Le Pasteur Poursuit Sa Carrière 04

BÊTA PUBLIQUE

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Elle avala la chaude semence qui formait une mare crèmeuse dans son estomac qui se soulevait de dégoût.

Ils regardaient maintenant les deux écrans le second transmettait les images du portable posé sur la table de nuit, les deux pasteurs obser-vaient la ravissante madame Garrison étendue sur son lit conjugale, Amos lui caressait lascivement les cuisses, le contraste entre sa grosse patte noire et la chair blanche des cuisses de Patricia était follement ex-citant.

Puis il lui ôta rapidement ses hauts talons, ses orteils s'agitaient mainte-nant à l'air libre.

Puis il lui roula sa petite culotte de dentelle blanche sur les chevilles dé-voilant son petit trésor blond comme les blés.

- Oooooooh... Ooooooooooooh... Ooooooooooooooooooooh... Couinait-elle bruyamment.

Il était évident pour les deux spectateurs que la fidèle et guindée ma-dame Garrison ne le serait plus très longtemps.

Elle crispait ses mains sur le drap alors que ses jambes recourbées re-posaient sur les épaules de son suborneur.

Elle couinait de plus en plus alors qu'on entendait clairement le profes-seur Thompson laper sa juteuse fentine engorgée de cyprine.

Il était évident que la ravissante principale de lycée succombait à un in-tense orgasme alors qu'elle hurlait :

- Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuuu... Je jouuuuuuuuuiiiiiiiissssssss... Son corps tremblait de toutes ses fibres les orteils pointés sur le portable posé sur la commode, la sublime madame Garrison venait de succomber pour la première fois à un butinage de chatoune.

Elle était totalement molle lorsqu'elle reprit pied sur terre.

Amos la positionna alors à sa convenance jambe après jambe puis il pointa sa grosse bite sur sa cible et la pressa à l'orée de sa grotte em-brasée.

Puis il se pencha à son oreille et lui murmura :

- Tu es vraiment bonne baiser ma petite salope!

Cette phrase ne devait pas être prononcée devant elle, cette phrase avait été implantée dans son esprit par le pervers Mollway ; c'était la clef pour la faire reprendre pied dans la réalité.

Brutalement revenue à elle en entendant prononcer cette phrase, Patri-cia sombra dans un état de choc en réalisant dans quelle situation elle se trouvait.

Elle comprit tout d'abord qu'elle se trouvait dans son lit conjugal dans leur chambre principale.

Puis elle réalisa qu'elle était entièrement nue et que le prof de psycholo-gie de sa fille était étendu sur elle, il était lui aussi entièrement nu!

Et pire encore, sa "grosse chose bandée" se pressait contre sa fente in-time.

- Que se passe-t-il?

- Que faites-vous?

Je vous en prie... Non.. On ne peut pas... Je ne le veux pas faire... Faire l'amour! Le suppliait-elle ses yeux roulant dans leur orbite alors que pour toute réponse il pressait de plus en plus sa bite contre son intimité pour toute réponse.

Le regard d'horreur que lui envoyait la ravissante femme éperdue ne faisait que l'exciter encore plus, sa bite se déployait encore alors qu'il donnait de petits coups de reins pour tester sa perméabilité.

Amos éclata de rire en voyant ses yeux lui sortir des orbites, son visage affichait son désespoir il frissonnait de l'entendre se lamenter :

- - Nonnnn... Pas ça... Je ne veux pas... Nonnnnn... Elle est bien trop grosse! Trop épaisse... Nonnnnn! Aieeeeeeeeeeeeeeee!

Avec un plaisir évident Amos lui bloqua les poignets au-dessus de sa tête et la clouant impitoyablement sur le lit qu'elle partageait habituelle-ment avec son époux.

Comme elle sanglotait et pleurnichait, Amos gloussait :

- Oh je réalise enfin mon rêve, je rêve de te baiser depuis la remise des diplômes! Bordel ce que t'es étroite! J'avais tant envie de te dévaster la chatte! La bite de ton mari ne doit être qu'un petit flû-tiau pour que tu sois restée aussi étroite!

