Le Club - Partie 15

BÊTA PUBLIQUE

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- Tu ne me connais pas, dit -- il, mais tu dois savoir que si tu en es là c'est par ma seule volonté et que désormais je suis le seul capable de t'en sortir. Je tiens ton destin entre mes mains. D'un geste je peux te faire disparaître dans les bas fonds de l'administration pénitentiaire ou au contraire de faire sortir libre de cette cellule.

Jennifer ne comprenait rien à ce que racontait cet abruti. Tout ce qu'elle voyait c'était qu'il n'était qu'à quelques pas d'elle et qu'il lui suffisait d'un bond pour arriver à sa hauteur. Elle cherchait quel endroit de son cou, elle allait pouvoir attraper pour l'étrangler comme elle l'avait fait de son ancien petit ami quand celui-ci avait tenté de s'enfuir avec ses affaires ; bien sûr personne n'était au courant de cette histoire.

Angel se figea soudainement et la regarda l'air indécis.

- Ca suffit maintenant! Je vois que tu ne m'écoute pas. Tu veux du sang alors viens le prendre!

Il fit un pas de plus offrant plus de prise qu'elle n'en aurait rêvé et elle bondit comme un lion. En une seconde, elle était sur lui ses mains sur son cou, prête à l'étouffer. Et la seconde suivante, elle était visage par terre, le bras retourné dans une prise d'immobilisation, le genou d'Angel figé entre ses côtes.

- Tant d'énergie, estima -- t -- il comme s'était devant un étalon fougueux. Tant de volonté de mort mais si peu de maîtrise. Voilà pourquoi, tu es en dessous et moi au dessous. Voilà pourquoi tu vas devenir une esclave et que je serais ton maître.

Il tira sur son bras, ses os s'étirèrent dans un bruit sec et pour la première fois depuis plusieurs heures sa rage se dissipa un peu pour laisser la place à un sentiment nouveau : la douleur. Il tira à nouveau et il réussit à la faire crier. Ce cri était un mélange de douleur et de rage mais il savait qu'il venait de remporter une première victoire. Il la fit se redresser la força se pencher sur paillasse. Il tira encore plus fort sur son bras et un nouveau bruit indiqua que son bras était au bord de la rupture.

- Tu veux sauver ton bras? demanda -- t --il. Alors relève ta jupe.

Elle resta immobile, résistant toujours. Il tira encore plus fort. L'articulation entre le radius et l'humérus grinça mais tint... d'un fil. Jennifer utilisa alors son bras libre pour relever sa jupe dévoilant un string léopard.

- Un léopard pour tigresse, lança Angel.

Il la libéra alors mais avant qu'elle n'ait pu se redresser, il la plaqua contre sa paillasse et écarta son string révélant son intimité. Sans lui laisser le temps de réagir, il la pénétra brutalement comme à son habitude, l'emprisonnant sous le poids de son corps. Elle cria, vociféra des torrents d'insultes pendant qu'il la violait mais restait incapable de faire le moindre mouvement pour l'empêcher de continuer.

Il prit son temps, semblant apprécier sa rage aussi intense qu'inutile. Finalement dans un dernier râle, il jouit en elle avant de s'affaler de tout son corps sur elle.

Alors qu'il se relevait, elle lui lança.

- SALAUD!! Je te crèverais les yeux!

- Pardon? demanda -- t- il en appuyant sa main puissante sur son cou.

Il lui enfonça le visage dans les draps de la paillasse et elle commença à s'étouffer, les bras battant l'air dans un geste désespéré. Il appuya encore plus et ses gestes devinrent plus lents. Il relâcha la pression et elle put respirer.

- Je n'ai pas compris, tu disais?

- Salaud...

Il réappuya et elle étouffa à nouveau. Il prolongea son asphyxie un peu plus longtemps.

- Alors, on dit quoi au monsieur qui t'as donné du plaisir?

- Merci, lâcha -- t -- elle les yeux pleins de larmes de rage.

- Merci qui?

- Merci ... monsieur.

Il relâcha définitivement sa pression et elle avala une grande bouffée d'air. Il la laissa faire en lui caressant presque affectueusement la crinière.

