Le Mauvais Chemin 08

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- Bon, je vais ausculter l'autre. Mais je vais rester, je reviendrais te voir, ta chatte me fais envie.

Puis la meute c'était une nouvelle fois jeté sur elle. A un moment, ils mirent la fille et la mère à quatre pattes, face à face, les forçant à se rouler des pelles, tandis qu'elles étaient violées en levrette. Les voyous se succédant dans leurs chatte, c'était à celui qui les violaient le plus fort. Elles avaient interdiction de cesser leurs embrassades, la première qui cèdent est violemment giflée et cognée. Puis au bout d'un long moment, ils les séparèrent, se partageant le corps des deux filles. Stéphanie fut de nouveau enculée sauvagement par ses tourmenteurs. Ils se succédaient de plus en plus fort dans son trou du cul massacré. Une fois qu'ils en eurent marre de seulement l'enculer, ils décidèrent de varier les plaisirs. Ils lui firent connaître un nouveau cercle de l'enfer, encore plus profond, encore plus noir, encore plus pervers. On la souleva comme un fétu de paille, avant de l'empaler sur une bite énorme. La faisant une fois de plus hurler. Un gars se glissa derrière elle, la sodomisant en même temps. Stéphanie hurla de plus belle, devant cette nouvelle épreuve encore bien pire que les autres. A chaque fois, elle croyait ne pas pouvoir souffrir encore plus, mais à chaque fois, ils lui prouvaient qu'elle avait tort. Ils la violèrent comme ça une trentaine de fois. Puis devant l'afflux toujours plus grand de violeurs, ils passèrent à trois, une bite s'enfonçant en plus dans la bouche. Puis à cinq, elle devait en plus branler un gars dans chaque main. Ils continuèrent, encore et toujours. Allant plus loin dans le sadisme. La prenant a deux dans la chatte. On voyait la bite des deux hommes tendre le ventre de la fille, leurs engins se dessinant en 3D sur la peau tendu. Malheureusement pour elle, sa chatte était étroite, courte.

Les bites rentraient dans son utérus, déclenchant une douleur intense, mais sans la blesser. L'inséminant directement quand ils jouissent en elle. Puis ils passèrent a deux dans le cul. Ils changèrent une autre fois. Cette fois elle en eut deux dans la chatte et une dans le cul. La position n'était pas facile, mais ils y arrivèrent. Ils essayèrent aussi a deux dans le cul et un dans la chatte, la position était plus confortable. Ils la prirent ainsi de nombreuses fois encore. Ils essayèrent aussi à quatre, voulant lui mettre deux bites dans la chatte, et deux dans le cul. Mais cette fois ils ne trouvèrent pas la solution, lui évitant ce nouveau viol immonde. Ils continuaient et continuaient à la violer, à la sodomiser, à la battre. Les coïts atroces, immoraux durent plus longtemps.Les trous de Stéphanie sont plus large, les litres de spermes qui l'emplissent, font qu'elle est trop lubrifiée, que les bites sentent moins le contact dans son intérieur. Puis certain se sont déjà vidé plusieurs fois en elle, mais ils bandent encore, quelques-uns la violent pour la troisième fois, restant un temps très long dans le corps de la jeune bourgeoise. Le calvaire des deux femmes durent depuis plus de trente heure. Ceux qui étaient parti la veille reviennent, le cercle est sans fin. Quand ceux qui sont présent, ne peuvent plus la violer avec leurs bites, c'est avec leurs mains, leurs bras qui la viole, l'encule. Il la force aussi avec toutes sorte d'objets. Stéphanie, ne compte plus le nombre d'objets qui l'ont prises, seule ou en même temps qu'une ou plusieurs bites. Bouteille en verre, batte de base-bal, quille de bowling, leurs imagination est sans fin. Et elle ne peut que hurler et hurler.

Sa gorge la brûle, ses cordes vocales menace de se rompre. Quand Igor voit que ses troupes baissent de rythme, il distribue, ses pilules miracle. Et ça repart comme en quarante. La centaine de bites, regonflent, la viole de nouveau. Le docteur la pique plusieurs fois, pour ne pas que le cœur lâche, pour qu'elle ne s'évanouisse pas ou ne s'endorme pas. Sa mère subit le même sort. Rien ne leur aient épargnée. La tournante dure plus quatre jours. Quatre longues journées infernale de viols non-stop. Avant que Igor ne mette fin au spectacle. Il calcule en riant, fier de lui, que les deux putes viennent de se faire défoncer pendant près de cent-onze heures. Leurs trous suintant de sperme, refusent de se refermer. Leurs corps est tellement couvert de semence, que l'on ne voit presque plus leurs peau ou leurs cheveux. Igor s'approchent de ses deux victimes, il caresse les cheveux plein de sperme de Stéphanie.

