L'avocate

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Début de une vie d' avocate.
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Préambule :

Il est souvent plus facile de se présenter par une image ou une personne connue.

Et comme il parait que l'on a tous un sosie dans le monde, d'après certaines personnes de mon entourage je ressemble très fort à l'actrice X américaine Felicia Clover : Même poitrine, mêmes rondeurs, même chatte, même cul...

Voilà donc à qui vous devez vous référer si vous désirez avoir une image de moi pour vous accompagner dans vos plaisirs, solitaires ou non (si vous lisez ceci en couple voire plus).

Cette histoire est un pour fantasme et je n'ai pas encore décidé le nombre de chapitres qu'elle va comprendre. Le titre, « L'avocate » est choisi à dessin, mais avant de devenir avocate, un long et sinueux chemin reste à parcourir. cela fera l'objet des premiers chapitres.

Le commencement

J'avais 18 ans et demi, mes études secondaires tout juste terminées. il était donc temps de songer à se lancer dans une carrière professionnelle et donc de choisir une filière pour y accéder. Ayant toujours voulu que justice sois faite, je me serais bien vu juge dans quelque années, mais pour acquérir de l'expérience, il était préférable d'être d'abord avocate. C'est donc tout naturellement que mon choix s'est porté sur ces études, ma foi assez longues déjà.

Trouvant plus intéressant de monter à la capitale afin d'avoir un niveau d'études plus poussé, je décidai donc de mettre un terme à ma relation avec mon petit copain de l'époque. Pas qu'il n'y ait pas d'amour entre nous, mais c'était plus comme une amitié avec affinités, ce que l'on appelle maintenant "un plan cul".

Cela avait commencé cinq ans plus tôt, à l'époque où nos poils pubiens commençaient à pousser et que garçons et filles s'initiaient à jouer à touche-pipi. Eh oui, très jeune j'adorais déjà jouer à ça, pas vous peut-être?

Très vite, Dimitri a remplacé son doigt, très fin, par un doigt, disons... plus gros qu'il frottait sur mes grandes lèvres entre mes cuisses, par devant pour pouvoir tenir dans ses mains ma poitrine naissante tout en dévorant mes autres lèvres. Nous faisions cela tous les jours dans un champ tranquille à l'écart du village après les cours.

Jusqu'au jour où... Je ne sais pas, il était peut-être un peu plus pressant que d'habitude, ou moi plus lubrifiée. Toujours est-il que dans un de ses mouvements de va-et-vient, son gland dérapa et me pénétra direct et à fond. Je venais de perdre mon hymen, et pas de la façon la plus douce !

Grosse panique, ma chatte en sang, l'excitation s'est arrêtée tout net. Pour moi en tout cas, car lui se marrait comme un gamin débile. Je pensai immédiatement : Tu viens de perdre ton pucelage aussi gros con. Mais apparemment, l'idée de perdre le pucelage chez un garçon ou chez une fille n'est pas la même.

Je rentrai immédiatement chez moi et filai sous la douche. L'écoulement de sang s'était arrêté entre-temps. Et c'est donc là que pour la première fois, sous ma douche, je me suis rentrée un doigt complètement.

Mon vagin été encore douloureux, mais moins qu'à la pénétration que je venais de subir. Je commençai même à y trouver un début de plaisir. Après tout, j'étais une femme maintenant, et dans certaines tribus d'Afrique, les filles sont faites femmes bien plus jeunes que moi.

Pendant les quelques nuits suivant cet évènement, dans mon lit je laissais ma main se perdre dans la fourche de mes cuisses, un doigt me pénétrant au plus profond de moi-même. Mais il me fallait autre chose.