- Brave petit animal sauvage, dit -- il, je vais te dresser!

CHAPITRE 12

Enfermée dans une salle sombre, attachée à plat ventre, totalement nue, les jambes écartées et la tête prise dans un étau, Bethany était obligée de voir défiler des centaines d'images stroboscopiques. Elle commençait à se perdre sous l'effet de tous ces messages contradictoires qu'on lui envoyait en permanence et cette torture mentale n'était pas la seule tourmente qu'on lui infligeait.

Depuis qu'elle s'était réveillée dans cette salle, elle ne comptait plus le nombre de fois où on l'avait violée. La première fois, le contact dur d'un pénis inconnu dans son vagin l'avait tirée de son inconscience. Encore sous le coup de la drogue, elle avait eu l'épouvantable sensation de vivre un cauchemar éveillé. A aucun moment, elle n'avait pu identifier l'homme qui abusait d'elle sans vergogne. Il ne parla pas et dans sa position allongée, elle ne pouvait pas voir son visage ni aucune autre partie de son corps. Il était d'une vigueur effarante et elle dut supporter ses assauts durant un temps incroyable mais ce ne fut pas le pire. Le pire fut qu'une fois qu'il ait terminé et joui dans le préservatif qu'il portait, un autre prit sa relève puis un autre et un autre encore. Ce défilé dura un temps qu'elle ne put définir et à la fin, elle perdit le compte du nombre d'hommes qui l'avaient possédée.

Quand enfin ils cessèrent de l'harceler, cela ne signifia pas la fin de son cauchemar. Les images commencèrent à défiler ; tellement puissantes que même les yeux fermés, elle continuait à les voir. En réalité, elle avait l'impression qu'il ne s'agissait que la succession de formes rendues trop floues par le fond lumineux. Même avec sa formation, elle ne pouvait pas comprendre qu'il s'agissait en fait d'images subliminales qui étaient en train de détruire son esprit.

Ce qu'elle ignorait aussi était le nombre réel de ses violeurs. Il n'y en avait que deux qui s'étaient relayé durant des heures utilisant des godes quand ils n'avaient plus eu la force physique de la violer par eux -- mêmes et ils ne comptaient en rester là. Ils l'avaient laissée sous le supplice lumineux pendant quelques heures ce qui était suffisant pour affaiblir sa volonté pour ce qu'ils lui réservaient.

Ils coupèrent les effets lumineux au moment où ils entrèrent dans la pièce. Bethany poussa un soupir de soulagement mais son répit ne fut que de courte durée. Sa table se plia en son milieu et elle se retrouva cambrée. Elle sentit deux mains invasives qui écartaient ses fesses et en dépit de l'état d'épuisement dans lequel elle se trouvait, elle se mit à se débattre. Les liens qui la tenaient résistèrent et elle vit alors apparaître le visage d'un homme dans son champ de vision.

- Résister est inutile, affirma -- t -- il. A partir de maintenant, tu nous appartiens totalement, accepte -- le et tout ce que tu subiras te paraîtras bien moins pénible.

Elle sentit que l'autre homme lui évasait le goulot anal avec ses doigts et elle cria. Celui qui se trouvait en face d'elle lui caressa alors le haut du crâne comme il l'aurait fait avec un petit chien.

- Allons! Allons! Relaxe -- toi et tout se passera mieux, conseilla -- t -- il. Quoi que tu feras nous t'enculerons, ce sera simplement plus ou moins douloureux pour toi.

Elle sentit une pression sur son anus et elle sut qu'il s'agissait du gland d'un pénis. Elle ferma les yeux mais ne put retenir un hurlement quand l'homme enfonça son sexe dans sa cavité encore inexplorée. Celui qui se trouvait devant elle continuait à la caresser doucement mais son sourire sadique montrait qu'il prenait plaisir à la voir souffrir. La douleur envahissait doucement ses intestins au fur et à mesure de la progression du membre en elle. Quand finalement il s'immobilisa, elle reprit son souffle, consciente que son calvaire n'était pas terminée.

