Le Mauvais Chemin 08

BÊTA PUBLIQUE

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- Tu es drôlement serrée toi. Tu peux crier, ici, personne ne t'entendra!Enfin si, ils t'entendent, mais ils ne t'aideront pas.

- Pitié maître, sortez! Je vous en supplie! Sortez!

- Tu supplie et crie déjà, pourtant je n'ai pas encore utilisé les forceps. Ne t'en fais pas ça vient.

- Je vous...

La fin de sa phrase se termina dans un atroce hurlement. La tirant brutalement vers lui, tout en donnant un violent coup de rein, Igor venait de pénétrer d'un seul coup, de toute sa longueur dans l'étroit fourreau, encore vierge de toutes pénétrations quelques seconde plus tôt. Il perçu distinctement le craquement sinistre que fit l'anus de sa victime en se fissurant. Igor s'était souvent offert ce bruit délicieux, et cela l'excitait toujours autant. Le hurlement de la fille glaça le sang dans les veines de bon nombre de participants à cette violente tournante. Même sa mère, pourtant épuisée, massacrée, violée par des dizaines de jeunes fut horrifiée, du fond de son enfer, par le hurlement de bête blessée à mort lâché par sa fille. Tout le corps de Stéphanie se tétanisa, la jeune femme cabra, avant de s'écraser de nouveau sur le canapé. La douleur fut tel, qu'elle en vomit, s'urinant dessus, mouillant les jambes de son pourfendeur. L'homme s'en moqua, savourant son viol. Igor avait défoncé son anus, massacré son rectum, s'enfonçant loin en elle, le plus profondément possible. La femelle avait eut l'impression que ses fesses éclataient, que son sang et sa chair s'éparpillaient en éclats dans la pièce. L'anus déchiré, le rectum fissurait brûlait la jeunette comme si une lance venait de lui pourfendre les entrailles. Le violeur restait immobile en elle, son ventre contre les fesses de sa victime, savourant l'étroit fourreau. Sa bite était serrée comme jamais, cela en était presque douloureux tellement c'était étroit. Stéphanie, toujours hurlante, croyait avoir vécu le pire, avec cette horrible empalement. Igor allait lui prouver qu'il n'en était rien.

- C'est bon, salope, de sentir ton petit cul, devenir aussi grand qu'un tunnel de métro? Mais je n'en suis pas encore à utiliser les forceps, mais ça va venir ;

Sous la promesse d'une douleur encore plus grande, le hurlement de la fille augmenta encore d'un octave. Dévastée par la douleur, Stéphanie convulsait, son anus bâtant comme un fou contre le membre en elle. Son corps branlait littéralement son tourmenteur. Alors il se mit à la défoncer, la faisant hurler comme une démente. La douleur était infernale, la menant au bord de l'évanouissement, tant le membre dans ses entrailles, prenait de la place, en largeur, longueur, épaisseur et surtout vigueur. La jeune femme avait l'impression que le membre qui l'empalait allait lui ressortir par la bouche, voir lui défoncer la boite crânienne. Avec l'impression qu'un train de camion lui passait dessus, elle subit ce viol anal. Le sang du dépucelage du trou du cul de la jeune femme avait lubrifié le conduit, permettant à Igor de la défoncer comme un malade. On aurait dit qu'il voulait la transpercer de son braquemart devenu couteau, lance, épée. Le beau visage, de la désormais ex-pucelle, n'avait plus rien d'humain, tant la douleur qui la taraudait, la faisait grimacer de souffrance. Du fond de l'enfer, elle était certaine que plus jamais son anus ne se refermerait, qu'elle aurait de terrible dommage interne, que plus jamais elle ne marcherait, condamnée à porter des couches à vie. Sa sodomie parut durer une éternité à la femelle. Lui prenait son temps, rendu plus endurant par ses éjaculations précédente, se retenant au maximum de jouir en elle, pour faire durer son immense plaisir. Enfin, au bout d'une bonne demi-heure de cet horrible traitement, il se mit à la pilonner à une vitesse hallucinante, lâchant des petits gémissements annonciateurs de son plaisir imminent. Finalement, il donne un coup de reins plus puissant que les autres, se fichant à son maximum dans les entrailles de Stéphanie. Cette dernière hurle comme une démente, quand le sperme de son violeur, se déverse dans ses intestins. Le liquide séminal du mâle, brûlant ses chairs tuméfiées par le viol, comme de l'acide sulfurique. Elle vient de recevoir sa première éjaculation entre ses fesses. L'orgasme d'Igor est si puissant et si fulgurant, qu'il s'écroule sur sa victime. Comme bercé par les convulsions du corps de la malheureuse. L'anus de la fille pulsait toujours contre son pieu. Stéphanie, pleurait toujours de tout son saoul, lâchant des grognements de douleur intense, ses mains tressautant sur les coussins du canapé.

