Le Rêve de Tous Mes Fantasmes

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Rêve en quatuor où tout est plus grand que nature.
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Le rêve de tous mes fantasmes

Rêve en quatuor où tout est plus grand que nature.

par: Eddy Exile

Avertissement: ceci est une oeuvre de fiction -et un rêve- où plusieurs de mes fantasmes sont réalisés pour le compte d'une femme volontaire à les vivres. Dans la vraie vie, le consentement est nécessaire de la part de chacun des partenaires de même que la protection là où requis. Et les gens ont des pénis et des seins normaux, petits, moyens ou gros. Mais peu importe, c'est avec leur taille naturelle qu'on doit apprendre à vivre.

Excuses: cette histoire contient des dessins de mon cru. Bien que j'en sois assez fier, ils sont loin d'être parfaits (j'ai beaucoup de problèmes avec les mains) alors soyez indulgents. Vous remarquerez aussi que dans cette histoire, les têtes des hommes ne sont pas importantes, ce ne sont que des dicks. ;-)

***

J'aurais dû suspecter que cela n'était pas la réalité par le milieu où cela se passait. Jamais je ne fréquentais ces endroits. Mais aujourd'hui j'y étais, au beau milieu d'un baisodrome, un bordel... Un bar en fait, grand, où les gens célibataires ou en couple se rendent pour baiser avec qui leur tente. Divans, lits et coussins tout autour de moi. Musique jazz en arrière-plan. Classe.

J'étais habillé de manière extrêmement sexy. Je portais une jupe courte en cuir noir et une blouse à manches courtes moulante et décolletée. Décolletée en partie parce que les 3 boutons d'en haut n'ont jamais pu fermer. Mes seins ronds, 34D naturels, étaient bien mis en valeur par ma brassière qui les ramenaient ensemble. Mes mamelons déjà excités pointaient à travers. J'avais omis de mettre une culotte. J'étais chaude, j'avais envie de montrer mon corps et de faire l'amour. J'allais m'asseoir au bar.

Je n'attendis qu'une minute avant qu'un grand bonhomme s'assoie à côté de moi apportant deux coupes de champagne. L'homme semblait un peu plus jeune que moi, il était un tantinet bedonnant mais en forme. Il portait des jeans et un t-shirt propre avec un veston porté casual.

Ses yeux m'ont intrigués. Ils étaient d'un vert pâle et rayonnaient une énergie forte. Son regard me scruta lentement sans dire un mot: mes yeux, mes cheveux blonds, mon décolleté, mes hanches, mes jambes. Je me sentais déjà mise à nue mais ce soir, j'aimais bien m'exhibitioner. Je l'observais aussi: grand, musclé, mâchoire large, un peu de poids. Rendu à son entre-jambe, je ne pu manquer que ses jeans avaient peine à contenir son paquet, visiblement très gros.

Je savais que ma soirée commencerait avec lui, j'étais prête à jouer le jeu pour l'exciter. Je commençai par détacher mes longs cheveux et à les laisser tomber sur mes épaules. Puis je me mis à caresser mes cuisses en prenant des poses sensuelles. Il me regardait faire en buvant tranquillement sa coupe de champagne. Son sourire le trahissait, de même que la bosse dans ses jeans.

Les gens autour étaient en couple ou en trio, en train de s'approcher ou dans le feu de l'action. Il y avait un couple engagé dans un 69; l'homme dévorait littéralement l'entre-jambe de sa compagne, soupirant fortement, tandis qu'elle faisait pénétrer son organe excité dans sa bouche à un rythme infernal. Ailleurs, une femme assise sur un sofa avait entre ses jambes bien écartés un homme qui la fourrait avec vigueur. Ils étaient tous deux dans un état de plaisir très intense. Lui, était sur le point de venir et elle paraissait vivre un grand orgasme. Plus loin, un homme était occupé à exciter sa conquête en embrassant sa poitrine. Ses seins étaient tout petits mais ses mamelons étaient extrêmement développés, pointant au plafond, gonflés d'excitation. C'étaient des scènes que je voulais vivre aussi. De temps en temps, on entendait même des gens applaudir lorsque, je suppose, quelqu'un jouissait.

