Le Modèle

BÊTA PUBLIQUE

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Tous les chevalets étaient installés autour de l'estrade qui avait été rehaussée. Une quinzaine de garçons discutaient joyeusement et tous se turent lorsqu'elle passa la porte. Ce n'était pas prévu comme ça car ils ne devaient pas être aussi nombreux.

Son sang se glaça lorsqu'elle reconnut Lilian, qui était dans sa classe et qui la fixait avec un regard pervers.

Ce n'était pas possible, c'était un con et elle allait devoir se mettre nue devant lui. Elle savait que demain toute sa classe saurait ce qu'elle faisait le soir et ça deviendrait vite invivable pour elle.

C'est alors que le professeur Chardon, en la voyant, vint vers elle un grand sourire aux lèvres.

- C'est fantastique, j'ai dû refuser des élèves, mon cours est une réussite.

- C'est que...

- Allez vite vous déshabiller, ils sont tous impatients de commencer.

Élisa allait lui annoncer qu'elle n'avait pas l'intention de le faire mais en voyant tous les regards tournaient vers elle ainsi que la joie du professeur, elle n'osa pas le dire. Elle ne voulait pas passer pour une peureuse à moins que ce ne soit juste parce qu'elle avait peur de les braver.

Lentement, elle alla dans le débarras telle une condamnée et ne put s'empêcher d'entendre quelques ricanements. Pourquoi le professeur avait-il accepté autant de garçons pour assister à son cours, elle, dont la timidité remontait rapidement à la surface.

Ses mains tremblèrent un peu alors qu'elle retirait sa robe et qu'elle enlevait ses sous-vêtements. Là, ils seraient bien plus nombreux à découvrir son corps sans le moindre artifice. Pourtant, le pire pour elle était la présence de Lilian et que, dans très peu de temps, elle serait nue devant lui.

Elle resta plus d'une minute à respirer lentement, essayant de se calmer sans oser baisser la poignée pour rentrer dans la salle. Pourtant elle avait trop besoin de ce job pour finir ses études même si pour ça elle devait dévoiler ses charmes au garçon qu'elle détestait le plus.

Lorsqu'elle se décida enfin et qu'elle entra nue dans la grande pièce, elle se fit violence pour ne pas s'évanouir. En la voyant émerger de son réduit, les garçons furent tellement impressionnés par la beauté de son corps qu'ils ne purent s'empêcher d'applaudir, comme s'ils assistaient à un spectacle de cabaret.

Étrangement, ces applaudissements eurent un effet bénéfique pour la jeune fille dont le moral était bien bas. En les entendant l'acclamer, elle se sentit comme importante et marcha droit vers l'estrade, comme une chanteuse vers un podium.

- Messieurs, s'il vous plaît, un peu de silence et regagnez vos places.

Comme par magie, le calme revint d'un coup alors qu'ils rejoignaient en silence leurs chevalets respectifs. Élisa se sentait bizarre et malgré la peur qui la tenaillait, un autre sentiment s'empara d'elle en voyant tous les yeux fixés sur son anatomie.

Chardon vint à son devant et, lui prenant la main, il l'aida à monter sur l'estrade.

- Pour que ton corps rende mieux, nous allons l'huiler..

- Hein!

La jeune femme ne comprit pas trop ce que voulait le professeur alors qu'un brouhaha se fit entendre de nouveau.

- Un volontaire pour m'aider à enduire Élisa?

- Mais! vous ne pouvez pas...

- C'est juste pour le côté esthétique, ça se fait beaucoup dans le milieu de la peinture.

La jeune femme était complètement perdue et elle paniqua complètement en constatant que le premier garçon à avoir rejoint le professeur n'était autre que Lilian. Il avait carrément bondi de sa chaise, prenant tout le monde de vitesse.

- Mets tes mains derrière la tête et écarte en grand les cuisses que l'on puisse bien t'imprégner.

- Mais!

- Dépêches-toi, il faut tout de même leur laisser suffisamment de temps ensuite pour te peindre.

La jeune femme était dépassée par les événements et finit par céder. Elle ne sut pas vraiment pourquoi elle obéit mais en voyant qu'elle n'avait plus le choix, elle se positionna dans la posture demandée.

Le professeur tendit à Lilian un flacon d'huile qu'il s'en empara avec avidité.

