Le Club - Partie 36

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Barbara arriva finalement au niveau du lit. Il tendit la main en direction de son fessier pour relever sa jupe et révéler ses fesses si fines. La jeune fille se mit à trembler indiquant qu'elle conservait une certaine retenue à ce contact mais elle ne se déroba pas à l'inverse de la première fois où il avait quasiment dû la prendre de force, pour son plus grand bonheur d'ailleurs. Elle fit mine de se redresser pour monter sur le lit mais il posa son pied sur ses côtes pour l'obliger à rester les quatre pattes sur le sol.

- La place des chiennes est par terre, indiqua-t-il en profitant totalement du goût de la vengeance.

Il se laissa alors glisser sur le sol pour s'agenouiller derrière elle et commença à se frotter contre ses fesses. Il la sentit qui répondait par réflexe à ses mouvements et se dit qu'elle était décidément bien conditionnée. Angel lui avait expliqué que maintenant que le père Bava était ruiné cette petite pute allait bientôt être vendue aux enchères au même titre que ses congénères et Barnes regretta de ne pas pouvoir se la payer. Il oublia cette contrariété en se plaquant encore plus à l'entrejambe de cette gamine devenue si docile. Barbara se mit à se dandiner en sentant la virilité du chauffeur se presser contre son antre d'amour désormais mise à nue. Son esprit totalement lobotomisé par les effets du programme de conditionnement et les multiples viols qu'elle avait déjà subis depuis qu'elle était « élève » de l'académie Bono l'avait transformée en une parfaite petite salope répondant immédiatement aux sollicitations sexuelles de tous les partenaires qu'on lui imposait. Barnes se pencha alors et tira alors sur le collier de chien que la jeune fille portait en permanence à l'instar de toutes ses camarades du dortoir pour l'inciter à se cambrer encore plus. Il se planta alors dans le vagin de cette superbe catin de 20 ans qui se plia sous l'effet de la pénétration. Barnes se déchaîna dans cet antre si jeune et si plaisant et il repensa à la morgue dont avait fait naguère fait preuve cette petite conne avant de détruire sa carrière précédente.

- Tu y repenseras toi aussi, lui glissa-t-il à l'oreille. Tu y repenseras quand les clients s'enchaineront entre tes cuisses dans le tripot où tu seras bientôt vendue.

Cette seule idée acheva de le conduire à l'extase et il jouit dans la capote qui recouvrait son pénis. Il s'écroula alors sur le dos de la jeune fille qui elle-même s'effondra sur le sol de la chambre, en sueur.

Ils reprenaient tous les deux leurs souffles quand des hurlements résonnèrent dans les couloirs. Barbara se recroquevilla comme un animal apeuré en entendant ces bruits qui n'annonçaient rien de bon alors que Barnes reconnut parfaitement celui qui hurlait le plus fort : Angel, son patron. Ses pensées se bousculèrent et il revit le dément qu'il avait conduit jusqu'à ce dortoir et son instinct de survie développé durant ses années passé dans les commandos russes lui dicta la conduite à mener. Il s'habilla en urgence et se dirigea vers la porte : le temps de prendre congé du service de David Angel venait de sonner. Barnes sortit dans le corridor du dortoir et jeta un coup d'œil en direction de la sortie principale avant d'évacuer immédiatement cette option : il devait éviter de croiser la route de Sanders qui ne manquerait pas de lui demander des comptes. Le chauffeur ne s'affola cependant pas parce qu'il savait qu'il existait un accès annexe réservé aux visiteurs qui voulaient rester discrets. Il se tourna dans la direction de cette pièce puis se ravisa pour reporter son regard vers la chambre où Barbara était toujours allongée en position fœtale sur le sol. Barnes savait que son avenir proche était assuré par les pots de vin que Guillaume Uron lui avait versé pour surveiller Angel mais il se dit alors qu'il pouvait bien se prendre un petit bonus supplémentaire. Il se pressa dans la chambre et attrapa la laisse posée sur la table de chevet du lit avant de l'attacher au collier de la jeune étudiante.

- Debout! Ordonna-t-il. Magne-toi salope! Tu viens avec moi!