- Sortez, pitié, sortez... Maître...

La jeune femme avait murmuré. Igor ne l'entendait pas de cette oreille. Sa bite à demi-molle, toujours fiché entre les fesses de la femelle, il se mit à sourire.

- Tu es mon vide-couilles, je fais ce que je veux avec ton corps. Mais j'ai presque finis.

Il se redressa, resserra les fesses de la fille avec ses mains. Puis, il se mit à uriner dans les intestins de la fille. Cette dernière se mit à hurler, son intestin la brûlait. Son ventre se mit à gonfler, sous l'effet du liquide qui l'emplissait.

- Pitié...

Igor se vida complètement, avant de se retirer d'un seul coup. Un flot de pisse, de sperme, de merde et de sang se mit à couler par le trou du cul de la fille. L'homme se releva d'un coup. A la vue du flot et des grognements de sa proie, il se remit à bander. Il pense « Cette drogue est vraiment au top, je n'ai jamais autant bander, ni aussi longtemps. Je vais en distribuer à mes gars pour qu'ils s'éclatent avec ces deux putains. »

Il se releva, il regarda quelques instants le viol de Nathalie. Ça ne désemplissait pas. Des jeunes enfin vidés, partaient. Mais ils étaient aussitôt remplacés par d'autres. Plus nombreux. Le viol de Nathalie semblait sans fin. Le bruit que Igor offrait des meufs canons à baiser gratuitement avait vite fait le tour du quartier. Les gars, voyous ou non, adulte ou plus jeune, affluaient de partout. Mais sa fille, ne tarderait pas à aller la rejoindre. Le spectacle en plus de le faire bander encore plus dur, lui avait une nouvelle fois, donner une envie puissante de violer une meuf. Il se retourna vers Stéphanie. La jeune fille n'avait pas bougée. Toujours agenouiller devant le canapé, torse et seins écrasé sur les coussins. La femelle convulsait toujours en grognant. De là ou il était, Igor pouvait voir son anus toujours grand ouvert. La chatte et le cul de sa proie, suintait toujours de sperme. Il sourit.

- Je crois que je vais encore te faire ta fête.

Le corps de la jeunette tressauta, elle grogna de peur, mais n'eut pas la force de dire quoique ce soit.

- Je vais être cool, je te laisse choisir cette fois, par où je te baise.

Elle ne répondit toujours pas. Il lui donna un coup de pieds violent aux fesses. Elle hurla sous la rudesse du coup.

- Alors?

Avant qu'elle n'ai eut le temps de répondre, le téléphone du géant Albanais sonna.

- Sauvée par le gong. Je te laisse réfléchir, le temps que je répondes.

Igor sortit son portable de la poche de son pantalon, posé sur l'accoudoir du vieux canapé. Il s'assit à coté de la fille, lui caressant les cheveux. La femelle sursauta, murmurant.

- Pitié... Pas encore...

Mais Igor ne lui répondit pas, continuant sa caresse, tout en décrochant.

- Allô?

- Chef, c'est Didi.

Didi était un jeune black de dix-huit ans. Le responsable de ses guetteurs. Il ne l'appelait qu'en cas de truc pas normal, style police.

- Oui, un souci?

Ben, il y a des tas de gars d'autres quartiers qui arrivent. Je ne sais pas quoi faire, on les a bloqués, mais ils sont vraiment nombreux.

- Merde, j'ai oublié de te prévenir. J'organise une petite fête avec deux salope de bourgeoise. Elles sont canons, racistes et super bonne à prendre. J'ai envoyé des SMS pour inviter les autres bandes. A priori ça a marché. C'est bon pour les affaires et pour les relations amicales. Je t'envoie du monde pour les guider jusque ici.

- D'accord chef.

- Je t'envoie aussi d'autre gars pour te remplacer toi et tes guetteurs, venaient tous participer à la fête.

