Le Co-Voiturage Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Elle me regardait faire rêveusement.

« Finalement, tu avais sans doute raison, je suis une dominatrice dans l'âme »

C'était étrange qu'elle me dise ça. J'étais nu, à genoux, les mains sur la tête, et je léchais les doigts avec lesquels elle venait de se masturber. Ça me semblait évident, tout comme il était évident que j'étais soumis, dans l'âme.

Retirant ses doigts, elle se leva et me dévisagea.

« Tu veux jouer avec moi? »

« Oui Madame »

« Ça risque de ne pas te plaire »

« Peu importe, seul votre plaisir compte »

Elle eut un sourire carnassier.

« Bien, habille-toi, nous sortons »

Elle me conduisit d'abord dans un centre commercial où nous fîmes les courses.

Puis, plus embarrassant pour moi, dans un magasin de lingerie où elle acheta guêpière, petite culotte, bas et autres soutiens-gorge. J'étais le seul homme dans le magasin et les femmes présentes me regardaient, surprises et apparemment aussi gênées que moi.

En passant à la caisse, la caissière me jeta un regard étonné. Je pense qu'elle devait me prendre pour le fils de Madame Leroy mais les articles qu'elle achetait n'avait rien d'anodin et elle se demandait ce que je faisais là.

Nous finîmes dans un Sex-shop. L'intégralité des clients étaient des hommes qui jetaient des regards salaces sur Madame Leroy. Celle-ci paraissant très à l'aise se présenta au comptoir.

Ce qu'elle dit à voix haute me terrassa.

« Je voudrais une cage de chasteté pour homme »

Le vieil indien, au comptoir, nous regarda d'un œil morne et nous conduisit au rayon des cages de chasteté.

Les autres clients avaient repris la lecture de leurs revues.

Le vendeur nous montra des cages en plastique ou en métal, faisant l'article avec un apparent détachement en lisant ce qui était écrit sur le blister.

Je sentais le regard curieux des hommes dirigé sur moi.

Madame Leroy choisit une cage en grillage d'acier, vendue pour pouvoir être portée 24 h par jour, 7 jours par semaine.

Je payais cet achat et nous quittâmes le Sex-shop.

Rentrés à la maison, elle exigea que je me mette nu, à nouveau. J'y étais maintenant presque accoutumé et ne discutais pas. Elle lut la notice de la cage et son prochain ordre me posa plus de problème.

« Va te raser »

« Quoi? »

« Tu te rases le pubis, les testicules et le haut des cuisses. »

Je n'étais pas très poilu sur le corps mais me raser le pubis me paraissait invraisemblable, pourtant, je me rendis dans la salle de bain.

C'est étrange comme les poils ont de l'importance. Je me trouvais nu, comme je ne l'avais pas été depuis la puberté et mon sexe, même au repos, paraissait énorme dans ce désert.

Je revins dans le salon, elle posa une menotte qui m'enserrait les testicules, puis glissa mon membre dans la cage grillagée et ferma le tout avec un petit cadenas de laiton.

C'était lourd et froid. Ça me tirait un peu sur les couilles mais c'était supportable.

En me laissant encager comme ça, j'avais conscience de me livrer pieds et poings liés à sa volonté. Ça me faisait peur et m'excitait tout à la fois.

Elle contemplait mon pénis enfermé dans son grillage d'acier. Au repos, il occupait environ les deux tiers du grillage courbe et je me doutais qu'il serait très pénible de bander là-dedans.

Elle regardait la clé avec une sorte d'étonnement. Je pense qu'elle n'avait pas envisagé l'évolution de la situation et qu'elle ne pensait pas vraiment que je me laisse faire.

« Comme ça, tu ne pourras plus te branler »

« Je vous avais promis que je ne le ferai pas Madame »

« Oui, mais c'était ta volonté, maintenant, c'est la mienne »

Elle rangea la clé dans son sac

« Je vais commander des Pizzas. »

________________________________________________

Je fus réveillé de bonne heure par un certain inconfort dans la verge. Je me levais en silence. La maison était endormie et le jour se levait à peine.

Je passais à la douche. J'avais vite compris qu'il n'était plus question de pisser debout et que je devais m'asseoir. Ce n'était pas un gros problème mais ça montrait que ma vie changeait. Heureusement, nous étions dimanche, le dernier jour du week-end et elle me libérerait bientôt. Plus que cela, l'excitation sexuelle que j'éprouvais depuis vendredi devenait gênante et j'avais envie de me masturber pour la faire décroître.

