Le Club - Partie 36

Informations sur Récit
Marius tente un coup d'état.
9.6k mots
4.36
12.6k
0
Récit n'a pas de balises

Partie 36 de la série de 38 pièces

Actualisé 02/07/2022
Créé 08/15/2009
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe d'hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d'écraser toute la région sous leurs bottes et de soumettre de jeunes femmes innocentes à leur bon plaisir.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d'affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l'élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l'homme politique le plus influent de toute la région. C'est surtout le produit d'une éducation chrétienne stricte qui l'a frustrée pendant toute sa vie et dont il s'est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c'est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services. Il a décidé de diversifier ses affaires en achetant un bar plus que particulier où il fait travailler ses victimes.

Guillaume Uron, 29 ans, c'est un riche héritier aux tendances psychopathes. Il a participé à la ruine de Sabato Orso, l'un des hommes les plus puissants de la ville et s'est notamment emparé d'Excelsior, son hôtel de luxe. Il est aussi le propriétaire d'un bar à pute.

Jean Laroquette, 58 ans, directeur de l'école Oscar Bono, c'est le responsable de l'académie où sont scolarisés tous les enfants de la haute société de Lilleland mais aussi un pervers de la pire espèce.

Antonin Marius, 41 ans, commissaire de police, c'est le chef de la police de Lilleland qui cache un pourri de la pire espèce sous des allures d'homme intègre.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c'est la femme d'un notable reconnu qui s'est compromis dans de sales affaires d'escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d'Angel qui s'est emparé de tous ses biens et s'est installé chez elle, la transformant en esclave entraînant sa fille Laura, 18 ans, avec elle.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d'hébergement pour sans abri, victime d'un chantage de la part d'Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Jennifer Guillot, 19 ans, jeune marginale du centre. Angel provoque sa chute et la transforme en esclave afin de piéger Anne-Marie Leo, 25 ans, assistante sociale dans ce même centre.

Sandrine Forci, 40 ans, bourgeoise, voisine d'Angel, elle a eu le malheur de défier ce dernier qui s'est vengé en la contraignant de devenir son esclave pour éviter la ruine de sa famille.

Madeleine et Sarah Bonnet, 19 ans et 18 ans, lycéennes, manipulées toutes les deux par le juge avec l'aide d'un voyou nommé Jérôme (par la suite assassiné par le juge), elles sont désormais les esclaves sexuelles du vieillard lubrique.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Muriel et Sandra Guri, 20 ans, serveuses. Filles d'un homme d'affaire, elles doivent désormais se plier à la volonté de Diaz pour rembourser les dettes de son père.

Delphine Rugol, 27 ans, fonctionnaire. Elle a perdu une énorme somme d'argent en jouant avec Diaz qui désormais l'oblige à travailler dans son bar en extra et en profite pour abuser d'elle quand il le désire.

Caroline Georges, 32 ans, ingénieure et responsable de projet au conseil régional. Diaz a découvert qu'elle est en réalité un imposteur et il se sert de ce secret pour la faire chanter.

Harmony Vega, 22 ans, ancienne responsable d'accueil d'hôtel, Uron l'a jetée à la rue et contrainte à finir par travailler comme prostituée dans son bar pour survivre.

Angelica Rubicosa, 23 ans, superviseuse à l'hôtel Excelsior. Pour sauver sa situation, cette jeune femme a d'abord dû se vendre à Diaz avant de devenir l'esclave d'Uron.

Bella Cathy, 32 ans, Lieutenant -- colonel de l'armée. Uron a découvert un secret dans son passé et réussit à soumettre cette femme forte.

Sonia Ordoz, 20 ans, étudiante, fille d'un riche notable prise en train de tricher à un examen important, elle est devenue l'esclave de Laroquette pour ne pas être déshéritée par son père.

Anita Fuentes, 26 ans, professeure, réfugiée politique, Laroquette a réussi à compromettre ses chances d'obtenir un permis de séjour et désormais elle est obligée de se plier à sa volonté sous peine d'être expulsée dans son pays d'origine où elle est condamnée à mort par la dictature.