Celui avec qui j'étais parla enfin.

"Tu es vraiment belle. Sexy. Je t'ai remarqué la seconde où tu es entrée. J'ai bien envie qu'on découvre ce qu'on peut faire ensemble. Tu es intéressée?"

Ma réponse fut affirmative et il n'attendit pas pour m'inviter au centre de la place, sur le grand lit en coeur laissé libre comme s'il nous avait été réservé. Une excitation m'envahit. Je n'étais pas gênée du tout. J'avais en tête de donner le show de la soirée. Je calai ma coupe de champagne et le suivi.

***

Nous nous sommes rendus au lit en coeur et, toujours debout, nous sommes mis à s'embrasser. Il sentait bon, il embrassait bien. Nos langues étaient déjà mélangées. Je lui enlevai son veston, sorti son t-shirt de ses jeans et laissa mes mains caresser son dos. Il fit de même avec ma blouse et se rendit rapidement à ma brassière qui fut détachée illico. Il ne s'en fut pas plus pour que je lui son t-shirt et qu'il m'enlève blouse et brassière. Au moment où mes seins trouvèrent l'air libre les gens qui m'entouraient, dont ceux que j'avais admiré, se retournèrent et se mirent à me dévisager à leur tour. Le corps droit, mes seins fiers bien en valeur, j'admirais les réactions que je créais. Ma poitrine ronde était d'autant soulignée que mon ventre était plat et musclé. Tous me regardaient avec attention, un autre show commençait. Les pénis des hommes qui m'entouraient gonflèrent alors qu'on m'applaudissait et me sifflait. Je pris le tout comme un compliment et mon excitation grandit. Mes mamelons grossirent et mon entre-jambe commença à mouiller.

Mon cavalier, lui, contempla les trésors qu'il venait de révéler.

"Woah! Tu es encore plus belle au naturel! Je vais bien m'occuper de toi." dit-il.

Nous nous remirent à s'embrasser, torses nus l'un contre l'autre. Mes mains étaient retournées dans son dos mais les siennes avaient passé à ma taille puis mes seins. Bon départ. Puis je descendis ma main jusqu'à son entre-jambe et confirma ce que j'avais vu précédemment: il était bien membré et avait un paquet énorme.

Je m'assis sur le lit en coeur avec lui debout devant moi et détachai sa ceinture. Je voulais le voir, le toucher. Je baissai ses jeans jusqu'à ses genoux et me concentrai sur ses boxers. Son pénis encore mou ne laissait pourtant pas de doute sur sa grosseur. Je me mis à le toucher à travers le tissu et à en tracer les larges contours. Il était membré.

Cette nuit, j'avais follement le goût de faire jouir un long pénis dans ma bouche et j'aillais commencer par celui-ci.

***

Une amie m'avait expliqué, à 15 ans, le plaisir qu'on pouvait retirer à sucer un pénis bien bandé. Elle me disait qu'il n'y avait rien de plus agréable que de faire grossir dans sa bouche l'outil d'un beau mâle, de l'exciter avec nos lèvres et notre langue, de le sentir palpiter de plaisir, devenir dur comme une barre de fer ... jusqu'à ce qu'il éjacule, nous remplissant la bouche de l'excitation qu'on venait de lui donner. Je l'avais expérimenté pour la première fois avec mon copain dans ce temps-là. Je m'étais mise à sucer son outil lors d'un party chez des amis. J'avais dézippé ses pantalons et pris son pénis dans ma bouche. Il fut très surpris et son organe s'était rapidement gonflé pour devenir raide et long entre mes lèvres. J'aimais la sensation et son excitation m'avait encouragé à le sucer plus farouchement, à entrer son pénis plus fort et plus loin dans ma bouche. C'était la première fois que je sentais un pénis se gonfler de plaisir entre mes lèvres et cela m'avait totalement emballée. C'est là que je compris pourquoi on appelait ça un "blowjob", mon cavalier avait grossit si vite dans ma bouche qu'on aurait dit que c'était moi qui l'avais gonflé.

