Emilie En Club Avec Trois Hommes

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Ma femme en trio avec trois espagnols.
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EMILIEDAN
EMILIEDAN
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Après notre aventure catalane avec Françoise et nos échanges en voiture avec des routiers sympathiques, nous avions programmé une dernière étape sur les conseils d'une amie.

Nous avions réservé toujours sur la côte espagnole, trois jours dans un club de vacances.

Plage, piscine, Jacuzzi, sauna, cocktail et tapas à gogo, sans oublier les soirées night-club.

Tout était réuni pour nous offrir trois jours de vacances et de bonheur.

Ma petite femme déambulait toute la journée, dans une mini-robe légère des plus transparentes dévoilant largement ses charmes. Le regard des hommes en disait long sur leurs pensées à la vue de son décolleté profond, de son dos-nu et de ses longues jambes bronzées par le soleil des plages espagnoles.

LA RENCONTRE

Nous étions ce midi-là, confortablement installé sur les tabourets hauts du bar dégustant, l'apéritif maison, conseillé par le barman, un joli blond petit trentaine et un corps de surfeur.

Le sourire enjôleur, il venait régulièrement vers nous avec la même rengaine

- Tout va bien .

Il aurait fallu être aveugle ou bien innocent, pour ne pas voir qu'il tentait surtout de plonger son regard dans l'échancrure de la robe d'Émilie. Il souhaitait sans nul doute avoir la chance d'apercevoir furtivement, un bout de ses seins, ou la naissance d'une fesse à l'occasion d'un mouvement de jambes.

Il se prénommait Juan, parlait le Français sans problème avec une légère pointe d'accent espagnol.

Émilie m'affirmait que ça renforçait son charme qui, manifestement, ne la laissait pas indifférente.

Deux grands gaillards venaient de s'installer à côté de nous en interpelant Juan

- Hello Juan Como Esta?

Juan les salua par des accolades chaleureuses. Nous découvrions leurs prénoms Miguel et Diego.

Notre apparente proximité avec leur pote barman les incitait à faire notre connaissance.

Ils nous saluaient et engageaient la conversation, autour d'un second verre qu'ils avaient la gentillesse de nous offrir.

Nous apprenions que Diego petite quarantaine était commercial en déplacement pour visiter des clients.

Il avait réservé ce weekend dans ce club pour l'ambiance et pour rencontrer de jolies filles.

Au demeurant, il ne se cachait pas pour dévorer des yeux les cuisses dorées de ma petite femme.

Brun aux yeux verts, un mètre quatre-vingts, sa chemise blanche ouverte dévoilait un torse brun aux abdos impressionnants. Les jambes écartées sur son tabouret, Émilie ne se privait pas de jeter un regard vers son short, dont l'entrejambe rebondi laissait deviner un certain tempérament.

Miguel lui était plus petit et râblé. Une vraie carrure de rugbyman.

Les cheveux mi-longs bouclés poivre et sel marquaient sans doute une petite cinquantaine.

Il était prof de sport à Madrid. Vêtu d'un teeshirt qui dessinait des pectoraux solides, il avait vraiment le charme du sportif accompli. Ses cuisses solides moulées dans un bermuda serré n'étaient pas en reste pour faire divaguer l'imagination de ma jeune épouse.

Lui aussi n'était pas en reste pour jeter régulièrement des regards furtifs et plongeants sur ses genoux et ses cuisses.

Il était évident qu'il guettait et rêvait d'un écartement de ses jolies jambes, susceptible de lui laisser entrevoir un petit bout de culotte ou plus si elle n'en portait pas.

Avant de nous quitter, ils nous demandaient si nous serions à la soirée d'animation dansante après le repas du soir.

Ajoutant qu'ils seraient ravis tous les trois de nous inviter à leurs tables Diego ajoutant

- Juan est de repos ce soir et de plus, c'est son anniversaire venez, ce serait sympa.

- Ce pourrait être sympa Daniel qu'est-ce que tu en pense?

- Si tu veux mon ange, pourquoi pas.

- Ça me fait plaisir de vous voir participer à ma soirée d'anniversaire. Retrouvons-nous à 22 h.

- Ok pour 22 h.

Les sourires, en retour de nos trois copains, mettaient en évidence leurs plaisirs de nous voir accepter.