Morgane Bastier, 18 ans, lycéenne, Laroquette lui fait subir un lavage de cerveau pour en faire sa parfaite petite esclave.

Amanda-Jean Carpenter, 30 ans, policière interrégionale, victime d'un chantage de la part de Marius qui tient sa sœur Olivia, 22 ans, en otage qui l'oblige à se plier aux désirs de Diaz.

Anna Belknap, 28 ans, experte scientifique de la police de Lilleland, et Serena Southerlyn, 34 ans, procureure, Marius a découvert qu'elles avaient envoyés un innocent à la mort et se sert de ce secret pour abuser d'elles à chaque fois qu'il le désire.

Gwendoline Blouse, 18 ans, sans profession, Marine Ospins, assistante sociale, 24 ans, et Savannah Elliott, 26 ans, Médecin urgentiste, trois jeunes filles qui ont subi les foudres du « Club » en tentant de faire chanter Christine Veron.

LES ENNEMIS DU CLUBS :

Thierry Diomandé, 41 ans, détective privé, père d'Opale Opaline, victime décédée d'Angel, c'est aussi un ancien policier qui a connu une guerre larvée vieille de 10 ans.

Thomas Serfati, 40 ans, appelé aussi le « frère », considéré comme un anti-héros à Lilleland, il a naguère combattu son frère, l'ancien chef de la pègre de la région dans une lutte qui s'est terminé dans le sang. Aujourd'hui, il revient à Lilleland pour aider son ami Thierry à venger sa fille.

L'unité de traque des criminels dangereux, c'est l'équipe d'Amanda-Jean Carpenter composée notamment de William Fossett, Jason Pantkin, Emily Proctor, Shemar Morgan et Spencer Gubler. Ils ont décidé de sauver leur amie en se lançant dans une enquête illégale sur les exactions du « Club ».

CHAPITRE 1

Thierry conduisait sa camionnette dans les rues de Lilleland comme si sa vie en dépendait. Assis à ses côtés, Thomas ne faisait rien pour tempérer son camarade bien au contraire. Les deux hommes se sentaient envahis par le même sentiment d'urgence et rien au monde ne réussirait à la détourner de leur objectif : l'académie Oscar Bono et tout particulièrement l'une des jeunes femmes qui y était retenue prisonnière depuis des mois : Anita Fuentes. Thomas savait depuis peu que cette jeune professeure était la demi-sœur de son meilleur ami défunt Corentin mais il avait découvert bien pire. Les agents qui surveillaient l'académie Oscar Bono lui avait révélé qu'Angel avait forcé la porte de Laroquette quelques heures seulement après leur rencontre houleuse. Tout cela ne sentait pas bon et son instinct lui soufflait que cette jeune femme qu'il ne connaissait même pas courait un danger mortel.

- Pas question de revivre ça, répétait Thierry en accélérant encore.

Oui, ils ne connaissaient pas Anita Fuentes mais elle était du même sang que Corentin et cela signifiait que désormais ils la considéraient comme un membre de leur propre famille.

CHAPITRE 2

Marius détailla un instant ces trois jeunes filles nues et tremblantes et trouva ridicule de considérer qu'elles puissent constituer un danger quelconque. Après tant de mois passés à combler tous les fantasmes du juge, elles ne savaient plus qu'obéir aveuglément.

- Vous n'avez qu'à les emmenez avec vous! Proposa-t-il à Bogdan. Je suis sûr qu'Olivia appréciera d'avoir de l'assistance.

Les expressions de ses hommes s'illuminèrent comme celle d'enfants au moment de noël et déjà certains d'entre eux ne se gênaient pas pour peloter les pauvres jeunes filles sans défense.

- NON!!!! Hurla Sarah Bonnet qui avait compris que la décision du commissaire la destinait à un avenir de gang bang perpétuel.

Elle s'arracha de la poigne d'Hassan pour se jeter aux pieds de Marius.

- Par pitié! Supplia-t-elle. Gardez-moi avec vous! Vous ne trouverez pas meilleure esclave que moi.