Il la chevauchait allégrement sans tenir compte de ses lamentations et de ses plaintes qui ne faisaient que l'exciter davantage encore.

Il ne se souciait pas de lui procurer de plaisir, Amos était d'autant plus heureux qu'elle se débattait pour tenter d'échapper au viol de son corps.

- Ahhhhh... Ahhhh... Ahhhhhhhhh... Ugggghhhhhhhhh... Oh, je jouis... Je vais gicler en toi a chérie! Ohhh ouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii...

Les yeux braqués sur le plafond de sa chambre, Patricia ressentait un méli-mélo de sensations, elle se demandait déjà :

- Comment ai-je pu autoriser ce pervers à pénétrer dans ma cham-bre? Un viol! Il m'a violée...

Patricia tentait de se convaincre elle-même de cela, mais elle devait en-core s'expliquer pourquoi elle avait laissé ce bâtard la caresser longue-ment avant le repas, allant jusqu'à appeler son mari pour qu'il puisse verser un soporifique dans sa boisson.

Elle savait pertinemment ce qui allait advenir une fois que son mari au-rait succombé au somnifère, d'autant plus que le professeur Thompson lui avait clairement annoncé son intention de la sauter sur son lit conju-gal.

Ses cuisses étaient douloureuses à force d'être écartées en force, les lèvres de sa chatoune se crispaient spasmodiquement après son brutal assaut, Patricia grognait de douleur alors qu'Amos la repoussait sur le flanc avant de la disposer à quatre pattes.

Alors que ses grosses mains calleuses pétrissaient ses fesses, Patricia comprit qu'il allait la prendre de nouveau, mais cette fois il allait la grim-per comme une bête, comme un chien prenait sa chienne dans la rue.

Elle se rappelait cet épisode ou toute jeune lors d'une visite au zoo elle avait vu un étalon monter sa pouliche afin de la féconder.

- Il va me prendre comme une chienne en chaleur! Il va faire de moi sa petite chienne! Pensait-elle affolée.

Elle frissonna en sentant l'épais champignon se glisser dans son con lu-brifié, prise par surprise elle sentait qu'il s'était enfoncé aisément jusqu'aux burnes dans sa chatoune engorgée de foutre, mais il s'était retiré immédiatement laissant sa cramouille aspirer de l'air.

Elle ne comprit pas pour autant qu'en fait le démoniaque prof avait plon-gé son estoc dans sa caverne lubrifiée pour la graisser correctement, il avait besoin que sa bite soit correctement huilée pour accomplir la tâche qu'il s'était fixée, plonger son épaisse bite dans son trou du cul vierge.

Sentant le gland turgescent presser son oeillet Patricia se mit à paniquer tentant de se dérober en s'éloignant en rampant.

Mais il la tenait fermement aux hanches, l'attirant à lui en fait tout en donnant de violents coups de reins.

- Aieeeeeeeeee... Arrêtezzzzzzzzzzzzzz... Arrêtezzzzzzzzzzzzz... J'ai maaaaaaaaalllllllllllll... trop maaaaaaaaaaaaaaaalllllllllllllllll... Se lamentait-elle misérablement.

- Aieeee... Aieeeeee... Aieeee... Aieeee... Aieeeeee... Aieeee... Couinait-elle désespérément à chaque coup de rein propulsant la mentule d'Amos dans ses reins douloureux.

Sachant que sa performance était retransmise sur les écrans du bureau de Mollway, que ces deux hommes avaient déjà assisté à la défloration de l'adorable fille de madame Garrison quelques mois plus tôt, il leur of-frait maintenant le dépucelage anal de sa mère, Amos adorait l'entendre se plaindre lamentablement à chaque coup de bite dans son étroit trou du cul.

- Bordel elle était si étroite! Pensait-il alors qu'il s'enfouissait une fois de plus dans ses reins.

Il savait d'après l'étroitesse de son oeillet et ses soupirs qu'en fait c'était la première fois que cette belle femme sophistiquée se faisait sodomiser.