- Ma puce, je suis désolé, mais ce n'est pas fini...

Les lèvres de la jeunette bouge, mais aucun son ne sort. Ses cordes vocales ne répondent plus, elle a trop hurlée. Elle le regarda de son œil valide. Il n'y avait plus rien d'humain dedans, seulement la plus grande misère du monde. Un regard de bête humiliée, vaincu, terrorisée, résignée. Il n'y avait plus rien du regard hautain, sur de la lui, du beau petit canon BCBG et bourgeois mettant tout les hommes à ses pieds, de par sa grande beauté, de son corps parfait. Corps lui dans un état encore plus pitoyable que le regard de sa propriétaire.

- Comme tu es la plus jeune, c'est toi qui va faire les efforts. Tu va grimper sur ta mère, vous allez vous lécher. Mets toi en position soixante-neuf. Je veux une vraie baise. Je veux que vous vous nettoyer ensuite avec la langue. Il n'y a pas intérêt a ce qu'il ne reste une seule goutte de sperme sur votre corps ou dans vos cheveux. Pour pimenter le tout, celle qui jouit en premier évitera de morfler, la perdante aura une surprise très douloureuse. Si l'une de vous simule, je vous garantis, que vos quatre jours de tournantes vous paraîtront être le plus doux des oasis.

Igor attrapa les deux femmes par les cheveux, les faisant geindre de douleurs. Il leur tourna la tête. Une vingtaine de jeunes les regardaient.

- Eux, ils ne vous ont pas encore baisé. Ce sera la perdante qui aura l'honneur de leurs bites, pendant que l'autre se reposera. Maintenant allez-y.

Vaincu, voulant échapper à de nouveau viols, Stéphanie, épuisée, rampa vers sa mère. Elle lui grimpa dessus, sa tête se posant directement entre les cuisses de sa génitrice. Elle sortit la langue, et pour la première fois depuis sa naissance, retoucha au vagin qui l'avait fait naître. Nathalie gémit quand la langue de sa fille toucha sa féminité. Brûlant horriblement son vagin tuméfié et massacré par les innombrable pénétration subit. Difficilement, elle redressa la tête, et entreprit de caresser de sa langue le clitoris de son enfant. C'était leur première relation lesbienne. Les deux femmes pleuraient devant cette relation incestueuse forcée. Nathalie, pensait qu'elle perdrait, elle avait été violée par beaucoup plus d'hommes que sa fille. Les subissant en tournante, tandis que Stéphanie n'était prise que par Igor. Sa fille l'avait rejointe dans la tournante, alors que cette dernière avait déjà subit une centaine de viols. De plus, sa fille étant sur le dessus, le vagin et l'anus massacré de cette dernière, déversait son flot de foutre et de sang sur son visage, dans ses yeux. Nathalie titillait le clitoris de sa fille, ne sachant pas si cette dernière mouillée un peu, mais après tout les viols qu'elles avaient subit, il était à parier qu'il n'en était rien. Nathalie ne se trompait pas, elle ne ressentait aucun plaisir aux caresses labiale et linguale de sa mère. Elle était dégoûtée, léchant le sang et le sperme qui se vidaient du corps de sa génitrice. Elle léchait tant bien que mal la fente maternelle. Priant de toute son âme pour que sa mère ne jouisse pas en premier. A sa grande surprise Nathalie, commença à ressentir des petits picotements venant de son clito. Les caresses de sa fille commençait à avoir de l'effet. Plus rompu que Stéphanie, aux joutes de l'amour, Nathalie, dépucelée depuis longtemps, voyait son corps répondre bien malgré elle. Stéphanie, vierge avant ce viol sauvage, vivait beaucoup plus mal ce qu'elle avait vécu. Ils lui avaient fait connaître sa première bite, son premier sperme, aussi bien au niveau buccale que vaginal ou anal. Igor quand à lui, regardait cette doublette avec plaisir. Au expression du visage de Nathalie, il comprit rapidement, que cette dernière allait jouir. Quand, bien malgré elle, Nathalie, hurla sous l'orgasme involontaire qui lui traverse le corps, Stéphanie sut que les prochaines minutes, allaient être bien difficile pour elle.

