Le Fils Prodigue

Jason faisait coulisser son sexe dans la chatte accueillante de Cindy, la baisant rudement, sur un rythme déchaîné, et quelques instants plus tard, il exultait en la remplissant de son sperme. L'emprise de Jason sur Cindy était telle, qu'elle ne pouvait rien lui refuser, même si elle appréciait peu ces petits coups rapides, qui la laissaient immanquablement dans le besoin.

Depuis le décès de son mari, il y a six ans, son fils Jason était devenu son seul partenaire. Cindy et son mari s'étaient mariés très jeunes, parce qu'elle était enceinte de Jason. L'écart d'âge étant peu important, quinze ans et quelques mois, Jason et Cindy pouvaient passer pour frère et sœur. Cindy ressentait un fort sentiment de culpabilité envers Jason, parce qu'elle avait fauté trop jeune avec le père, parce que sa famille l'avait rejetée et qu'elle devait se débrouiller seule avec ce gamin.

Élever seule un garçon, sans un homme à la maison, était trop difficile pour Cindy et son petit salaire. Elle a cherché et trouvé plusieurs prétendants, mais le scénario était invariable. Après avoir profité d'elle, les gars disparaissaient sans laisser d'adresse.

Puis vint l'adolescence, avec sa cohorte de questions, les premiers émois, et beaucoup de tracas pour la maman. Pour éviter que Jason ne traîne dehors, pour éviter les problèmes, les questions, Cindy a tout simplement invité Jason au creux de son lit. Depuis, et jusqu'à son départ pour l'université, quotidiennement, et même plusieurs fois par jour, Cindy servait d'exutoire à son fils Jason.

Jason était comme son père, un peu court. À tous les sens du terme. Un sexe plutôt petit, et trop rapide. Un vrai lapin! Par contre, toujours prêt à remettre le couvert, et il éjaculait une importante quantité de sperme. Avec ce gamin toujours après elle, Cindy n'avait pas l'envie de nouer des relations avec d'autres hommes, et le départ de Jason à l'université l'avait laissée vide et désemparée.

Mais Cindy était encore jeune, avec une libido normale, des besoins, et le retour du fils prodigue était fêté comme il se doit par une série d'assauts, tous aussi brefs et aussi frustrants les uns comme les autres. Elle était encore allongée dans ses bras, la chatte dégoulinante de sperme, que Jason lui posa la question qui lui tenait à cœur :

«Maman, aimerais-tu avoir des relations sexuelles avec un autre homme, pendant que je vous regarderais?»

«Je ne sais pas Jason, quelle drôle d'idée? Aurais-tu une petite amie, et voudrais-tu te séparer de moi?»

« Non, à la bibliothèque, j'ai lu un bouquin qui parlait de candaulisme. C'est le fait de partager son conjoint avec d'autres partenaires en restant passif. J'ai pensé à toi, à quel point tu es sexy, désirable. Puisque je pars souvent et longtemps, maintenant, j'aimerais que tu ais des relations sexuelles avec d'autres hommes.»

«C'est nouveau ça, je ne connais pas!»

«Pas du tout, maman chérie, le roi Candaule existait dans l'antiquité. Et je crois que j'aimerais beaucoup te voir dans les bras d'autres hommes, te pâmer sous leurs assauts virils!»

«Eh bien, mon cœur, le problème avec ça, c'est que je ne suis pas mariée! Et je n'ai pas d'amant, alors avec qui aurais-je des relations sexuelles?»

«Maman, je dois t'avouer un secret. J'ai montré tes photos à plusieurs gars, à l'université, et ils m'ont dit qu'ils te baiseraient volontiers, et que tu avais l'air salope!»

«Jason! Des photos de moi? Pas les photos de moi nue, que je t'ai envoyées?»

Souriant, Jason lui répondit en hochant la tête affirmativement.

«Jason! Tu m'avais juré de ne pas les montrer! Ah, non, je ne suis pas contente! Qu'est-ce que ces garçons vont penser de ta mère?»

