Le Club - Partie 21

BÊTA PUBLIQUE

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Laroquette écoutait le discours de Véronique en imaginant le petit monde inventé par Patricio Moratti et en se disant que le vieux patriarche devait avoir brisé bien des vocations chez ses propres enfants pour obtenir ce résultat. Maintenant, il comprenait que le vieux tyran était fatigué et que ses enfants n'avaient pas le même charisme.

- Il se trouve que j'ai une fille, elle s'appelle Carla-Magdalena et elle vient d'avoir 18 ans. L'an prochain elle sera en terminale et devrait passer le bac mais rien n'est simple avec elle. Elle a déjà redoublé une année et ses notes restent catastrophiques mais surtout c'est une jeune fille frondeuse qui refuse de se plier aux règles de la famille. Elle fait constamment le mur, boit et sort avec toute sorte de garçons. Mon père ne comprend pas que je n'arrive pas à la remettre dans le droit chemin mais il est inflexible : elle arrive à un âge où elle ne peut plus se permettre de se moquer ainsi de lui. Il se sent bafoué par ses petites filles car Ania, la fille de ma sœur, est elle aussi sur la mauvaise voie puisqu'à 19 ans, elle a toutes les chances de rater son bac et commence à se comporter comme sa cousine. Il a été clair avec ma sœur et moi, soit nos filles obtiennent leurs bac cet année soit il les chasse de la famille pour faire un exemple pour les autres jeunes.

- Je vois très bien votre situation, compatit Laroquette. Vous vous retrouvez en porte à faux entre l'intérêt de votre famille et celui de vos enfants.

- Exactement car nos filles semblent incapables de réaliser que cet ultimatum est bien réel et qu'elles risquent de se retrouver à la porte dans quelques mois. C'est pourquoi nous avons pensé que votre programme de remise à niveau était peut-être notre dernier espoir.

- Oui mais je ne peux pas vous promettre qu'elles correspondent au profil que nous recherchons pour le programme. Je vais demander leur dossier scolaire, avec votre autorisation, bien entendu.

- Je vais contacter le principal du lycée de nos filles pour qu'il accède à votre demande.

- Ensuite si c'est le cas, le prochain stage de formation commencera durant les vacances d'été en même temps que celui de la nouvelle formation universitaire.

- Nous sommes prêts à le faire et nous ferons en sorte que Carla-Magdalena et Ania soient présentes aussi.

- Alors nous en reparlerons sitôt que j'aurais consulté les dossiers de vos enfants. Au revoir, madame.

Laroquette raccrocha et s'adossa sur sa chaise en réfléchissant à ce qu'il venait de se passer. Il était impatient de recevoir les dossiers de ces deux jeunes donzelles afin de pouvoir constater par lui-même si elles valaient la peine d'être intégrées dans son joli petit troupeau de futures esclaves. Il se pencha d'ailleurs sur son fichier spécial. Depuis la première séance d'entretien, le juge et lui avaient rajouté deux noms supplémentaires aux 4 précédents avec ceux d'une certaine Marina Colvo, une jeune fille de 19 ans, scolarisée dans l'école Oscar Bono depuis plusieurs années et dont les parents étaient propriétaires du plus grand tour opérator de la région et surtout Marie Hurtis, une petite rouquine aux yeux bleus de 18 ans, la fille du célèbre Granville Hurtis, l'une des plus grandes fortunes de la ville et qui l'avait toujours pris de haut. Laroquette avait toujours gardé en mémoire le terrible du rejet de sa candidature à l'intégration au rotary club suite à l'opposition du sieur Hurtis qui avait estimé que l'intégration d'une personne aux origines aussi peu glorieuse en abaisserait considérablement le niveau. Mais Hurtis et les autres notables du rotary allaient maintenant regretter leur décision car le directeur Laroquette appartenait désormais à un club bien plus puissant qui comptait bien les mener à leur ruine.

CHAPITRE 5

Le calme régnait sur la résidence Blenon. Chacune des soubrettes œuvrait dans une partie distincte de la grande maison pendant que le maître des lieux s'occupait de ses affaires comme à son habitude du moins c'était ce que les jeunes femmes pensaient. Elles furent détrompées quand une sirène les tira de leurs tâches ménagères ; Angel leur ordonnait de se rassembler dans le salon. D'une obéissance désormais sans faille, les 5 femmes abandonnèrent leur travail pour converger leur destination et y découvrir une scène qui leur glaça le sang.

