Le Club - Partie 31

BÊTA PUBLIQUE

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Satisfait du déroulement de son petit spectacle, Laroquette se leva et ramassa la paire de menottes pour la donner à Sonia. Sans attendre l'étudiante saisit les mains de la lycéenne pour les attacher avec : Carla-Magdalena était désormais prisonnière, totalement vulnérable à tout ce que le directeur déciderait de lui faire subir et ce n'était pas les idées qui lui manquaient.

CHAPITRE 9

- Vous avez quoi?!? S'étouffa Marius.

- J'ai éliminé toute l'unité de Traque des Criminels Dangereux, répéta Morgan qui semblait lassé de la réaction du commissaire.

Le commissaire serra les poings et s'approcha du policier dans l'intention de le frapper mais ce dernier fit un pas dans sa direction pour bien lui indiquer qu'il ne se laisserait pas faire. Morgan était une véritable montagne de muscles entraînée et il devait être plus jeune d'une bonne quinzaine d'années.

- Ce n'était pas ce qui était prévu, fit le commissaire préférant finalement une bonne discussion à l'affrontement physique.

- Rien ne s'est passé comme prévu là-bas, précisa Morgan. Comme je vous ai dit, je sentais que les autres avaient des doutes et je ne me trompais pas. Quand je suis rentré après ma petite soirée chez Angel, j'ai été convoqué par Fossett. Cet idiot de Pantkin lui avait remis un rapport affirmant que j'étais devenu instable et déviant. Il recommandait de me démettre immédiatement de mes fonctions.

Le visage de Morgan se décomposa alors sous l'effet de la rage.

- ME DEMETTRE DE MES FONCTIONS!!!! MOI!!!! Ils sont allés trop loin, une fois de trop et ils l'ont payé pour cette fois et toutes les autres fois où ils m'ont humilié en me prenant de haut avec tous leurs diplômes universitaires.

Marius dévisagea Morgan, comprenant trop bien sa réaction. Il avait détesté Fossett et ses manières d'homme trop instruit dès sa première rencontre et il ne pouvait s'empêcher de penser que l'animosité de ce dernier envers lui ne venait que du fait qu'il l'avait toujours considéré comme un inculte indigne des fonctions qu'il occupait. Cependant, son instinct flairait le piège dans tous ces imprévus.

- Je n'ai aucune preuve de ce que vous affirmez, soupçonna-t-il.

- Je pensais bien que vous auriez des doutes. Je peux les éteindre sans problème.

Il sortit alors un DVD de sa poche et le tendit en direction de Marius qui le fixa, l'air dubitatif.

- Le hangar était sous surveillance vidéo et voici l'enregistrement de la mort de Fossett et de ses grosses têtes.

- Vous les avez vraiment tous tué? S'étonna Marius. Tout seul?

- Je vous rappelle que ce n'était que des gratte-papiers. Ils ne connaissaient le terrain que par procuration pour la plupart. Ils ont bien tenté de résister mais ils ne faisaient pas le poids.

- Même Diomandé et Serfati?

Pour la première fois, Morgan parut un peu gêné.

- Ils n'étaient pas présents.

- Pardon?

- Je ne comprends pas où ils étaient. Serfati avaient annoncé son retour et une réunion était prévu dans la soirée. Ils auraient dû être là. Mais de toute manière, ils sont seuls désormais et ne peuvent plus grand-chose.

- Sans blague! Et ce petit spectacle pyrotechnique?

- C'est le seul moyen que j'ai trouvé pour effacer toutes les preuves mais rassurez-vous les corps seront identifiables, y compris celui d'Hugo Galliano.

- Hugo est mort?

- Je tiens toujours mes promesses. Toutes mes promesses!

Il leur fit signe de le suivre pour contourner sa voiture. Une fois arrivé à l'arrière, il ouvrit son coffre pour révéler la présence du corps d'une jeune femme ligotée et bâillonnée.

- Comme promis, je vous livre Emily Proctor pieds et poings liés, triompha Morgan.

CHAPITRE 10

Laroquette se posta derrière les deux jeunes filles. Sonia demeurait toujours sur le dos de Carla-Magdalena désormais menottée et incapable de s'enfuir.

- Je veux voir ses fesses, ordonna-t-il.

Sonia pivota sur elle-même et considéra la robe blanche que Carla-Magdalena portait à ce moment-là. Elle se rendit compte qu'elle ne portait plus ce genre de petite robe innocente depuis bien longtemps. Elle ne pouvait plus que s'habiller comme le désirait le salaud qui l'avait soumise et qui ne désirait que la voir vêtue comme la dernière des putes.

- Je t'ai donné un ordre, Sonia! S'impatienta Laroquette.

Sonia ne prit pas le risque de provoquer la colère de cet homme qui avait déjà eu recours à des sévices corporels à son encontre pour punir son manque d'obéissance. Elle souleva donc la robe de Carla-Magdalena dévoilant une culotte blanche. La lycéenne se mit à s'agiter. Laroquette lui tendit alors un battoir en bois de chêne.

- Rappelle la règle à cette impertinente, ordonna-t-il. 5 coups de battoirs!