En me douchant, je repensais à ce week-end. J'avais enfin connu une femme. Certes, ce n'est ainsi que je l'avais imaginé, mais c'était un fait. Je n'avais pas vraiment fait l'amour, mais je l'avais sucé jusqu'à l'orgasme.

La cage était suffisamment aérée pour que je puisse me laver sans problème.

Madame m'avait demandé de lui porter son petit-déjeuner à 8 h. J'avais du temps devant moi et je descendis à la cuisine pour le préparer, comme elle me l'avait indiqué.

À huit heures précise, je frappais à la porte tout en tenant le plateau. Elle ne répondit pas tout de suite mais au deuxième ou au troisième essai, elle m'ordonna d'entrer.

Je pénétrais dans une chambre largement éclairée par une grande porte-fenêtre

Elle avait remonté ses oreillers et était adossée dessus.

Je m'arrêtais un instant, tétanisé par le spectacle. Elle était en chemise de nuit et sa poitrine transparaissait à travers la dentelle. On ne voyait pas tout, mais le peu qu'on voyait était très suggestif.

Me reprenant, je m'approchais et posais le plateau sur ses genoux, humant sa légère odeur indéfinissable. Une odeur de femme, de peau, de sommeil.

Je restais là, à la regarder se restaurer. Elle ne disait rien en mangeant et moi, je me régalais de ses formes voluptueuses.

J'avais envie de me jeter sur elle, non pas pour la baiser, mais pour l'adorer, l'honorer, la servir. Je me rendais compte que mes idées évoluaient et que je ne la voyais plus de la même façon. Je n'avais jamais fait l'amour, mais pas avec elle.

Ce n'était pas un problème de différence d'âge mais plus un problème de statut. J'étais son esclave, elle, ma Maîtresse.

Finalement, elle eut fini et posant le plateau sur la table de nuit, s'assit sur le bord du lit.

« Mets-moi mes mules »

Je me mis à genoux et pris une mule violette avec de la fourrure. J'allais la passer quand elle leva son pied et me le plaqua sur le visage. L'odeur était plus légère que quand elle était en chaussure, mais c'était la même odeur fauve et je sentis la douleur devenir plus vive dans ma cage.

« Embrasse mon pied avant de mettre ma mule »

J'embrassais la plante du pied, passant la langue entre ses orteils.

Elle reposa son pied et je lui enfilai son chausson.

Nous refîmes le même manège avec son autre pied et elle se leva.

« Va me faire couler mon bain »

Je passais dans la salle de bain attenante et commençai à remplir la baignoire, prenant garde à la température de l'eau. La baignoire pleine, j'éteins le robinet et allais appeler quand elle arriva.

Je restais sans voir en la voyant apparaître.

Elle était entièrement nue.

Je la regardais sidéré. Ses seins lourds aux aréoles roses fièrement dressées, son petit ventre rond, la fourche brune de sa toison d'où dépassaient les lèvres de son sexe.

C'était la première fois que je la voyais nue et je l'observais émerveillé.

Elle s'approcha et se pencha pour tâter l'eau. Je ne pus éviter de remarquer ses fesses amples. Satisfaite, elle se coula dans l'eau. Je regardais son corps avec saisissement.

Elle s'en aperçut et eut un sourire.

« Va me chercher mon sac dans la chambre »

Je passai dans la chambre comme un zombie et revins avec son sac. Elle fouilla un instant dedans et en sortit une clé dorée. Elle me demanda d'approcher, les mains dans le dos et, ouvrant le cadenas, enleva ma cage, ne me laissant que la menotte qui me serrait derrière les testicules.

Sitôt libre, mon sexe bondit devant mon ventre, maintenant en pleine érection. Elle m'observait presque sérieusement.

« Branle-toi mais ne jouis pas »

Hypnotisé par la situation, je saisis mon membre à pleine main, en contemplais son corps nu dans la baignoire.

Très vite, je fus contraint de ralentir le rythme pour ne pas exploser dans ma main.

« Tu as envie de jouir esclave? »

C'était la première fois qu'elle m'appelait comme ça et j'en ressentis comme une décharge électrique. Je ne pouvais répondre qu'une chose :

« Oui, Maîtresse »

« C'est bien, continue »

Ça devenait de plus en plus difficile et chaque geste m'amenait plus près de l'orgasme.

Soudain, elle se releva dans la baignoire et sortit de l'eau.

