Le Club - Partie 28

La colonel sursauta à peine en sentant les mains du lieutenant de police lui écarter les cuisses. Il fallait dire que depuis le moment où elle était entrée dans cette grande pièce située au dessus de la salle d'un bar dont elle ignorait jusqu'à l'existence jusqu'alors, elle était devenue le jouet sexuel des hommes d'Antonin Marius. Ils l'avaient déposée sur ce grand canapé encore inconsciente et elle n'avait commencé à émerger que quand ils avaient commencé à la déshabiller pour ne lui laisser que sa chemise militaire sur laquelle ses galons d'officier étaient visibles. Elle n'avait cependant retrouvé tous ses esprits que quand le premier de ces chiens s'était allongés sur elle pour la prendre sans ménagement et depuis cet instant, ils s'étaient succédés dans son vagin et sa bouche.

Consciente que ce traitement constituait sa punition pour avoir laisser fuir Constanta Molanta, elle se contentait de subir les assauts de ces salopards avinés qui ne se privaient pas de la couvrir de propos injurieux.

Hassan Mekloufi se plaça donc entre ses jambes écartées et son sexe en érection écarta ses lèvres sans aucun problème tant sa cavité d'amour avait été rendu accueillante par les multiples pénétrations qu'elle avait dû subir. Bella serra les dents et ferma les yeux devant ce nouveau viol et l'arabe s'affala sur son corps sculptural écartant les pans de sa chemise pour lui mordre les tétons. Bella ne put retenir un petit cri devant cette nouvelle agression provoquant les rires de tous les hommes présents. Avec le temps, Bella avait pu estimer leur nombre à 7 qui se relayaient en permanence pour abuser de son corps sous le regard amusé des autres. Une autre personne était présente pour assister à la nouvelle déchéance de celle qui semblait destinée à devenir le nouveau commandant en chef de la base militaire de Lilleland. Il s'agissait d'une jeune fille blonde d'une vingtaine d'année dont le sort ne semblait pas plus enviable que celui de Bella. Elle était totalement nue et portait un collier en métal auquel était reliée une chaîne qui se fixait sur le sol et l'obligeait à rester à quatre pattes. Depuis le début du supplice de Bella, ses tortionnaires se servaient de cette jeune fille comme d'un aphrodisiaque. Cette autre victime dont le teint pâle indiquait qu'elle était retenue prisonnière en ce lieu depuis des semaines suçait docilement tous les sexes mâles qu'on lui présentait afin de leur redonner de la vigueur juste après qu'ils n'aient juté dans ou sur le corps de Bella. En ce moment même, elle soulageait un grand asiatique chauve qui venait de souiller le visage de la colonèle. Ce dernier ne semblait pas rassasié car déjà il était repris d'une par une solide érection.

- C'est super Olivia! Suffoqua l'asiatique. Décidemment, tu es vraiment devenue la meilleure pute pipeuse de cette ville. Si tu continue comme ça, je vais te remplir la gorge comme la dernière fois, ma petite salope. Dis-moi Hassan, tu compte en avoir fini bientôt?

- Patience Ming, rétorqua Hassan, laisse moi profiter de cette superbe pétasse.

Pour illustrer son propos, il mordit de nouveau le téton droit de Bella lui arrachant un nouveau cri. Ming ne sembla pas satisfait par la réponse de son complice car il se redressa, repoussant brutalement Olivia pour se diriger vers le couple d'un pas décidé.

- Je n'ai pas envie d'attendre, cria-t-il. Et ces poupées sont multiprises à ce que je sais.

Un sourire mauvais se dessina sur le visage de l'arabe qui s'empara des épaules de Bella pour l'entraîner dans un étrange roulé-boulé. Les rôles se retrouvèrent inversés et la militaire se retrouva au dessus du policier qui abandonna la torture de sa poitrine pour venir lui titiller l'anus avec l'annulaire droit. Bella comprit alors le but de toute cette manœuvre et retrouva l'embryon d'une rébellion mais malheureusement, elle était tellement épuisée par les sévices qu'elle avait subis qu'elle ne trouva pas la force de s'arracher de l'étreinte d'Hassan et Ming put se placer dans son dos sans aucune difficulté.

- Tu peux y aller Ming, lança Hassan en ricanant, son petit anneau est assez élastique, je suis sûr qu'elle s'est déjà faite défoncée le cul plus d'une fois.