- Même si ce n'est pas nocif, on ne t'enduira pas le visage.

- ...

Elle frissonna lorsque le professeur passa derrière elle et qu'il posa sa main huileuse entre ses omoplates pour décrire ensuite des petits mouvements circulaires. C'était comme pour un massage sauf qu'elle restait debout et ce n'était pas si désagréable que ça.

Lilian qui s'était placé devant elle, commença par le cou avant de faire glisser ses doigts entre ses seins.

Des murmures dans la salle se firent plus fort et quelques mots parvinrent aux oreilles d'Élisa.

- La chance qu'il a...

- Elle a l'air d'aimer ça.

- Putain j'aimerais être à sa place.

La jeune femme était tétanisée et ne savait plus du tout quoi faire. Elle se rendait bien compte que ce n'était pas du tout normal qu'il fasse sur son corps une telle chose et pourtant elle restait immobile. Sa faiblesse de caractère lui jouait encore des tours et elle ne se voyait pas affronter toute la salle, dont le professeur, pour les empêcher d'enduire l'huile sur sa peau.

Malgré la peur, c'était plus facile pour elle de les laisser faire même si cela la terrorisait.

Elle eut un petit sursaut lorsque Lilian s'empara carrément de ses seins pour les imbiber, les malaxant sans vergogne alors que le professeur était au niveau de ses reins. Là, les garçons dans la salle parlèrent bien plus fort, commentant la scène de façon de plus en plus graveleuse.

Chardon aurait dû réagir, leur demander de se taire mais au lieu de cela il restait silencieux, s'appliquant à bien étaler l'huile sur le corps immobile.

Heureusement le garçon finit par abandonner la poitrine pour s'occuper du ventre et des hanches. Elle restait sans bouger et pourtant tout son être lui crier de se rebeller.

Pourtant, au fur et à mesure que les minutes passaient, elle y prit un certain plaisir.

Elle trembla lorsque les mains du professeur s'attardèrent sur ses fesses avant de glisser le long de ses cuisses galbées.

Elle crut que le plus dur était passé mais c'était sans compter sur Lilian qui fit glisser ses doigts huileux entre les lèvres de son sexe. Elle crut défaillir et plia un peu les jambes mais elle réussit pourtant à rester immobile, se contentant d'un petit gémissement qui n'échappa pas au garçon.

Voyant l'effet que cela faisait sur la jeune fille, il insista un petit peu au niveau de la chatte avant de descendre le long des jambes.

- C'est bon, son corps brille suffisamment. Lilian, tu peux retourner à ta place.

Le garçon fit glisser sa main sur la peau d'Élisa encore quelques secondes avant de se décider à regagner sa chaise. Cette dernière fut soulagée en comprenant que la séance de badigeonnage était terminée même si cela n'avait pas été si désagréable que ça.

- Pour la pose, tu gardes les jambes écartées mais tu mets les mains sur les hanches pour éviter d'avoir des crampes trop rapidement.

Docile, la jeune femme se positionna comme le voulait le professeur alors que les garçons commençaient leurs dessins. Finalement, il n'y aurait pas eu Lilian, elle se serait habituée au nombre plus important de participants. Mais là, elle ne pouvait pas s'empêcher de regarder le garçon qui ne se départait pas de son regard lubrique.

Durant une demi-heure elle resta figée telle une statue, essayant de bouger le moins possible. Lorsque le professeur Chardon ordonna la pause, Élisa put se décontracter un peu tout en restant sur l'estrade. Contrairement à la veille, la séance de pose allait durer plus longtemps mais elle n'osait rien dire. Pour la suite du cours, il lui demanda de reprendre la même position afin que les garçons parachèvent leurs dessins, ce qu'elle fit sans rechigner.

Il était 22h15 lorsqu'il annonça la fin de la séance et alors que les garçons se levaient pour quitter la pièce, Élisa fonça dans le débarras pour s'habiller sans pouvoir prendre une douche pour retirer le gras qui recouvrait sa peau. Contrairement à la veille, elle n'avait pas aimé cette soirée qu'elle avait trouvée éprouvante.

Elle prit son temps pour se vêtir, préférant attendre que tous les apprentis peintre soient partis. Elle avait honte de ce qu'elle avait fait ce soir en les laissant appliquer l'huile sur son corps.