LA SOIRÉE

À l'heure dite, nous traversions la salle pour rejoindre nos nouveaux amis.

Table basse ovale était ornée de jolies bougies, banquette de cuir rouge agencée en demi-cercle, lumières tamisées, le tout à bonne distance de la piste de danse.

La petite alcôve qu'avaient réservée nos trois amis, offrait une réelle intimité.

Émilie arborait un chemisier blanc et une jupe noire plissée à mi-cuisse. La large ceinture blanche serrée à la taille mettait en valeur ses hanches et son joli postérieur.

Un mini-soutien gorge à demi-balconnets et culotte assortie, elle complétait le tout d'un porte-jarretelles et de bas noirs.

Pour ma part, je restais classique, pantalon et chemise jean's.

À notre arrivée, les trois hommes me gratifiaient d'une chaleureuse poignée de main et réservaient des bises appuyées à ma compagne.

Juan, Diégo et Miguel s'était manifestement donné le mot, pantalons blancs moulants et chemises noires. Nos trois amis ne manquaient pas d'allure.

Émilie fût priée de s'asseoir entre Juan et Diégo sur une banquette. Pour ma part, j'étais en face du trio en compagnie de Miguel.

Très vite, ma femme fut invitée à rejoindre la piste de danse, pour partager avec Juan et Diégo des rocks endiablés.

Leurs bras puissants la faisaient virevolter. Parfois penchée en arrière et retenue opportunément par une main adroitement posée à la naissance de ses fesses. Ses cavaliers lui imposaient des figures acrobatiques qui très souvent transformaient sa jupe en véritable toupie. Ces rapides rotations dévoilaient sans pudeur, et alternativement bas et porte-jarretelles. Certains mouvements allaient même jusqu'à dévoiler les dentelles de sa petite culotte.

À plusieurs reprises, l'une de ses chaussures lui échappait sur la piste de danse, lui déclenchant ce four rire de gamine, qui me faisait toujours craquer.

Diego se précipitait alors sur cette adorable «cendrillon », afin de lui remettre délicatement son escarpin.

Manifestement il prenait son temps. Tenant délicatement d'une main sa gracieuse cheville.

De l' autre, caressant tendrement sa voute plantaire. Ses doigts agiles taquinaient les charmants petits doigts de pieds gainés de noir qui lui étaient offerts.

Émilie se tenant à ce moment sur une jambe se penchait en avant en reposant ses deux mains sur ses épaules, afin de ne pas perdre l'équilibre. Sa jupe mécaniquement remontait, dévoilant la courbe généreuse de ses fesses.

Juan, prétextant l'aider, saisissait de sa main gauche cette jambe sous le genou. La paume de sa main droite posée clairement sous son joli fessier.

Je pouvais apercevoir ses longs doigts fins, s'agiter de droite à gauche, et exciter par de petites pressions, la chatte et l'anus de mon petit bout de femme.

Miguel regardait stupéfait ses amis, profiter presque sans retenue de ma femme. Il mettait à profit cette scène pour me tester en me complimentant sur le choix de mon épouse.

- Daniel, ta femme est un bijou de sensualité, elle dégage un érotisme incroyable, elle a un corps exceptionnel. Franchement, ses seins, ses longues jambes et ce dos magnifique offrant cette chute de reins. C'est fou la chance que tu as. Et tu n'es pas jaloux de voir mes amis tourner autour d'elle.

- Tu sais Miguel pour moi, le plus important c'est le bonheur d'Émilie. Si elle prend du plaisir alors je suis comblé.

- Mais tout de même c'est ta femme!

- La jalousie Miguel, c'est le contraire de l'amour. Empêcher ta partenaire de vivre, de respirer, de jouir de chaque instant et à tout moment. C'est tuer l'amour.

- Mais non Daniel tu plaisantes! Ne me dis pas que tu es prêt à céder à tous les désirs de ta femme. J'ai franchement du mal à y croire. Tous les hommes sont possessifs.

- Miguel tu confonds le désir de posséder avec l'amour. Rien n'est plus beau que de voir la plénitude de ta femme qui prend du plaisir.

Franchement Miguel, lorsque tu fais un présent à une femme que tu aimes profondément. L'intensité de ton plaisir réside dans le cadeau ou par les yeux brillants de bonheur de la femme qui le reçoit.

