Le Club - Partie 14

BÊTA PUBLIQUE

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- Moi. Venez, nous allons faire la lumière sur cette affaire et faire payer les coupables.

Ils sortirent du laboratoire. Prirent plusieurs couloirs pour rejoindre le parking du commissariat central, baptisé de manière péjorative « Alice la cochonne » par les vieux de la vieille sans que Marius ne connaisse l'origine de ce surnom.

- Ma voiture est plus loin, indiqua Franco.

- Prenons la mienne, décida Marius. Elle est plus proche, je vous ramènerais ensuite.

- Où voulez -- vous aller?

- Mes hommes se réunissent dans un petit bar dans les quartiers centraux. Je veux leur parler de cette affaire immédiatement pour préparer notre plan d'action.

- Très bien, je vous suis.

Ils arrivèrent à la voiture de Marius, une grosse Mercédès grise. Franco dut en faire le tour et quand il arriva au niveau du coffre, il se rendit compte que la consistance du sol avait changé. Il se baissa et réalisa qu'il marchait sur une housse en plastique. Quand il releva la tête, un homme vêtu de noir se trouvait à trois pas de lui armé d'une arme munie d'un silencieux. Avant qu'il ait pu bouger l'homme en noir ouvrit le feu et l'exécuta d'une balle dans la tête. Il s'écroula de tout son long sur la housse en plastique. Marius accourut, arme au poing. L'homme en noir tourna son arme vers lui.

- Tu te calmes oui! grogna le chef de la police.

- Pardon chef, répondit l'homme en noir mais ça fait une plombe que je poireaute moi. Je suis un peu énervé.

- Bon. Il est mort?

- Oui.

Marius fouilla les poches de Franco et sortit ses clés de voitures puis ouvrit le coffre de la sienne.

- Bon, je fais disparaître son corps. Toi, occupe -- toi de sa voiture. Il ne doit rien rester de lui que tout le monde pense qu'il a pris ses cliques et ses claques et s'est barré au soleil.

- Pas de problème.

Pendant son homme disparaissait dans la nuit, Marius enroulait le corps de Franco dans la housse plastique. Une fois que ce fut fait, il ferma le coffre et passa un coup de fil.

- Hugo! Tout est fini. Tu peux effacer toutes les bandes des caméras de vidéo surveillance.

Ainsi, il ne resterait plus aucune trace de ce qui s'était tramé cette nuit.

****************CHAPITRE 09*****************

Sonia posait sa dernière valise dans l'armoire de son nouveau logement. Le directeur Laroquette n'avait pas menti, la chambre était grande et agréable. Bien sûr comparée à son appartement du centre -- ville, elle paraissait bien spartiate mais c'était bien là le dernier de ses soucis surtout en considérant la porte qui se trouvait sur le mur Ouest et qui, elle le savait parfaitement, conduisait directement aux appartements du directeur.

Son retour en classe avait été désagréable surtout pour son premier cours d'Anglais. Le professeur Carter avait failli s'étrangler en la voyant toujours installée à sa place habituelle mais le directeur lui avait affirmé que cette pute d'anglaise ne serait bientôt plus un problème.

Mais le pire restait à venir. Pour sa première nuit dans ses nouveaux locaux, elle eut droit à la visite du directeur. Il ouvrit la porte de communication et la surprit alors qu'elle sortait de sa douche. Elle eut l'horrible impression qu'il avait su parfaitement à quel moment apparaître pour la piéger en tenue d'Eve.

- Tu es très belle, la complimenta -- t -- il. Tourne sur toi -- même que je t'admire encore plus.

Elle frissonna à l'idée de devoir s'exhiber ainsi devant ce vieillard plus vieux que son père mais elle s'exécuta toujours consciente qu'il tenait son sort entre ses mains. Il siffla quand il aperçut ses fesses. Quand elle termina sa rotation, il lui fit signe de venir vers lui. Consciente que dans cette tenue, elle était totalement vulnérable, elle se refusa à céder mais elle vit sortir une sorte de martinet.

