Le premier déploiement de Julia 05

BÊTA PUBLIQUE

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À moi aussi ça donne plein d'idées. Je me demande s'ils sont en train de bander, probablement que oui. Eux, ça fait longtemps qu'ils ne se sont pas vidés les couilles, à moins qu'ils se soient branlés. Est-ce que qu'ils l'ont fait en pensant à moi?

Je suis toujours gênée par leurs regards, mais je me mets aussi à fantasmer sur ce qu'il pourrait se passer s'ils se laissaient aller, là, tout de suite... Est-ce qu'ils voudraient commencer par me baiser, ou bien ils voudraient que je les suce d'abord? J'imagine la raideur de leurs verges entre mes mains, ma bouche qui va de l'une à l'autre, puis je me mettrais en levrette, pour que l'un me prenne pendant que je suce l'autre...

Je suis brutalement tirée de ma rêverie par le major.

-- Alors, on rêvasse? Au boulot, soldat! Vous lambinez!

Je sursaute et me remets au travail, pendant que les deux soldats se souviennent brusquement de la raison pour laquelle ils sont venus, et retrouvent la parole.

Quand j'en ai fini avec le bureau du major, celui-ci m'emmène chez le sergent fourrier. Le local du fourrier, c'est un défilé quasi permanent, car c'est chez lui qu'on peut obtenir le remplacement d'une pièce d'équipement cassée, ou d'un uniforme vraiment trop usé. En plus, son local est plein d'étagères et de casiers, je vais en avoir pour des heures à nettoyer, et pendant ce temps, tous les visiteurs vont me voir, sans parler du fourrier lui-même.

Mais j'ai du mal à comprendre ce qu'il m'arrive. D'un côté, sachant l'état dans lequel je suis, être le centre de l'attention de tous me gêne terriblement. Mais d'un autre côté, cette attention que je suscite me trouble et me stimule. Depuis un bon moment déjà mes pointes de seins sont tendues et le frottement du treillis sur elles n'arrange rien.

Je m'efforce de bien accomplir ma tâche, mais je ne peux m'empêcher de rêver à nouveau.

Chaque fois qu'un soldat entre, il ne manque pas de me regarder, de me détailler même, ce qui me fait me détourner : même si la poussière est venue se coller sur mon visage et rend moins identifiable la coulure de sperme qui l'orne, j'en suis néanmoins honteuse, elle reste terriblement présente pour moi.

De plus, presque tous ne manquent pas d'échanger quelques allusions sans équivoque à mon propos avec le fourrier, lequel s'empresse de renchérir, il n'est pas non plus le dernier à me mater.

Mais dans ma tête, dans mon corps surtout, c'est l'ébullition. À chaque nouvel entrant, je m'imagine qu'il vient vers moi, très déterminé, qu'il ouvre brusquement mon treillis, découvrant mes seins, et qu'il commence à me les peloter tout en me poussant vers une table.

J'imagine encore que, très déterminée moi aussi, je pose la main sur son entrejambe et souris de contentement en tâtant son érection, je déboucle son ceinturon pour sortir sa verge, plonger ma main afin de palper ses couilles. Depuis combien de temps tu ne les as pas vidées? Trop longtemps, certainement. Viens, justement j'ai envie que tu me prennes, comme ça, sans préliminaires, que tu me baises sur cette table, aussi sauvagement que tu en as envie, comme une bête en rut, et que tu te vides en moi...

Certainement que l'auréole humide de mon pantalon est en train de s'agrandir, car je mouille comme une folle tandis que je m'imagine me faire sauter à la hussarde par chaque nouveau soldat qui entre.

Peut-être bien que le capitaine a raison finalement, que je suis une obsédée qui ne pense qu'à baiser. C'était faux bien sûr, il y a encore peu de temps. Mais il est clair que j'ai changé, c'est vrai que ces derniers jours, je pense presque tout le temps au sexe.

En tout cas, je sais déjà que ce soir, dès que je serai dans ma chambre, je vais me masturber et me faire jouir. J'en ai besoin, un besoin qui me rend presque fébrile...

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Anonymous
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8 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

De plus en plus impatient de lire la suite prometteuse de cette saga prometteuse et très bien menée... BRAVO

with gOogle trad !)BRAVO

More and more impatient to read the promising sequel of this promising and very well conducted saga... WELL DONE

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Excellent travail montant crescendo, on a hâte de voir la suite. Ps: il fait chaud, tout le monde le sait, pourquoi être encore habillée Joris ses rangers... Du moins des lors qu'elle sera mise à disposition du camp pour le moral des troupes, voire des Autochtones pour les bonnes relations... Voire plus (les pauvres chiens)

MulierscriptorMulierscriptoril y a 3 mois

Belle histoire bien écrite bravo à vous !

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 3 mois

Tres excitent bravo ça donne tres envie de connaitre la suite

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Hmmm super qu’elle reste bien sans se laver la chatte et le rest bien avec le sperme qui est sec et qui sent

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