Marius regarda cette jeune fille, presque une enfant, avec un œil amusé. Cependant, il ne pouvait nier que sa proposition la tentait. Contrairement au juge, il préférait de loin les femmes accomplies aux filles en fleurs mais cette Sarah possédait une plastique telle qu'elle ne pouvait qu'exciter n'importe quel homme. Il s'agenouilla alors pour se mettre à son niveau.

- J'ai déjà des esclaves, déclara-t-il. Elles sont très obéissantes et comblent tous mes désirs. Alors pourquoi est-ce que je te garderais alors que mes hommes ont tellement besoin d'amour?

- Parce que je peux vous donner beaucoup plus. Je suis très belle et j'ai énormément d'expérience dans l'art du sexe. Si vous me laissez faire, je vous donnerais bien plus de plaisir qu'elles.

- Et après? Si jamais? Je vous garde auprès de moi, toi et tes amies? Toutes les trois?

Par le ton de ses expressions, il lui montrait très explicitement qu'il ne ferait jamais une telle chose pour la tester et il ne fut pas déçu de sa réaction.

- Ce ne sont pas mes amies, répondit-elle, se désolidarisant ainsi même de sa propre sœur dans le seul but d'assurer sa seule survie.

Marius eut un rictus de satisfaction et se dit que cette petite chienne pouvait finalement constituer un divertissement intéressant. Il posa sa main droite sur son sein gauche et constata avec plaisir qu'il était aussi ferme qu'il en avait l'air. Elle ne montra aucun signe de rejet ; bien au contraire, elle vint se frotter contre lui dans le but d'augmenter l'intérêt qu'il lui portait.

- Tu aimes te donner du plaisir? Demanda-t-il.

- Oui, répondit-elle après un temps d'hésitation qui montrait bien qu'elle comprenait bien dans quelle voie elle s'engageait.

- Montre-moi comment tu fais. Masturbe-toi comme la petite salope que tu es.

Elle hésita encore une seconde puis s'humecta les doigts avec la langue avant de les plonger dans son antre d'amour. Elle commença à se titiller le clitoris avec majeur et l'annulaire puis les plongea dans son vagin.

- Ecarte les jambes! Ordonna Marius. Que nous voyons bien comment faisaient les chiennes de de Saint Servier pour s'exciter avant de se faire culbuter par cette antiquité.

Sarah ne monta aucune réaction devant ce flot d'insultes tant le désormais défunt juge l'avait habitué à ce genre de traitement. Elle écarta les cuisses et recommença son petit jeu masturbatoire sans se soucier du fait qu'elle s'exhibait totalement à la vue des hommes de Marius et le pire était que la jeune fille commençait même à se sentir envahie par une douce chaleur envoutante. Cela s'expliquait par le fait que depuis des mois, le juge n'avait eut de cesse de jouer avec le corps de la jeune fille, le rendant affreusement réactif à toutes ces caresses intimes et ce faisant il était capable de connaître les émois les plus honteux en dépit de dégoût persistant de Sarah pour les obscénités qu'elle devait endurer pour survivre. Ses doigts qui se promenaient sur ses parties intimes devinrent de plus en plus humides, preuve qu'elle produisait du liquide séminal, et elle se mit à se dandiner pour résister aux spasmes musculaires de l'orgasme qui la menaçait. Inconsciemment, elle ralentit le mouvement de ses masturbations.

- Ne t'arrête pas, salope! Lui ordonna Marius qui avait tout saisis. Je veux que le show soit total!

Les dents serrées, elle accéléra le rythme de ses caresses et le pire arriva : elle fut terrassée par un orgasme qui fut accueilli par des applaudissements et des quolibets de la part des policiers. Marius qui commençait à trouver ce petit jeu fascinant, s'approcha d'elle.

- Recommence! Dit-il tout en tripotant sa poitrine si jeune et si ferme. Et en même temps suce-moi! Ton petit jeu de pute m'a donné une trique d'enfer.