Comme un robot, Barbara se redressa et Barnes tira sur la laisse pour la trainer derrière lui dans le corridor en se disant qu'elle lui tiendrait chaud le soir tout lui assurant un revenu régulier.

- Et oui, ma belle, ricana-t-il en courant dans le couloir. Quand tu m'as traité de ramasseur de poubelles, tu étais loin de t'imaginer que tu finirais par passer tes nuits à vendre ton cul pour mes beaux yeux.

CHAPITRE 4

Angel ne relâchait pas sa pression autour du cou de la pauvre Anita qui avait cessé ses dernières velléités de résistances depuis un bon moment. Elle pendait désormais totalement flasque sous la poigne du millionnaire qui semblait totalement envahi par l'instinct de mort.

A ce moment deux mains puissantes l'arrachèrent du sol et le propulsèrent loin du corps inconscient de sa victime. Surpris par cette intervention extérieure, Angel se releva le regard rouge de haine pour découvrir un visage qu'il ne connaissait que trop bien : celui que Lyle Smith. Et bien entendu, Kyle, son frère et âme damnée se tenait juste derrière.

- Mon Dieu, jura Kyle qui comme toujours était le seul à parler. David qu'est-ce qui te prend? Tu allais tuer cette fille?

Angel croyait rêver en décelant le reproche dans le ton qu'employait son interlocuteur. Certes il connaissait les frères Smith depuis des années et ne pouvait nier qu'il leur était redevable. Ils étaient ses informateurs depuis qu'il s'était lancé dans les affaires et leurs renseignements étaient devenus encore plus fins à son arrivée à Lilleland. C'était eux qui lui avaient permis de trouver la faille dans l'armure d'Antonin Marius qu'il avait remis au juge pour circonvenir l'arrogant commissaire, eux aussi qui avaient vu en Guillaume Uron l'allié si précieux qui lui avait ouvert toutes les portes du monde des affaires de Lilleland et c'étaient aussi eux qui lui avaient révélé le retour du « frère ». Pourtant cela ne leur permettait pas se penser égaux à lui.

- Et alors? Cracha-t-il comme un défi. Elle n'est rien et j'en fais ce que je veux!

- As-tu songé une seconde à ce que notre père allait en penser lui! Lui rétorqua Kyle toujours aussi réprobateur. C'est à lui que tu devais la ramener. N'oublies pas que tout ce que nous faisons, nous le faisons pour lui!

Lyle posa alors la main sur l'épaule de son frère pour lui indiquer qu'il venait de commettre une erreur, une erreur grave. Derrière eux, Laroquette ne comprenait rien à cette conversation. Depuis le moment où il avait reçu ce coup de téléphone en provenance d'un numéro de téléphone masqué et qu'il avait reconnu la voix de cet homme qui lui avait fourni le programme de conditionnement qui avait de lui l'homme puissant qu'il était, il ne contrôlait plus rien. Il avait fait entrer ces deux hommes qu'il n'avait vu qu'une fois et sous la protection d'une cagoule par la porte dérobée et les avaient conduit dans la chambre où Angel avaient rejoint Anita pour découvrir, stupéfait que le millionnaire était en train tout bonnement de tenter d'assassiner la jeune professeure. Visiblement, ces deux inconnus ne furent pas aussi surpris que lui : ils avaient craint que sa visite à l'académie ne dégénère suite à un événement auquel ils avaient assisté peu de temps auparavant. Ils voulaient empêcher au pire d'arriver et Laroquette fut soulagé de voir que quelqu'un décide d'intervenir tant Angel le terrorisait. Cependant les événements ne semblaient pas se calmer bien au contraire.

- Qu'as-tu dis? Demanda le millionnaire dont le visage était devenu d'un rouge pourpre.

- Rien, tenta de se rattraper Kyle qui recula d'un pas par réflexe pour se mettre sous la protection de son frère.