Angel était assis à la place qu'il occupait désormais en permanence sur le divan central et sur la table verre en face de lui, il avait posé 5 godes ceintures aux dimensions bien plus imposantes que celui que Sandrine portait toujours figé dans son anus. Le maître des lieux se redressa et leur fit signe de s'approcher et chacune put discerner les détails de ces affreux instruments. Leur taille et leur forme faisait immanquablement penser au pénis d'Angel que elles avaient appris à connaître par cœur tant elles avaient toutes eu à l'accueillir dans chacun de leurs orifices à d'innombrables reprises.

- Ils vous plaisent? ricana Angel. Prenez les donc en main, vous allez voir, ils sont surprenants.

Jennifer et Laura furent les premières à réagir pour s'emparer des godes les plus proches et constater qu'il n'était pas aussi lisse que ceux qu'Angel avait utilisé sur elles jusqu'à présent ; leur surface était rugueuse et elles comprirent que la pénétration par un tel objet devait produire une douleur bien supérieure à ce que les précédents viols avec ces objets pouvaient leur avoir fait ressentir. Le plus étrange était que chacun portait le nom d'une des jeunes soubrettes.

- Je vois que vous avez apprécié les qualités de ces précieux objets, reprit Angel. Et vous avez compris qu'ils sont tous spécifiques à l'une d'entre vous. Maintenant, je vais vous expliquer comment nous allons nous en servir. Tous les soirs, je vais déposer un de ces godes devant chacune des cellules de la maison et celle à laquelle il appartient devra l'utiliser pour enculer sa compagne de chambre.

Il se tut un instant pour profiter des expressions qui se dessinaient sur leurs visages. Il savait que le moment où elles retournaient dans leurs cellules constituaient une sorte de répit puisqu'il ne pouvait partager son lit qu'avec une d'entre elles voire deux et que les autres bénéficiaient donc d'une nuit entière de tranquillité. Par ce petit jeu, il décidait de mettre fin à cet instant de paix et de rajouter encore plus de tension entre ces femmes qui partageaient le même toit afin d'éviter toute possibilité qu'elles ne se liguent un jour contre lui.

- Nous commenceront le petit jeu dès ce soir, précisa-t-il. Quant à sa durée, c'est Sandrine qui le fixera. Puisqu'elle est seule dans sa chambre, elle ne pourra pas pleinement participer à la partie et je ne veux pas qu'elle se sente exclue. C'est pour ça que tout les soirs, elle viendra dans ma chambre pour que je l'encule. Ainsi aussi longtemps que durera mon coït avec elle, vous devrez vous aussi vous envoyer en l'air dans vos chambres respectives.

Sandrine sentit les regards des 4 autres soubrettes se poser sur elle et elle comprenait parfaitement la raison. Elles ne savaient pas si elles devaient envier ou plaindre sa situation car si elle n'aurait pas à supporter d'être sodomisée par cet horrible gode rapeux qui allait lui laisser le rectum en feu, elle était assurée de se faire violer l'anus chaque nuit. Angel se reposa dans son fauteuil en se disant que la prochaine nuit allait être très jouissive.

CHAPITRE 6

- Tu es dans une sacrée mélasse, Hugo, affirma William Fossett. Tu as tenté d'assassiner une policière interrégionale et tu risques au moins 20 ans pour ça.

Hugo se recula sur sa chaise et fixa le chef de l'unité de traque des criminels dangereux en souriant.

- Ne me fais pas rire, Fossett, lui rétorqua-t-il. Toi et moi nous savons que vous n'avez rien contre moi.

- J'ai le témoignage sur serment de mon officier et la balle que tu as tirée sur lui, assura Fossett.

- Bien entendu et explique-moi donc comment vous avez obtenus ces preuves? Suite à une effraction dans un bâtiment officiel, aucune de ces preuves ne tiendra devant un juge et de plus vous n'avez même pas le droit d'être là. Je demande un avocat, il sera certainement très intéressé par ta présence.

