Le Club - Partie 35

BÊTA PUBLIQUE

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- C'est toi qui l'enfonce dans son cul ou elle qui l'enfonce dans le tien, choisis! Menaça Diaz pour la convaincre.

Marine qui depuis plusieurs semaines ne connaissait que sévices en tout genre et obéissance aveugle à celui qui était devenu son maître s'empara de la poire et s'approcha de son amie.

- Je t'en prie, fit Marine à l'intention de Savannah. Pardonne-moi.

Elle l'enfonça la poire dans l'anus du médecin qui cria devant cette nouvelle invasion contre-nature. Uron ne la violait jamais naturellement et en vérité depuis son premier viol, il n'avait abusé d'elle que rarement. Sa résistance à la douleur n'avait donc rien à voir avec celle des pensionnaires de la tour « au plaisirs » pour lesquelles chaque journée apportait son long de souffrance.

- Deux tours, ordonna Diaz.

Marina n'hésita qu'une seconde et tourna la vis de la poire qui s'ouvrit comme une fleur à l'intérieur des entrailles de Savannah qui se mit à hurler en se débattant. Les pointes en fer s'enfoncèrent dans ses chairs renforçant sa douleur.

- Au fait, fit Diaz à l'intention d'Uron. Si vous n'êtes pas venu pour profiter de ces belles salopes que voulez-vous?

- Vous avez voulu piéger Elodie, accusa Uron.

- Bien sûr, reconnut Diaz sans aucune honte. Elle est chez vous depuis bientôt trois mois et vous ne faisiez rien contre elle. Déjà, j'ai accepté de laisser intacte la petite poupée polonaise qui vous accompagne en permanence mais je ne peux tolérer que cela devienne une habitude. Vous connaissez la règle : toutes les femmes qui sont près de nous sont nos chiennes.

- Ce n'est pas une règle du Club.

- Mais c'est une des miennes! Encore un tour!

Marine fit tourner la poire et les hurlements de Savannah devinrent stridents. Elle se mit à supplier, à promettre d'avouer tout ce qu'ils voudraient et Diaz sourit en claquant des doigts. Amanda-Jean sortit d'un cachette et accourut à quatre pattes pour venir entre les jambes de l'hispanique pour commencer à le sucer avec toute l'énergie qui lui restait encore. Diaz la laissa œuvrer quelques instants avant de se tourner vers Muriel et de la pénétrer brutalement. La jeune fille se mit à ahaner sous les coups de boutoir brutaux de l'hispanique.

- Je n'ai que faire de vos règles, le défia Uron. N'essayez plus de vous approcher d'Elodie ou je vous détruis!

- Vous? Ricana Diaz. Pour cela, il faudrait avoir des couilles!

- Non, il suffit d'avoir des armes et la volonté de s'en servir. Je suis deux fois plus riche que vous maintenant que j'ai absorbé la moitié des actifs des notables de Lilleland dans nos petites affaires. Ou alors je peux me contenter de demander à notre amie Bella Cathy d'envoyer un de ses commandos ici. Vous pensez que vous feriez le poids contre des marines?

- Vous n'oseriez pas. Sans moi, vous n'êtes rien.

Uron sourit doucement.

- Décidemment vous ne comprendrez jamais rien et c'est peut-être mieux comme ça. Vous n'avez jamais percé les réelles intentions d'Angel. Cela dit moi-même, je serais resté dans le noir si je n'avais pas retrouvé le cadavre de Jérôme Blenon mais pour cela il fallait se poser des questions et vous êtes trop abruti pour envisager l'idée que l'on chercher à vous manipuler. Angel l'a fait, je l'ai fait et maintenant nous avons tout le deux ce que nous voulions : la destruction des notables. Je n'ai plus besoin de vous, je vous laisse à vos esclaves et à votre ignorance.

- Vous ne pouvez pas abandonner le Club, cria Diaz.

- Décidemment, vous ne comprenez rien! Répéta Uron. Il n'y a déjà plus de Club.

Il tourna alors le dos à Diaz et, en dépit des insultes et menaces de Diaz, quitta la tour « des plaisirs » pour la dernière fois.

CHAPITRE 11

Anita sursauta en voyant Angel pénétrer dans sa chambre. Laroquette avait cette mauvaise habitude mais les autres membres du « club » préféraient de loin les pensionnaires du dortoir, plus jeunes et surtout plus excitantes par leur nature de filles de notables. De plus, le regard que le millionnaire posa sur elle la pétrifia comme une biche devant un lion. Il s'approcha d'elle et tira brusquement sur le collier de chien qu'elle portait.

