Le Club Libertin

BÊTA PUBLIQUE

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Je vis l'homme trousser la robe de Sylvie jusqu'aux épaules, dégageant ainsi sa poitrine, qu'il se mit à caresser sans vergogne, à deux mains. Il malaxait à pleines paumes, pétrissait et de temps à autres, il pinçait les tétons et les étiraient. Cela pouvait sembler un peu rude comme traitement, mais Sylvie était visiblement excitée. Sa fente s'humidifiait et ses pointes de seins étaient bien dressées.

La femme se mouilla le doigt et se mit à me badigeonner l'anus avec sa salive. Je comprenais qu'elle allait me pénétrer et je voulus l'en empêcher. Mais je ne pus que bouger le bassin de gauche à droite, inutilement et émettre un râle inefficace. Néanmoins, elle devait lire une certaine panique dans mes yeux. Mais elle n'en tint aucun compte et rentra son majeur bien lubrifié dans mon rectum.

Elle continua ainsi à abuser de mes fesses, se crachant dans la main pour mouiller d'autres doigts et m'enculer plus largement. Sylvie me regardait et me voyait souffrir.

Puis la femme sortit de mon champ de vision. L'homme avait délaissé les seins pour s'occuper de la fente. Je constatais qu'il n'avait aucune peine à entrer ses doigts dans la chatte. Pourtant, il le fit sans aucune préparation. En les ressortant, il nous montra qu'ils étaient tout enduits de jus.

La femme revint vers moi. Elle était nue, avec une sorte de porte-jarretelle en cuir. Elle tenait une bouteille de lubrifiant et quatre godemichés, de formes et de tailles différentes. L'un d'eux, le plus grand, avait un aspect étrange mais je n'eus pas le temps de comprendre. Elle en posa trois par terre, hors de ma vue et fixa le plus petit à sa ceinture, qu'elle enduisit copieusement. Elle vint se placer devant moi et exhiba fièrement son outil en cambrant les reins et en pointant le faux phallus dans ma direction. Puis, elle s'approcha, mit le gode sur mon trou, écarta mon sphincter avec ses doigts et commença à entrer en moi. "Pousse pendant que je t'encule, ça te fera moins mal. Voilà, le gland est rentré, le reste va suivre plus facilement tu vas voir." Elle me tenait fermement les hanches et poussait inexorablement. Je sentis effectivement assez vite le contact du cuir sur mes fesses, ce qui voulait dire qu'elle m'avait tout mis dans le cul.

Tout à ma souffrance, je n'avais pas vu que l'homme s'était déculotté pour enfiler Sylvie. Pendant que son épouse se maintenait au fond de mon rectum, le mari besognait ma femme à grands coups de reins, le pantalon tire-bouchonné sur les chevilles. Il s'agitait si fort qu'on voyait ses couilles ballotter au gré des mouvements de bassin. La femme qui m'enculait commença à son tour des va-et-vient, beaucoup plus lents, mais de grande amplitude. Elle caressa mes testicules avec sa main droite, me tenant toujours la hanche avec la gauche. "Tu commences à aimer ça, n'est-ce pas? Je vois que tu bandes mon cochon. Tu vas voir, tu vas jouir mieux qu'avec ta femme." Elle me décalotta le gland et je vis que moi aussi je mouillais.

L'homme poussa un grognement de jouissance. Il eut quelques dernières secousses et il se retira, emmenant avec lui un peu d'urine qui se répandit par terre. "Elle m'a pissé dessus la salope. Mais j'aime ça. Ça fait tout chaud à la bite." Il enleva son préservatif plein de sperme. "Au suivant. Mais je vous préviens, elle a encore plein de pisse dans le con. Ou alors faut l'enculer elle aussi."

Sylvie venait de se faire baiser par un autre homme et j'aurais dû en être meurtri. Mais ce n'est pas l'âme qu'on blessait, mais mon cul. Et bien que chaque pénétration me fasse souffrir, je bandais. La femme me prenait jusqu'au fond, marquait une pause pendant laquelle elle me branlait une dizaine de fois, puis me reprenait les hanches à deux mains, ressortait presque totalement de mon cul et s'y enfonçait à nouveau. "On va changer de calibre." Je la vis se retirer et remplacer le gode par un second, un peu plus gros. J'en fus effrayé mais je ne pouvais toujours pas protester.