Fossett serra les dents et hésita. Thomas comprit qu'il perdait le fil. Thierry et lui suivaient l'interrogatoire dans une pièce attenante au travers d'un miroir sans tain et ils sentaient que rien ne se passait comme il se devait.

- William n'aurait jamais dû mener cet interrogatoire, fit une voix que Thomas ne connaissait pas encore.

Il se tourna sur sa droite et vit un homme d'une cinquantaine d'année, les cheveux bruns grisonnants soigneusement coiffés qui s'était placé à ses côté pour observer.

- Enchanté, fit le nouveau venu, je m'appelle Jason Pantkin. Je suis le responsable de la cellule d'étude de l'unité.

- Vous êtes la grosse tête des grosses têtes, schématisa Thomas.

Pantkin sourit à cette remarque.

- Disons que j'ai celui qui a le plus d'expérience.

Il reporta son attention sur l'interrogatoire dont la tournure ne s'améliorait pas.

- Pourquoi avez-vous dit ça? Concernant Fossett? Il n'a pas l'habitude de ce genre de situation?

- Non au contraire, il a toujours mené les interrogatoires de l'unité mais cette situation est différente : il s'agit d'un des lieutenants d'Antonin Marius. William a passé plus de trois ans à enquêter sur les malversations de cet homme. Les résultats furent concluants et il a fait tomber des dizaines de trafiquants en tout genre mais il n'a jamais réussi à obtenir ce qu'il voulait le plus : boucler Marius lui-même et à la fin ça avait tourné presque à l'obsession.

Thomas hocha la tête, il était mieux placé que quiconque pour comprendre ce genre d'obsession, lui qui avait passé plus de quatre années à lutter corps et âme contre son propre frère.

- Et cette obsession rejaillit dans cet interrogatoire, analysa-t-il. Hugo est au courant des antécédents de Fossett et il s'en sert contre lui. Il n'arrivera à rien.

Pantkin se retourna vers lui, un drôle de sourire au coin des lèvres mais ne rajouta rien, se contenta de porter à sa bouche la tasse de café qu'il tenait à la main.

- De toute manière, continua Thomas, c'était foutu d'avance.

Et à ce moment, il réalisa qu'il allait devoir user de méthodes plus anciennes.

CHAPITRE 7

Francis Guri dévisageait sa plus jeune fille, l'air catastrophé de la voir dans ce lieu de débauche. Il en avait totalement oublié la présence de son aînée.

- J'ai envoyé mon majordome chercher votre petite Sandra à la sortie de son lycée et il lui a expliqué la situation dans la voiture. Je pense qu'elle a parfaitement compris que le destin de ses frères et sœurs est entre ses mains désormais.

- NON!!! hurla à nouveau Guri en tentant de se lever.

Cette fois, ce fut Humberto qui le retint par les épaules et l'obligea à se rassoir. Diaz put porter son attention sur la jeune Sandra que Ronaldo tenait toujours par le bras. Elle ressemblait énormément à sa grande sœur. Petite comme elle, elle était elle aussi châtain brune avec une petite poitrine et une taille fine. Diaz apprécia de voir sa lèvre inférieure trembler de peur devant son regard scrutateur. Il avait bien envie de s'amuser au maximum de cette situation et se tourna vers Muriel qui se tenait toujours droite à ses côtés.

- Ma petite si tu allais saluer ta jeune sœur, lui proposa-t-il.

Muriel s'avança à pas comptés vers Sandra pour se placer à quelques centimètres d'elle, indécise. Diaz sentait cependant qu'elle bouillait d'une colère intérieure et il en connaissait la raison. Quand son père l'avait sacrifié il n'avait fait preuve que de très peu de remords ni regrets, par contre l'idée de savoir Sandra subir le même sort rendait le petit homme complètement fou. Depuis le début, il avait toujours préféré la plus jeune à son aînée. C'était pour cela que Sandra avait continué à aller au lycée alors que Muriel avait été contrainte d'abandonner ses études sitôt passer l'âge obligatoire pour aider son père dans son travail et c'était aussi pour cela qu'elle avait été désignée comme l'agneau sacrificiel idéal quand ses affaires avaient périclité. Diaz savait qu'il pouvait se servir de toute cette rancune accumulée et l'ajouter à toutes les brimades qu'il avait fait subir à la jeune fille depuis qu'elle était devenue sa chose pour la transformer en une fabuleuse tortionnaire de son propre sang.