- Merci, on arrive.

Igor vit Moussa qui discute avec un autre gars. Il lui fit signe de venir. Le black se dirigea vers son caïd.

- Oui boss?

- Envois des mecs aux entrées. Il y a des larrons à faire venir jusque ici. Pour participer à la fête. Envois en aussi pour remplacer les guetteurs, qu'ils viennent eux aussi se vider les couilles.

- Bien, mais tu crois qu'elles vont tenir? La vieille elle prend cher!

- Je sais, l'autre pute va pas tarder a lui apporter son aide. Puis de toutes façons, tu en as quelques choses à foutre, toi, si elles ne s'en sortent pas?

- Je m'en balance. C'est que des morceaux de viandes. Mais bon, ce serait dommage, elles sont drôlement belle.

- Exact, appelle le toubib, qu'ils viennent vérifier.

- OK, je m'occupe de tout ça chef.

Igor caressait toujours les cheveux de la belle Stéphanie. Il se relève.

- J'ai la bite dégueulasse de sperme, mais surtout de ton sang et de ta merde. Viens me sucer!

La fille ne bouge pas. Ne répond pas.

- Viens, ou je vais te faire encore plus mal.

Ivre de peur, à l'idée de prendre encore des coups, la minette se redresse. Mais elle n'a pas de force. C'est en marchant à quatre pattes qu'elle se dirige vers Igor. Elle s'immobilise devant lui, levant sur son bourreau un regard de chiens battu, où l'horreur la plus totale règne.

- A genoux.

Morte de peur, elle lui obéit.

- Maintenant tu vas me sucer. Toute seule, sans les mains. Je veux une gorge profonde. Si tu me suce bien, je ne m'en mêle pas. Sinon, souviens toi de tes mâchoires tout-à-l'heure. Compris?

- Oui, maître.

Anéantie, la jeune fille avait parlée dans un souffle. Igor se plaça afin de profiter du spectacle du viol de la mère de sa victime. Sa proie du avancer à genoux pour le suivre. Elle avança la tête, entreprenant de gober le sexe immense et dur comme de l'acier. Quand le gland de l'homme lui toucha les amygdales, elle recula doucement sa tête. Igor lui caressait les cheveux, il appréciait cette fellation maladroite. Les larmes de la fille, qui dégoulinait torrentiellement sur ses joues, le rendait fou de bonheur.

- Pas mal, fais comme avec un esquimau. Sers-toi de ta langue, caresse ma bite avec.

La fellation était maladroite, mais lui plaisait.

- Regarde moi dans les yeux, caresse mes couilles avec ta main valide.

Au comble de l'horreur, elle écoutait les directives de son bourreau. La pipe prodiguait, ainsi que le sort terrible de Nathalie, qu'il était en train de mater, le rendait heureux. Il savait qu'il ne durerait pas longtemps. Malgré ses quatre éjaculation précédente. Vraiment cette pilule était merveilleuse. Il va falloir qu'il voit ce Jonas, il se pourrait bien qu'il fasse affaire tout les deux. Sexe-dure, qu'il appelle ses pilules, c'est un nom qui leurs va bien. Il revient à Stéphanie.

- Dans ta gorge maintenant.

Stéphanie du faire un effort monumentale pour lui obéir. Elle avala complètement, une nouvelle fois le chibre du géant. Son nez heurtant le pubis de son violeur. Elle faisait des bruits de gorge affreux pour la plupart des hommes, mais ô combien bandant pour un pervers tel que Igor. Elle le suça dix bonnes minutes. Alternant entre gorges profondes, et sucette dans la bouche. Quand il sentit le plaisir monter de ses reins, il lui lança un ultime ordre.

- Je veux jouir dans ta bouche. Met ton gland sur ta langue. Si une seule goutte de sperme sort, je te brise tes os, un par un.

Elle obéit une nouvelle fois. Dés que la première giclée du liquide tiède et acre heurta le fond de sa gorge, elle recula un peu sa tête. Il se déversa abondamment dans sa cavité buccale. Il éjacula tellement que la fille n'arrivait pas à avaler. Un mince filet de sperme lui ressortit par le coté de ses lèvres. La martyre essaya d'avaler encore plus vite. Elle s'étouffa, cette fois c'est par le nez que le sperme sortit. Cela fit rire Igor. Il resta encore quelques instant dans la bouche de la violée, le temps d'être sur qu'elle nettoie bien tout avec la langue. Il se retira, ne la quittant pas du regard. La jeune fille resta immobile, à genoux, en larmes.