Il se releva pour mettre sa braguette au niveau du visage de cette jeune fille qui pourrait être sa fille et cette dernière n'attendit pas un nouvel ordre pour la dégrafer et en extraire son pénis déjà bien tendu. Elle commença sa fellation sans oublier de soigneusement recommencer ses caresses intimes. Marius baissa la tête pour voir sa nuque blonde aller et venir au niveau de son bassin et il commençait à sentir une chaleur agréable envahir son ventre, signe que cette petite connaissait effectivement son boulot. Sa langue se baladait habilement sur son sexe et elle se servait aussi de ses dents pour le mordiller légèrement et lui procurer des sensations qu'il ne connaissait pas encore. Il se sentait au bord de la jouissance mais il ne voulut venir aussi vite car il savait qu'il pouvait tirer encore beaucoup de cette petite salope. Il l'attrapa par les épaules pour l'obliger à se lever.

- Je suis sûr que tu aimes te la prendre dans le cul ma connasse, lança-t-il tout en connaissant la vérité.

Tous les membres du Club savaient que la cadette des sœurs Bonnet souffrait d'un véritable blocage concernant la sodomie. En dépit des multiples séances que le juge lui avaient fait subir, elle ne s'était jamais adaptée à cette pratique et son sphincter se contractait systématiquement. Il en résultait que son conduit anal conservait une étroitesse parfaite qui permettait à celui qui la sodomisait de ressentir en permanence l'illusion de pénétrer un orifice vierge pendant qu'elle-même vivait un enfer perpétuel.

Marius la fixa en attendant sa réponse. Il la sentait évidemment en proie au tourment mais de nouveau, elle prit la décision que son instinct de survie lui imposa.

- Oui, mentit-elle. J'adore me faire enculer! Si vous voulez, vous pouvez me prendre par derrière, vous verrez je suis encore très étroite, vous allez adorer.

- Je n'en doute pas.

Il la força à se retourner et à se pencher en avant. La vue de sa croupe majestueuse acheva de le convaincre et il plongea ses doigts dans son vagin inondé de cyprine. Elle se dandina sous l'effet de cette nouvelle stimulation dans son intimité et elle se mit à espérer qu'il décide de la prendre par cet orifice. Cependant, il se contenta d'imbiber ses doigts avant de plonger dans le sillon de ses fesses afin de lubrifier son anus qu'il savait si peu accueillant. Il évasa son œillet anal avec son doigts humide mais se lassa rapidement de ce petit jeu et présenta son gland tendu à l'entrée de son rectum. Il la sentit se crisper mais elle ne prononça pas la moindre parole. Quand il pressa contre son sphincter, il constata qu'effectivement il offrait une résistance anormale qui l'obligea à forcer bien plus qu'il n'aurait dû mais il ne s'en priva pas et pour la première fois elle se départit de son masque de plaisir pour se mettre à crier. Il pénétra doucement ce rectum serré, retrouvant ainsi les sensations qu'il vivait du temps où Savannah et Anna étaient pucelles de cet orifice et ne se soucia pas une seconde des supplications de sa jeune partenaire pour la posséder totalement.

- En avant ma belle, déclara-t-il. Nous allons bien nous amuser.

Il commença alors à la pistonner avec toute l'énergie dont il se sentait capable. Sarah se mit à hurler sous l'effet de la souffrance que cette intrusion provoquait dans ses intestins. Marius vivait une véritable extase et profitait intensément de ces moments sans se soucier du regard jaloux de ses hommes. Il agrippa Sarah par les hanches afin de lui dicter le rythme de la saillie. La croupe de la jeune fille allait et venait sur le sexe tendu du commissaire qui ressortait presque de son anus avant d'y replonger totalement. Chacun de ces mouvements de piston arrachait un nouvel hurlement à la pauvre victime et décuplait encore le plaisir de son violeur qui finit cependant par arriver à la jouissance en déversant sa semence dans son conduit anal en poussant un cri de victoire. Sarah se plia en deux et ferma les yeux pour supporter cette énième humiliation qu'elle devait accepter pour éviter un sort encore pire. Comblé, Marius se retira et la laissa s'effondrer sur le sol pour reprendre son souffle. Cependant, son répit fut de courte durée.

- C'était très bien, lui susurra le commissaire à l'oreille. Je n'avais plus connu de telles sensations depuis bien longtemps.