Dans la tête d'Angel, la tempête devenait ouragan. Les dernières paroles de Kyle semblaient confirmer celles prononcées par Serfati quelques heures auparavant et contredisaient la plupart de ses souvenirs. Il explosa littéralement et se prit la tête entre ses mains en hurlant. Lyle voulut le calmer en le prenant entre ses bras mais ce fut une erreur fatale. Angel le saisit par le cou et lui brisa la nuque avec une force dont il se serait cru incapable peu de temps auparavant. Emporté par sa rage, il projeta le corps sans vie contre le miroir qui se trouvait juste derrière lui le faisant exploser en milliers d'éclats. Kyle, voyant son frère ainsi assassiné, ne mit pas deux secondes pour réagir et bondit sur l'assassin qu'il considérait pourtant comme un frère et voulut l'étrangler mais il n'avait pas la force de son défunt frère. Angel le plaqua au sol et se mit à cogner sa tête contre le plancher en hurlant jusqu'à ce que son regard devienne vitreux. Angel continua cependant à cogner et cogner jusqu'à ce que sa victime ne cesse ses mouvements réflexes. Pourtant la rage meurtrière du millionnaire ne s'était pas encore apaisé, il releva la tête et vit Laroquette qui était resté immobile à observer cette scène horrifique. Ce dernier ne mit pas longtemps à comprendre qu'il était le prochain sur la liste et retrouva l'usage de ses membres pour s'enfuir. Angel ramassa alors un éclat de miroir et se lança à la poursuite de celui qui une demi-heure plus tôt se considérait encore comme son complice.

Angel lui barrant l'accès à son passage secret, le directeur dû prendre la fuite dans les corridors du dortoir de l'académie, conscient qu'une bête féroce lui collait aux basques. Ils voulaient appeler au secours mais il savait que les seules personnes présentes en ce moment étaient ses petites esclaves et qu'aucune d'entre elles ne feraient le poids contre Angel alors même qu'il venait de massacrer deux hommes dans la force de l'âge. Il espérait atteindre les escaliers pour ensuite rejoindre la cour principale et enfin la rue où il serait enfin en sécurité au milieu de la foule.

Malheureusement pour lui, tout cela ne fut qu'un beau rêve. Porté par l'adrénaline et par la différence d'âge, Angel le rattrapa au milieu du corridor et le fit tomber en le plaquant aux chevilles. Le vieillard lubrique qui, quelques heures auparavant, s'amusait encore à fouetter des jeunes filles à peine majeures, se retourna alors en tendant les mains en implorant mais Angel n'hésita pas une seconde en levant la main qui tenait l'éclat de verre et le planta d'un coup sec dans sa carotique. La force du coup fut telle que Laroquette mourut sur le coup sans avoir le temps de prononcer le moindre mot et des flots de sangs vinrent éclabousser son assassin.

Angel tourna alors le regard vers les différentes portes de ce corridor comme s'il était à la recherche d'une nouvelle victime mais des bruits en provenance des escaliers attirèrent son attention. Plusieurs personnes arrivaient en courant et contrairement aux autres personnes, ils venaient dans sa direction ce qui indiquait qu'ils n'avaient pas peur de lui. Il ne pouvait estimer ni leur nombre ni la qualité de leur armement alors qu'il était seul et sans arme. Il retrouva un semblant de raison pour comprendre qu'il était temps de fuir. Il se souvint de l'existence de la porte dérobée et se dirigea vers elle.

CHAPITRE 5

Thomas et Thierry escaladaient les marches des escaliers qui menaient au dortoir en courant. Ils avaient forcé la porte d'entrée de l'académie Oscar Bono sans se soucier d'aucune discrétion. Au début le garde en faction avait bien tenté de jouer les gros bras mais le poing que Thierry lui avait filé en pleine figure avait anéanti tout son courage. Ils se ruaient donc désormais en direction du dortoir et de la chambre d'Anita Fuentes car ils n'avaient aucun doute qu'ils y retrouveraient Angel.

En débouchant dans le corridor, Thomas manqua trébucher sur le cadavre de Laroquette et il s'arrêta pour constata la réalité du décès du directeur de l'académie Oscar Bono. Il se pencha sur le corps de cet homme qu'il avait connu alors qu'il était lui-même élève dans cette école. Un fragment de verre avait été enfoncé dans sa gorge et le masque de terreur qu'était devenu son visage indiquait que sa mort avait été tout sauf paisible. Thomas revit les images de l'orgie organisée dans la villa d'Angel peu de temps auparavant et il ne put ressentir de la compassion pour ce salopard en dépit des souffrances qu'il avait dû ressentir dans ses derniers instants.