Avec le recul, elle se dit qu'elle aurait dû refuser, surtout en sachant que c'était un garçon de sa classe qui s'était porté volontaire. C'est vrai que cela avait été plutôt agréable et si cela s'était passé dans d'autres conditions, elle aurait pu en avoir un agréable souvenir.

Lorsqu'elle n'entendit plus de bruit dans la salle, elle sortit de son réduit et s'arrêta net en constatant qu'il ne restait plus que le professeur, discutant à voix basse avec Lilian.

Élisa se demanda ce que ce dernier faisait encore là mais préféra ne rien demander et prit la direction de la sortie.

- Élisa, ne part pas tout de suite, il se fait tard et je préférerais que Lilian te raccompagne.

- Mais, ma chambre est de l'autre côté du campus et je ne risque rien.

- Tu es une jolie fille et je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose.

- Mais...

- J'insiste, après 22h00, une jeune femme se promenant seule peut être une cible pour un pervers.

La jeune femme se rendit compte que le professeur n'en démordrait pas, et malgré la peur d'être raccompagnée par le garçon, elle préféra acquiescer plutôt que de passer la nuit à essayer de convaincre Chardon qu'elle ne risquait absolument rien.

Elle lui aurait bien répondu que le danger était justement d'être escorté par son élève mais elle ne voulait pas faire de la peine.

Elle fut assez surprise lorsque le professeur l'embrassa sur la joue pour lui dire au revoir mais elle ne lui fit aucune remarque. En quittant la salle, accompagnée de son garde du corps, elle ne se sentait vraiment pas en sécurité mais elle fit tout pour paraître naturelle.

Alors qu'ils n'étaient qu'à mi-parcours, Lilian lui dit alors.

- Tu cachais bien ton jeu sous tes airs de mijaurée

- Hein!

- Oui, la fille qui ne parle à personne parce que l'on n'est pas assez bien pour elle.

- Mais ce n'est pas ça...

- En fait tu es une belle salope et quand tout le monde le saura, tu ne feras plus ta fière.

La jeune fille sentit les larmes monter à ses yeux et elle s'arrêta pour lui faire face.

- Tu te trompes je ne suis pas comme ça, je suis juste timide.

- Et tu te fous à poil devant des mecs pour de l'argent

- Ce n'est pas ça...

- Je ne vais pas me plaindre tu as un corps sublime et j'ai adoré le toucher tout à l'heure

- Non, c'est que je n'ai pas eu le choix...

Le garçon se mit à rire.

- On a toujours le choix et tout ce que je peux dire, c'est que tu n'es qu'une pute.

- Non, ce n'est pas vrai

- Si, tu es une pute et tout le monde va le savoir

- Non, s'il te plaît, ne dit rien...s'il te plaît.... Je vais arrêter de le faire.

Élisa pleurait en suppliant le garçon. Ce dernier, un sourire méchant aux lèvres, la regardait en vainqueur.

- Au contraire, je ne veux pas que tu arrêtes, le professeur m'en voudrait énormément. Non, si tu ne veux pas que j'en parle, il va falloir être gentille.

- Comment ça?

Lorsque le garçon s'approcha d'elle, elle ne bougea pas. Elle savait très bien ce qu'il voulait et elle n'avait plus la force de le repousser. Lorsqu'il l'enlaça pour l'embrasser, elle se laissa faire, complètement vaincue, et tout en pleurant elle le laissa lui rouler un patin.

Lorsqu'il la relâcha enfin, il ne put s'empêcher de lui dire, d'une voix doucereuse.

- Je vois que tu as compris, tu m'appartiens maintenant et on va aller dans ta chambre.

Élisa essaya de trouver une excuse.

- Il se fait tard, je dois réviser un peu avant de dormir

- Comme tu veux, moi pendant ce temps je vais envoyer quelques SMS pour expliquer que la jolie Élisa n'est pas celle que l'on croit.

- Non, pas ça...

- Dans ce cas, fais-moi visiter ta chambre.