- Joli instrument, estima-t-il. Qui te rappelle où est ta place!

- Je porte toujours ce que le directeur m'ordonne de porter, répondit-elle consciente qu'elle devait se montrer aussi docile que possible pour assurer sa survie.

- Quand tu seras chez moi, tu apprécieras le code vestimentaire ainsi que le règlement.

Anita arrêta de respirer une seconde. Elle s'était rendu à plusieurs reprise chez ce monstre et avait rencontré les filles qui vivaient sous son joug : elles portaient constamment des bleus sur le corps et leur mine était encore plus détruite que celles des victimes des autres membres de groupes de salauds. Elle ne pouvait croire que le directeur l'ait vendue et elle pria pour que ce fut un nouveau jeu pervers. Elle décida de ne pas relever et de rester obéissante en tout point, de toute manière cela faisait longtemps qu'elle n'était plus rien d'autre qu'un fétu de paille allant au gré du vent.

Il oublia son collier pour descendre vers sa poitrine qu'il tata au travers de son tee-shirt. Il fronça les sourcils, surpris. Visiblement, il n'était pas au courant de l'opération esthétique qu'elle avait subi pour agrandir sa poitrine et combler les fantasmes de son tourmenteur. D'un geste du doigt, il lui intima de se retourner. Elle se plia à sa volonté et elle le sentit se plaquer contre son dos ; ses mains se frottant contre son bassin. Il massa ses fesses avec gourmandises et posa son menton au dessus de son épaule gauche.

- Voilà quelque chose qui n'a pas changé, fit-il satisfait. Enlève-moi ce pantalon!

Il n'attendait rien d'autre qu'une obéissance immédiate et l'obtint. Elle se pencha pour baisser son pantalon et révéler son string en dentelle noire qui excitait si efficacement le directeur quand il le voyait. Angel lui n'était pas fan de lingerie car il se plaqua contre elle et arracha ce bout de tissu qu'il jugeait inutile. Il la força à se pencher en avant et enfonça un doigt dans son anus pour lui évaser son œillet. Il se rendit compte qu'il avait une élasticité plus que satisfaisante.

- Je vois que ce petit est souvent visité, plaisanta-t-il. Cependant, tu vas voir, le diamètre du prochain visiteur est particulièrement remarquable.

Il la força à se retourner pour prendre son sexe en bouche, elle put alors constater par elle-même de la taille conséquente du sexe qu'il promettait à son anus et elle frissonna d'appréhension. Elle ferma les yeux et commença sa fellation qu'elle fit la plus baveuse possible en prévision de ce qu'il l'attendait. Angel ferma les yeux et profita du talent de la petite et quand il se jugea prêt, la retourna pour l'emmancher sans aucune préparation.

Pour Anita, le temps de l'appréhension était fini, celui de la souffrance était venu. Ce sexe immense se figea en elle comme une épée et elle eut l'impression de mourir. Elle s'accrocha à ce qu'elle pouvait pour supporter ce calvaire alors qu'Angel ne se souciait qu'une chose : ramoner le plus puissamment possible ce fessier si bien galbé. Il retrouvait une certaine sérénité et voyait déjà Anita vêtu de l'uniforme des soubrettes se faisant sodomiser par Amandine ou alors il imagina lui faire partager la chambre de Jennifer histoire de lui apprendre tout de suite les règles de la villa. Ainsi, il pourrait bien la faire souffrir et lui faire payer toute la souffrance que son frère lui avait subir. Son maudit frère... qu'il n'avait peut-être jamais connu.

Une nouvelle tempête s'empara de lui et les deux personnalités recommencèrent leur guerre. La rage devint telle qu'elle devait sortir à tout prix. Ses mains ses crispèrent avant de se serrer autour du cou d'Anita. Cette dernière sentit alors l'air commencer à lui manquer et elle essayer de s'échapper mais la poigne de son agresseur était trop puissante. Elle voulut le frapper mais dans sa position de levrette, elle n'avait aucune prise. Petit à petit, elle sentit la vie l'abandonner.

CHAPITRE 12

Danielle Ramos était une femme d'une quarantaine d'année à l'air sage et Thomas se dit qu'elle semblait surtout avoir vieilli un peu trop vite ; peut-être à la suite du décès de son époux. Elle était assise sur un canapé et semblait tellement perdue dans ses pensées qu'il toussa pour signaler sa présence. Elle le fixa surprise puis se leva pour le saluer.