« Essuie-moi »

Lâchant mon sexe torturé, je saisis une serviette et la passais sur ce corps ruisselant. D'abord son dos, ses fesses, puis elle se retourna et je frottai avec dévotion, ses seins, son ventre, ses cuisses.

Satisfaite de mon travail, elle prit une sortie de bain et la passa. Puis elle fixa mon sexe toujours tendu.

« Je ne peux pas te remettre ta cage dans cet état, va te passer sous l'eau froide »

Je pris le robinet à douche et me passai de l'eau froide sur le membre. C'était très désagréable mais cela eut l'effet escompté et mon érection tomba.

Quand je me retournai, elle remit le grillage d'acier, ferma le cadenas et plaça la clé dans son sac.

J'étais à nouveau enfermé et avais plus envie de jouir que jamais.

Je nettoyais la baignoire quand elle revint. Elle avait eu le temps de s'habiller et de se maquiller légèrement. Je la regardais et ne pouvais enlever de ma mémoire l'image de son corps nu.

« Tu fais le ménage, c'est bien »

« Oui Maîtresse »

Je continuais l'espèce de jeu que nous avions instauré, elle la Maîtresse et moi l'esclave.

Elle me fixa étrangement et se détourna.

« Quand tu auras fini, tu feras le lit et descendras le plateau »

Faire le lit fut un doux supplice. Les draps, les oreillers portaient encore son odeur et je fus tenté de me jeter dedans pour les sentir. Je me retins mais m'apercevais qu'elle prenait de plus en plus de place dans ma tête.

Je descendis le plateau dans la cuisine. Elle était en grand désordre et, bien que rien ne me soit demandé, je la rangeais.

J'avais la sensation en faisant ainsi de servir Madame Leroy, et pour tout dire, ça ne me déplaisait pas.

Quand je revins dans le salon, elle pianotait sur son ordinateur.

Elle me considéra d'un œil sérieux.

« J'ai pris quelques renseignements. Tu savais qu'il y a des sites 'femdom'? »

« Euh...femdom? »

« Oui, des sites consacrés à la domination féminine »

« Non, je ne le savais pas »

« Ils disent que je devrais continuer à t'éduquer »

« M'éduquer? »

« Oui, faire de toi un meilleur esclave »

Je ne comprenais rien à ce qu'elle disait.

« Mais, Madame, je m'en vais ce soir »

« Nous verrons, c'est moi qui ai les clés »

Je compris le piège. Si elle ne me libérait pas, je resterai enfermé dans ce truc.

« Vous...vous ne pouvez pas faire ça »

« Qu'est-ce qui m'en empêche »

Je me rebellais contre ce qui arrivait et parlais d'une voix que je m'efforçais de garder calme.

« Écoutez Madame, nous avions passé un accord »

« Oui, mais depuis, tu as passé un week-end chez moi »

« C'est vous qui me l'avez demandé et les choses s'arrêtent là »

« Il ne fallait pas commencer, j'y ai pris goût »

Le plus compliqué, c'est que moi aussi j'y avais pris goût, mais je ne voulais pas le reconnaître.

Elle monta brusquement dans sa chambre, en revint avec son sac, en sortit la clé et me la tendit.

« Tiens, tu peux te libérer et partir, mais tu ne remets plus jamais les pieds ici, ou tu peux me rendre la clé et alors tu vas rester ici un bon moment »

Je regardais la clé dorée que je tournais dans ma main avec consternation.

Elle me faisait choisir ma vie, d'un côté, redevenir libre était tentant, de l'autre, il était intolérable de ne plus la voir.

Je lui rendis la clef

« Vous êtes ma Maîtresse Madame et je suis votre esclave »

Elle rangea la clef dans son sac.

« Va dire à tes amis que finalement, tu ne pourras pas venir »

La conversation fut agitée. Mes amis ne comprenaient pas pourquoi je me désistais au dernier moment. S'ils avaient pu me voir nu, avec une cage autour du sexe, ils auraient compris. Je leur expliquais que j'avais rencontré quelqu'un, et ce n'était pas faux.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Superbe histoire.

Comme toujours avec Omrouge.

Dommage que ce très bon auteur se fasse si rare sur ce site

AurailiensAurailiensil y a plus de 2 ans

Je dirais même très excitant...

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Très intéressant, ce soumis et cette domina qui découvrent leurs penchant...

Jusqu'où cela va t'il les amener ?

Vivement la suite

OlivX

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