Le Pasteur Poursuit Sa Carrière 04

BÊTA PUBLIQUE

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Amos ne parvenait pas à croire que cette chienne, cette licencieuse pe-tite salope, puisse être l'innocente femme d'un pasteur.

Elle était menue et minuscule, bien plus petite que lui, c'était un délice de se faire une telle salope dans le lit qu'elle partageait ordinairement avec son mari.

Prenant la femme entre ses bras, il la posa sur le lit avant de la dépouil-ler prestement de ses vêtements.

Il était évident que cette adorable salope était en manque, elle se masturbait énergiquement d'un doigt habile alors qu'elle gémissait à pleine gorge.

Au pied du lit, Amos était tout surpris de la facilité avec laquelle sa petite chatte avait avalé son épaisse bite, démontrant par ailleurs qu'elle était loin de l'image de la douce et innocente femme du pasteur qu'elle se donnait en public.

Pendant ce temps le pasteur Knowlton qui devait animer la ré^pétition de la cérémonie de mariage avait appris qu'elle avait du être annulée au dernier moment.

Bien qu'il aurait pris grand plaisir à assister à la répétition de la cérémonie de la charmante future, sachant pertinemment que son vil professeur de fac avait l'intention de la baiser la veille de sa nuit de noce dans sa suite nuptiale le lendemain soir, il dit au revoir aux fiancés leur donnant rendez-vous le samedi.

De ce fait il rentrait chez lui plutôt que prévu, sa mâchoire se décrocha à la vue de la voiture de l'ex-pasteur Mollway garée devant sa porte.

La dernière fois que Mollway s'était rendu chez lui Richard avait été obli-gé de l'inviter à souper, puis il était parti sous le prétexte d'assister à l'agonie d'un de ses paroissiens laissant le champ libre au pervers pasteur Mollway qui pouvait ainsi faire ignominieusement chanter sa femme l'obligeant à coucher avec lui.

Nell pensant que son mari ignorait tout de ses escapades extra conjuga-les elle s'était soumise à ses volontés toute la nuit, se faisant baiser à couilles rabattues sur le lit qu'elle partageait ordinairement avec son ma-ri.

Richard savait que Mollway avait été chercher un excellent client à son arrivée à l'aéroport cet après-midi se chargeant de le divertir pour cette soirée, mais il avait pensé qu'il s'agissait de boire quelques verres avant de dîner dans un bon restaurant.

Il n'avait jamais suspecté que Mollway avait un autre type de divertisse-ment en tête pour son client, que sa ravissante jeune femme serait char-gée de le distraire pendant cette soirée.

- Le foutu bâtard! Maudit-il Mollway déçu à l'idée que ce pervers avait combiné d'offrir sa délicieuse femme à son client sans même le prévenir.

Ayant précédemment assisté à la retransmission du viol de la ravissante Kelly La Garnison, l'étudiante de psychologie par son pervers prof de fac, il avait vu à quel point il était bien monté.

Et voilà que ce dernier se déshabillait dans sa maison pour procéder à la même séance de baise qu'il avait imposée la jeune Kelly.

Tandis que ce sale bâtard se désapait, Nell allongée nue sur le lit il en-tendit Mollway glousser :

- J'ai chauffé cette ravissante femme de pasteur à votre intention mon cher! Elle a été privée de grosses bites noires depuis plu-sieurs semaines! N'est ce pas ma chère madame Knowlton?

Il observa attentivement sa femme en chaleur alors qu'elle se tortillait sur le grand lit conjugal, Richard saliva d'impatience en la voyant écarter en grand ses cuisses invitant par ce geste son invité à la chevaucher rapi-dement.

Puis elle pantela :

- Oh s'il vous plait monsieur le professeur... Pressez-vous... Cette attente est trop longue!

Pour Richard qui avait fait l'amour avec son adorable petite femme le matin même, il était évident qu'elle avait simulé sa jouissance et ses cris d'extase pour lui faire plaisir, afin de lui faire croire qu'il était extrême-ment viril.

Ce n'était sûrement pas le cas ce que semblait démontrer ses actuelles supplications :

- S'il vous plait... Je vous en prie... Baisez moiiiiiiiiiiii... Mon Dieu, ce que j'ai besoin de bons coups de bite! Cette attente est bien trop longue! Ca fait si longtemps...