- Thomas! Cria Thierry. Viens vite!

Thomas oublia immédiatement John Laroquette pour se diriger vers la chambre d'Anita Fuentes en redoutant ce qu'il allait y trouver et le choc fut terrible. Trois corps y reposaient. Thierry se trouvait prés de celui de celui d'Anita.

- Elle est...? Commença Thomas qui craignait la réponse.

- Vivante, le soulagea Thierry. Les traces sur son cou indique qu'on a voulu l'étrangler mais visiblement on n'est pas allé jusqu'au bout... mais de peu.

Le « on » ne pouvait être qu'Angel. Thomas reporta alors son attention sur les deux autres corps. Eux étaient visiblement bien morts.

- Tu les reconnais? Fit Thierry. Ce sont nos amis les fantômes : les frères Smith. Il semblerait que notre petite rencontre avec Angel ait porté ses fruits au-delà de nos espérances.

Comme pour confirmer les dires de Thierry une musique retentit dans la pièce et Thomas comprit qu'il s'agissait de la sonnerie d'un téléphone. Thomas fouilla dans la poche du pantalon du corps qui se trouvait juste à ses pieds et en sortit un petit portable à carte qu'il décrocha juste avant la dernière sonnerie.

- Kyle? Fit une voix qu'il identifia sans peine. Bon sang, que se passe-t-il? Vous ne m'avez pas fait votre rapport quotidien!

- J'ai bien peur que ton petit chien ne te fera plus jamais de rapport, Ryan. Ton cher Angel vient de l'envoyer outre tombe avec son frère. Ton plan est en train de dérailler. Le « club » est en train de s'autodétruire. Et j'espère pour toi que tu ne comptais faire d'Anita Fuentes une de tes veuves noires car elle est désormais sous ma protection.

- Thomas?

Ryan marqua un long moment de silence puis il réagit comme à son habitude, en prenant le contre-pied.

- Ce n'est plus très grave tout ça, ricana celui qui désormais se faisait appeler l'homme au masque. Le « club » peut bien disparaître, il a rempli son rôle à merveille : les notables sont tous détruits et Lilleland est au bord du chaos. Quant à Anita Fuentes, tant pis. J'aurais dû m'emparer d'elle voici plusieurs mois comme je l'avais prévu mais j'ai préféré changer mes plans et m'accaparer plutôt son amie Bethany Cater. Tu comprends : sa ressemblance avec Martina m'a fait perdre le fil de mes plans. Enfin tout cela n'a plus vraiment d'importance maintenant puisque je détiens l'originale.

- QUOI!?!

- Tu as bien compris. Comme l'autre fois, tu as échoué à protéger ta femme, Thomas. Martina est de nouveau entre mes mains sauf que cette fois, je vais disparaître avec elle et avec ma fortune, tu ne la retrouveras jamais. Tu passeras le restant de ton existence à vivre avec tous tes remords pendant que je ferais jouir ta femme de mille et une façons différentes.

- RYAN, JE VAIS TE TUER!!!

Mais déjà Ryan avait coupé la communication et les menaces de Thomas se répercutèrent dans le vide. De rage, Thomas projeta le téléphone contre l'un des murs de la chambre en hurlant.

- Thomas, fit Thierry en posant ses mains sur les épaules de son ami. Tu dois garder ton calme. Nous sommes à un moment critique et nous avons tous besoin de toi.

Mais Thomas se retourna en direction de son ami et l'expression qu'il lit dans son regard lui indiqua qu'il était déjà parti loin des préoccupations de Lilleland.

CHAPITRE 6

- Alors Morgan? Fit Marius au téléphone. Vous savez où se trouvent les documents que je veux?

- Oui, répondit le policier.

- Parfait. Où?

- Attendez! Ce n'est pas aussi simple. Ne me prenez pas pour un idiot. En ce moment même, vos hommes campent en bas de chez moi et je sais que dès que je vous aurais donné ce renseignement, je signerais mon arrêt de mort. Je veux que vos hommes déguerpissent et que vous ne laissiez partir. Ensuite seulement, je vous dirais ce que je sais.

- Alors là c'est vous qui me prenez pour un idiot. Rien ne me garantit que vos renseignements sont fiables.