- J'hallucine Daniel, tu veux dire que tu serais prêt à partager Émilie avec un autre homme si elle le souhaitait.

- Tout autant que je lui offrirais un bijou dont elle rêve. Je ne la priverai pas d'un instant de jouissance et de plénitude. Franchement Miguel, qui peut être jaloux d'un cadeau.

Miguel restait sans voix me fixant longuement avant de boire une longue gorgée de cocktail.

La séances de rocks achevées, Émilie essoufflée mais ravie, revenait vers moi.

Elle rayonnait. S'asseyant sur mes genoux, elle m'embrassait profondément.

- Chéri, je passe une soirée exceptionnelle, ces Espagnols sont de redoutables danseurs. Dans leurs bras j'avais l'impression d'être une plume. Je volais littéralement. Je t'ai vu me regarder avec ton regard coquin.

Lui caressant la nuque, je posais mon autre main sur son genou. Mon index excitait l'intérieur de sa cuisse. Sa transpiration avait humidifié son chemisier blanc, le rendant plus que transparent.

Elle me dévoilait, ainsi qu'à nos invités, les deux jolies aréoles brunes de ses seins, dont les tétons dressés pointaient avec arrogance.

Nos trois Espagnols étaient aux anges.

Juan et Diégo ne manquaient pas de complimenter mon épouse sur ses qualités de danseuse.

Chacun y allait de son superlatif.

- Juan : « Tu es une sacrée danseuse. Tu bouges merveilleusement tes hanches, quels rocks endiablés »

- Diégo : « et tes jolies fesses qui battent la mesure, c'est dingue. Excuses-moi Daniel »

- Miguel : « pas de souci Daniel n'est pas jaloux au contraire ».

Cette dernière phrase déclenchait un rire général.

La musique laissait place à un magnifique slow ; Miguel se penchait alors vers ma chérie en appuyant sa main sur son genou de libre.

- Émilie si tu m'accordais ce slow, je t'en serais éternellement reconnaissant.

- Avec plaisir Miguel.

Avant de rejoindre la piste, Miguel chuchota à l'oreille de ses deux complices. Leurs visages exprimaient alors la surprise pour ne pas dire la stupéfaction.

Le « oh tu déconnes » qui échappait à Juan ajouté au « Tu délires » de Diégo me laissait aisément imaginer la teneur du chuchotement de Miguel.

- « Les gars ce soir, je pense qu'il est possible de s'éclater au lit avec Émilie ».

Dès son arrivée sur la piste de danse, Miguel serra immédiatement mon épouse d'une main puissante sur sa chute de reins, l'autre se posant délicatement sur sa nuque, ce qui eut pour effet de voir ma petite femme s'alanguir contre son épaule.

Au fil des minutes, la main de Miguel descendait sans pudeur vers sa chute de reins pour glisser effrontément son pouce, à la naissance du sillon fessier.

L'instant suivant gourmande, elle se positionnait clairement sous la jupe, afin de caresser la peau frémissante juste en dessous du porte-Jarretelle.

Je connaissais trop bien ma chérie pour ne pas savoir qu'elle ne s'opposait pas à ces caresses érotiques. J'imaginais aisément le sexe de Miguel se presser contre son entrejambe.

Le couple tournait très lentement, baignés par les rayons multicolores de la piste de danse.

Émilie me regardait par-dessus l'épaule de son cavalier. Elle m'offrait ce regard sensuel dont je ne me lassais pas, qui me faisait partager son intense excitation et son désir.

Au rythme du battement de ses cils, à l'élargissement de ses pupilles, je devinais sans peine la teneur des caresses de Miguel.

Ma chérie à nouveau me tournait le dos. L'arrière de sa jupe était maintenant totalement relevé. Coincée sur ses reins, par le poignet de son cavalier. Miguel par un mouvement de ciseaux astucieux de l'index et du majeur de sa main droite élargissait clairement la raie culière de ma petite femme.

A présent, l'index et le petit doigt étaient recourbés de part et d'autre de la raie. Le majeur et l'annulaire gourmands se regroupaient alors sous la culotte, pour taquiner sans pudeur son petit œillet.