- Je t'avais prévenu. Tu as du sperme sur le coin de la bouche, le menton, et tu en as craché par le nez.

- Je... Je n'ai pas put faire autrement maître. Pitié, ne me battez pas.

Igor voyait les jeunes des autres cités arrivaient. Le nombre de voyous étaient impressionnant.

- Je te le concède. Je ne vais pas te battre. Du moins pas pour l'instant. J'ai beaucoup mieux pour toi.

Il la prit par les cheveux, la faisant avancer à quatre pattes. Il l'emmena vers la meute. Il la redressa, en la tirant, toujours par les cheveux. Stéphanie voyait le viol atroce de sa mère, de près. Elle ne la reconnaissait pas. Nathalie était recouverte de sperme, de traces de coups. Tel un pantin désarticulé, elle se faisait violer à la chaîne. D'une voix forte, Igor parla.

- Je vous emmène du renfort, prenaient bien soin d'elle.

Il partit dans un rire tonitruant, en poussant Stéphanie vers la meute, dans la mêlée. Alors, pour la jeune femme, la curée put commencer. Tandis que satisfait, Igor retourna s'asseoir dans le canapé. Il avait remis son caleçon, il se roula un joint bien mérité, fier de lui, les couilles enfin complètement vide. Tel un bienheureux, il ne tarda pas à s'assoupir.

- Noooooooooooooooooon!!!

Stéphanie avait hurlée d'épouvante quand Igor l'avait poussée vers la meute déchaînée et affamé de sexe. Mais son hurlement changea vite, passant d'épouvante en souffrance, en moins de cinq secondes. Un voyou qu'elle ne vit pas, la fit se pencher en avant, l'enfilant d'un coup. Il était moins bien membré que Igor, mais il lui perfora tellement fort son vagin aride, déchirant encore un peu plus sa chatte, que la douleur fut incommensurable. Mais déjà, un gars la fit taire, en la saisissant par sa queue de cheval, avant de l'empaler d'un seul coup sur sa bite, lui défonçant la gorge. Des mains parcourent brutalement son corps. On la pince, la griffe, la mord. Surtout sur les seins, le ventre. On lui gifle les fesses, certains lui pince méchamment les tétons, les font tourner comme si ils voulaient les lui arracher. D'autres lui tire violemment les cheveux. Sa queue de cheval se défait, ses longs cheveux blond pendent maintenant de chaque coté de son beau visages, marqués par les coups de Igor. Celui qui lui viole le vagin ricane.

- Putain, cette chienne est vraiment plus étroite que sa mère. Elle est vraiment bonne.

En disant ça il se met à la marteler de plus en plus fort. Celui qu'elle suce, la saisit par les oreilles, il se met à lui donner des coups de reins, violant sa bouche comme si c'était un sexe. Heureusement que les hurlements de Stéphanie son étouffes par le pieu violateur. Les deux voyous éjaculent en même temps en elle. En plus de ses viols, de la violence subit, de l'humiliation, Stéphanie est terrorisée par deux choses. Étant vierge, enfin pucelle jusque au viol de Igor, elle ne prend pas la pilule, le risque de tomber enceinte est donc très fort pour elle. Puis il y a les MST. Ces voyous, certains drogués, ne se protègent pas. Le risque de SIDA, d'Hépatites, et d'autres infection, est donc très grand. Mais très vite, les deux spermes qui l'inondent ensemble, font divaguer ses pensée. A peine sa bouche et sa chatte libérée, le sperme n'a même pas le temps de sortir de sa chatte, qu'elle se retrouve, cette fois, à quatre pattes. Immédiatement une bite s'enfonce dans sa moule, la prenant en levrette. De nouveau elle est contrainte de sucer. Deux grosses bites ensemble. Sa mâchoire se déboîte presque une fois de plus. Personne ne sait par quel miracle la mâchoire de cette chienne tient le coup. Stéphanie hurle néanmoins dans le pieu qui obstrue sa bouche. Mais cette fois, le son passe inaperçu, couvert par le brouha des voix et les cris de sa mère... Cette fois le nouvel occupant de sa chatte se retire avant de jouir, et lui jute sur le dos. Tandis que ceux qu'elle suce, choisissent son visage et ses cheveux pour se vider. Ils rigolent en sortant de sa bouche, car cette dernière reste grande ouverte. Une crampe douloureuse l'empêchant de la refermer.