Au début il crut bien que son étroite petite chatte ne parviendrait pas à avaler une si énorme bite, obligeant Amos à agripper fermement ses hanches pour forer son trou dans sa minuscule chagatte.

Il sourit soudain en la sentant s'ouvrir à son épais envahisseur.

Il l'emboutit tout d'abord lentement, plongeant juste son énorme gland dans sa fentine, puis la ravissante salope ouvrit en grand ses cuisses aspirant avidement la grosse colonne bandée dans sa grotte enfiévrée.

- Oooooooooooohhhh oui... Oui... Oh ouuuuuuuuuuuuuuui! Coui-nait-elle alors qu'il plongeait dans ses profondeurs intimes, levant ses jambes pour verrouiller ses chevilles dans son dos.

Amos Thompson savait que ce n'était que le début d'un été enthousias-mant alors que la chatte de la ravissante jeune femme qu'il baisait jus-qu'à l'os enserrait sa grosse bite comme un gant étroit.

Elle faisait la moitié de son poids et semblait si menue que rien ne lui semblait meilleur que de se la faire sur son lit conjugal.

- Ugh... Ugh... Ugh... Ugh... Ohhhhhhhhhhh... Gémissait-elle chaque fois qu'il s'enfonçait en elle comme un marteau piqueur la clouant à son matelas.

De son poste d'observation en dehors de la maison, Richard observait attentivement l'impressionnante séance de baise qui se déroulait ses yeux égarés.

Il pensait entendre son cœur battre dans ses oreilles, mais il réalisa sou-dain que c'était le bruit produit par la tête de lit battant contre le mur chaque fois que le professeur Thompson embrochait puissamment sa gentille femme.

Entendant couiner et gémir son adorable petite femme alors qu'elle se faisait divinement baiser, l'entendant supplier son suborneur de la baiser plus profondément il réalisa à quel point il était inefficace au lit, jamais elle ne l'avait supplié ainsi de la baiser jusqu'à l'os lorsqu'ils faisaient l'amour ensemble.

Puis, en observant les deux corps qui convulsaient de conserve en se frottant âprement l'un contre l'autre, il lui parut évident qu'il éjaculait au fin fond de sa grotte fertile.

Le deuxième soir de son excitant séjour à Presswood, le professeur Amos Thompson avait été pris en charge par les fiancés pour aller sou-per avec les parents de la future.

Amos savait pertinemment pourquoi Kelly s'était fait accompagner de son fiancé pour venir le prendre à l'hôtel et l'emmener chez ses parents.

La petite salope savait que si elle était venue chercher son hôte il en au-rait profité pour s'ouvrir l'appétit en goûtant à ses charmes avant de l'amener chez ses parents.

- Je l'aurai allongée jambes grandes ouvertes sur mon lit pour goûter sa savoureuse petite huître juteuse, mais cela attendra bien demain soir, la nuit précédant ses noces! Gloussait-il en son fort intérieur.

Kelly Garrison savait très bien ce qu'avait en tête cet homme qui la fai-sait ignoblement chanter.

Elle avait été violée, mais elle ne pourrait jamais le prouver, déjà qu'elle ne comprenait pas au fond d'elle-même pourquoi elle s'était rendue au domicile de son pervers professeur pour évoquer sa note finale, d'autant plus qu'elle était en tête de sa classe.

Mais la cassette qu'elle avait visionnée semblait prouver qu'elle s'était rendue chez lui pour négocier l'obtention d'un "A", et depuis sous la menace de voir cette vidéo envoyer à ses parents, son fiancé, et ses proches, elle livrait ses charmes à son abject prof qui en avait abusé chaque nuit lors de ce dernier trimestre.

Kelly représenta son vil bâtard de maître-chanteur à ses parents.

Jetant un oeil sur sa montre Kelly se mit à espérer que la demi-heure à venir passerait rapidement et qu'elle partirait sans problème, son fiancé l'ayant momentanément laissée tomber pour rencontrer ses vieux co-pains qui préparaient l'enterrement de sa vie de vieux garçon.