De nouveau je voyais le visage d'Émilie, les joues rouges. Elle me lançait un nouveau regard brûlant, en caressant de sa langue sur ses jolies lèvres humides.

Je souriais, devant les visages médusés de Juan et Diego face à l'érotisme de cette scène . Leurs pantalons blancs trahissaient leurs érections naissantes.

Juan me lança :

- Daniel, tu ne danses pas avec ta chérie .

- Franchement Juan ce n'est pas mon truc, mais je prends plaisir à voir Émilie danser.

La fin du slow était là, et nos deux danseurs revenaient. Émilie se jeta sur un verre d'eau et reprenait sa place sur mes genoux :

- Super soirée mon chéri, je prends un plaisir fou, ce slow était chaud.

À l'abri des regards de nos amis, je glissai ma main sous sa jupe pour atteindre sa culotte. Mon doigt constatait l'émoi de sa petite chatte, elle mouillait abondamment le doux satin du sous-vêtement.

Je l'attirai vers moi et lui chuchotai à l'oreille :

- Ma chérie, attends-toi à ce que nous soyons invités à partager la chambre d'un de nos amis.

- Tu crois mon Dan .

- Je ne crois pas j'en suis certain, ils te dévorent des yeux, et les caresses de Miguel pendant le slow sont sans équivoque.

- Regarde comme il a du mal à dissimuler son trouble. Et je constate que tu as mouillé ta petite culotte.

- Mon chéri, c'est vrai, ils sont tous les trois craquants. Difficile de définir le plus séduisant. Certes, Miguel a été de loin le plus entreprenant.

- Qui te parles de faire un choix?

- Non, tu es sérieux. Tu m'imagines m'offrir aux trois!

- Je n'imagine rien. Je parle de ce que tu as envie, de ce que ton corps réclame, de ce qui peut être fait partie de tes fantasmes. C'est à cette question que tu dois répondre.

- Mon amour, je t'aime follement, mais jamais je ne réaliserai un fantasme que tu ne saurais partager.

- Mon ange, nos précédentes prouvent que j'adore voir jouir. Si tu souhaites ce soir te donner à nos amis. Alors, je serais heureux de voir jouir sous leurs caresses.

Notre conversation secrète était interrompue par nos trois Espagnols :

Les amoureux, vous restez là où vous venez prendre un dernier verre dans notre chambre. Nous avons un petit alcool de banane à tomber raide.

Je susurrai à l'oreille d'Émilie

- Tu vois ma chérie, ils te parlent de jouir de bananes à tomber raide!

Son fou rire envahit l'alcôve, laissant nos trois amis interloqués.

Nous nous amusions de la situation, qui les mettait bord du craquage nerveux, dans l'attente de notre décision.

- Qu'en penses-tu mon Dan?

- Chérie, un petit alcool de banane à tomber raide ça ne se refuse pas.

C'est en cœur que nos trois amis manifestaient leur joie

- Olé, montons déboucher cette bouteille.

DANS LA CHAMBRE

C'était la plus grande chambre, celle de Juan, un lit King size, un mini-salon banquette et trois petits fauteuils.

Invité à prendre la banquette, nos trois amis s'installaient dans les trois fauteuils.

C'est Miguel qui déclara dans un éclat de rire

- « Au fait, nous ne t'avons même pas souhaité ton anniversaire Juan! »

- « C'est vrai ajouta Diego et pour ton cadeau tu as une idée »

- Miguel : « Daniel a sûrement une idée »

- « Au vu de la soirée, ma femme vous a offert déjà des danses endiablées »

- Juan : pour mon anniversaire, c'est un petit effeuillage d'Émilie qui me comblerait »

- Mon chéri, c'est son anniversaire, ça ne peut pas se refuser ils ont été si prévenants.

- Lève-toi ma chérie et mets toi face à Juan.

Je passais derrière elle et glissais mes mains sous ses aisselles, je dégrafais lentement, un à un les boutons de son chemisier.

Délicatement le soutien-gorge à demi-balconnet se révéla aux yeux de nos amis. Je continuais en tirant sur la fermeture Éclair de sa jupe, entraînant sa chute vers le sol. Ce dernier rempart, dévoilait ainsi le string noir, le porte-jarretelles et ses bas.

Je terminais, en soulevant délicatement une jambe puis l'autre pour dégager totalement la jupe laissant la belle en sous-vêtements, perchée sur ses escarpins à talons hauts.