- La chienne, elle aime sucer. Regardaient les gars, elle en redemande, elle ferme pas sa gueule de pute.

De nouveau un bite viole son ventre, un autre s'enfonce dans sa gorge. Puis on la viole encore, et encore, et encore. Les bites se succède à l'infini dans ses trous, rendant les chairs à vif, sanguinolentes. Déformant bouche et chatte. Son sexe n'a pas l'air d'avoir été défloré seulement quelques instant plus tôt. Il est bien plus ouvert que celui d'une vieille pute. Les coups, les griffures ne cessent pas. Après avoir été prise en levrette, les voyous l'allongent sur le dos, jambes écartées, ils se succèdent en elle. La plupart jouissent dans son corps, mais quelques un choisissent son ventre, ses seins, son visage. Certains la viole en fumant, une clope, un pétard, voir un cigare. Les nombreuses aréoles brune qui ornent maintenant sa magnifique poitrine, son ventre, ses fesses, attestent que ces monstres savent s'en servir. Quand ils s'en ont marre de sa chatte, quand après plusieurs heures de viole intense, il trouve la vagin de la fille trop distendu, plus assez serré, ils la retourne. S'occupe de son anus. Cette fois, ils ne la prenne que un par un. Ayant décider de vouloir entendre ses hurlements. Et pour entendre, ils entendent. Ça les excite, les rendant plus violant, redonnant une jolie bandaison à des mecs qui se sont vider plusieurs fois en elle.

Stéphanie vomit, se pisse dessus. Ils s'en foutent, ça les fais rire, leurs donnent envie de lui faire encore plus mal, de la prendre plus fort, plus loin. Ils lui cassent littéralement le cul, le massacre, l'atomise. Chacun cherche l'idée la plus violente, la plus bizarre pour la prendre, pour la défoncer, pour se faire remarquer. Et encore et toujours, ces bandits qui arrivent de partout, pour mettre leurs bites en elle, pour jouir dans son corps, sur elle. Stéphanie sait maintenant que la semence masculine fait incroyablement mal quand on jute dans les yeux. Plusieurs fois, elle en a fait l'amère et douloureuse expérience. Certains, lui ont même juter dans les oreilles, les narines. Cela fait des heures et des heures que ça dure. Il y a de tout, des jeunes, des vieux, des blancs, des asiatiques, des blacks, des beurs. Elle à même eut droit à deux transsexuel, un corps de femme avec une bite énorme.

La jeune femme, qui est maintenant recouverte de sperme, n'a eut droit qu'à quelques minutes de repos. Quand un gars, un soit disant médecin, est venu rapidement l'examiné. Son rapport à fait froid aux oreilles de Stéphanie.

- Bon, sa chatte est bien déchirée, son cul pas mal fissuré, mais ça tiendra, tu peux continuer Igor. Rien de grave, que du douloureux. Ils peuvent y aller encore plus fort, pas de souci. Je recoudrais après, en cas de besoin, comme d'habitude.

Puis il a sortit une fiole et une piqûre de sa mallette. Il lui a piqué le bras, la jeune femme à sentit le produit épais passer. Il a ensuite sortit une deuxième fiole, avant de lui faire une autre piqûre, directement dans le sein.

- La première, c'est pour faire tenir le cœur, et éviter qu'elle ne s'évanouisse, c'est moins drôle de violer une salope qui ne crie pas et ne se débat pas. La deuxième c'est pour éviter les hémorragie, comme ça , même si vous la déchirée à mort, que ce soit le cul ou la chatte, elle tiendra le coup jusque à ce que je recouse.

L'homme descendit son pantalon, il mit un préservatif.

- Je préfère mettre une capote sale pute, après tout ce que tu as pris, tu dois être infectée de partout. J'espère que tu as pris la pilule, car là, je peux te garantir que tu es inséminée.

Il la sodomisa sauvagement. Une fois vidé, il lui vida le préservatif dans la bouche, avant de le lui faire nettoyer avec la langue, lui faisant enlever les traces de souillures.