Plus il devenait gros et excité, plus je prenais de plaisir à le prendre dans ma bouche, à le dévorer. Je le savais se remplir d'excitation et je savais ce qui m'attendais si je continuais mais mon excitation était tellement grande qu'il n'était pas question que j'arrête. Je l'avais donc sucé jusqu'à ce qu'il ne puisse plus contenir son plaisir et que son organe se gonfle une dernière fois dans ma bouche pour éjaculer tout ce qu'il contenait. J'avalais tout, dégustant le plaisir que je venais tout juste de lui donner. La saveur était salée mais la sensation enivrante. Le seul fait de l'avoir fait exploser dans ma bouche m'avais fait jouir. Aujourd'hui encore, après plusieurs années d'expérience, donner l'amour oral à un pénis bien bandé m'excite toujours autant.

***

De retour à mon cavalier, il était grand temps de lui enlever ses boxers, ce que je fis. Il se laissa faire et prit une courte pause pour enlever le reste, souliers, jeans, boxers. J'enlevai du même coup ma jupe mais gardai mes talons. Je pu enfin contempler son pénis, propre, bien rasé mais surtout, bien prometteur: l'outil de mon pote, malgré le fait qu'il était encore mou, mesurait déjà 8 pouces de long! Son gland non circoncit était toujours dans son fourreau, montrant qu'il y avait place à croitre davantage. Mais c'est sa bourse qui retenait le plus mon attention, elle était énorme. Ses testicules étaient ronds, lourds, gros comme des clémentines. Cela attisait ma curiosité et mes ardeurs; je m'en léchais déjà les lèvres.

Je me mis à caresser son pénis en lui disant que je commençais à avoir très faim. Je fis parcourir mes mains sur toute sa longueur comme pour vérifier que cela était vrai. Ça l'était bien. Son pénis durcissait entre mes doigts. Son gland prenait de l'expansion et commençait à sortir de sa cachette.

Je conduis ce bel organe à ma bouche et toucha le bout de son gland de mes lèvres. Il laissa échapper un soupir de satisfaction tandis que son pénis sursautait en gagnant du volume. Cette confirmation m'excita; posséder le contrôle de son outil commençait à me faire mouiller. Je séparai mes lèvres et fit pénétrer en moi le bout de son outil.

"Ahhh!!" disait-il, "Oui! Prends-le dans ta bouche, tu verras comment il deviendra gros!"

J'avais bien hâte de voir! Avec mes lèvres et ma langue, j'explorais les contours de son gland et en mouillais toute la surface. Le sang commençait à gorger son pénis qui durcissait et s'allongeait. Je l'estimais déjà à 10 pouces de long. Son gland sortait de son repli de peau et gonflait, plus gros, plus rond. Il ressemblait à une énorme prune et suffisait déjà à remplir ma bouche. Je pris un peu de temps pour faire aller et venir son gland entre mes lèvres et le lécher de tous ses côtés. Mon cavalier commençait à gémir.

"Ah oui baby!! Ta bouche est magique, prends mon pénis, prends-le!" disait-il.

Puis je commençais à faire glisser mes lèvres plus loin sur sa chair, à faire entrer son membre en moi. Les soupirs de mon cowboy s'intensifièrent. Son pénis grossissait pour prendre toute la place dans ma bouche. Ses veines poussaient pour le gonfler au maximum. J'adorais sentir ma bouche se remplir de son pénis. Je pompais plus intensément.

Je continuais de le sucer pendant quelques minutes. Je le croyais en érection complète depuis longtemps et pourtant, son pénis continuait de se développer. Son propriétaire avait raison, il devenait très gros. J'avais l'impression de voir grossir ses testicules aussi. Mais était-ce vraiment possible?

J'ouvris ma bouche à son plus grand, fit le maximum d'espace pour prendre sa chair et poussa tout ce que je pouvais jusqu'à l'entrée ma gorge. Puis j'ouvris ma gorge et le laissa entrer plus profondément encore. Son pénis pénétra davantage en moi. Mais même au plus loin que je puisse le prendre, il restait encore 6 pouces à entrer. Il était trop long et je savais que je ne réussirais pas à en prendre plus dans cette position. Il fallait une autre stratégie...