Je m'adressai alors à mes trois Espagnols

- Je ne vais tout de même pas vous priver du plaisir d'effeuiller le reste.

Émilie avançait d'un pas vers la droite dos au lit, elle souriait avec ce regard coquin qui me faisait si souvent craquer.

Je repris ma place sur la banquette. J'avais alors à ma droite mon Émilie, et à ma gauche nos trois amis. À ce moment précis je lisais dans leurs yeux, ce moment d'émotion, à la vue de cette femme qu'ils avaient rêvé posséder tout au long de la soirée.

Quel moment intense pour moi, que de voir ma chérie me jeter ce regard complice et amoureux. Quel bonheur de lui offrir, et de partager avec elle, ces instants de plaisirs charnels.

Une fois de plus , je ne pouvais m'empêcher de penser à tous ces jaloux exclusifs, qui ne connaîtraient jamais ce bonheur jouissif.

Juan se plaçait devant mon épouse, sa main droite caressait ses cheveux et le lobe de son oreille. Le pouce de sa main droite se glissait entre ses lèvres. La succion que ma femme lui prodiguait, lui laissait imaginer le plaisir qu'il éprouverait, lorsqu'elle lui offrirait la même caresse sur son sexe.

Diego et Miguel s'étaient dévêtus ne conservant que leurs slips. Ils se positionnaient ainsi dans le dos de ma femme. Ils dégrafaient délicatement son soutien-gorge, libérant ainsi ses seins à la vue de Juan.

- Premier cadeau d'anniversaire mon Juan.

Les yeux de Juan étaient subjugués par la tenue de ces deux seins, de leurs larges aréoles brunes et de leurs tétons qui se dressaient comme une invitation au bonheur.

Immédiatement la bouche gourmande de Juan dégustait ces deux petites framboises, les titillant de sa langue avide et gourmande. Il pressait et tirait sur ses petits bouts qui faisaient trembler de plaisir l'ensemble des globes laiteux.

Diégo et Miguel descendaient à présent très lentement son string, et la libéraient de ses bas et porte-jarretelle. À genoux ils caressaient et embrassaient de concert les fesses de ma douce.

Les quatre mains caressaient l'intérieur et l'extérieur de ses cuisses.

Émilie devinait leur souhait de la voir écarter ses jambes. Ce qu'elle fit immédiatement.

La main puissante de Miguel se glissait alors dans son entre jambes et ses doigts pénétrait ainsi lentement la chatte déjà humide de plaisir.

Juan avait rejoint ses deux complices en ôtant ses vêtements. Son érection était telle, qu'un bout d'un joli gland rose pointait sur son nombril.

Il embrassait à présent ma femme qui commençait à gémir sous l'effet des caresses qu'elle recevait de ses deux amis.

Quatre mains descendaient de ses épaules vers son joli petit cul. Elles écartaient les deux globes généreux, titillant le petit œillet sombre. Elles poursuivaient leurs routes à l'intérieur des cuisses jusqu'aux chevilles pour ensuite reprendre leur ascension en sens inverse.

Les quatre mains s'immobilisaient alors sur sa nuque et ses épaules et tendrement, d'une légère pression vers le bas, invitait la belle à se mettre à genoux devant Juan.

Émilie était désormais à genoux, confortablement installée sur le coussin délicatement posé au sol.

Elles descendaient lentement le slip de Juan. Libérant, une jolie paires de testicules soigneusement épilées, surmonté d'un phallus d'une taille des plus respectables.

Juan avait les yeux fermés, lorsque mon bout de femme commençait à gratifier son gland de petit coup de langue. Elle léchait avec gourmandise ce liquide transparent qui sortait à intervalles réguliers du méat du gland.

Les soubresauts de Juan, ses gémissements et les spasmes de son sexe, lui offraient certainement l'un de ses meilleurs anniversaires.

Miguel à l'évidence ne voulait pas être privé de cette bouche gourmande. Débarrassé de son slip, il pointait son sexe court mais trapu vers la bouche de ma femme. Elles gratifiaient ses lourdes boules de caresses. Elle ouvrait plus largement sa bouche lui permettant d'emboucher le gland de Miguel à côté de celui de Juan.

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