«Non, maman, ils ne savent pas que tu es ma mère. Ces sont de vrais chiens, prêts à niquer toutes les femmes de la terre. Ils ont vus tes photos, me les ont volés, et ils ne veulent pas me les rendre.»

«Alors maintenant, il y a des photos de moi nue, qui circulent à l'université? Tu aurais dû être plus prudent, les gens ne comprennent pas ce que nous vivons ensemble, notre relation. Je suis ta mère, et j'exige plus de discrétion!»

«Calme-toi, je te l'ai dit, ils ne savent pas que tu es ma mère! Et les photos, je ne les ai pas données, ils les ont gardées! Je leur ai dit que tu es une actrice porno que je baise de temps en temps, mais ils ne m'ont pas cru!»

«Et tu penses que ces gars-là sont tes amis? Ils ne me semblent pas de très bons amis!»

Cindy a remarqué que cette conversation échauffait Jason et que sa bite recommençait à se tendre. Cette conversation la mettait mal à l'aise. Elle voulait changer de sujet de conversation et passer à autre chose. Elle s'est laissée glisser contre Jason, s'est penchée sur lui, et l'a prise en bouche pour le sucer fort!

"Oui, maman!" Jason posa ses deux mains sur la tête de Cindy, et il poussa dessus pour que toute sa bite disparaisse dans la bouche de sa mère. Cindy n'a pas eu besoin de le sucer longtemps, il était déjà bien excité, elle l'a senti se cambrer tandis que ses jets de foutre frappaient la gorge de sa mère.

«Oh putain, maman! Tu es tellement bonne! J'aimerais tellement te voir faire ça avec un autre gars!»

Cindy a bien reçu le message. Jason ne voulait pas changer de sujet de conversation. Elle savait qu'il ne renoncerait pas facilement. Il fallait purger l'abcès. Qu'il vide son sac!

«Jason, je ne sais pas d'où te vient cette idée! Et comment trouveras-tu d'autres hommes pour moi? Et que voudrais-tu que je fasse avec eux? Tu veux que je fasse la pute pour toi?»

«Maman, écoute mon idée. À l'université, nos logements sont divisés en maisons. Ma maison organise une fête. Nous cherchons, comme attraction, à engager une strip-teaseuse. Accepte ...!?»

«MOI! Une strip-teaseuse? T'es cinglé! Personne ne voudrait payer pour voir une vieille comme moi se déshabiller!»

«Maman, laisse-moi parler. Accepterais-tu, si je fais la demande, d'essayer d'obtenir le rôle, et ... et si tu l'obtiens, accepteras-tu de jouer le jeu?»

Cindy était confuse. Rendre Jason heureux, céder à tous ses caprices, elle en avait l'habitude. Mais là, c'était une folie. Et, pour la convaincre de lui céder, il enfilait deux doigts dans sa chatte. Il y avait urgence. Après tout, ils trouveraient sûrement une autre fille, plus jeune, plus jolie, plus sexy qu'elle. Elle n'aurait pas le rôle. Alors, elle a accepté.

"Oui, mon chéri! Tu sais bien que je ferai tout ce que tu voudras! S'ils m'acceptent comme gogo-girl, je le ferai! Mais il y a longtemps que je n'ai pas dansé. Tu devras m'entraîner. Et je ne sais pas quoi mettre. Tu devras m'aider, me conseiller. Est-ce que ça te rendras heureux de me présenter comme ta pute?»

«Maman, tu vaux beaucoup mieux que toutes les filles les plus sexy de la ville!»

«Et que se passera-t-il si je perds le contrôle et que tes amis profitent de moi?»

Instantanément, la bite de Jason a bondi. Sans perdre de temps, il s'est glissé dans la chatte de Cindy. Visiblement, cette idée lui plaisait bien!

«Maman, ce serait parfait si cela arrivait! Ils ne savent pas que tu es ma mère, donc j'adorerais les regarder te baiser! Et peut-être que je pourrais te baiser aussi!»