Elle n'avait pas pris conscience que son pervers professeur avait des intentions lubriques concernant sa mère qu'elle considérait comme une femme élégante et sophistiquée à qui elle voudrait ressembler plus tard.

Depuis qu'il l'avait rencontrée le jour de la remise des diplômes, Amos avait envie de la plier sous son joug.

A l'insu de Kelly, l'organisation criminelle à laquelle appartenait le pro-fesseur Thompson, connectée avec la paroisse qu'elle fréquentait avec ses parents, lui avait vendu sa mère tout comme elle l'avait vendue à son pervers maître chanteur trois mois plus tôt.

De même que pour elle le professeur Mollway avait implanté les graines de sa dépravation dans l'esprit de sa mère le jour où elle avait pris ren-dez-vous avec lui pour régler les détails de leur cérémonie de mariage.

Et, tout comme elle avait subi des suggestions hypnotiques, la corrompant profondément, sous emprise elle avait sucé la bite du pasteur Knowlton alors que le professeur Mollway implantait divers ordres dans son esprit.

Une fois sa fille et son futur gendre partis, Patricia Garrison sentit son cœur cogner comme jamais dans sa poitrine alors qu'elle s'asseyait au coté de l'athlétique professeur Thompson.

Depuis une semaine, sachant que le prof de fac de sa fille dînerait avec elle et son époux, elle n'était pas parvenue à s'enlever l'image de cet homme de la tête.

Chaque nuit dans son lit, elle avait pensé à cet homme comme jamais elle n'avait pensé à un homme auparavant, elle en était bourrelée de re-mords.

- Pourquoi cet homme lui faisait-il un tel effet?

- Qu'allait-il arriver?

- Rien que la pensée de sentir ses larges mains glisser sur mes jambes nues... Oh, mon Dieuuuuuuuuuu! Sa grosse... Bite noire... Me martelant profondément... M'embrochant jusqu'à la ra-cine!

Elle en rêvait toutes les nuits.

La culpabilisation associée aux pensées les plus viles là déprimait pro-fondément elle se demandait pourquoi cela lui arrivait maintenant après tant d'années de mariages heureuses pendant lesquelles elles n'avaient jamais eus de pensées aussi malsaines.

En fait ces pensées avaient été implantées dans son esprit lorsqu'elle se trouvait sous emprise hypnotique du pervers Mollway, dans son bureau alors qu'elle avait les yeux rivés sur une photo d'Amos Thompson.

Il en profitait pour la caresser lubriquement, malaxant ses nibards au travers de ses vêtements avant de glisser une main sous sa jupe pour lui palper sa chagatte au travers de la fine texture du fond de sa petite culotte.

Et depuis ce jour, chaque nuit les mêmes pensées lubriques la torturaient, elle se demandait ce qui était vrai dans ces légendes concernant la taille de la bite des noires!

Tout en sirotant les margaritas servis par monsieur Garrison, Amos sen-tait la nervosité de l'adorable femme du foyer; d'autant plus qu'il connaissait les idées le concernant implantées dans son cerveau par Mollway.

Tom Garrison lui tendait les clefs d'une voiture garée à l'extérieur l'invi-tant à s'en servir pour la durée de son séjour à Presswood, puis il s'excusa devant sortir pour mettre les steaks à griller au barbecue, d'après Mollway son hôtesse serait incapable de lui résister s'il posait sa main sur la sienne pour jouer avec sa bague de fiançailles et son alliance.

Et de fait son geste opéra comme par magie, il l'entendait panteler, sans retirer sa main, alors qu'il jouait avec ses anneaux.

Il l'observa attentivement, s'assura que le mari était toujours dans l'arrière cour et se pencha sur la frissonnante beauté et pressa ses lèvres sur les siennes.

Amos était conscient de son émoi, il l'entendait haleter, il inséra sa langue dans sa bouche puis il posa main sur ses cuisses dénudées remontant sous sa jupe.

Une langue fouineuse inspectait sa bouche, des doigts se glissaient sous les élastiques de coté de sa petite culotte pour frétiller dans sa fente engluée de cyprine, et tout cela cessa brusquement au bruit d'ou-verture la porte du patio.

