Le Rêve de Tous Mes Fantasmes

Une fois sa place faite, il accéléra la cadence et se mit à pomper avec intensité. Son pénis allait et venait dans ma bouche, je sentais ses veines distendues passer entre mes lèvres. Sa chair se rendait profondément en moi, plus qu'aucun autre n'avait jamais été. C'était incroyable de sentir un si grand pénis entrer si loin en moi.

Et je vis ses testicules à nouveau. Avaient-ils grossi? Eh oui, ils avaient grossi eux aussi! Des deux clémentines qu'ils étaient initialement, c'étaient maintenant des oranges, des grosses oranges. Je n'en revenais pas. Ils étaient énormes, gonflés plein de sperme, prêts à exploser. Je le voulais ce sperme -- tout pour moi.

À mesure qu'il pompait ma bouche, je le sentais s'approcher du point de non-retour. Son pénis était tendu, excité et il commençait à spasmer. Mais juste avant de céder, il ralenti son élan et marqua une pause.

Doucement, il sorti son pénis. Je sentis à nouveau son membre passer à l'envers dans ma bouche, pouce par pouce. Cette fois était plus longue que la précédente, il y avait plus de pénis qu'avant. En fait, pour complètement le sortir, il fallut que son propriétaire recule si loin que je ne pouvais même plus le toucher.

Je regardais où il était rendu et ce fut à mon tour de dire "Oh my God ... comment tu as fait ça?"

Entre lui et moi, il y avait plus de 20 pouces de pénis qui nous séparaient. Un pénis comme celui-là était tout simplement impossible. Il était énorme, gigantesque, c'était un monstre! Il était droit, très vascularisé et dur. Je ne le croyais pas et pourtant il était bien là, devant moi. Il était magnifique! Et ses testicules étaient d'une taille inhumaine, je n'en avais jamais d'aussi gros.

Son propriétaire n'y croyait pas ses yeux non plus: "Mais ... qui es-tu, toi? Mon pénis ne peut pas être si gros! Regarde de quoi j'ai l'air maintenant!!"

Apparemment, il ne comprenait pas plus que moi ce qui se passait -- son pénis avait grossi sans arrêt depuis le début. Il était devenu un monstre, une erreur de la nature.

***

Entre mes jambes, mon autre cavalier continuait de pomper avec fougue. Il était gros lui aussi, il se rendait profondément en moi. Mon vagin n'avait jamais tant été étiré. Ma vulve était bombée, mon clitoris était dur et gonflé de plaisir. Mes seins semblaient encore gonfler. Et un autre orgasme envahit tout mon corps. Mes muscles se tendirent, mon bassin monta, mon clitoris m'envoyait des spasmes d'excitations et je mouillais abondamment.

"Ohoooooo ooooo!!, tu es incroyable" est tout ce que je trouvais à dire.

Je sentis son pénis se tendre en moi, se gonfler de sperme, spasmer au bord du gouffre. Mais il ne vint pas -- pas tout de suite. Il s'arrêta quelques secondes, retira son pénis et repris contrôle. Je constatais le vide qu'il laissait dans mon vagin. Mais le répit fit du bien. Je pu souffler moi aussi.

Puis il revint et renfonça doucement son pénis entre mes jambes, se rendit jusqu'au bout. Il le poussait tout au fond de mon vagin distendu, jusqu'à ce que son bassin vienne s'appuyer sur le mien, frotter mon clitoris. Tout son membre était profondément en moi. Je ne m'étais jamais sentie aussi remplie, je sentais son pénis jusque dans mon ventre. Son propriétaire semblait étonné lui aussi d'avoir pu l'entrer au complet.

Doucement, il se remis à pomper mon intérieur. Il prit mes hanches et les amena avec les siennes et me fourra de plus en plus intensément. Mon vagin contracta autour de lui. Un autre orgasme.

***

Celui qui était à ma tête, lui, contemplait toujours son pénis. Il le tenait à deux mains et se caressait en attendant de revenir en moi. Il avait dû prendre encore un autre pouce. Comment pouvait-il grossir encore?