Pendant ce temps, un autre homme s'est agenouillé devant Sylvie et lui a bouffé la chatte. Il agissait comme un goinfre, collant tout son visage sur le sexe trempé de mon épouse. Je voyais qu'il la labourait de l'anus jusqu'au clitoris, avec de grands frottements de toute sa face. J'imaginais le nez forçant le vagin et sillonnant la vulve et les lèvres. Il devait aussi y avoir la langue. On entendait le bruit de la succion. L'homme visiblement se régalait des sécrétions de Sylvie. Il se mouilla les doigts avec sa bouche, le visage toujours enfoui dans le cul et il perfora l'anus.

La femme lubrifia le gode et le plaça sur ma rondelle. De nouveau, elle poussa, écarta ma raie et fit entrer la bite jusqu'au fond. Elle était plus grosse mais aussi plus longue. Elle reprit son alternance de sodomie et de masturbation. Deux ou trois aller et retour dans mon cul, une dizaine de va-et-vient sur ma queue. Et on recommence.

L'homme pistonnait le cul de Sylvie avec son doigt et continuait de lui lécher la chatte. Il semblait vouloir la faire pisser parce qu'il lui appuyait sur le bas ventre. Je savais que ça ne tarderait pas. Nous entendîmes ma femme émettre une plainte, d'abord feutrée, puis allant crescendo à chaque respiration. L'homme arrêta son mouvement, sortit ses doigts, recula sa tête et on vit un geyser jaillir. Il reprit sa position et recommença à défoncer Sylvie avec trois doigts. Il buvait littéralement ce qui était resté dans le vagin. Le gémissement s'amplifiait. L'homme ressortit sa main et un nouveau jet fusa qu'il prit en plein visage, n'ayant pas eu le temps de se dégager. Il se passa la main sur la figure pour s'égoutter au mieux et reprit sa dégustation et son pilonnage. Ma femme rugissait désormais, à pleins poumons. L'homme déboucha l'anus une troisième fois et il y eut une nouvelle gerbe. Mais cette fois, Sylvie se soulagea sans retenue, à flot continu jusqu'à ce que sa vessie soit vide.

La femme qui m'enculait laissa ma bite pour me tenir au niveau des côtes. Elle restait en moi mais donnait des petits coups en avant. Elle me maintint d'une main et de l'autre me titilla les tétons. Elle était penchée entre mes cuisses et ses seins s'écrasaient sur mon ventre. "Je vais t'ouvrir encore un peu plus mon chéri. Il faut que ton sphincter soit distendu au maximum et ton rectum plein comme un œuf pour que tu appelles ta mère quand tu jouiras."

Elle se retira et prit le troisième gode. Celui là était vraiment très gros, probablement du diamètre d'un concombre et j'eus peur qu'elle me fasse saigner. Elle dû sentir ma crainte parce qu'elle me rassura. "J'irai doucement, ne te fais pas bile. Ça va rentrer comme dans du beurre. Tu as le cul plus accueillant que tu ne penses."

J'observais Sylvie. L'homme qui l'a fait jouir et pisser s'est branlé très rapidement, à côté d'elle. Elle le regardait faire. Un autre homme est venu, cul nu, déjà raide et encapuchonné, s'est craché dans la main, a frotté la raie de ma femme et l'a enculée. Je voyais ses doigts s'enfoncer dans la chair molle des flancs tellement il la tenait fermement. Celui qui se branlait a rapidement éjaculé en dirigeant son jet de foutre vers le ventre de Sylvie. Il étala sa semence sur les seins puis finit de s'essuyer la main sur la bouche de mon épouse.

La femme forçait mon cul avec son énorme mandrin. Je sentais que mon sphincter était déjà dilaté au maximum, mais le gland n'avait apparemment pas encore franchi la porte. Mon enculeuse fit tomber de la salive sur le gode, la répartit tout autour du trou qu'elle agrandissait, tira la peau à gauche, tira la peau à droite, poussa un peu et progressa de quelques millimètres. "Ça vient mon chéri. Tu vas bientôt tout avoir dedans." Elle me caressa les bourses pour m'encourager et recommença sa technique de pénétration : élargir le passage en tirant sur les chairs à droite et à gauche avec ses pouces, lubrifier le cylindre et l'entrée du trou, pousser encore un peu plus. Je sentis enfin mon muscle se refermer sur le bord du gland. Le gode était pris, fixé en moi. La femme le fit avancer rapidement jusqu'à ce que son pubis bute contre mes boules.