***

Je repoussais un peu mon cavalier et fis sortir doucement son long membre de ma bouche. Je vis passer son pénis à l'envers jusqu'à ce que son gland sorte complètement de ma bouche. Et ce fut la surprise: il était devenu bien plus gros que je pensais. Il mesurait au-delà de 12 pouces de long. Son gland était énorme, rouge et distendu.

Même mon cavalier n'en revenait pas.

"Woah! Regarde ce que tu as fait, tu l'as rendu géant! Tu m'excites tellement, c'est incroyable!"

En effet, c'est bien moi qui l'avais tant fait grossir -- et j'en étais bien heureuse! Mais je ne comprenais pas comment j'avais pu en entrer autant dans ma bouche. Cela m'excitait d'autant plus: ma peau était sensible, mes seins picotaient, mes mamelons durcissaient, mon clitoris gonflait et ma vulve continuait de mouiller. Tout mon corps était en effervescence.

Et je mis en place la stratégie pour pouvoir prendre son pénis plus loin dans ma bouche: je m'allongeais sur le dos et plaçais un oreiller sous mon cou pour laisser pendre ma tête à l'envers. Je m'exposais aussi à tous: mes seins ronds bien en valeur, ma vulve rasée bien en évidence.

"Ohoooo! et Ahaaaa!" de la foule.

Dans cette position, l'énorme pénis pourrait passer ma gorge et continuer plus profondément en moi. Mais jusqu'où?

"Viens-voir jusqu'où tu peux aller maintenant", je lui dis. Je semblais combler un de ses fantasmes en lui disant cela.

Il ne se fit pas attendre. Son énorme gland revint en contact avec mes lèvres et j'ouvris ma bouche à son plus grand pour l'accommoder. Son membre interminable recommença à explorer la caverne chaude de ma bouche.

Je pris ses fesses et me mis à contrôler le rythme, le faisant aller et venir dans ma bouche. Il était si gros que même bien enfoncé dans ma bouche, il restait encore 12 pouces à l'extérieur. Avait-il encore allongé? Je lui fis faire encore quelques va-et-vient et procédai au test ultime: le faire descendre dans ma gorge.

J'ai penché ma tête vers l'arrière, relaxé ma gorge et tiré mon cavalier vers moi. Ma gorge s'ouvrit et s'étira laissant passer son énorme gland. Le reste de son pénis suivit. Étrangement, même avec ce pénis géant dans ma gorge, je ne sentais pas mon souffle se couper, ni ma gorge se contraindre, c'était doux. L'interminable membre entrait en moi facilement.

Je l'engageais de plus en plus profondément dans ma gorge. Sa chair avançait dans moi comme un long train qui entrait dans un tunnel. Je réalisais à ce moment que son membre passait dans mon cou. Je mis ma main sur mon cou et il était dur, étiré, gonflé par le pénis qui y avançait dedans. Je pouvais toucher son gland et son énorme membre à travers la peau de mon cou!

"Oh my God!" laissa s'échapper mon cavalier lorsqu'il vit son propre pénis avancer dans mon cou.

"Oh my God! Oh my God! Oh my God! Ta gorge est incroyable - arhhhh!!" Et je sentis de nouveaux spasmes d'excitation qui gonflaient encore son pénis. Mais comment cela était-il possible?

Il prit contrôle du rythme et se mit à pomper mon cou en regardant son énorme gland distendre ma peau. À chaque coup il poussait son pénis plus profondément en moi. Je ne savais plus combien long j'en avais en moi et combien il en restait mais son membre semblait ne jamais se terminer. Chose était certaine, ma gorge n'avait jamais été remplie de la sorte.

Il y avait maintenant des gens qui s'étaient rapprochés pour nous observer:

"Ohoooo! Mais regarde son pénis passer dans son cou! Malade!!"

"Quel deepthroat! Comment elle peut faire ça?"

"Mais il est gigantesque ce pénis!"

J'adorais cela.