- Comme tu l'as déjà compris, lança-t-il, ta sœur va rejoindre notre belle équipe, Muriel. Que dirais-tu de lui montrer le code vestimentaire qu'elle aura à respecter désormais?

Une lueur mauvaise traversa le regard de la jeune fille et avant que quiconque ait le temps de réagir, elle avait posé les mains sur la ceinture du jeans que sa sœur portait et l'arracha brutalement. Elle fit descendre le pantalon de Sandra avec une telle violence qu'elle emporta son string avec en lui arrachant un cri autant de surprise que de douleur. Muriel se redressa avec un sourire presque dément sur le visage et campa son regard dans celui totalement affolé de sa sœur. Il y avait un véritable défi dans ce regard. « Maintenant c'est ton tour, princesse, traduisit Diaz au comble du bonheur ».

- Dis-nous si elle aussi blanche qu'elle veut le faire croire ma belle, lui ordonna Humberto en renforçant sa pression sur Guri.

Muriel s'agenouilla et plongea sa tête entre les cuisses de sa sœur qui voulut les resserrer mais la poigne de fer de Ronaldo se posa sur son cou lui imposant de rester dans sa position d'origine. Rapidement, la langue de Muriel désormais rodée à ces petits jeux lesbiens s'aventura dans la vulve de Sandra. Elle joua quelques instants à la surface de l'intimité de sa sœur qui se mit à pleurer à ce contact incestueux et contre-nature. Muriel se redressa rapide et se retourna vers Diaz.

- Elle est pucelle, affirma-t-elle. Comme moi quand je suis arrivée ici.

Diaz sourit devant cette remarque qui soulignait encore l'amertume ressenti par l'aînée des deux filles Guri. Il se leva alors bien décidé à profiter à fond des plaisirs offerts par la famille Guri. Muriel sembla comprendre ses projets, elle se jeta à ses pieds et dégrafa son pantalon pour engouffrer son pénis avec une gourmandise dont elle n'avait jamais fait preuve auparavant. Diaz goûta à cette fellation réalisée par une désormais experte mais tous les deux en connaissaient la finalité : obtenir la meilleure érection possible. Diaz planta son regard sur Sandra qui pour la première fois depuis son entrée dans le « Fundo » tenta de se dérober à la poigne de Ronaldo mais le majordome fut trop fort pour elle et il l'obligea à rester en place. Bouillant d'impatience, Diaz écarta Muriel sans ménagement et se rua vers Sandra qu'il saisit par le bras pour la courber sur l'une des tables comme il l'avait fait naguère avec sa sœur. Pesant moins de la moitié du poids de l'homme d'affaire, la jeune fille n'avait aucune chance de s'opposer à sa volonté et elle se retrouva pliée en deux, les fesses en l'air, totalement offerte. Diaz n'était pas du genre à tergiverser dans ce genre de situation et il pénétra sans pitié la jeune fille, perforant son hymen d'un coup sec et brutal. Sandra redressa la tête en hurlant mais même le regain d'énergie apportée par la vague de douleur qui irradiait dans tout son corps ne lui permit pas se libérer de l'étreinte de son tortionnaire qui put alors commencer à la pistonner. La jeune fille totalement naïve de ce genre de relation eut l'impression d'être déchirée en deux par le membre de Diaz qui la pilonnait avec une telle force que ses pieds quittaient le sol à chacun de ses coups de reins. Au bout d'un certain moment, elle renonça à lutter et sa tête retomba contre le bois de la table, les coups de boutoirs de son violeur la faisait sursauter et gicler le sang qui maculait son entrejambe.

Toujours agenouillée derrière eux, Muriel observait cette scène avec une délectation malsaine, comme si la décadence de sa jeune sœur lui redonnait un semblant de dignité.

- Eh ma belle, lui lança alors Humberto, ton père est bien triste. Je crois qu'il a besoin du réconfort de sa petite fifille.