Alors qu'elle le regardait fixement, Amos porta sa main à son visage et lécha la cyprine couvrant son index.

Se rasseyant à table après avoir servi le repas, Patricia ne parvenait pas à croire à ce qui s'était passé dans le salon un peu plus tôt.

- Qu'ai-je fait?

- Comment ai-je pu l'autoriser à... Frissonnait-elle nerveusement.

Ils n'étaient que trois, la soirée était douce, Patricia avait drapé une nappe sur la table extérieure, ils dînaient ainsi de façon fort informelle et détendue dans le patio.

Après être restée assise un bon moment, Patricia se figea en sentant le professeur Thompson lui faire du pied, elle ne savait pas quoi faire, et ne trouvait pas la force de le repousser.

Elle sentit alors son pied frotter le talon des ses chaussures.

Quelques instants il avait réussi ce qu'il avait entrepris, il lui avait enlevé son haut-talon.

Et maintenant il appuyait sa jambe contre son pied nu la forçant à réali-ser :

- Mon Dieu il veut me faire du pied avec mon mari assis à nos cotés!

Son esprit lui disait bien que c'était absurde, mais elle se sentait incapa-ble de repousser sa jambe, loin de cela elle agrippait son pantalon de ses orteils et entreprit de lui caresser lascivement les jambes.

Après dîner, alors que Tom Garrison gagnait le bar pour préparer des boissons fraîches, Amos tendit la main pour la caresser à nouveau et jouer avec son alliance en lui susurrant :

- Tu iras chercher le dessert que tu as préparé dans la cuisine, lorsque Tom reviendra appelle le pour qu'il vienne t'aider... Tu pourrais te passer de dessert, j'ai prévu de t'offrir un gros éclair au chocolat un peu plus tard!

A ces mots, il la vit avaler sa salive silencieusement, il empoigna alors sa jambe sous la table et posa son pied sur la grosse bosse déformant sa braguette.

Alors que son époux revenait du bar, Patricia retira son pied et ré enfila sa chaussure, et attendit que son mari soit pour annoncer qu'elle s'occu-pait du dessert.

Un instant plus tard, elle apparut à la porte du patio et appela son mari :

- Tom peux-tu venir m'aider à transporter le plateau.

Comme le mari se levait lui tournant le dos Amos sourit à la sémillante épouse qui le regardait par-dessus l'épaule de son conjoint verser une drogue dans la boisson de Tom.

Lorsqu'ils revinrent à table, Amos se réjouit de voir sa proie trembler à chaque gorgée que son mari sirotait.

Les hommes ayant terminé leurs desserts, madame s'étant abstenu de prendre des douceurs, ils s'assirent confortablement dans le patio, Amos et Patricia dans le sofa, Tom à leur gauche dans un fauteuil.

A peine le café servit, Tom se retrouva hors jeu, la ravissante madame Garrison haletait nerveusement alors que leur invité promenait ses mains brûlantes sous sa jupe lui caressant les cuisses à même la peau.

C'est alors qu'il lui laissa un choix ignominieux :

- On baise ici sur le sofa, avec ton mari à nos cotés, ou on monte à l'étage baiser dans la chambre que tu partages habituellement avec ton mari.

Patricia était figée bouche grande ouverte, elle ne parvenait pas à dire un mot alors qu'une des mains de son invitait inspectait ses charmes sous sa robe et que l'autre lui massait gentiment le cou dégrafant avec habileté le crochet qui fermait le dos de sa robe.

Il descendit alors la fermeture éclair dorsale de sa robe Patricia arriva alors à bafouiller :

- N... Non... pas ici, pas ici... J'ai trop peur que Tom ne se réveille et nous voit faire!

Une fois ces mots dits, il la fit se relever et ils prirent le chemin de la maison.

Posant la main sur l'épaule du malheureux mari drogué, Amos gloussa

- Dors bien mon coco dans le patio, j'ai à faire avec ta femme à l'étage, dans le lit que tu partages habituellement avec elle!

A l'étage, dans la chambre principale, Patricia se tenait figée les yeux rivés au grand lit qu'elle partageait habituellement avec son époux, alors que les mains calleuse d'Amos passaient sa robe par-dessus ses épau-les.

