Le Mauvais Chemin 04

Il continuait son assouplissement, la travaillant de plus en plus fort.

- Tu sais, je ne fais pas ça par gentillesse. Mais je veux te défoncer le cul, comme si il avait servit mille fois. Alors pour mon confort, il me faut un peu de souplesse anale.

Une fois qu'il estima l'anus assez travaillé, il retira ses doigts. Il les sentit, il n'y avait aucune odeur. Cette chienne était propre. Il lui enfonça les doigts dans la bouche.

- Nettoie!

Il sentit la langue de la femelle lui léchait les doigts. Il se mit ensuite devant elle, la bite bien dure.

- Suce, et mets bien de la salive, ce sera ton seul lubrifiant. Je te laisse dix secondes.

- Je vous en supplie.

- Sept... Six...

- Pitié!!!

- Quatre... trois...

Nathalie ouvrit rapidement la bouche, le gobant, cherchant à mouiller le chibre qui allait la sodomiser. Mais en trois secondes, elle ne put mettre que très peu de salive. Quand il se retira, Igor rigola en voyant son engin pratiquement sec.

- Tant pis pour toi, je t'ai laissé ta chance.

Il se plaça de nouveau derrière la femme.

- Allez les mecs comme elle est très serrée il faut m'aider, écartez lui les fesses en grand!!!!!

D'autres s'étaient rajouté à ceux qui maintenaient déjà Nathalie à genou, le corps en appuie sur ses avant-bras, ce qui lui faisait cambrer le cul, ils avaient attrapés les grosses fesses de la femme en les lui écartant au maximum.

Le géant saisit ses hanches un peu enrobée. Nathalie cria quand le gland du mâle heurta son anus. Igor regarda vers Stéphanie. Moussa la tenait par les cheveux pour la forcer à regarder. Pendant ce temps la malheureuse devait le branler. Igor lui lança un baiser de la main, puis il saisit sa mère aux hanches qu'elle avait un peu enrobée. Malgré son petit ventre, ses hanches un peu grasse, son cul de femme de cinquante ans un peu gros, Nathalie était encore un vrai canon. Son corps était largement plus beau que celui des autres femmes de son age, que l'Albanais avait coincé aux quatre coins de la ville.

Les sphincters de son cul résistaient, empêchant et en gênant la progression du sexe d'Igor.

Alors sans se poser de questions, sans aucun retenue, d'un violent coups de reins, il se propulsa en avant. La pénétrant en entier, d'un seul coup. Le hurlement inhumain qu'elle poussa fut terrible. Son visage se déforma sous l'infernale douleur. Ses yeux menacèrent de sortir de leurs orbites. Igor en avait mal à la bite, tant il avait mis de la force pour défoncer le trop étroit conduit. Nathalie hurlait sans discontinuer, pleurant de tout son corps, de toute son âme, de la bave coulait de sa bouche, formant une petite marre sur le sol. Il lui avait salement fissuré l'anus et explosé le rectum. Il se retira lentement. Elle hurla encore plus fort, avec la sale impression d'éclater en mille éclats. Son bourreau se retira presque complètement. Un mince filet de sang coula le long de sa bite. Il s'enfonça de nouveau d'un coup. Nathalie eut l'impression de chier à l'envers, tant la douleur fut horrible. Il répéta l'opération une dizaine de fois, ressortant parfois complètement avant de la violer de nouveau. Ses hurlements montaient à chaque fois d'un octave, résonant aux oreilles de son bourreau, comme la plus douce des musiques. Puis il se mit à la défoncer à grands coups de reins. A ce moment, Nathalie comprit le vrai sens du mot douleur. Il lui massacre les intestins, lui agrandissait son petit trou. Tout en l'enculant, il lui malaxait brutalement les seins, les griffant, les pinçant. Il allait de plus en plus vite dans son cul, la défonçant comme un fou. Un viol anal régulier comme un métronome, puissant comme une bielle. La pauvrette ne savait pas si on la sodomisait avec une bite, ou un poignard chauffé à blanc, comme dans les rois maudits. Plus il la défonçait, plus elle saignait, plus le sang lubrifie le fourreau, plus il la défonçait. Un véritable anneau de Möbius, un cercle sans fin. Rendu endurant par les viols buccales et vaginal de Stéphanie, Igor fait durer son viol, il lui semblait pouvoir l'enculer pour l'éternité.

Si au début les cris de douleur de Nathalie l'excite, lui font plaisir cela commence maintenant à beaucoup l'énerver.

-Ferme te gueule connasse tu commence à me faire chier, à me mettre les nerfs, avec tes putains de cris strident. Tu sais que si je suis énervé, je me mets en colère, tu sais aussi ce qui arrive quand je suis en colère!!!!!!

Il avait fermé ses deux poings, il avait donné des violents coups, de chaque coté, dans les flancs de la femme ce qui avait eu pour effet de lui couper la respiration, de la faire s'arrêter un peu de hurler.

Mais pas longtemps.