Il pompa ma gorge comme ça pendant quelques minutes. Puis il retira son pénis de ma bouche et me laissa souffler un peu. Je restais toujours ahurie de voir la longueur de pénis qui ressortait de ma bouche.

***

C'est à ce moment qu'un homme resté spectateur jusqu'ici s'approcha de moi. Un grand gars, imposant, poilu. Je l'avais vu se masturber pour moi et il avait donné à son pénis un format assez colossal, assez long mais surtout très épais. Il vint se placer derrière moi et observa ma vulve excitée complètement trempée. Il y approcha le bout de son organe et ouvrit doucement ma vulve pour l'explorer de bas en haut. Cela me chatouilla et m'excita. Mon clitoris s'en réjouissait. Je pu confirmer que son pénis était bien développé; mes grandes lèvres devaient ouvrir bien grand pour accommoder sa présence. Il préparait son espace.

Puis une autre personne vint se rajouter à nous. C'était une femme, petite, timide. Je l'avais vue nous observer plus tôt, elle semblait fascinée par ma poitrine. Elle s'installa à mes côtés et commença à caresser mes seins, à en découvrir les contours.

Je n'avais pas porté attention à mes seins jusqu'ici mais la présence de cette nouvelle venue me fit m'interroger, quelle était cette sensation étrange dans ma poitrine? Mes seins étaient tendus, inhabituellement lourds, gonflés eux aussi avec l'excitation. Je les pris dans mes mains et constatai avec stupeur qu'ils avaient grossis. Énormément grossis en fait!

Je levai la tête et fut subjuguée de les voir si ronds et gros! D'ordinaire un 34D, j'étais passée au-delà du E, du F et j'avais même entrepris les autres lettres de l'alphabet. Mes seins étaient maintenant gros comme des ballons de soccer. Il serait impossible de remettre ma brassière en repartant d'ici.

La femme qui s'était ajoutée les avait vu grossir, d'où sa fascination. Et maintenant ses mains exploraient leurs formes. Elles étaient minuscules sur les énormes sphères, incapables d'en faire le contour.

Pendant ce temps, cavalier #2 avait fait sa place entre mes grandes lèvres, enflées de plaisir, et entra enfin dans mon vagin. Son pénis, aussi gros fut-il, pénétra facilement tellement j'étais mouillée. Mais mon vagin

dû s'étirer très large pour le laisser passer. Puis il se donna un rythme lent, poussant progressivement son pénis en moi à mesure que mon vagin accommodait son énorme présence. En peu de temps, il avait atteint le fond du tunnel. La tension augmenta et tout mon intérieur se mis à spasmer autour du nouvel étranger. "Ahaaaaa!", la sensation était magnifique. Premier orgasme.

La femme se mit à embrasser mes seins partout, à en lécher la sueur et à enfin prendre mes mamelons excités dans sa bouche, tour à tour. Déjà gonflés, ils devinrent plus durs, se tenant bien droit par-dessus mes seins.

J'avais les nerfs à fleur de peau et toute l'excitation que je ressentais tendait la peau de mes seins, augmentait le flot de sang dans tout mon corps. Je les sentais gonfler encore, devenir plus pesants sur moi, monter et s'élargir jusqu'à dépasser de chaque côté de mon corps.

L'homme qui était entre mes jambes avait aussi vu ma poitrine augmenter. Je vis son visage incrédule entre mes énormes seins et l'entendis dire quelque chose comme "Oh mon Dieu, comment ça se peut ça?" immédiatement suivi par un gonflement de son outil. Je constatais de visu à quel point son outil à lui était énorme aussi. Pas aussi long que #1 mais plus large, gros comme une canette de Coke. Pas étonnant qu'il m'étirait tant!

***

Cavalier #1, lui, revint dans ma bouche. En peu de temps il retrouva sa place au fond de ma bouche. Et il recommença à aller et venir dans ma bouche et ma gorge, explorant si je pouvais toujours le prendre. Je le sentais pénétrer profondément dans mon cou. Il était si long et il entrait si profondément qu'il se rendait jusqu'entre mes seins et même au-delà. Il ne semblait pas avoir de fin à ce gigantesque organe.

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