Puis le zip d'une fermeture éclair que l'on baisse retentit brisant le si-lence de plomb juste troublé par les halètements de Patricia, il lui mur-mura alors à l'oreille :

- Je sais que tu meurs d'envie de connaître un vrai mâle ma chère madame Garrison... Alors n'hésite pas plus longtemps, tend la main et introduit là dans mon pantalon! T'as aujourd'hui la chance de vérifier que ce que l'on colporte au sujet de la taille des bites noires est tout à fait vrai! N'hésite plus et fourre ta main là où elle doit être!

Alors que sa robe jonchait maintenant le sol elle avança la main vers sa braguette, comme il ne portait aucun sous-vêtement, sa bite se mit im-médiatement à vibrer entre ses doigts manucurés de frais.

- Ooooooooooh... Ooooooooooh... Ohhhhhhhhh... Pantelait-elle alors qu'il empaumait ses nibards dodus.

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! Haleta-t-elle alors qu'il faisait rouler ses tétons entre pouce et index les amenant à darder immé-diatement, en réaction elle referma fermement sa main sur sa mentule, elle se sentait toute ébranlée de constater sa taille invrai-semblable.

L'habile langue qui mignotait son cou se dirigea lentement vers le lobe de son oreille elle se sentait totalement à la merci des mains du sédui-sant professeur alors qu'il lui susurrait :

- As-tu déjà vu une bite aussi grosse que celle que tu as en main ma chère madame Garrison!

Elle secoua négativement la tête tout en serrant fermement l'objet de son ébahissement entre ses doigts.

Il laissa la ravissante ménagère lui caresser avidement la bite de ses doigts manucurés alors que son autre main plongeait dans sa braguette s'emparant de ses grosses couilles velues, Amos savait pertinemment qu'elle mémorisait la taille de ses couilles et bien d'autres choses en-core.

Glissant la main dans la poche de sa veste il en sortit un portable faisant office de caméra, qu'il avait activé dès leur sortie du patio.

Il tendit la main pour le poser sur une commode toute proche du lit, il s'assura alors qu'il était disposé de façon à filmer la totalité du lit et des scènes qui se déroulaient sur ce dernier.

Il en sortit ensuite un deuxième portable caméra et plaça celui ci sur la table de nuit afin de filmer sous un autre angle, les deux portables étaient reliés à un ordinateur dans le bureau du pasteur Mollway où Mollway et son complice le pasteur Knowlton épiaient cet instant ou la fidèle et distinguée madame Garrison expérimenterait sa première bite noire!

Un des écrans s'alluma, révélant sous les yeux enthousiastes des deux complices ce qui se passait dans le la chambre des Garrison.

La somptueuse madame Garrison robe et soutien-gorge enlevés se fai-sait malaxer les nibards par Amos Thompson.

Bras collés au corps, ils devinaient ce qu'elle faisait aux mouvements de ses avant-bras et de ses coudes.

Bien que le professeur Thompson resta impavide elle lui mignotait les burnes d'une main tout en le branlant de l'autre.

Amos retourna l'obéissante Patricia de façon à ce qu'elle lui fit face puis il lui roula un patin baveux alors qu'elle continuait à le branler.

Puis Amos appuya sur ses épaules la poussant à se mettre à genoux et lui suggéra ;

- Il est temps de déguster l'esquimau au chocolat que je t'ai promis! Allez ma chère madame Garrison viens profiter de cette succu-lente crème que je te réserve!

Et, tandis qu'elle enroulait sa langue autour de son chibre Amos posa ses mains sur sa nuque en grognant :

- Ahhhhhhhhh... Bordel ce que tu suces bien!

Alors que son adorable hôtesse avalait maintenant la totalité de sa bite il se remit à gémir :

- Ahhhhhhhh... Ahhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhh... Bouffe ma bite! Avale toute la crème que je vais te cracher au fond de la gorge!

Quelques instants plus tard, les deux mateurs, les yeux rivé à l'écran, observaient ravis l'athlétique prof de psychologie se soulager dans la bouche accueillante de la principale du lycée local.

Lorsqu'il se retira, un filet de foutre relia un instant ses lèvres au méat luisant d'Amos, ce détail excitait follement les deux voyeurs.

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