Mais Igor les obligea ensuite à se nettoyer l'une, l'autre, avec la langue. Bien sur, même au bout de deux heures, les corps était encore couvert de sperme. Igor les fit aller dans une salle, où il les nettoya au jet d'eau. Leur enfonçant le tuyau, a chacune, dans la chatte et l'anus pour enlever toute trace de spermes.+

- Vous êtes plus présentable comme ça.

Épuisée, anéantie, elles ressortirent de la pièce, en se tenant dans les bras l'une et l'autre. Leurs visages se décomposèrent, quand elle se retrouvèrent face à la vingtaine de jeunes. Il poussa Stéphanie dans leurs bras.

- Amusez vous avec elle, ne touchez pas l'autre. Par contre je veux qu'elle regarde tout. Moi, je vais me reposer.

Un des jeunes saisit Nathalie par les cheveux, la forçant à regarde le nouveau viol de sa fille.Déjà, un des gars l'empalait sur sa bite, tandis qu'un deuxième lui violait le cul, un dernier s'enfonçant dans sa gorge. Ils violèrent la malheureuse pendant deux bonnes heures. Avant que deux armoires à glace ne s'approchent d'elles. Ce furent leurs dernier viol, enfin on les laissa tranquille.

- Dormez, demain, tout recommence.

Horrifiée, mais épuisée, les deux femelles ne tardent pas à tomber dans les bras de Morphée.

Igor les laissa dormir douze heure d'affilée, à même le sol. Il dormit lui même huit heures, puis il traita ses affaires importantes. Quand il eut fini, il fit venir le docteur. Le géant réveilla les deux femmes à coups de pieds. Comme petit déjeuner, il les obligea à se gouiner devant lui et le toubib. Au bout d'une demi-heure, ils se lassèrent de ce spectacle. Moussa et un autre gars, soulevèrent alors les deux filles par les cheveux. Alors, le toubib regarde les deux bourgeoises, qui ne sont vraiment plus BCBG, il les regardent en souriant.

- Belle séance de gouinage incestueux mes belles. Vu l'état de vos trous de chienne, va falloir que je recouse tout ça maintenant. Par contre ne m'en veuillez pas, je n'ai plus de produit pour vous anesthésier.

Les deux femelles, anéanties, détruites, défoncées, massacrées, retrouve la force de hurler, quand des bras puissant les soulèvent pour les emmener vers une autre salle, où le bon docteur va s'occuper de leurs trous. Ils les soignent, désinfecte, recoud, le tout en utilisant un puissant anesthésique local.

Elles tenaient à peine debout. Suite aux nombreux viol subit. Igor et le toubib les firent sortir, la grande salle était presque vide. Igor était obligé de soutenir la plus jeune tant elle était faible. La douleur terrible émanant de tout son corps, mais surtout de ses parties sexuelles. Seul quelques groupes éparse de jeunes voyous étaient là. Certains dorment, d'autre fument ou boivent. Encore une fois elles traverse la salle, les hommes leurs font prendre une nouvelle porte. Elles descendent deux étages. Elles arrivent dans une salle remplis de cages vide. Sur une table, il y a un petit sac, le toubib le ramasse en souriant. Igor ouvre une nouvelle porte, il les fait rentrer dedans. Les deux femelles débouchent sur une arène ronde, en terre battue. C'est entourée de grillage épais.

Derrière le grillage, une foule nombreuse, compact. Igor est fier de lui, il se dit qu'il est doué pour organiser des événements de haute qualité. Les deux femmes sont debout au milieu de la pièce. Les bras ballants, leurs atout féminin à la vue de tous. Mais bon, la plupart les ont déjà baiser, plusieurs fois, par tout les trous. Le corps des filles est dans un très triste état. Couvert de bleus, de morsures, de coups. Sans parler des nouvelles décorations. Leurs cuisses sont bleuis, marquer par les assauts répétés de ces gars de banlieue. Leurs sexes et leur anus, sont tuméfiés, enflés, extrêmement sensible et douloureux. Stéphanie est la plus marquée des deux. Son œil complètement fermé, et sa main au cinq doigt cassé, la font horriblement souffrir. Malgré le repos qu'elles ont eues, la mère et la fille sont épuisée, choquée, au bout du rouleau. Elles se demandent quelle infamie, le cerveau malade de leur bourreau, à encore inventé.