La jeune femme se rendit compte qu'elle n'avait vraiment pas le choix tout en sachant ce qu'il voulait exactement. Pourtant, sans un mot, elle repartit, suivie par le garçon qui avait sur le visage un sourire triomphal. Il savait qu'elle avait abdiqué et qu'il allait pouvoir la baiser en toute impunité. Dès qu'il l'avait vu franchir la porte du réduit, complètement nue, il avait eu envie d'elle. Jamais il ne se serait imaginé que la fille la plus timide de la classe ait un corps aussi splendide, et ce corps était maintenant pour lui.

Élisa marchait dans un état second, sachant qu'elle n'avait aucune échappatoire même si elle n'avait rien à se reprocher. Mais comment prouver qu'une chose est fausse alors qu'elle avait posé nue pour la classe de dessin. S'il en parlait aux autres élèves, tout le monde la prendrait pour une pute et ça, elle ne le voulait pas.

Elle ne chercha même pas à feinter en l'emmenant ailleurs que dans sa chambre. Elle savait qu'il la tenait et l'avait guidé directement chez elle sans chercher à le tromper.

Lorsqu'ils franchirent la porte, elle s'arrêta dans l'entrée pendant que Lilian faisait un rapide tour de la chambre. Cette dernière ne faisait pas plus de 15 mètres carrés, équipée d'un petit lit ainsi que d'un bureau et d'une armoire murale. Une porte donnait vers une petite salle d'eau dans laquelle se trouvaient également des toilettes, ce qui parut bien plaire au garçon.

- Et dire que moi je dois partager ma chambre avec un autre élève. Tu as vraiment de la chance d'être logée comme une princesse.

- Ce n'est pas de la chance, mes parents payent pour ça.

- Je croyais que c'était avec ton cul que tu te payais cette chambre.

- Non, ça va pas... je...

- Ta gueule... je plaisantais.

Élisa se remit à pleurer ce qui irrita un peu le garçon qui lui ordonna d'une voie sèche.

- Fous-toi à poil, je vais te donner une vraie raison de chialer

- Je..., tu ne peux pas...

- Dépêches-toi. Tu t'es mise tout à l'heure à poil devant la classe et là tu fais ta timide!

La jeune femme comprit que cela ne servait à rien de résister davantage et tout en essayant de se calmer, elle commença à se dévêtir pour le plus grand plaisir du garçon.

- Tu es vraiment magnifique, je ne regrette pas de t'avoir un peu forcé la main.

Élisa préféra ne pas répondre en entendant ça. Il ne lui avait pas forcé la main, il l'avait fait chanter et elle n'avait pas eu le choix.

Lorsqu'elle eut retiré tous ses vêtements, Lilian lui montra le lit et elle comprit ce qu'il voulait sans qu'il n'ait eu à prononcer un mot. Docile et apeurée à la fois, elle alla s'allonger sur le matelas, sachant très bien ce qui l'attendait.

Mais pour ne pas être inquiétée elle n'avait pas d'autre choix que de lui donner son corps.

- j'adore ta chatte complètement rasée, écarte bien les cuisses que je puisse l'admirer.

Obéissante, Élisa obéit, sachant qu'elle n'avait pas la possibilité de refuser. Lilian vint s'asseoir sur le bord du lit et commença à la caresser, commençant par la poitrine.

- Tout à l'heure je me suis régalé en étalant l'huile sur ta poitrine, elle est vraiment superbe.

- Ce n'est pas en me complimentant que je te pardonnerai.

Le garçon éclata de rire.

- C'était sincère, je n'ai pas besoin de te flatter, tu es à moi.

Elle gémit lorsque le jeune homme cessa de jouer avec sa poitrine pour insérer ses doigts dans la vulve offerte.

- Mais tu es mouillée, je ne m'étais pas trompée, tu es une belle salope.

Élisa fut la première surprise en constatant qu'il avait raison et elle se rendit alors compte que cela l'excitait, même si elle se révoltait intérieurement à l'idée de lui offrir son corps.

Le garçon s'amusa à tripoter durant de longues minutes l'intimité de la jeune femme, s'amusant à caresser le clitoris ou à introduire de temps en temps ses doigts entre les lèvres vaginales. Élisa s'était mordue la lèvre inférieure pour éviter de gémir mais cela devenait de plus en plus difficile car il savait comment y faire.