Sonia hésita une seconde mais elle lut dans le regard de Laroquette que l'une ou l'autre serait battue quoi qu'il arrive et elle se dit qu'il valait bien mieux que ce soit Carla-Magdalena qu'elle. Elle leva le battoir et... TAP!!! Carla-Magdalena hurla. TAP!!! Les cris redoublèrent. TAP!!! TAP!!!

Au quatrième, Laroquette fit signe à Sonia de suspendre son geste. Il se leva se pencha vers la jeune fille qui pleurait désormais.

- Les règles était fixées, annonça-t-il dans un élan impressionnant de mauvaise foi. La perdante du combat devait tout céder! Compris?

Il fit un geste et ...TAP!!! De nouveaux cris de Carla-Magdalena accompagnèrent ce dernier coup.

- Compris?

- Oui.

- Oui, qui?

- Oui, monsieur le directeur.

Laroquette touchait au but, il se tourna vers Sonia et hocha la tête. La jeune femme baissa la culotte de Carla-Magdalena révélant une superbe paire de petites fesses rondes et désormais bien rouges. La lycéenne n'avait pas réagi au fait de se retrouver cul-nu ce qui montrait qu'elle commençait à accepter son nouveau statut d'esclave. Sonia la poussa à écarter les jambes et son anus apparut tel un œillet bien rond. Il l'apprécia en connaisseur désormais mais il s'intéressa surtout à son antre d'amour.

- Enlève-moi cette robe! Ordonna-t-il.

Sonia déchira la robe de Carla-Magdalena et Laroquette fit le tour pour s'approcher de cette jolie petite croupe juvénile qui le faisait rêver depuis tant de mois. Il glissa la main sous son ventre pour commencer à lui titiller le clitoris et presque inconsciemment, elle souleva le ventre. Sonia recula un peu pour faciliter ce mouvement. Désormais, les lèvres intimes de Carla-Magdalena étaient totalement exposées et Laroquette était excité comme un chien en rut. Il sortit son pénis et le présenta à l'entrée de son vagin mais ce contact réveilla la résistance de la jeune fille. Elle tenta de se dérober mais Sonia la retint de toute son énergie. Laroquette profita de l'assistance de son esclave pour pénétrer la jeune lycéenne. Il était tellement excité qu'il l'empala en deux coups de reins la faisant crier autant de douleur que de surprise. Elle n'était plus vierge mais visiblement son expérience du coït restait très mince et il s'en félicitait. Elle était bel et bien comme une jument sauvage à débourrer. Il l'agrippa au niveau des hanches et commença doucement son mouvement de va et vient. La jeune fille tentait toujours de se libérer de l'étreinte du directeur et de Sonia mais avec son épaule blessée, ses menottes et son manque de force, elle n'avait aucune chance d'y arriver et Laroquette trouvait dans cette vaine résistance une source de plaisir supplémentaire. Il accéléra doucement le rythme de son pilonnage et se dit que décidemment il adorait l'impression d'étroitesse que conféraient ces vagins juvéniles si différents de ceux des prostituées dont il devait se contenter naguère. Il s'allongea sur le dos de Carla-Magdalena, repoussant Sonia, et pesait désormais de tout son poids sur elle. Il glissa ses mains sous son ventre afin de remonter son sweat-shirt pour libérer sa jeune poitrine. Il s'amusa à titiller ses petits seins en forme de poire. Il la sentit gigoter de plus en plus et toujours aussi vainement.

- Je sens que tu aimes, déclara-t-il. Je vais venir en toi et tu vas adorer cette sensation!

- NON!!! Cria Carla-Magdalena. PAS CA!!!! ARRETEZ SALAUD!!!!

Laroquette se retira alors et jouit sur le dos de la jeune fille afin de ne pas prendre le risque de la mettre enceinte. Il claqua des doigts et Sonia arriva pour venir nettoyer son pénis avec sa langue. Pendant que la jeune fille léchait sa queue, il se tourna vers Carla-Magdalena qui restait cambrée sur le ventre en pleurant.

- Je te la confie, ordonna-t-il à Sonia. Tu as jusqu'à la fin du stage pour la dresser définitivement. Je veux qu'avant le dernier jour du stage, elle vienne me voir en tendant le cul sinon je te jure que je t'envoie passer tout le restant de l'année au « chat brulant ».

Il sentit Sonia se crisper devant cette menace. Il se priva bien de lui préciser que c'était le sort qui lui était destiné dès qu'ils auraient fini de ruiner son père grâce aux informations qu'elle allait leur fourni après son retour de vacances. Sonia Ordoz, fille de l'un des plus grand notables de la ville, allait bientôt finir prostituée de bas étage.

CHAPITRE 11

Thomas observait de loin l'immense flamme qui s'élevait au dessus du hangar 17. Il se dit qu'il s'agissait de la fin d'une époque.

- Voilà qui change tout, estima Thierry. Qu'allons-nous faire maintenant?

- Passer au plan B, répondit Thomas. Et si le sang doit couler, je n'en serais pas responsable.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 14 ans
le club 31

j'attend la suite avecc une impatience grandissante.

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