Il était temps que j'y revienne; j'approchai ma langue de son fabuleux gland mais cette fois n'en lécha que le dessous. Je pris son pénis et fit passer toute sa longueur sur ma langue. Je longeais son urètre qui était remplie de sperme et me rendis à ses testicules, énormes. Ils gonflaient encore devant moi, se remplissant de plus en plus de sperme et travaillaient à pleine vapeur pour en produire davantage. C'était absurde, chacun de ses testicules avait maintenant la taille d'un pamplemousse. Ils étaient si gros qu'ils menaçaient de déchirer la peau dans laquelle ils tenaient. Je ne pouvais même pas essayer d'en prendre un dans ma bouche, impossible qu'il y entre. Je me contentais de les lécher et embrasser, constatant qu'ils étaient bouillants et trempés de plaisir.

Et son pénis géant flottait entre mes seins anormalement développés. Il était si long que son gland se rendait à mon nombril. La femme qui s'était prise à me seins n'en croyait pas ses yeux. Elle le prit dans ses mains et en caressa la longueur. Elle tenta d'entrer le gland dans sa bouche mais ne pu le faire tellement il était gros.

Moi je savais que j'étais capable. Et je le voulais encore dans ma bouche. Cette fois au complet.

***

"Reviens dans moi, je pu lui dire entre deux soupirs, je veux te prendre jusqu'au bout. Et je veux que tu viennes dans mon ventre, je veux tout ce que tu as."

"J'attendais juste ça!, dit-il. Tu n'en reviendras pas du sperme que j'ai pour toi." Il ne pensait pas si bien dire.

Il n'en fallu pas plus pour que son gland énorme retraverse mes lèvres. Ma bouche se remplit à nouveau de son pénis.

Je lui fis signe qu'il pouvait aller plus profond dans moi. Je penchais ma tête vers l'arrière et il poussa le monstre dans ma bouche. Ma gorge s'ouvrit et laissa passer son gland, puis son membre. De plus en plus de son membre. Malgré la taille aberrante de sa chair en moi, je ne forçais pas et je pouvais respirer même avec lui dans ma gorge. Un autre mystère.

Mon cou s'étira à nouveau. Je remis mes mains sur mon cou pour sentir comment il était dur et bombé par son pénis -- j'adorais cette sensation! Je le sentais pénétrer en moi. Je savais que cette vue excitait aussi son homme, il allait et venait dans mon cou en observant sa chair gonfler la mienne.

Mon cavalier #2 accélérait et ralentissait dans mon vagin mais gardait le contrôle.

Ma cavalière, elle, était retournée à embrasser mes seins qui étaient ronds comme des ballons de basket. Sa main libre s'était rendue à mon clitoris et avait commencé à le caresser et stimuler, comme si j'en avais besoin d'avantage.

Dans ma bouche, le va-et-vient de cavalier #1 était lent mais son amplitude devenait de plus en plus grande. D'avantage de son pénis pénétrait en moi à chaque coup. "Allez! Entre tout que tu peux, je suis prête" je me disais en pensées.

C'est ce qu'il fit: le monstre entra plus loin, plus profondément en moi. Des kilomètres de pénis semblaient entrer en moi. Et bientôt, mes lèvres embrassèrent son ventre. "Ooomph!!!" fut sa seule parole.

Il pris ma tête entre ses mains et poussa une dernière fois pour bien s'appuyer sur moi. Un dernier pouce de pénis entra au plus profond de moi et le monstre y était logé au complet, dur, long, chaud. J'avais été jusqu'au bout! J'étais une avaleuse de sabres!

Je sentais son pénis sur tout son long, dans ma bouche, mon cou et jusque dans mon ventre. "Dans mon ventre!?"

Je déplaçai mes mains jusqu'au-dessus de mon nombril et sentis sa chair dans la mienne; son pénis bombait bel et bien mon ventre. Lorsqu'il se remit à pomper, je sentis le renflement de son gland se déplacer en moi. Je touchais son gland dur et gonflé pendant qu'il bougeait en moi! C'était fou!