En effet, il commença un mouvement de va et vient qui se mit qui lui explosa littéralement le ventre. En dépit des conseils de l'autre homme, elle était incapable de se détendre et son anus vierge manquait d'élasticité pour un tel acte. La sodomie qu'elle subissait la ravageait totalement. Heureusement pour elle, elle ne dura pas aussi longtemps que les viols précédents et de nouveau l'homme jouit en elle dans un préservatif. Il se retira sans ménagement, lui arrachant un nouveau cri.

- C'est pas si mal pour une première fois, la félicita l'autre homme en continuant à lui flatter la chevelure. Tu as besoin d'entraînement et nous allons te le donner.

Il se leva et disparut dans son dos. Quelques secondes plus tard, elle sentit le contact d'une nouvelle queue faisant pression sur son anus.

POST SCRIPTUM

A partir de maintenant « Le Club » va un peu changer de nature. Rassurez-vous, les monstres vont continuer leur horribles exactions bandulatoires au dépend d'innocentes jeunes femmes mais mon récit va virer au « polar -- sexuel » avec l'arrivée de personnages comme Thierry Diomandé qui auront pour but de détruire cette association. Alors les scènes purement sexuelles seront moins nombreuses comme vous pouvez le voir dans ce texte et surtout mêlées à une histoire que je veux complexe. Alors j'aurais besoin de vos commentaires pour savoir si cela vous convient et si cela vaut la peine que je continue.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 14 ans
Une vraie histoire ? génial. Un polar ? OK mais du cul du cul toujours du cul....

Bravo pour votre style, bravo pour votre imagination. Un vrai talent. Vouloir approfondir l'histoire policière....pourquoi pas. Mais, par pitié, continuez vos descriptions torrides de scénes purement sexuelles. Nous sommes, je pense, tous ici amoureux du sexe. Si je veux lire un bon polar, je me tournerais vers les collections ad hoc.

Alors, encore du hard, du cru, du torride ?

AnonymousAnonymeil y a environ 14 ans
bonne idée

Bonjour,

déjà je tiens à dire bravo et merci pour cette série très bien écrite.

Ensuite et pour repondre à la demande de l'auteur, tourner cette histoire comme un polar me parait une excellente idée, cette partie de l'histoire m'interesse de plus en plus.

Par contre j'aimerais bien revoir les femmes déjà soumise, plutot que toujours de nouvelles femmes tombant sous l'emprise de ces monstres... mais après tout c'est votre histoire, à vous de l'écrire comme il vous plait.

misterbonemisterboneil y a environ 14 ans
Pas de chevalier blanc SVP

Effectivement, votre récit est arrive à un tournant. Sexuellement parlant, vous avez fait le tour du jardin. Il ne servirait à rien de multiplier les victimes et de raconter sans cesse les mêmes sévices. L’idée de voir le récit tourner au polar est intéressante du moment que l’enquêteur ne soit pas un espèce de chevalier blanc (j’aime bien les salaud). Je vous encourage donc a poursuivre dans cette voie.

Par ailleurs, je crois que vous avez jusqu’ici un peu négliger le côté psychologique des victimes. Sans avoir à raconter à chaque fois les relations sexuelles des victimes, il serait intéressant de voir comment elles réagissent à leur condition au quotidien. En fait, l’horreur de votre histoire réside dans le cul de sac dans lequel ces femmes sont prises et non dans la grosseur du pénis qui les sodomise.

AnonymousAnonymeil y a environ 14 ans
--

Bonjour,

Je ne suis pas forcément fan des récits très hard(bien que j'ai lu l'intégralité de la série), mais celui-ci reste très plaisant à lire tout de même (peut-être quelques passages plus soft...).

Je ne sais combien de personnes lisent la série mais je trouve que c'est un travail appliqué et assez bien fait, le style d'écriture me plait.

La nouvelle orientation ne me dérange pas et voir même m'enthousiame, je regrette cependant peut-être le nombre de personnages, bien qu'il y ait un récapitulatif j'ai tendance à oublier des noms, en particulier des filles (et donc leurs histoires).

En espérant que la motivation soit toujours présente, merci !

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