- Enchanté, Madame Ramos, commença Thomas, je suis...,

- Je sais qui vous êtes, fit-elle. Je vous ai reconnu. Excusez-moi de vous déranger de cette façon. Je sais qu'un homme comme vous doit souvent être sollicité et c'est un honneur que vous ayez accepté de me rencontrer.

Thomas ne répondit rien mais il commençait à trouver tout cet enthousiasme autour de lui plus que gênant. Ces gens plaçaient visiblement en lui bien trop d'espoirs.

- Tout l'honneur est pour moi, assura-t-il. Je sais tout le bien que votre mari a fait pour la communauté hondurienne autant que pour les anciens de « la cour des miracles ».

- Oui et c'est justement pour cela que je suis là. J'ai bien peur d'avoir profondément trahi sa mémoire.

Thomas sentit l'émoi qui s'était emparé de la veuve et il lui indiqua de s'assoir avant de faire de même.

- Expliquez-moi donc, demanda-t-il.

- Voyez-vous mon mari était un homme bien mais c'est surtout un homme et comme tout homme, il avait ses failles. La principale de mon mari était qu'il aimait trop les autres femmes. Je le savais et je le tolérais, justement parce que pensais qu'il pouvait faire de grandes choses mais peu de temps avant sa mort j'ai découvert l'existence d'une femme avec laquelle il entretenait des relations plus profondes. Elle s'appelait Anita Fuentes et pour la première fois, j'ai eu peur de le perdre. Après sa mort, j'ai laissé parler ma colère et je me suis vengée en faisant de la vie de cette femme un enfer.

- Je comprends et vous avez des regrets maintenant.

- Vous n'avez pas idée à quel point. Le pire est que je me suis trompée sur la nature des relations qu'entretenait Jorge avec cette jeune femme. Voici peu de temps, j'ai fouillé dans les affaires de Jorge et j'ai trouvé des documents qui m'ont détruite. Si certains caractères se transmettent alors Jorge a hérité son amour des femmes de son père. Cet homme a durant toute sa vie multiplié les relations adultères avec toutes sortes de femmes et Jorge avait acquis la certitude qu'il avait engendré plusieurs enfants illégitimes. Il s'est ainsi lancé à la recherche de ces frères et sœurs inconnus.

- Et Anita Fuentes serait l'une d'entre elle?

- Exactement. Jorge avait réalisé une vraie enquête pour arriver à cette conclusion et finalement un test ADN avait confirmé sa supposition. Quand j'ai découvert ce fait, je me suis sentie affreusement coupable et j'ai voulu retrouver Anita Fuentes mais je me suis heurté à son employeur, un certain Laroquette. J'ai bien peur qu'il n'ait profité de sa faiblesse.

« Vous êtes clairvoyante, pensa Thomas qui ne savait que trop bien le triste sort d'Anita Fuentes, du moins sur ce coup. »

- Tout cela est affreux, reconnut-il à haute voix, mais je ne vois pas en quoi cela me concerne.

- Oui je sais, vous avez beaucoup de responsabilités désormais mais je pensais que vous pouviez m'aider compte tenu de ce que j'ai découvert. Après son exil du Honduras, Jorge n'a pas choisi Lilleland par hasard mais parce que son père y avait été ambassadeur pendant quelques années et qu'il y avait laissé un enfant qu'il espérait retrouver. J'ai retrouvé le nom de ce frère également ; Jorge ne m'en avait jamais parlé car malheureusement pour lui, il était mort peu de temps après leurs retrouvailles. Il est mort au cours de ce que vous appelez « la guerre des deux frères » et il était votre ami, Corentin Lopes.

Thomas s'adossa dans son fauteuil et il lui sembla entendre au loin le rire sordide de Ryan.

CHAPITRE 13

Le juge entra dans l'ascenseur de son immeuble encadré de deux hommes de l'unité de Giroud. Depuis la tentative d'assassinat, le juge ne sortait plus que sous la protection de cette garde prétorienne d'hommes qu'il payait une petite fortune. Deux autres hommes l'attendaient à l'entrée pour assurer la sécurité de son appartement et de ses petites chéries. Il savait que bientôt tout serait fini et qu'il serait le maître absolu de la ville mais en attendant, la prudence s'imposait.

La porte de l'ascenseur s'ouvrit et le juge l'un des deux gardes sortit bientôt suivit du juge. Le juge arriva donc chez lui sans problème et ouvrit sa porte... pour être happé à l'intérieur par deux mains puissantes sans qu'aucun de ses protecteurs ne réagisse.