Lorsqu'il cessa son petit jeu, ce fut pour se redresser et se déshabiller. Il allait la prendre et elle ne disait rien. Non seulement elle avait capitulé mais en plus elle en avait envie. Elle, qui était si pudique et complètement introvertie, était-ce parce que c'était un mauvais garçon que cela l'excitait.

Non, elle se reprit en pensant qu'elle ne devait surtout pas aimer ça. Il l'avait fait chanter et c'était un monstre. Pourtant en le voyant se mettre nu, elle sentit sa chatte se contracter comme si elle n'attendait que ça.

Le membre qu'il dévoila bandait au maximum. La jeune femme le trouva magnifique alors qu'elle aurait dû hurler de dégoût vu qu'elle allait se faire violer. Etait-il possible qu'il ait eu raison en la traitant de salope.

Elle essaya de ne plus penser à ça lorsqu'il s'allongea sur elle. Elle fut troublée en sentant le corps nu venir couvrir le sien et elle ne résista pas lorsqu'il l'embrassa goulûment.

Contrairement au premier baiser où elle avait été passive, elle fut cette fois bien plus active, y répondant presque fougueusement.

Mais pourquoi agissait-elle ainsi elle qui était une pauvre victime.

Lorsqu'il cessa de l'embrasser, ce fut pour la regarder droit dans les yeux tout en positionnant son gland à l'entrée de sa chatte. Elle préféra fermer les yeux pour ne pas trahir ses sentiments, ne voulant pas montrer à quel point elle était troublée.

Elle poussa un gémissement lorsque le membre glissa en elle, se maudissant dans la foulée de ne pas être restée de marbre.

Pourtant elle adora sentir le sexe s'enfoncer entre ses chairs mais elle ne voulait surtout pas le montrer. Lilian dût se rendre compte qu'elle était réceptive car sa chatte était détrempée et son visage trahissait le plaisir.

Il avait commencé à la prendre en douceur, faisant de lents va-et-vient pour apprécier ce moment magique. Au fur et à mesure que la jouissance montait en lui, il se mit à accélérer la cadence, piochant en elle de plus en plus fort.

Élisa finit par craquer et se mit à gémir à chacun de ses coups de reins. Elle n'avait rien voulu montrer mais le plaisir qui s'empara d'elle annihila sa volonté et elle se laissa aller,

Lorsqu'elle se mit à haleter plus fort sous l'effet du plaisir, Lilian sut qu'elle était à lui.

Vu qu'il était lui aussi sur le point d'exploser, il accéléra la cadence pour la prendre avec force.

Il poussa un cri lorsqu'il se cambra pour se vider en elle, adorant ce moment. Il venait de faire l'amour à la plus belle fille de l'établissement et ce n'était que le début. Il avait bien l'intention d'en profiter au maximum car jamais encore il ne s'était senti aussi puissant avec une autre personne.

Il abandonna le corps alangui sur la couche et le regarda un instant avant de prendre son téléphone. Sans parler, il se mit à photographier Élisa sous toutes les coutures alors qu'elle restait sur le dos sans bouger. Elle n'avait même pas le courage de l'en empêcher et le laissa faire des gros plans des parties très intimes de son anatomie.

Lorsqu'il s'arrêta enfin ce fut pour téléphoner malgré l'heure tardive.

- C'est fait Monsieur. On est dans le bâtiment T, chambre 523

- ....

- Oui! elle n'a pas résisté, je vous attends

- ...

- Pas de problèmes.

Élisa ne savait pas à qui le garçon venait de parler mais elle se doutait que ce n'était pas fini pour elle. Elle resta sur le lit espérant tout de même qu'elle se trompait et que Lilian allait quitter sa chambre. De toute façon, elle était chez elle et ne pouvait pas aller ailleurs.

Le jeune homme alla s'asseoir sur la chaise de son bureau et le silence devint vite pesant. Il avait l'air d'attendre la personne qu'il avait eue au téléphone et la jeune femme fut de plus en plus stressée. Elle n'avait aucun moyen de s'en tirer et ne pouvait que patienter en espérant que cela se termine.

Lorsque l'on frappa à la porte et que Lilian alla ouvrir, Élisa ne fut pas particulièrement surprise en découvrant le professeur Chardon. Elle avait trouvé qu'ils avaient l'air de comploter lorsqu'ils discutaient à voix basse après qu'elle se soit rhabillée et maintenant elle savait pourquoi.