Mais comme Nathalie n'arrêter pas de crier, ni de gueuler de douleur; Igor avait demandé "Que l'on fasse fermer sa gueule à cette pute"

Aussitôt un jeune beur s'était mis devant le visage de Nathalie mais il n'avait pu rien faire, Nathalie bougeant et remuant sa tète dans tous les sens, refusant d'ouvrir la bouche.

-Igor je peux rien faire avait dit le jeune, elle bouge trop, elle ne veux pas ouvrir la bouche!!!

Igor avait donné ses ordres :

- Attrape la par les cheveux, maintient lui la tête en arrière je vais lui faire ouvrir sa putain de bouche moi!!!!!

Le jeune avait saisit Nathalie par les cheveux, il lui maintenait la tête relevée en arrière.

- Ça y est? Tu es prêt????? avait demandé Igor

- Oui, lui avait répondu le jeune.

Alors comme tout à l'heure, vicieusement et surtout sadiquement, Il avait saisit les deux mamelons de sa victime, il les avaient tirés tous les deux comme s'il voulait les arracher.

Il avait saisi les mamelons de la pauvre femme entre le pouce et l'index et il les avaient fait Il les avaient tourner et tordu et tourné dans tous les sens en les vrillant plusieurs fois.

Nathalie avait encore hurlée sous la douleur en s'égosillant, en s'époumonant

Tour cela avait déclenché l'hilarité, les rigolades du public.

En hurlant de douleur, elle avait ouvert en grand sa bouche. Ce qui avait permis à l'autre de lui enfoncer brutalement son sexe, profondément au fond de sa gorge.

Nathalie ne pourrait plus crier.

Igor avait recommencé ses puissants et brutaux va et viens dans le cul de Nathalie, en la défonçant bien profondément à chaque fois.

Il la pistonnait comme un malade, comme un fou furieux, s'enfonçant toutes les fois plus loin entre les reins de sa proie.

Ses gros seins laiteux ballottaient, remuaient dans tous les sens, au rythme des puissants coups de boutoir d'Igor.

Son petit ventre rond s'agitait, se secouait lui aussi

Ce qui faisait beaucoup rire l'assistance. Les commentaires grossiers, les moqueries avilissantes n'arrêtaient pas. Elles étaient continuelles et ininterrompues.

Les mecs étaient fous d'excitation, mais aussi impressionnés par l'acharnement et la violence d'Igor

La bourge devenait folle, il lui semblait qu'on la sciait en deux. Qu'on la tronçonnait dans la longueur. Toutes les fois que le sadique se retirait de son cul, il lui semblait qu'on lui arrachait les intestins. Qu'on les lui sortait.

Incapable d'émettre et de prononcer le moindre cris du fait que sa bouche était envahit par le sexe du beur, bien planté au fond de sa gorge, elle souffrait en silence. La belle quinqua était étouffée et étranglée par ce viol buccal.

Elle arrivait juste à sortir des sortes de cris bizarres, étouffés, des gémissements, des plaintes à peine audibles. Ce qui faisait rire tout le monde, sauf sa fille bien entendue.

Elle pleurnichait, pleurait, implorait en silence. La femme récitait mentalement une prière, en vain.

Plusieurs fois alors qu'il était planté bien profondément dans son cul, gratuitement, par pur plaisir sadique, Igor lui avait claqué les flancs, mais aussi ses fesses, ses hanches, avec ses énormes battoirs.

Toutes les fois, cela avait fait gigoter, s'agiter Nathalie, ainsi elle se tortillait d'elle même sur le sexe de son bourreau.

Cela provoquait beaucoup de bien à Igor.

Plusieurs fois encore, il lui avait méchamment pincé les fesses, son petit ventre rond, mais aussi l'intérieur de ses cuisses. Ce qui la faisait se tortiller, bouger encore plus.

Il lui avait aussi malaxé, sans aucune délicatesses ses gros seins laiteux. En ne se privant pas de lui pincer les mamelons.

Elle s'agitait dans tous les sens. Elle gémissait, sanglotait, pratiquement en silence. Les jeunes autour d'elle ricanaient et raillaient de joie et d'excitation. Sans parler des moqueries méchantes, blessantes, qu'ils lançaient à l'encontre de la femelle abjectement violée.

A un moment, par pur plaisir sadique, il enfonça un doigt en plus dans le trou du cul de la femelle. Elle se mit alors à ruer, il la saisit par les cheveux, ce fut un vrai rodéo sexuel. Le ventre de l'homme frappait de plus en plus vite, de plus en plus fort les fesses de sa victime. On entendait à chaque fois, comme un grand bruit de claques mouillées. On aurait dit qu'il voulait la rendre infirme de son engin, la tuer de son mandrin. Il faisait durer son plaisir, agrandissant sans pitié l'anus pratiquement vierge. Puis il se figea une ultime fois en elle. Jouissant en criant.

Nathalie reçut un véritable geyser de foutre dans ses intestins. Une énorme vague déferlante. une inondation de sperme, un tsunami.

Il resta un moment figé au plus profond d'elle n'arrêtant pas de se vider. Il se retira d'un seul coup, arrachant un ultime cri à la victime de ce viol destructeur. Ce n'était que le début pour cette pute, sa fille ne perdait rien pour attendre. En attendant, Igor allait encore un peu s'amuser avec la mère...