- Alors je propose un compromis. Je vous conduis à l'endroit où les fichiers sont dissimulés mais vous et seulement vous. En échange, vous me fournissez suffisamment d'argent et les documents pour quitter le pays en toute sécurité. Je ne tiens pas à être en ville quand vous et les autres membres du Club allez régler vos petits comptes.

- Ca me va.

- Mais je le répète, vous et seulement vous et n'essayez pas de m'intimider. Je sais que ces fichiers sont ma dernière planche de salut et si jamais je disparais, je me suis arrangé pour qu'Angel soit informé de leur localisation.

CHAPITRE 7

L'enfer de Laura Blenon dans sa nouvelle existence ne connaissait pas de limite. Chaque jour, la jeune fille devait satisfaire des vieillards tous plus vieux les uns que les autres. Le plus horrible était qu'en dépit de leur âge avancé, ces hommes ne manquaient ni d'énergie ni d'imagination pour abuser d'elle. C'est ainsi qu'elle passait des heures allongées sur le dos ou sur le ventre, à quatre pattes ou même debout à se faire prendre dans les trois orifices dans toutes les pièces de cette immonde clinique. Pour tous, elle n'était rien, une moins que rien. Personne ne lui parlait sauf pour lui indiquer dans quel lieu elle devait se rendre pour se faire sauter. Chiappe n'était pas en reste et il ne se passait pas une journée sans que ce salaud ne la convoque dans son bureau pour se faire sucer avant de la sodomiser brutalement. Mais le pire arriva quand les employés se mêlèrent à la fête.

Un jour à midi alors qu'elle prenait son repas dans le minuscule réduit qui était devenu son seul refuge, trois aides-soignants forcèrent l'entrée. Elle se leva et les dévisagea : il s'agissait de trois hispaniques qui lui rappelèrent un peu les ouvriers du chantier qu'elle avait dû satisfaire du temps où elle était soubrette.

- Alors c'est toi, la salope, déclara l'un d'entre eux avec un accent très prononcé. C'est vrai que t'es bien roulée.

- Elle a le corps d'une pute, ajouta un autre.

- Vous n'avez rien à faire ici, osa-t-elle.

- Voilà que la pute ose rembarrer les honnêtes travailleurs maintenant, rétorqua le premier.

Sur cette déclaration, il la gifla et elle tomba sur ses fesses sous les rires des trois hommes.

- Une pute, c'est pas fait pour parler, reprit-il. C'est fait pour sucer.

Il baissa alors son pantalon et sortit son pénis qu'il lui présenta. Elle voulut tourner la tête mais il l'agrippa des deux côtés pour l'obliger à rester en place. Les deux autres l'entourèrent alors et elle se sentit menacée et comprit que sa seule échappatoire était de céder à leurs exigences et ouvrit la bouche pour commencer à sucer le pénis de cet inconnu. Rapidement les deux autres sortirent leurs sexes et elle se retrouva obligée de les contenter tous les trois. Ce supplice dura de longues minutes durant lesquelles, elle devait sucer alternativement chaque pénis pendant qu'elle masturbait les deux autres avec les mains. Finalement ils jouirent tous les trois, lui aspergeant tous le visage et la poitrine de leur sperme avant de partir en la couvrant d'insultes.

Elle se releva alors et partit se nettoyer au lavabo qu'on lui avait généreusement accordé avant de s'allonger pour pleurer car elle savait que cette horrible séance ne pouvait être qu'un début.

Et effectivement, les jours suivant virent d'autres employés la visiter et ses derniers moments de répit s'évaporèrent. Elle devait supporter les assauts des vieillards la journée et souvent même une bonne partie de la nuit et ceux d'employés masculins et parfois même féminins le reste du temps. Pour la jeune fille, c'en était trop et ses premières idées de suicide prirent naissance dans son esprit.

Elle profita de la totale indifférence des infirmières à son égard pour voler des antidépresseurs et s'enferma dans son cagibi afin de pouvoir les avaler en toute tranquillité. Elle s'allongea alors sur sa couchette et ferma les yeux... pour les rouvrir dans un endroit bien plus lumineux qui ressemblait à une chambre d'hôpital.