Cindy soupira d'aise en écartant ses jambes pour les enrouler autour de la taille de son fils. Elle devait absolument ralentir son rythme, l'obliger à la baiser plus calmement, plus voluptueusement, afin qu'elle parvienne à se soulager.

Mais Jason était tellement excité par l'idée qu'il ne se souciait pas des désirs de sa mère. Il poussait sa bite dans la chatte pleine de sperme. «Maman, tu es géniale!» criait Jason en se vidant aussi profondément qu'il le pouvait.

Cindy souriait. Sans l'admettre, une foule de jeunes hommes autour d'elle, lui prêtant de l'attention, ça l'émoustillait!

Plus tard dans la nuit, Jason dormait, alors Cindy s'est mise sur l'ordinateur et a cherché des mots-clé comme «candaulisme» puis «cocu». Elle a été surprise par la quantité d'informations, qu'elle a trouvé et en a retenu autant qu'elle le pouvait! Où était son fils dans tout ça? Voulait-il simplement la regarder danser?

Voulait-il plus? La voir baiser par tout ces jeunes hommes? Ou juste quelques-uns d'entre eux, puisqu'il semblait avoir des problèmes avec certains? Elle a finalement éteint l'ordinateur et elle est allée se coucher, passablement excitée.

Elle ne pouvait pas penser à autre chose, que de s'imaginer utilisée par des jeunes hommes fougueux. Elle était très mouillée en s'inventant des fantasmes de salope livrée au plaisir d'étalons puissants. Mais elle devait dormir, car elle savait que Jason, sitôt réveillé, demain matin, bondirait dans son lit et dans sa chatte.

Le lendemain, Jason travaillait sur l'ordinateur avant de retourner à l'université, quand il s'est tourné vers Cindy :

«Maman, j'ai besoin d'autres photos, bien meilleures, pour ton CV.»

Cindy était convaincue que c'était une perte de temps, mais elle accepta de se soumettre à son caprice. Dans le salon, déshabillée, avec des accessoires, elle prenait la pose suivant les indications de son fils. Un long moment, elle a obéi aux caprices de Jason, avant de décider qu'il avait assez de matière.

Une dernière formalité, à même le sol, jambes écartées, il l'a baisée sans ménagement, avant de lui faire prendre une dernière photo, écartant les lèvres de sa chatte, avec un filet de sperme qui s'écoulait.

Jason est ensuite retourné sur l'ordinateur, et il en est revenu plus tard avec un papier qu'il avait imprimé. C'était un CV pour le travail de strip-teaseuse! Copié sur internet, mais Cindy a été vraiment impressionnée. Elle ne croyait toujours pas possible que quiconque aimerait l'embaucher, mais le CV avait fière allure!

Plus tard, lorsque Jason est parti à la fac, cela a surpris Cindy qu'il n'ait même pas pensé à une baise rapide pour lui dire au revoir! Mais il l'a complimentée sur la façon dont elle était sexy, debout, nue sur le pas de la porte, avec le filet de sperme qui coulait de sa chatte!

Cindy ne pensait presque plus à cette drôle d'idée de Jason, lorsqu'elle a reçu un coup de fil de son fils, surexcité. On était mercredi, son CV avait plu, les gars voulaient qu'elle passe un entretien. Elle a répondu qu'elle ne pouvait pas s'absenter au travail, pas avant samedi, et Jason lui a dit qu'il organisait cela pour samedi.

En réalité, elle pensait : «Un entretien? Mon cul! Ils veulent me baiser gratis, et après ils diront non, merci!»

Mais son patron, de bonne humeur, pour une fois, lui a accordé son vendredi après-midi. Heureuse, elle s'est précipitée pour faire la surprise à son fils. Après un bain et un rasage soigné de ses parties intimes, elle a pensé qu'une jupe courte et un chemisier transparent feraient l'affaire. Pas de soutien-gorge, c'était son meilleur atout. Elle a longtemps hésité avec la culotte, la mettant, puis l'enlevant, pour finalement décider de s'en passer. Les talons complétaient la tenue en affinant sa silhouette.