- Cet instrument a déjà été utilisé par des amis sur d'autres filles récalcitrantes. Tu veux tester le brulant de son cuir.

Elle fixait les lanières de cet objet en se persuadant qu'il n'oserait jamais l'utiliser contre elle. Elle était quand même la fille d'un des hommes les plus influents de la ville alors que lui n'était qu'un vieillard sans envergure.

Du premier coup, elle entendit d'abord le « clac » avant d'en ressentir l'affreuse douleur sur ses hanches et son bras droit. Elle cria et recula mais il combla la distance encore plus vite pour la frapper à nouveau cette fois au niveau du ventre. Elle se plia en deux sous le coup de la douleur et se retourna. Il se déchaîna alors et les coups plurent alors sur son dos, ses reins et ses fesses. Elle finit recroquevillée sur elle -- même, les bras et le dos en sang.

- ASSEZ! pleura -- t --elle. JE FERAIS TOUT CE QUE VOUS VOULEZ!

- Enfin, tu deviens raisonnable. Debout!

Il lui fallut un gros effort de volonté pour se redresser en dépit de la douleur mais elle savait désormais qu'il lui ferait mal si jamais elle se rebellait. Il fit tomber son pantalon sur ses genoux et elle comprit ce qu'il voulait. Elle se dirigea vers lui et commença à la sucer comme la fois précédente en espérant qu'il se contente de cela.

Malheureusement ce ne fut pas suffisant pour lui cette fois. Une fois que son travail buccal ait suffisamment entretenu son érection, il la balança sur le lit comme un sac de linge et la prit sa ménagement. Elle n'avait pas une expérience phénoménale des hommes, seulement deux partenaires durant son existence vieille de 20 printemps mais aucun ne lui avait montré autant de brutalité. Au cours du coït, il lui expédia plusieurs claques au visage et elle se mit à pleurer.

- N'est -- ce pas que je suis beau? cria -- t -- il. N'est -- pas que je suis le plus bel amant que tu n'ait jamais eu? Dis le moi catin!

Il lui réexpédia deux nouvelles paires de claques et elle finit par craquer.

- Oui vous êtes très beau! Le plus beau et le meilleur amant qui ne m'ait jamais fait l'amour.

- Monsieur le directeur. Appelle -- moi monsieur le directeur.

- Oui, monsieur le directeur.

Cet acte de soumission fut le summum et il explosa en elle. Elle prenait heureusement la pilule car elle n'aurait jamais supporté de devoir porter l'enfant de ce monstre.

Après l'avoir baisé, il resta allongé contre elle, continua à la tripoter dans tous les sens puis d'un coup, il se redressa.

- J'ai un cadeau pour toi, annonça -- t --il tout guilleret.

Il ramassa son pantalon et en sortit un objet en cuir. Elle réalisa alors qu'il s'agissait d'un collier, un collier de chien. Il le lui tendit et par comme dans un réflexe conditionné, elle le prit.

- Mets -- le, commanda -- t -- il.

Elle vit sa main se poser sur le martinet et, affolée, elle s'empressa d'enserrer son cou avec cet humiliant objet. Le contact du cuir sur sa peau était désagréable et il était tellement serré qu'elle avait du mal à déglutir.

- Parfait, décréta -- t -- il. Comme j'aimerais que tu puisses le porter en permanence mais ce ne serait pas bienséant devant tes camarades de classe, ils seraient jaloux. Tu ne le mettras que dès que tu seras dans ces appartements. Ne l'oublie jamais car si je te trouve une seule fois sans lui, tu le regretteras encore plus amèrement que ce soir.

Elle frissonna et se dit alors que les 5 prochaines années allaient être affreusement longues.

****************CHAPITRE 10*****************

- Monsieur le juge, fit la secrétaire, le commissaire divisionnaire Marius veut vous parler.