Sylvie et moi nous faisions enculer tous les deux. Elle, à un rythme qui s'apparentait aux trépidations d'un marteau-piqueur et moi, d'une façon qui évoquait le marteau-pilon. On me bourrait le cul à petits coups de reins réguliers. L'homme se figea soudain au fond du cul de Sylvie, la tenant pressée contre son ventre et lui écrasant les fesses. Il se vidait les couilles. Puis, il se retira, ôta sa capote et vint la vider dans la bouche maintenue ouverte par le bâillon. C'est sans doute son prédécesseur qui venait de l'inspirer.

Une file s'était formée près de Sylvie et déjà une dizaine d'hommes attendaient leur tour. Ils avaient tous leur queue en main et se maintenaient en érection. Le premier de la file prit son tour. Il s'agrippa aux cuisses de Sylvie et la força par le vagin. Il était assez gros et soufflait fort. Il donnait des coups de reins lents mais puissants. Il lâcha les cuisses pour attraper les seins. Il s'en servait de point d'appui en tirant dessus pour tracter Sylvie vers lui, puis il appliquait une force contraire pour la repousser. Il créait un mouvement de balançoire qui lui permettait de baiser sans plus bouger son bassin. Il se frottait la queue dans le fourreau à sa disposition, la poitrine lui servant de propulseur.

La femme continuait de me bourrer à petit à-coups. "Je vais maintenant te mettre le plus gros. C'est là que tu vas jouir." Elle décula et prit le quatrième gode, celui qui m'avait intrigué par sa forme. C'était une main, prolongée par un avant bras, en plastique. Mes yeux devaient sembler vouloir dire que jamais ça ne pourrait rentrer. "Mais si tu vas la prendre, tu vas voir. Tout entière dans ton cul, jusqu'au coude, promis. Et tu vas aimer. Après, je te fisterais. Comme ma main est plus petite que celle là, ce sera une douceur pour toi." Elle s'enduisit toute sa main droite de lubrifiant. Elle me massa l'anus, entrant directement trois doigts. Mon trou devait être béant. Elle assouplissait le passage en faisant aller et venir ses doigts à l'entrée. Elle ajoutait du lubrifiant et il devait en entrer une forte quantité dans mon rectum. Elle joignit son auriculaire aux autres doigts, puis parvint même à y accoler le pouce. Elle tournait ses cinq doigts enfoncés jusqu'à la troisième phalange.

Elle fixa la main artificielle à sa ceinture, la maintint en position horizontale et l'entra assez profondément dans mon cul. On était cependant loin d'avoir franchi les jointures, le point le plus large de la main. Mais elle ouvrit mon anus plus largement encore, donna des petits coups d'avant en arrière pour assouplir l'anneau avant de progresser à nouveau. Je ne contrôlais plus mon sphincter depuis longtemps. Mais millimètre après millimètre, elle entrait dans mon cul.

Je m'intéressais peu à Sylvie, tout entier accaparé par ma douleur, impatient de sentir la main à l'intérieur pour soulager enfin mon sphincter. Néanmoins, je voyais les hommes se succéder, la prenant par l'un ou l'autre de ses deux trous. Certains la léchaient avant de la baiser, d'autres étaient plus directs, se contentant de sortir leur queue pour la rentrer, sans même se déculotter. Selon leur taille, ils devaient soit se tenir sur la pointe des pieds, soit fléchir les cuisses pour être à bonne hauteur. Une fois qu'ils avaient fini, tous venaient lui verser leur capote pleine de sperme sur le visage. C'était devenu un rituel instauré par celui qui l'avait sodomisée en premier.

Puis c'est arrivé. La femme m'annonça fièrement qu'elle avait franchi le Rubicon. La partie la plus large était passée et je sentais effectivement que la paume de la main glissait dans mon rectum et que mon cul se refermait sur le poignet. Elle se pencha et pris mon gland dans sa bouche. "Tu l'as bien mérité mon chéri. Maintenant que tu en as pris une fausse, je vais t'en mettre une vraie. Tu vas voir, c'est beaucoup mieux. La vraie, elle est plus douce. On peut la faire bouger de l'intérieur, refermer le poing pour remplir ou au contraire, étendre les doigt pour fouiller."

Elle tira le gode vers l'arrière, tout aussi lentement qu'elle l'avait entré en moi. Je sentis à nouveau ma rondelle s'élargir au fur et à mesure que la main progressait vers les articulations des doigts. Mais ce second passage fut un peu moins pénible que le premier. Mon cul devait déjà être un peu entraîné à un tel calibre.