"Aarrh! gémissait-il, jamais une fille ne m'a pris si profond! Jamais je n'ai été si gros! Baby tu es magicienne!!"

La raideur de son pénis en moi témoignait de son plaisir. Il accélérait la cadence, son pénis allait et venait maintenant profondément au fond de mon ventre. Il allait bientôt exploser.

Ses testicules venaient s'appuyer sur mon visage et je n'en revenais toujours pas de voir leur taille. Ces énormes pamplemousses débordaient de sperme et je me préparais psychologiquement à le recevoir profondément en moi.

Cavalier #2, lui, pompait toujours mon vagin qui peinait à accommoder sa taille, mais jouissait d'être tant étiré. Il accéléra en gémissant des plus en plus. Il approchait de la fin.

***

Je pris conscience de l'incohérence de la situation. À ce moment, j'avais deux pénis plus grands que nature en moi, engorgés de sperme, prêts à éjaculer. L'un étirait mon vagin comme aucun autre ne l'avait fait avant. L'autre était si long qu'il se rendait dans mon ventre, monté sur des testicules inhumains. Et ma poitrine était énorme, complètement disproportionnée, et excitée par une femme aux lèvres de rêve, mon clitoris entre ses mains. Tous mes plus grands fantasmes réalisés ensemble.

Comment tout cela était possible?

Je n'eut pas le temps d'y répondre alors que cavalier #1 se crispa et dit "ARRRRGHHH!! Je viens!"

Il se mit à gémir de plaisir ou de douleur. Ses testicules pamplemousses grossirent une dernière fois, comme pour prendre leur souffle, puis se contractèrent et se mirent à pomper. Son pénis fermement empalé dans ma bouche se mis à spasmer, son urètre gonfla davantage et je sentis une première vague de sperme --plutôt un tsunami-- passer à travers son pénis. Tout semblait se passer au ralenti. Son pénis se bomba de la base jusqu'au bout. Son gland explosa dans mon ventre et je sentis une vague de sperme déferler dans mon estomac pendant plusieurs secondes. Un énorme shooter chaud et crémeux. Je n'avais même pas à avaler, le sperme était pompé directement en moi.

Une deuxième vague suivit, aussi chaude, encore plus abondante. Shooter double cette fois. Une bulle énorme de sperme poussée en moi. Je la sentais arriver même avec mes mains par-dessus mon ventre, c'était incroyable.

Puis une troisième vague. Puis une quatrième. Chacune tout aussi abondante, chacune ajoutant plus de sperme en moi. Sa chair entre mes lèvres se gonflait à répétition pour chaque fois pomper une quantité énorme de son excitation. Tant de sperme était impossible! Et pourtant son pénis était encore si gros et ses testicules si gonflés que je savais qu'il en restait beaucoup plus.

Et ce fut au tour de Cavalier #2 de pousser un grand cri. Il poussa son pénis au fond de mon vagin et se mit à pomper son sperme. Ses jets arrivèrent en moi avec tant de vigueur qu'ils me propulsaient sur mon cavalier d'en avant. Je levais les hanches pour mieux le recevoir. Son pénis énorme labourait tout mon vagin en le remplissant de plaisir.

Deux pénis géants, bandés à leur comble, déversaient maintenant tout leur sperme en moi, leurs deux propriétaires criant de plaisir. Et la bouche de ma cavalière s'occupait de mes seins énormes, mes mamelons gros comme des bouchons de lièges, excités à leur comble eux aussi.

J'orgasmais à nouveau alors que tout mon corps se mis à trembler. Mon vagin se mit à se contracter en spasmes rapides alors que plus de sperme y était injecté. Mon utérus se remplissait de sperme, mon ventre aussi. Tous mes muscles étaient tendus et je gémissais comme je pouvais avec ma bouche pleine. Mes seins surdéveloppés haletaient d'excitation et mon clitoris irradiait son plaisir. J'orgasmais de partout, je jouissais de toute ma peau.

Le sperme que pompait le pénis de mon Cavalier #1 continuait d'affluer et me remplir. Il y en avait tellement que je sentais même mon ventre grossir pour en accommoder autant. Heureusement qu'il déversait directement là, je n'aurais jamais pu avaler tout ça. C'était comme boire d'une lance de pompier.