Igor se place devant les filles, il sort deux objets noirs du sac. Il les lancent au sol. Le visage des deux femelle se décomposent quand elles voient ce que c'est. Deux godes ceintures. Avec soulagement, elles voient qu'ils ne sont pas énorme. Quinze centimètres pour quatre de diamètre.

- Vous allez passer ces godes-ceinture.

Les deux femmes s'exécutent.

- On va faire un petit jeu. Un petit truc sympa entre une mère et sa fille.

Un murmure de rire parcourt la salle.

- Tout d'abord, cette arène sert d'habitude au combat de chiens, aujourd'hui ce sera un combat de chiennes!

Nouveau rire, les deux femmes ont peur de comprendre.

- Cela va se passer en un round. La gagnante aura droit à un joli cadeau qui lui facilitera la suite des événements, la perdante le regrettera amèrement. La gagnante aura très mal, pour la perdante, par contre je crois que l'enfer même, lui paraîtra une destination agréable à côté de ce qu'elle ressentira ensuite.

Igor est fier de ses effets. Les spectateurs sont crochés à ses lèvres. Les deux filles pleurent de plus belle.

- Mesdames, je ne vous en dirait pas plus, cela gâcherait la surprise. Donc vous allez vous battre, entre-vous. La gagnante sera celle qui enfoncera son gode dans la chatte de l'autre. Enfin, c'est bizarre, je dis chatte pour des chiennes, ça va pas trop ensemble.

Nouveau rire, seule les deux salopes ne rigolent pas.

- Mon dieu! Lâche Nathalie.

- Jamais! Lâche Stéphanie.

Igor reprend.

- Au cas ou vous refuseriez de vous battre, ce sera cinquante coups de fouets chacune, puis tout les hommes de cette salle vous passeront dessus, chacun par tout vos trous. Puis vous vous battrez. Donc inutile de résister.

Les deux filles se prirent dans les bras l'une de l'autre. Igor les laissa quelques instants, avant de les séparer à coups de gifles. Il les regarda fièrement.

- Mesdames, l'une d'entre-vous veut elle dire un mot à son adversaire?

Nathalie fit non de la tête. Stéphanie, beaucoup plus marquée que sa mère, décida de tenter un truc. Tout plutôt que de vivre encore un nouvel enfer.

- Maman, je t'aime, je n'en peux plus. Je t'en prie maman, laisse moi gagner.

Nathalie ne répond pas, secoue doucement la tête. Elle aussi est a bout, elle aussi ferait tout pour échapper à ces monstres, devrait-elle pour ça abandonner sa fille. Mais les mots de son enfant la touche, lui font mal, mais la terreur est plus forte qu'elle, Nathalie ne peut tout simplement pas.

- Je t'en supplie maman, j'étais vierge avant ça. J'ai mal, j'ai trop mal. Pitié maman, laisse-moi gagner. Ne les laisses pas encore me faire souffrir.

La mère pleure de plus en plus, mais elle aussi ne peut tout simplement pas.

- Désolé, c'est au-dessus de mes forces, je ne peux pas.

Igor est content, le petit spectacle dépasse ses espérance.

- Maman, je suis la chair de ta chair, je suis ton enfant, tu dois me protéger. Pitié maman, pitié.

Nathalie n'a pas la force de répondre. Stéphanie s'énerve, s'emporte.

- C'est ta faute tout ça. C'est toi qui a voulut venir, c'est toi qui t'es trompée de chemin. Tout ça est à cause de toi.

- Et toi? Pourquoi tu as voulu écouter ce gars, c'est autant ta faute que la mienne. C'est toi qui m'a poussée à aller sous ce maudit immeuble abandonné. C'est aussi a cause de toi si on en est là. Puis tu n'avais qu'a pas être vierge. Tu as vingt ans ma pauvre fille. Je ne connais qu'une seule connasse qui soit vierge a cet age! Tu aurais dut baiser, au moins tu te serais éclatée.

- Salope, tu es une salope.