Arrivée là-bas, il lui a fallu un certain temps pour trouver la maison car elle n'était jamais venue. Que ce soit par chance ou parce que Jason surveillait, c'est lui qui a ouvert la porte.

"Bonjour mademoiselle Cindy! Avez-vous fait bon voyage?» Demanda Jason.

Cindy a failli éclater de rire mais a réussi à se contenir.

«Oui, très bon, je suis ici pour un entretien de travail!»

«Par ici mademoiselle Cindy. Léon, es-tu disponible? Mademoiselle Cindy est arrivée».

Jason précéda Cindy jusqu'à une chambre au milieu du couloir.

«Oui, crétin, je suis ici, où voudrais-tu que je sois, connard! Elle devait venir demain, pas aujourd'hui!»

Il est sorti sur le pas de sa porte, pensant la foutre dehors, mais en la voyant si mignonne il s'est ravisé :

«Veuillez vous donner la peine d'entrer, mademoiselle Cindy.»

Et se tournant vers Jason :

«Dégage, avorton, je n'ai pas besoin de toi dans mes jambes!»

De toute évidence, c'était l'un des colocataires qui tourmentait son Jason. Elle avait la ferme intention de le mettre au pas. Mais quand Cindy entra dans la chambre, elle fut impressionnée. Léon était un grand jeune homme noir, bâti comme un athlète. Ses muscles gonflaient son tee-shirt. Les yeux de Cindy le scannaient de la tête aux pieds, elle détecta également un joli renflement dans son pantalon!

Elle a décidé qu'elle pourrait s'accommoder de cette situation, après tout!

«Bienvenue mademoiselle Cindy! Je dois dire que lorsque l'avorton nous a apporté votre CV, j'ai douté qu'il connaissait quelqu'un d'aussi sexy que vous! J'étais persuadé qu'il inventait! Mais, je dois reconnaître, vous êtes superbe! C'est tout ce que vous faites, juste du strip-tease?»

«En réalité, je suis plus une escorte qu'une strip-teaseuse, mais les temps sont durs, alors je fais ce qu'il faut pour faire rentrer de l'argent! Je peux me déshabiller et ... faire ce qu'il vous plaira!»

Cindy n'avait pas préparé cet entretien, c'est en parlant qu'elle jaugeait son interlocuteur, et c'est en voyant son œil égrillard qu'elle décida de bouger sur sa chaise, croisant et décroisant ses jambes, afin de permettre à sa jupe de remonter un peu plus plus haut sur ses cuisses.

Ce mouvement l'obligeait à ouvrir les jambes, en laissant à Léon l'opportunité d'apercevoir ses trésors! Léon n'avait pas spécialement préparé l'entretien, lui non plus, mais il aimait bien ce qu'il voyait, et il décida que, strip-teaseuse ou pas, il voulait baiser cette salope!

«OK, tout cela me paraît bien, mademoiselle Cindy. Entrons dans le vif du sujet un instant, voulez-vous? Vous avez dit que vous étiez prête à faire tout ce qu'il faudra. Cela inclut-il des relations sexuelles avec plusieurs membres de la fratrie, si nous vous le demandions? Et verriez-vous un problème à le faire en public?

Là, on entrait en terrain connu, et c'est ce que Jason avait prévu pour Cindy! Elle savait maintenant avec certitude que, ce dont elle se doutait depuis le début, qu'elle allait être baisée par ces jeunes taureaux, et son fils allait soit regarder, soit participer, et c'était ce qu'il voulait!

«Cela ne me poserait bien évidemment aucun problème, Monsieur ...?»

«Fantastique, je pense que vous serez très bien! Appelez-moi juste Léon. Pas de cérémonial entre nous, nous pouvons nous tutoyer. Soulève ta jupe, que je vois ta chatte rasée, petite pute!»