La femme se graissa la main gauche et me caressa ma pastille endolorie. Elle procédait par des mouvements circulaires, le bout des doigts caressant l'entrée du rectum. Progressivement, elle accentua sa pression et sa main s'enfonça. Les cinq doigts furent facilement à l'intérieur. Puis, elle poussa un peu et je sentis qu'elle rentrait la partie la plus large. Ce n'était plus douloureux, mais au contraire une sensation agréable de sentir l'anneau s'écarter, un peu comme quand on fait caca, mais avec une progression dans l'autre sens.

Enfin j'étais fisté, pour la première fois de ma vie. Comme elle me l'avait annoncé, c'était une drôle de sensation de sentir ce poing en moi. Elle le déformait au gré de ses envies. Elle me pistonnait un peu, elle ouvrait sa main, du moins autant que le confinement le lui permettait, elle essayait d'aller plus profond en s'enfonçant plus loin que son poignet. Je voyais son avant-bras disparaître de mon champ visuel en entrant dans mes entrailles.

Avec sa main droite, elle commença à me branler, massant mes couilles puis la bite. Elle savait y faire. Elle tenait ma queue dans sa main. Elle avait son index sur le frein. Elle ne frottait pas la verge mais elle faisait descendre et monter la peau sous le gland et elle me stimulait avec son index. Elle a approché sa bouche et a placé le bout de sa langue sur le méat. "Comme je te touche ta prostate de l'intérieur, tu éjacules du liquide pré-séminal. Pour moi, c'est comme du nectar. J'adore le tirer et l'avaler comme un spaghetti translucide." Le rythme de sa masturbation s'accélérait et je sentais le plaisir venir. J'essayais de serrer mes fesses mais c'était impossible avec ce bout de bras qui distendait mon sphincter. La femme a senti que le sperme allait gicler et elle appuya sa main enfouie pour accentuer mon éjaculation. Simultanément, elle goba ma bite et aspira de toutes ses forces. Le plaisir était indescriptible. Je poussais une plainte incontrôlable, qui dura la dizaine de secondes de mon orgasme. Puis la femme sortit rapidement sa main, libérant mon cul qui se referma. Ma queue était luisante mais il n'y avait pas une goutte de perdue. Elle avait tout avalé.

Tout ne fut pas fini pour autant. Sylvie continuait à se faire baiser. Tous les hommes de la soirée voulaient se la faire. Elle avait le visage et les cheveux maculés de foutre. Ça tombait par terre en larmes de chandelle. Elle en avait aussi dans la bouche : la boule en caoutchouc qu'elle mordait en était recouvert. Quant à moi, plus personne ne s'intéressait à mon sort. Je restais suspendu et regardais ma femme se faire mettre à la chaîne. Elle n'avait plus d'orgasme mais elle continuait de prendre du plaisir. Cela se voyait à son regard, à sa tête qu'elle tendait vers la capote qu'on déversait, pour placer sa bouche juste en dessous. Je ne la savais pas si friande de semence.

Je n'ai pas compté, mais je dirais qu'une trentaine d'hommes la possédèrent ce soir là.

Une fois que tous furent assouvis, on nous détacha. Sylvie alla à l'espace de bains se refaire une beauté, surtout le rouge à lèvres et un shampoing. Moi, je suis allé me laver les fesses qui étaient très grasses. D'ailleurs, j'avais encore du lubrifiant qui me sortait du cul.

Pendant la route du retour, j'évoquais avec ma femme la séance de bukkake qu'elle venait de subir. Je lui dit mon étonnement de la voir si désireuse de recevoir tout ce sperme sur son visage et plus particulièrement dans la bouche. Je fis le lien avec la cabine de gloryhole et lui demandais si elle serait d'accord pour essayer. Elle me répondit qu'elle y avait pensé elle aussi pendant qu'on la recouvrait de foutre. Elle m'avoua qu'elle avait regretté de ne pas pouvoir en avaler à cause du bâillon. Je sus ce qui nous attendait pour notre prochaine visite au club.

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Anonymous
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3 Commentaires
elkoelkoil y a presque 5 ans

excellent et tres excitant

AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans

Vraiment très bien

Rudy

CocuforeverCocuforeveril y a presque 5 ans

et bien on attendra le prochain épisode avec excitation.

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