A l'intérieur, il se retrouva en face de Marius et de ses hommes et il comprit qu'il venait de tomber dans le plus affreux des pièges. Les propres hommes de Giroud l'avaient trahi et jeté dans la gueule du loup. On le jeta sur un des divans où il avait tant de fois violé ses jeunes victimes et le commissaire vint le défier du regard. Quand il voulut se lever, il reçut un coup de poing monumental qui le fit retomber tout de suite.

- Quel gâchis, souffla Marius. Regardez-vous! Vous m'obligez à une extrémité bien désagréable.

- Cessez de vous moquer de moi! Cracha le juge. Nous savons tout le deux que c'est ce que vous voulez depuis le début et que ce n'est pas la première fois que vous tentez de m'assassiner.

- Pensez ce que vous voulez, ça n'a plus la moindre espèce d'importance. Tout est fini pour vous.

- Je sais mais c'est aussi fini pour vous!

- Si vous faîtes allusion à votre pathétique plan pour nous dénoncer à la police interrégionale, C'est déjà du passé, vous oubliez que le bureau du procureur doit avaliser ce genre d'opération et que le bureau du procureur c'est moi depuis que Serena Sutherlyn est ma chose. Et ne comptez plus sur vos célèbres dossiers pour m'intimider, je sais où vous les cachez.

- Morgan, souffla le juge.

- Je vois que vous redevenez clairvoyant. Mais c'est trop tard.

Le juge comprit qu'il était totalement piégé et que Marius se contentait de faire durer le plaisir pour se venger au maximum des humiliations qu'il avait connu par le passé. Son orgueil refusa de rester dans ce rôle de victime expiatoire et il bondit sur le commissaire. Les deux hommes churent sur le sol et Marius se cogna la tête. Le juge profita de l'état de son adversaire pour tenter de quitter l'appartement. Etrangement aucun des hommes de Marius ne réagit alors que le vieillard s'approchait de la porte et ce dernier posa la main sur la poignée d'entrée. A ce moment une détonation résonna et le juge se figea en constatant que la porte venait de se colorer d'un rouge vif. Il posa la main sur le trou béant qui venait de s'ouvrir dans son ventre et il eut à peine la force de se retourner pour voir Marius brandissant son arme encore fumante. Il voulut ouvrir la bouche pour parler mais une nouvelle détonation lui interdit de lancer sa dernière déclaration.

Marius considéra le corps agonisant de vieillard qui lui avait causé tant de désagréments et il goûta au plaisir de sa victoire. Il savait que plus rien ne pouvait plus s'opposer à sa victoire. Morgan, prisonnier dans sa propre maison, ne pouvait se permettre de jouer au plus fin et allait le conduire aux dossiers qui feraient de lui le maître du Club.

- Et maintenant, chef? Demanda Bogdan.

- Vous nettoyez tout! Ordonna Marius. Qu'il ne reste plus rien de ce cafard!

- Et qu'est-ce qu'on fait d'elles?

Marius se tourna vers les trois jeunes filles d'à peine 20 ans que le juge retenait prisonnières depuis plus d'un an pour certaines. Il pouvait sentir l'excitation de ses hommes en présence de ces trois corps nus et juvéniles et il se demanda vraiment s'il devait laisser ces témoins vivants.

CHAPITRE 14

Fossett entra dans la chambre de Pantkin, surprenant ce dernier en pleine lecture d'un traité de psychologie. Le numéro 2 de l'unité de TCD comprit tout de suite que des événements graves venaient de se dérouler.

- Où est Serfati? S'inquiéta son supérieur.

- Parti. Il avait une affaire urgente à régler. Un problème?

- Plutôt. Morgan vient de m'envoyer un message codé. Marius a intercepté les dossiers de transfert et est parti en guerre. Il est plus que probable que le juge ne passera pas la nuit. Pire, il a placé Morgan et Emily sous la surveillance de ses hommes et il ne fait aucun doute qu'il compte les éliminer dans un avenir proche.

- Tu regrettes ta décision?

- Comme on fait son lit, on se couche. J'assumerais les conséquences de mes actes.

Pantkin ne prit pas la peine de répéter les paroles de Thomas, il savait qu'elles résonnaient déjà dans l'esprit de Fossett comme autant de mauvaises augures. Ils avaient décidé de jouer un jeu très dangereux pour faire tomber les membres du « club » et désormais plusieurs membres de leurs unités risquaient de perdre leur vie. Si jamais le pire arrivait ni l'un ni l'autre ne s'en remettrait.

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