- Je peux vous offrir bien plus, souffla la jeune fille qui vendait chèrement sa peau.

- Malheureusement, ce ne sera pas suffisant.

Il l'attrapa par la hanche pour la soulever de terre et l'envoyer vers ses hommes qui retenaient toujours les deux autres esclaves entre leurs mains.

- Tenez! Annonça-t-il. Elle est toute à vous. Vous avez vu comme elle aime se faire enculer alors n'hésitez pas.

- NON!!!! Hurla Sarah en se débattant pour échapper aux griffes des sbires de Marius.

Malheureusement pour elle, elle n'avait pas la force de s'opposer à ces hommes qui l'emportèrent vers un nouvel univers d'horreur. Elle était incontestablement une esclave exceptionnelle mais malheureusement pour elle, Corentin Marius ne se fouillait pas les poubelles des autres.

CHAPITRE 3

Allongé nu sur le lit de l'une des chambres du dortoir de l'académie Oscar Bono, Jérémie Barnes retrouvait son calme après une après-midi si tendue.

- Tu te magnes, pétasse? Lança-t-il alors.

A l'autre bout de la chambre, Barbara Bava termina d'enfiler la robe en cuir noir extrêmement courte qu'il lui avait laissé lors de sa dernière visite. Le bas de la tenue moulait la jeune étudiante de telle façon que ses fesses galbées apparurent encore plus excitantes. Barbara se retourna, exposant un décolleté plongeant qui se refermait seulement 20 cm au dessus de son nombril. En dessous, elle portait un soutien gorge gris pigeonnant dont le but était bien plus de relever sa poitrine que de la dissimuler. Pour compléter encore le tableau, elle s'était maquillée de manière ostentatoire avec un rouge à lèvres très brillant et un fard à paupière mauve foncé. Dans cette tenue, la fille d'Alessandro Bava, ancien plus grand armateur de Lilleland, ressemblait bel et bien à la dernière des putes qu'elle était en train de devenir.

- Approche-toi! Ordonna Barnes.

Barbara fit un pas en direction du chauffeur de David Angel mais ce dernier grogna alors.

- Pas comme ça petite conne!

Barbara retint son souffle puis finit par se mettre à quatre pattes pour s'approcher de son lit en rampant. Barnes profita alors du spectacle de l'humiliation de cette petite bourgeoise en se souvint de leur première rencontre alors qu'il était le chef de la sécurité d'une grande galerie marchande dans les quartiers rénovés et heureux de l'être après des années d'errance. Il avait tout perdu le jour où il avait chopé une petit conne de 16 ans en train de voler des petites culottes au rayon lingerie. Pourtant, c'était cousu de fil blanc : la gamine avait prise la main dans le sac sous l'œil des caméras... sauf que la gamine en question s'appelait Barbara Bava, fille de notable et qui en plus de nier les faits, avait poussé l'audace jusqu'à l'accuser d'attouchements. Pour Barnes ce fut le début de la descente aux enfers, le grand patron, Jordan Uron ordonna son renvoi sans indemnités et il se retrouva aux portes de la prison. Tout ça parce qu'une petite salope avait eu envie de s'amuser en volant une culotte qu'elle pouvait se payer 100 000 fois. Heureusement pour Barnes sa route avait croisé celle de David Angel et les avocats de l'homme d'affaire avaient laminés ceux de Bava. En échange, Barnes lui avait servi de guide dans le petit monde de Lilleland et surtout il lui avait permis de rencontre Guillaume Uron avec lequel Il avait servi dans les spetsnaz. Bien sûr, Angel n'a jamais su que Barnes était aussi devenu l'agent double d'Uron. Ce fut grâce à lui qu'Uron avait découvert qu'Angel avait manipulé Blenon pour le conduire à la ruine avant de lui tirer personnellement une balle dans la tête et de l'enterrer dans l'arrière-cour de son propre jardin. Barnes resta au service d'Angel et en tira de grands bénéfices surtout quand il découvrit que Barbara Bava faisait partie des petites salopes de John Laroquette. A chacun de ses passages désormais, il en profitait pour « visiter » cette ancienne petite garce.