je vis Pauline se concentrer. Je savais déjà qu'elle allait me contredire, enfin essayer au moins.

-Comme tu le souhaite, mais je préfère déjeuner nue en Pauline esclave avec Jean, que Paul et Jean nus face à face. » Je ris, elle marquait un point et ses yeux brillèrent quand je le reconnu.

Plus tard quand j'ai libéré Paul, il m'a dit que Pauline avait apprécié ce que j'avais prévu.

-Et Paul? » Il me regarda

-C'est plus difficile, je ne te le cache pas. Mais quand je pense à ce que je t'ai fait, je crois que je n'ai pas le droit de me plaindre. » dit-il.

-Il faut qu'on trouve un équilibre. » répondis-je, et mettant la cage.

Ce Dimanche nous l'avons passé avec Erik, Paul remettant la cage un peu après midi.

C'est devenu un peu une habitude, que je remette la cage le Vendredi soir, et que nous passions le Week-end en compagnie de Jeanne ou de Pauline. En général Pauline gardait la cage le Dimanche soir.

Après quelques semaines, Paul avait tellement de mal à retirer sa cage le Lundi Matin, nous avons convenus que je gardais la clé pour le libérer au bureau. Lui-même récupérait la clé le Vendredi soir après que j'ai refermé la cage sur mon sexe.

A vrai dire cette situation ne me convenait pas. J'avais du mal à partager la cage, et je crois que Paul aussi. En fait je préférais être Jeanne, et la cage ne me gênait pas tant que ça, et pour être honnête, je n'aimais pas tant que ça sodomiser Pauline. Je ne dis pas que c'était désagréable, loin de là, mais je préférais le rôle passif. J'en venais même à être encombré de mon sexe quand il n'était pas dans la cage. Je n'avais pas osé le dire, mais j'avais même été acheté une cage que je portais dans la semaine, mais ni Paul ni Erik ne le savait.

Cela aurait posé des problèmes, mais j'aurais bien voulu ne jamais quitter la cage. L'avantage de ma cage, c'était d'en avoir la clé, mais en fait, je ne me souviens pas l'avoir retiré pour me masturber. Je préférais laisser monter l'envie jusqu'au week-end. Par contre, ma vrai frustration c'était de rester dans mon corps d'homme. J'aurais sans doute dû acheter une autre cage X-Change, mais je n'ai pas osé.

Bien entendu, je n'osais pas remettre en question notre 'organisation'. Expliquer mon point de vue à Paul et Erik aurait été trop compliqué.

Au travail, nous avons en plus un souci avec une personne chez le client sur le projet WX-GRADE. Et dans la journée je devais me concentrer sur notre communication envers le client. Aussi quand Paul m'a demandé si je voulais bien passer dans son bureau, je pensais qu'il voulait me parler de ça.

-Bonjour Paul, tu m'as demandé de passer? C'est à propos de WX-GRADE? »

-Bonjour Jean, non... en fait si, mais de loin. Je voulais plutôt savoir comment tu vivais notre organisation avec la cage? » Sa question m'inquiétait : pensait-il sérieusement à envoyer Jeanne chez ce client?

-Tu me fais peur en liant cela au projet » dis-je. Paul éclata de rire!

-Tu as raison. Erik part là-bas, Lundi prochain. Il y restera pour deux semaines. Nous aurons un week-end sans lui, et pour être honnête, notre arrangement ne me convient pas tout à fait. »

Comme moi, Paul souffrait de partager la cage. Il aimait être Pauline, mais la cage le gênait. Il aurait voulu ne pas subir la soumission, et aurait voulu pouvoir utiliser son pénis en tant que Pauline. Il aurait aimé pouvoir passer du rôle passif au rôle actif plus facilement. Il se sentait aussi frustré de la taille de son sexe dans la cage.

-Je comprend, » dis-je, avant d'exprimer mes propres points de vue.

-Je me demandais si le week-end où nous seront tous les deux, nous ne pourrions pas nous passer de la cage, mais essayer des pilules X-Change? » proposa-t-il.

-Je... je suis totalement d'accord. Nous pourrions aller en choisir ensemble un soir de la semaine? »

Le rendez-vous fût pris. Je ne savais sur quoi cela allait déboucher, mais l'idée d'essayer d'autres X-Change me plaisait.

La semaine passait lentement.

Et le Vendredi, Paul passa me voir.

-Je sais que je vais te demander de me faire confiance. Je voudrais fermer ta cage ce soir. Je te promets de ne pas abuser, mais je voudrais me racheter de la dernière fois, ou tu m'as fait confiance comme ça. » demanda mon ami.

-Paul, je ne sais pas? » commeçais-je.

-Tu ne me fais pas confiance? Ou tu as peur que je voie la cage que tu portes? » J'étais saisi par la question.

-Comment sais-tu? »

-Je ne suis pas sûr, mais je l'ai vue, la semaine dernière en passant chez toi. C'est ce qui m'a donné le courage de te parler ce matin, et je voudrais faire cela une dernière fois... avant notre rendez-vous » expliqua-t-il. Je ne sus quoi répondre, alors je me levais et me déshabillais.

-Avant que ne subisse l'effet de la cage X-Change, si tu veux je garde la clé de ton autre cage. Je passe te chercher demain matin pour aller faire des boutiques » me dit-il.

En rentrant chez moi, j'étais assez inquiète des projets de Paul pour le lendemain. J'avais tord. En même temps j'étais excitée, et je touchais mon collier, comme si c'était Paul que je pouvais toucher à travers cet objet.

Le lendemain, Paul me fit porter le même collier que je celui que je lui avais fait porter, puis il me fit visiter des boutiques où nous avons acheté des vêtements assez marqués BDSM. En particulier ces chaussures où les pieds sont en pointe. Mon collier était dissimulé sous mon chemisier. La peur montait. Mais sans plus.

A midi, nous sommes rentrés chez lui, et je me suis retrouvée nue à genoux à côté de lui. Il me nourrissait de la main. Et j'essayais de la lécher pour éviter qu'elle ne soit sale.

Il me fit essayer ce que nous avions acheté, Puis il me prit contre le mur auquel je devais me tenir pour tenir debout dans ces chaussures. mais déjà il était temps de changer de porteur de la cage.

Alors qu'il retirait la cage, quelque chose attira mon attention, mais il me glissa dans l'oreille : « J'ai plus prévu cela pour la semaine prochaine. » et j'avais oublié ce que je voulais voir.

Le week-end continua alors comme n'importe quel week-end.

Le Lundi matin j'allais dans le bureau de Paul, et comme d'habitude j'y trouvais Pauline. Elle avait un air grave.

-Ca va?

Sans répondre tout de suite, elle déposa sur son bureau trois morceaux de métal : l'anneau, le tube et le cadenas.

-Je suis désolée, je sais que tu y tenais » me dit Pauline.