Puis entre mes jambes, Cavalier #2 arrivait au bout de ses réserves. Il ralentit la cadence et pompa le reste de son sperme en moi alors que je perdais le compte des orgasmes de la soirée. Il avait rempli mon vagin qui avait peine à contenir tout son sperme. Il continua de me fourrer doucement.

Mais Cavalier #1, lui, continuait d'éjaculer. Son pénis injectait toujours vagues après vagues après vagues de sperme en moi. J'en avais compté 11 jusqu'ici, toutes plus énormes les unes que les autres. Et ça continuait: 12, 13 vagues. Un océan de sperme déferlait dans mon estomac. Mon ventre s'arrondissait réellement entre mes mains, gonflé par toujours plus de sperme. J'en avais déjà avalé plus d'un litre et ça affluait encore: vagues 14, 15, 16. Ses testicules pompaient infatigablement, son pénis livrait sans relâche, mon ventre grossissait encore.

Il passa plus d'une minute avant que le raz de marée ne se tarisse. J'avais compté 22 vagues de sperme, toutes pompées en moi. La vague #23 fut la dernière, une longue et abondante vague. Suave et chaude.

J'avais reçu au moins un litre et demi de sperme dans mon ventre, un bukkake à un seul homme. Une fantaisie incroyable. Sans compter tout le sperme dans mon vagin, lui aussi très abondant.

***

Puis, avant que les deux hommes se retirent une fois pour toute, ils poussèrent leur deux pénis profondément en moi, dans ma bouche et mon vagin à la fois, alors que mon dernier orgasmes se déclenchait.

Dans mon vagin, cavalier #2 se retira. Je me rendis compte du vide que cela fit tellement il avait été étiré avant. Une partie du sperme qu'il avait pompé en moi sorti et une flaque se forma entre mes jambes.

Dans mon cou, je sentais le pénis de cavalier #1 ramollir. Tranquillement, il le sorti de moi. Je vis passer 20 pouces de pénis, couvert de sperme. Je ne le goutai que lorsque son gland repassa dans ma bouche laissant derrière lui une marre de sperme. J'aimais son goût. J'avalais ce qui restait.

Puis je constatais les dommages. J'étais épuisée. J'étais remplie de sperme et je débordais de partout, de ma bouche et de mon vagin. Ma vulve était enflée de plaisir. Mon ventre avait reçu tellement de sperme qu'il était arrondi comme si j'étais enceinte de trois mois. Je le sentais de mes mains, incrédule. Mes seins ronds étaient plus gros que des ballons de baskets et débordaient de chaque côté de mon torse.

Dans l'abandon, j'entendais les paroles de gens autour de moi:

"Son pénis était tellement gros qu'on le voyait jusque dans son ventre."

"C'était un deepthroat incroyable!"

"Le gars avait des testicules de cheval, j'en ai jamais vu des gros comme ça."

"Il a pompé sans arrêt dans son ventre et regarde comme il est gonflé maintenant -- elle a tout avalé!"

"Et ses seins, les as-tu vu grossir? Ils sont devenus énormes."

***

C'est à ce moment que je me suis réveillé, désorientée, aux côtés de mon copain habituel. Tout cela était un rêve.

Mes seins avaient leur taille normale mais mes mamelons étaient durs et gonflés. Ma vulve était trempée ainsi que les couvertures que j'utilisais. L'érotisme du rêve m'envoutait toujours et j'étais encore bien excitée.

Je regardais mon copain endormi à mes côtés. Il avait une érection de nuit. Il allait me permettre d'assouvir mes désirs. Je sautai sur son organe et le fit pénétrer dans ma bouche, encore, et me mis à le pomper. Il ne fallut pas long pour qu'il grossisse à son maximum et atteigne sa pleine érection, dur et gonflé. Son propriétaire se réveilla et soupira de plaisir.

Il ouvrit les yeux juste à temps pour voir dernière moitié de son pénis disparaitre dans ma bouche ...