Hassan avait parfaitement raison, le désormais défunt Iorta ne s'était pas privé du plaisir de la sodomiser à de multiples reprises mais jamais elle n'avait subi l'horreur d'une double pénétration. Ainsi, quand Ming glissa son sexe entre ses fesses, elle ne put s'empêcher de fermer les yeux d'appréhension. La pénétration proprement dite fut une horreur totale tant la pression déjà exercée par le sexe d'Hassan dans son vagin amplifia celle du chinois dans son anus. La sodomie s'avéra douloureuse d'autant plus que Ming ne montra aucune douceur et Bella ne put retenir ses cris qui ne reçurent que de nouveaux rires de la part des autres policiers qui assistaient au spectacle.

- Argh!!! Poussa Ming en achevant d'enfoncer son pénis dans les entrailles de Bella. C'est divin!!! Cette nana est née pour se faire empapaouter!!!

Prenant cette déclaration comme un signal, Hassan recommença alors à limer le vagin de la jeune femme et il ne fallut que quelques secondes pour que Ming l'imita dans son anus. Au bout de deux ou trois allers-retours, les deux hommes réussirent à coordonner le rythme de leur pistonnage afin de tirer le maximum de jouissance du corps de leur victime qui, quant à elle, était au-delà de la douleur.

Ming fut le premier à jouir, il se retira en arrachant à Bella un cri de soulagement pour lui jouir sur les côtes. Bella souffla croyant que le plus dur était passé mais elle sentit alors une nouvelle pression sur son anus. Ming avait donné des idées à ses collègues et elle dut immédiatement subir une nouvelle sodomie qui la déchira en deux. Cette fois, Bella se mit à pleurer. Hassan jouit alors dans son vagin et la repoussa en arrière sur son collègue toujours figé dans son anus et il ne fallut pas une minute pour qu'il soit remplacé par un autre pour nouveau sandwich infernal.

Ce manège dura encore plus d'une heure et Bella perdit le compte du nombre de fois où chacun des hommes présents utilisèrent chacun de ses orifices. A un moment alors qu'elle avait épuisé toutes ses larmes, l'homme qui se trouvait dans son dos déclara :

- Salut chef! Vous venez gouter à cette petite pute? On vous l'a gardé bien chaude.

Bella trouva alors la force de tourner la tête en direction de la porte d'entrée pour y voir Antonin Marius qui observait le spectacle de son viol collectif avec un sourire sadique mais elle oublia vite le commissaire car à ses côté se trouvait Guillaume Uron, le seul responsable de l'enfer qu'elle était en train de vivre.

CHAPITRE 9

Le juge de Saint Servier arriva en bas de son immeuble après une longue journée passée au tribunal à guetter les rumeurs de couloir. Toutes parlaient de l'étrange disparition du juge Molanta et cela ne manquait pas d'inquiéter le juge qui savait parfaitement que tant que sa vieille adversaire politique resterait en vie, elle ferait planer sur eux un grand danger. Le plan de Diaz s'était révélé un fiasco total à cause de l'intervention d'ennemis inconnus surgis du passé de Marius et comme ce dernier avait encore fait preuve de son incompétence, ils se retrouvaient désormais dans une situation plus que délicate. Kono lui ouvrit la porte de la voiture et il descendit pour se diriger vers le hall d'entrée. Il pensait déjà à ses chères petites esclaves et à comment elles sauraient lui faire oublier toutes ces petites contrariétés quand un homme s'approcha d'eux. D'instinct Kono s'interposa pour défendre le juge d'une éventuelle agression. Le juge se recula d'un pas pour considérer cet homme qui n'apparaissait cependant pas menaçant. Il s'agissait d'un grand noir au teint moins bronzé que Kono. Etrangement, le juge se sentit troublé en présence de cet homme.

- Je ne vous veux aucun mal, monsieur le juge de Saint Servier, affirma cet inconnu. Je n'ai pas d'arme et si vous me laissez parler une minute, vous comprendrez que je peux vous apporter beaucoup.

Etrangement, le juge qui normalement n'aurait jamais écouté un inconnu qui lui adressait ainsi la parole dans la rue, décida de lui accorder sa minute.

- Je m'appelle Shemar Morgan, se présenta alors l'inconnu. Je suis officier de la police interrégionale au sein de l'unité de traque des criminels dangereux du surintendant Fossett et si je suis ici c'est parce que j'ai découvert le club que vous avez créé et que je voudrais en faire parti.