Le juge de Saint Servier fronça les sourcils en se demandant ce que le chef de la police locale pouvait bien lui vouloir. Quoi qu'il en soit ce n'était pas le genre d'homme que l'on pouvait laisser à sa porte.

- Très bien, faîtes le entrer.

Marius était un homme blond d'une quarantaine année très musclé qui semblait porter sur le visage la marque de son assurance. De Saint Servier eut immédiatement l'impression qu'il se préparait une mauvaise mayonnaise.

Le chef de la police s'assit et avant que le juge n'ai prononcé la moindre parole, il vida devant lui le contenu d'une petite pochette. De Saint Servier identifia immédiatement le corps nu et sans vie de la petite pute d'Angel qui avait gâché leur soirée d'inauguration. Il vit aussi des notes de médecin légiste et identifia sans peine le mot viol.

- Je ne comprends pas tout cela, mentit -- il cachant du mieux qu'il pouvait son malaise.

- Allons monsieur le juge nous sommes des grandes personnes. Je sais que vous connaissez cette jeune fille et je suis sûr que l'analyse génétique du sperme retrouvé en elle pourrait bien vous compromettre ainsi que votre bon ami David Angel qui vit non loin du lieu de ce tragique accident. Ce qui m'étonne c'est que vous ayez besoin de violer des putes de bas étage alors que vous avez chez vous deux belles juments dans la fleur de l'âge.

Ce maudit flic savait beaucoup trop de choses et de Saint Servier se demanda combien de temps il lui faudrait pour récolter les informations qui lui manquaient et recomposer tout le puzzle. Il devait gagner du temps pour pouvoir se retourner, ne rien dire tout de suite. Ce fut à ce moment que le commissaire le surprit une dernière fois.

- En fait, je ne sais pas exactement ce que vous et vos amis trifouillez exactement avec toutes ces petites mais ce que je sais c'est que je veux en être.

De Saint Servier se détendit...un peu.

****************CHAPITRE 11*****************

Thierry Diomandé arriva enfin à son bureau. Il se sentait affreusement las. Il venait de passer les trois dernières semaines à traquer un fantôme dans les rues de Fortlud. Il détestait échouer surtout que cette fois l'affaire le touchait tout particulièrement. Il ne comptait pas en rester là mais ne pouvait pas non plus se permettre d'enquêter à fond perdu trop longtemps.

Il glissa sa clé dans la serrure de la porte d'entrée et entra. Il ne voulait que déposer quelques affaires avant de renter chez lui se reposer mais il remarqua alors le pli que l'on avait glissé par la fente de sa porte. Il nota tout de suite qu'il ne portait pas de cachet de la poste. Il le saisit et vit qu'on avait écrit son nom sur l'enveloppe ce qui lui permit d'identifier celui qui lui avait envoyé ce pli. Une bouffée de nostalgie l'envahit ; il se revit dans les rues de la « cour des miracles » et se dit que le repos pouvait bien attendre quelques minutes de plus.

Il s'installa dans son fauteuil et déchira l'enveloppe pour sortir un petit tas de documents dont la photo d'une jeune fille morte qu'il reconnut aisément. Il n'avait plus vu Opale Apolline depuis des années mais elle ressemblait tellement à sa mère qu'il ne pouvait pas se tromper. Quelque chose se brisa en lui et il ne put contenir la rage qui s'empara de lui. Il se releva et s'empara de sa chaise pour l'envoyer valser au travers de la pièce en hurlant. Il s'écroula ensuite sur le sol et resta ainsi recroquevillé contre un mur à fixer les lumières de la ville sans réellement les voir. Il lui fallut une toute sa volonté pou réussir à reprendre le dossier et ses yeux embués de larmes purent détailler la photo. Son sang se mit à bouillir quand il reconnut le symbole que la jeune fille avait gravé sur la fesse droite.

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