Cindy avait le boulot! Elle a écarté ses jambes pour que Léon, assis face à elle, puisse regarder hardiment sa chatte! Elle a posé sa main entre ses jambes, et elle a écarté les lèvres de sa chatte avec deux doigts.

Sa chatte s'est ouverte, comme une fleur carnivore, avec son autre main elle a glissé son index à l'intérieur, avant de le porter à sa bouche et d'en sucer le bout.

"Souhaitez-vous goûter la marchandise pour vous assurer de la qualité, avant d'officialiser?"

Léon s'est levé de sa chaise, comme mû par un ressort, avant qu'elle n'ait fini sa démonstration. Il ouvrit son pantalon et sortit une bite à demi-tendue qui grossissait rapidement. Il s'est approché de Cindy pour lui présenter l'objet.

Elle a attrapé cette bite pour l'apprécier. Sa petite main en faisait difficilement le tour. En plus d'être grande, elle était très épaisse. Elle se pencha sur la bite de Léon pour y déposer un baiser, du bout des lèvres.

Elle inspira et fut grisée par son parfum musqué. De la pointe de sa langue, elle a fait le tour du gland pour en apprécier la texture. Prenant sa bite dans sa bouche, elle commença à lui faire une pipe aussi savoureuse qu'elle pouvait en tenant compte de la taille de son sexe.

Cindy l'a sucé, et quand il a été dur comme du fer, elle a retiré sa bite de sa bouche, puis s'est levée de la chaise. Ensuite, elle s'est troussée, s'est retournée et, prenant appui sur le dossier de la chaise, s'est penchée pour présenter à Léon sa chatte par l'arrière.

Elle était si désirable qu'il l'a immédiatement pénétrée. Sa longue bite épaisse butait au fond de la chatte de Cindy! Jamais aucun de ses partenaires ne lui avait fait ressentir une telle sensation d'abondance! Sa chatte remplie, étirée, ses parois enserraient cette bite merveilleuse, et le va-et-vient que lui imprimait Léon affolait ses terminaisons nerveuses.

Elle gémissait sans discontinuer, éperdue de luxure, affolée par des sensations inconnues, alors même qu'il la baisait de plus en plus totalement. C'était tellement intense qu'elle s'offrait éperdument, réclamant sans pudeur à Léon de la prendre comme une chienne.

C'est en ouvrant les yeux qu'elle vit Jason, dans l'embrasure de la porte. Les yeux écarquillés, il regardait sa mère se faire baiser par son pire persécuteur en se frottant la bosse qui ornait le devant de son pantalon.

Elle grognait et tremblait sous l'orgasme, tandis que ses yeux roulaient dans ses orbites. Léon n'a pas ralenti son assaut, uniquement préoccupé par son plaisir, accroché aux hanches de la pute, concentré sur le rythme qui faisait claquer les chairs comme une douce musique à ses oreilles.

Il a juste continué à marteler sa grosse bite dans la chatte maintenant plus humide. Jason se tenait dans l'embrasure de la porte, incrédule, ravi de voir sa mère en pleine frénésie, et humilié que ce soit Léon qui en profite.

Sa mère était magistralement baisée par le seul gars de toute la maison qu'il exécrait. Léon, son tortionnaire, celui qui l'intimidait en se moquant de lui, qui l'humiliait quotidiennement, mais c'était aussi la baise la plus torride qu'il n'ait jamais vue. Sa mère se comportait comme une catin, se cambrait, offrait sa féminité en criant des supplications au gars qui la baisait si durement.

Jason s'est répandu dans son pantalon. Pas juste une simple giclée, mais il a continué à jouir et à jouir.

Puis il réalisa que Léon le regardait et il essaya de bouger, de se cacher, tandis que la tache humide sur le devant de son pantalon s'étendait sur toute l'entrejambe. Il était cocu, et la salope qui criait sous les coups de bite de Léon, c'était sa maman!