Un jour, en sortant du collège, je me décidai à donner rendez-vous à Dimitri à notre lieu de touche-pipi habituel. La différence, c'est que quand il est arrivé, j'étais déjà allongée sur le dos, pieds posés à plat sur le sol, cuisses largement ouvertes, et surtout : entièrement à poil.

même s'il ne brillait pas par son intelligence, il a très vite compris ce que je voulais. Il s'est vite déshabillé, et s'est positionné entre mes cuisses, ne prenant pas le temps pour des préliminaires. Il m'a pénétrée d'un coup, moins brutalement quand même que lorsqu'il avait déchiré mon hymen. Mais bon, j'aurais bien aimé qu'il prenne le temps de me caresser un peu pour me faire mouiller et m'exciter. Heureusement, le connaissant je l'avais fait toute seule en attendant son arrivée et pendant qu'il se déshabillait. Sinon c'est certain qu'il m'aurait prise à sec. Bref, il fait ses allées et venues tout au plus trois minutes minutes peut être et lâche son jus au fond de ma chatte sans se préoccuper de savoir si j'avais joui moi aussi.

Voilà, c'était notre première fois. J'ai ensuite couché régulièrement avec lui pendant ces cinq années, sans qu'il n'en fasse plus que de vider ses couilles, le plus souvent en levrette ou en missionnaire. Fin de la parenthèse.

Ce soir-là donc, je lui annonçais mon départ pour la capitale, et par conséquence la fin de notre relation, pour autant qu'on puisse appeler relation ces parties de jambes en l'air. Il comprenait très bien et me sortit un truc du genre "nous deux, c'était pour passer le temps, rien de plus".

Il comprenait surtout qu'il allait devoir trouver un autre trou pour vider ses couilles. Pas trop bête, il me demanda en guise d'adieux un dernier rapport. Requête à laquelle je ne sais pas pourquoi, j'accédai. Peut-être étais-je un peu salope moi aussi ? Je venais pour plaquer ce mec et lui offrais une partie de baise en prime. Comme à son habitude, Dimitri me dit : Allez, à poil, et écarte ! Vous voyez, ce garçon, c'était le romantisme incarné.

Ayant tout de même acquis un peu d'endurance au cours de ces cinq années, c'est une demi-heure plus tard environ, n'ayant pas ma montre à portée de main, qu'il s'est retiré pour éjaculer sur mes seins cette fois-ci, ce qui était nouveau. Tout ça en me disant qu'il ne voulait pas me mettre un polichinelle dans le tiroir, maintenant que le l'abandonnais pour mes études, terminant sa phrase en la ponctuant d'un "salope". Après cette charmante attention, nous nous sommes rhabillés avant de partir chacun de son côté. Moi, chez mes parents, lui sans doute en quête d'une autre chatte à bourrer.

A la fin de cet épisode de ma vie, j'étais encore pour peu de temps chez mes parents, douche prise, valise bouclée, en train de me coucher, car le lendemain c'était le départ à cinq heures pour la capitale et de nouvelles aventures.

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9 Commentaires
HBuffHBuffil y a environ 1 an

Très intéressante, cette scène d'hymen rompu! Une belle baise dans un champ entre adolescents. Au Québec, on appelle ça "aller dans le bois".

charlottelovesexeardbdsmcharlottelovesexeardbdsmil y a presque 3 ansAuteur

Bonjour, j'aurais pu changer de titre en cours d’histoire, mais, je voulais directement montrer le chemin qu’une femme prend pour être avocate et, arriver en haut de l'échelle

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Pas mal du tout il faut absolument la suite merci pour ce récit mais la relation avec le titre me donne envie d en savoir plus

charlottelovesexeardbdsmcharlottelovesexeardbdsmil y a presque 3 ansAuteur

Bonjour mon cher ami Trouchard, c est un réel plaisir d’avoir un commentaire de ta part, moi, qui te suis sur le site depuis un moment, je ne sais pas si cela est possible, mais j’aimerais te parler en message privé, car j’aurai besoins de tes conseils pour la suite

trouchardtrouchardil y a presque 3 ans

Bien écrit, on dirait une réelle tranche de vie. J'espère que tu vas continuer. Merci.

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