La jeune fille voit rouge, les paroles de sa mère ont fait mouche. En hurlant Stéphanie se lance sur sa mère. Nathalie n'avait pas prévu le coup, sa fille la percute à pleine vitesse. Nathalie s'écroule, sa fille lui donne alors des coups de pieds dans le ventre, les fesses. Mais comme elle est pied nue, les coups ont moins d'effet, même, si néanmoins ils font très mal à la femme. Heureusement qu'elle fait un peu de sport, même si son corps de femmes de cinquante ans est un peu gras, il lui reste pas mal de muscle. Ça amortie les coups. Nathalie est au bord de la rupture, de l'évanouissement.Telle une furie, la jeune fille tente d'écarter les cuisses de sa mère avec les mains, les genoux, en vain. Nathalie tiens ses jambes serrée de toute ses forces. La plus jeune viens de laisser passer sa chance, elle n'aurait pas dut cesser ses coups, permettant ainsi à sa mère de reprendre un peu ses esprits. Stéphanie s'assoit sur le torse de sa mère. Sa main aux doigts cassé pend le long du corps de la jeune femme. De sa main valide, elle se met à cogner le visage de sa propre mère, en lui hurlant :

- Écarte les cuisses sale pute. Écarte tes putains de cuisses!

Aucune des deux ne voit ce qu'elle fait, ce ne sont plus que deux animaux dévorer par l'odeur du sang. Au deuxième coups de poings la lèvre de Nathalie se fend. La femme sent que sa fille va l'emporter, qu'elle va être obliger d'ouvrir ses cuisses. Alors dans un ultime sursaut de combativité, elle saisit la main de sa fille. Celle aux doigts brisé. La douleur est intense pour Stéphanie qui hurle de douleur comme une folle. La deuxième main de Nathalie se glisse entre les jambes de son enfant, là où se trouve le clitoris. Elle pince de toute ses forces. Le hurlement de Stéphanie est atroce. Igor regarde ce combat avec délectation. Ces deux bourgeoises se battent presque mieux que des filles des cités. Les acclamations fusent dans la salle. La moitié soutien la fille, l'autre la mère. Les paris circulent, Igor gagnent encore de l'argent sur ce coup.

Quand Nathalie lui pince son clito, Stéphanie fait un véritable saut, elle se retrouve sur le sol, sa mère vive comme l'éclaire se couche sur elle. Si la femme ne pince plus le clito de sa fille, elle tient toujours sa main, serrant de toutes ses forces. La jeunette tente bien de cogner sa mère, mais dans sa position, elle ne peut que lui frapper le dos, avec la moitié de sa force. N'octroyant pas grand mal à Nathalie.

- Écarte les jambes sale chienne!

Mais même si la douleur de sa main irradie dans tout son corps, elle n'est pas encore suffisante pour faire céder Stéphanie. Alors sa mère regarde le sein gauche de la malheureuse. Elle se met à lui mordre le téton, fort, méchamment. Malgré les cris de sa fille, Nathalie continue à mordre. C'est une femme elle aussi, Nathalie sait jusque où elle peut aller pour donner le maximum de souffrance sans mutiler. Elle mord à la limite de sectionner le bourgeon du sein de la pauvre Stéphanie. Quand elle arrête de mordre le sein, une fine rigole de sang coule du téton maltraité. Mais au bord de la rupture, immobilisée par la force de sa mère, sa résistance chancelante, elle résiste encore.

- Ouvre tes putains de jambes!

Mais Stéphanie ne cède pas. Alors Nathalie tire les cheveux de sa fille, violemment.

- Ouvre tes jambes, ou je mord l'autre sein.

Nathalie gobe le sein droit de sa fille, quand ses dents commence à mordre, Stéphanie hurle.

- Noooooooooooooooooon! Pas ça, pitié, pas ça!

Alors elle écarte les cuisses. Nathalie pousse un cri gutturale de victoire, et d'un violent coups de reins, pénètre dans le ventre de sa fille. Le sexe de plastique n'est pas énorme, mais la puissance des coups de Nathalie occasionne la plus grande douleur au vagin tuméfié. La rage de la mère est telle, qu'elle veut éventrer sa victime de son sexe en silicone. Igor la laisse violer et défoncer sa fille quelques minutes, puis il va les séparer. Il saisit la mère par les cheveux, la force à se retirer, a se redresser. Stéphanie au bord de l'évanouissement, gît sur le sol, elle n'a même pas la force de fermer les cuisses. Quand elle voit l'état de son enfant, Nathalie réalise ce qu'elle a fait.