- Owww... Oww... Oww... Oh, arrêtez... Je vous en prie arrêtez! Professeur... Professeur Thompson... Je vous en prie... Arrêtez, s'il vous plait! Ca fait maaaaaaaaaaalllll... Se plaignait-elle alors qu'il la martelait sans merci.

Il la tenait fermement aux hanches pour l'empêcher de lui échapper, Amos jeta un oeil vers le bas pour voir les traces de sang qui maculaient le gland de sa bite, ce qui le fit glousser joyeusement :

- Oh, madame Garrison, je crois que je t'ai foré un nouveau trou du cul! Ouais, je sais bien que je t'ai déchiré le périnée, mais cela t'appréciera de te faire enculer très bientôt.

Il lui lâcha les hanches alors qu'il continuait à la labourer de grands coups de bite, il empoigna sa blonde chevelure soyeuse et allongea son autre main par delà sa taille pour la doigter lubriquement.

Frottant son clito sensibilisé, Amos rit aux éclats alors qu'il remarquait :

- Il faudra t'oindre le trou du cul avec un bon gel madame Garrison... Tu vas me rejoindre à mon hôtel mardi prochain et je te fourrerai comme une reine toute la journée... Je t'en donnerai plus que tu as jamais rêvé ces dernières semaines!

Au travers de la douleur qui la tétanisait toute, Patricia parvint à déchif-frer son dernier commentaire :

- Il sait que toutes les nuits j'ai rêvé qu'il me sautait, que je me de-mandais à quoi cela ressemblait de faire l'amour avec un noir pour la première fois... De faire l'amour avec lui!

- Oh mon Dieu comment puis-je me réjouir qu'il me caresse et me doigte... Tandis qu'il me sodomise! D'autant plus qu'il me traite comme une pute bon marché, il attend ma visite mardi matin à son hôtel!

- Ohhhhh... Ohhhhh... Ahhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhh... Ohh-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Pantelait-elle alors qu'il se vidait les couilles dans les profondeurs de son intestin ravagé.

Lorsqu'il retira sa grosse bite de son trou du cul endolori, elle s'effondra sur le lit conjugal, Patricia était toute engourdie à force d'avoir été écarte-lé et déchiré, son cul pointait toujours en l'air du foutre s'égouttant de sa chatoune et de son trou du cul sur le couvre-lit.

Elle entendit le professeur bouger dans la salle de bain adjacente, le ruissellement de l'eau lui fit comprendre qu'il se lavait avant de partir.

Elle avait besoin de temps pour récupérer ses fonctions corporelles, elle réalisa soudain qu'elle devait prendre une douche vaginale pour esquiver tout danger de procréation.

Une fois le professeur Thompson partit Patricia trouva enfin la force de se glisser hors du lit pour gagner la salle de bain.

La main en coupe pour capturer les coulées de foutre qui s'écoulaient de sa chatte et de son trou du cul elle ouvrit le cabinet de toilette pour y chercher un flacon de douche vaginale là où elle les stockait.

Elle avala brutalement sa salive, et tendit la main pour trouver u des deux flacons qu'elle avait rangé là la semaine dernière.

- Ou se trouvaient-elles? Se demanda-t-elle brusquement, elle était sûre de les y avoir rangées après les avoir achetées dimanche dernier au drugstore.

Elle cherchait frénétiquement sur les étagères du cabinet de toilette, pensant qu'elle avait pu les poser sur une mauvaise étagère, elle tenta de retracer ses gestes ce dimanche dernier en rentrant de la pharmacie.

Puis se retournant, elle vit le reflet orange des flacons de douche vaginale qui dépassaient de la poubelle.

Elle saisit les deux flacons vides jetés dans la poubelle, un long frisson courut le long de sa colonne vertébrale en réalisant ce que ce pervers bâtard avait fait ; il avait ouvert les deux flacons et les avait vidés dans la douche avant de partir, la forçant à conserver sa fertile semence en elle.

FIN DE L'HISTOIRE

30 avril 2008

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon

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