Dans son esprit totalement dévoré par la folie du moment, elle saisit parfaitement où l'homme qui la torturait en permanence voulait en venir et elle répondit sans attendre et avec plaisir à ses attentes. Elle se glissa sous la table où était assis Francis, elle posa ses mains sur la braguette du pantalon de son père. Ce dernier réalisa où sa fille voulait en venir quand elle écarta les bords et baissa son caleçon et commença à agiter les jambes mais l'étroitesse de la table lui interdisait tout mouvement brusque et Muriel avait déjà prit une position préférentielle entre ses cuisses. Elle sortit son pénis et entreprit de le masser avec ses mains avant de le prendre en bouche. Francis mis ses cris à l'unisson de ceux de sa fille cadette mais il ne pouvait rien faire pour empêcher ce rapport honteux et incestueux. Il découvrit les talents de fellatrices de sa fille et, contre sa volonté, son sexe s'érigea de plus en plus. Au moins le sort lui épargna de voir le rictus sordide de sa fille en constatant l'effet qu'elle produisait sur la virilité paternelle. Il ne fallut que quelques instants pour que le petit homme arrive à l'orgasme inondant le visage de Muriel d'une semence visqueuse et abondante. Pour la première fois depuis qu'elle était arrivée au « Fundo », Muriel prit plaisir dans cette pratique pour la simple raison qu'elle eut l'impression de se venger des multiples sévices qu'elle avait subis depuis qu'elle avait été contrainte de se sacrifier pour le bien de ces gens qui ne l'aimaient même pas.

Quelques minutes après Guri, ce fut au tour de Diaz de parvenir à l'orgasme. Il se retira du vagin juste avant d'éjaculer et déversa sa semence sur les fesses et les reins de la jeune femme qui s'écroula sur la table, reprenant difficilement son souffle.

- Je suis très satisfait, déclara l'homme d'affaire. Je pense qu'avec le bon entraînement, cette petite deviendra encore meilleure que sa sœur et tu as pu voir, mon cher Francis, que ton adorable Muriel était parvenue à un niveau de perversion exceptionnel. Tes dettes sont effacées et cette fois, je ferais en sorte que tu ne puisses plus jamais faire d'affaire à Lilleland, histoire d'éviter que tu ne prennes d'autres risques, surtout que ta dernière fille est bien trop jeune pour moi.

Humberto agrippa Guri pour le traîner jusqu'à la sortie sous les lazzis de Diaz et la dernière chose que vit le petite homme avant que la porte ne se refermât sur lui fut la bouche de sa petite chérie de Sandra contrainte d'engouffrer le sexe de Ronaldo.

CHAPITRE 8

Fossett sortit de la salle d'interrogatoire, vert de rage laissant un Hugo triomphant. Pantkin s'empressa de sortir de l'observatoire pour rejoindre son chef d'unité afin de l'aider à retrouver son calme et d'élaborer une nouvelle stratégie. Thierry et Thomas se retrouvèrent donc seuls. Le détective privé se retourna alors vers son ami.

- Ils ne vont jamais y arriver, prédit-il.

- Je sais, confirma Thomas. Ils n'ont pas saisit la situation.

- Ce sont des flics et ils pensent en flics.

- C'est pour ça qu'ils n'auront jamais rien de lui et qu'ils ne tarderont pas à le relâcher. Je dois lui parler. Tu crois que tu peux faire en sorte que personne ne me dérange?

Thierry hocha la tête. En entrant, il avait compté que les flics interrégionaux étaient tout au plus 6 ce qui voulait dire qu'en ce moment personne ne devait monter la garde devant la porte de la salle d'interrogatoire et que certainement aucun d'entre eux ne devait se trouver trop prés. C'était plus que jouable.

Ils sortirent de la salle d'observation et eurent la confirmation de leur hypothèse : le policier le plus proche était Morgan qui travaillait sur son ordinateur à plusieurs de 20 mètres d'eux. Thierry n'avait pas oublié combien ce hangar pouvait être immense. Il avait été choisi pour pouvoir accueillir une petite armée. Thomas ouvrit la porte de la salle d'interrogatoire et entra pendant que Thierry se postait devant l'entrée pour en interdire l'accès.