Le Club Libertin

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Eric et Sylvie sont soumis dans un club libertin.
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Je m'appelle Eric et j'ai 43 ans. J'ai une femme, Sylvie, qui a 40 ans.

Ma femme n'aime pas trop le sexe. Nous avons encore des rapports sexuels ensemble, mais assez irrégulièrement et l'impression que j'en ai, c'est qu'elle le fait pour moi plutôt que pour elle-même.

Un jour, j'ai eu la surprise de constater qu'elle regardait des vidéos pornos en cachette. Je m'en suis aperçu en fouillant l'historique de ses recherches sur internet (je sais, ce n'est pas bien d'espionner son conjoint mais je n'ai pas pu m'en empêcher).

Ce qui semblait l'attirer, c'étaient les situations de soumission. Par exemple, elle avait visionné un clip où une femme attachée et masquée se faisait prendre par plein d'hommes à la file.

Cela allait à l'encontre de que ce que je pensais de ma chère et tendre épouse.

De mon côté, je n'étais pas offusqué par ce que je venais de découvrir. Au contraire, ça m'excitait plutôt. Ce n'est pas que je souhaitais voir ma femme se faire prendre par toute une troupe, mais j'aimais savoir qu'elle avait des fantasmes.

Sans lui révéler ma découverte, je lui parlais d'un club libertin qui existait à une trentaine de kilomètres de chez nous. Mon idée était de lui donner l'opportunité de mettre ses rêves plus en accord avec ses actes. Je n'avais pas de plan particulier en tête quant à ce que nous ferions une fois là-bas mais je comptais bien la convaincre d'y aller, ne serait-ce qu'une fois. Par exemple, je n'avais pas envisagé de prêter ma femme à d'autres hommes.

Fidèle à son image, Sylvie haussa les épaules et me dit que le libertinage, ce n'était pas sa tasse de thé. Je lui proposais néanmoins d'y aller le samedi soir suivant, pour voir ce que c'était. J'ajoutais que pour les couples, l'entrée était gratuite et que le thème cette fois était le gang-bang.

Elle me fit valoir que dans ce genre d'endroit, il fallait porter des tenues sexy, et que nous n'avions rien de tel dans notre garde-robe. Je sentais que nous progressions dans la bonne direction. D'une part, elle n'opposait pas un refus catégorique, mais elle mentionnait des obstacles. De plus, j'étais un peu surpris qu'elle sache des choses sur les clubs libertins et en particulier qu'on y prenait soin de sa lingerie. Enfin, elle ne me demanda même pas ce que c'était que le gang-bang.

Je réglais le problème de la tenue en proposant un style sportif pour moi et une robe d'été pour ma femme, ce qui était de saison. Pour les sous-vêtements, je suggérais qu'elle n'en porte tout simplement pas. Bien évidemment elle renâcla et je la vis passer en revue ses tiroirs de culottes et soutien-gorges. J'en fus heureux, parce que cela voulait dire qu'elle prenait ma proposition de visite au club au sérieux.

Le samedi finalement, Sylvie ne mit pas de culotte ni de soutien-gorge. Ce n'était pas habituel pour elle mais j'ai pensé que ça avait dû faire son chemin dans sa tête et qu'elle devait trouver ce choix commode, plus sexy que ses sous-vêtements au style pas très libertin et enfin, ma foi, assez excitant. Cela avait en plus l'avantage de ne faire apparaître aucune marque de slip sous sa robe. Quant à sa poitrine, elle se tenait encore suffisamment, aucun souci de ce côté là.

Nous sommes partis vers 22 heures, après dîner. En arrivant au club, nous avons été accueillis chaleureusement. Nous avons précisé que c'était notre première visite dans ce genre d'endroit et on nous prit en charge de façon très attentionnée. On commença par nous amener aux vestiaires où je pus poser mon veston et ma femme, son sac à main. Puis, elle en robe et moi en chemise, nous sommes allés prendre une boisson au bar. C'était le lieu idéal pour commencer à observer. Ce qui était surprenant, c'était qu'il y avait beaucoup d'hommes. J'ai pensé que le thème de la soirée en était sans doute la raison. Pour qu'il y ait gang-bang, il fallait qu'il y ait gang.

La salle où nous étions se composait de petits coins salons avec fauteuils, canapés et tables basses et une piste de danse. Les canapés étaient propices aux flirts et certains couples se caressaient et s'embrassaient sans beaucoup de pudeur. De même que ceux qui se pelotaient faisaient preuve de pas mal d'exhibitionnisme, les hommes en retrait, soit debout dans la salle, soit au bar, pouvaient satisfaire leur penchant pour le voyeurisme. On pouvait découvrir, par-ci par-là, une robe un peu trop relevée, une paire de cuisses un peu trop ouverte, une main qui disparaissait dans un décolleté ou qui malaxait une protubérance. Apparemment, Sylvie n'était pas la seule à ne pas porter de culotte. Cependant, il n'y avait pas d'acte sexuel en cours, apparent ou caché.

Une hôtesse vint nous rejoindre pour nous expliquer ce que le club proposait. Mis à part cette salle, il y avait des salons privés où on pouvait se retrouver à plusieurs. Ensuite, le club était équipé de jacuzzis, hammams et saunas. Il y avait encore une salle de soumission et une cabine de gloryhole. Pour ce qui était du code de conduite, on pouvait faire ce qu'on voulait, en particulier se mettre nu. Mais pour s'insérer dans un groupe, il fallait le demander avec courtoisie et ne pas insister en cas de refus. Enfin, le club pouvait nous fournir des préservatifs si nous le souhaitions.

De façon surprenante, Sylvie ne posa aucune question, n'éprouvant pas par exemple le besoin de savoir ce qu'était un gloryhole. Peut-être en avait-elle déjà vu sur les vidéos qu'elle regardait sur internet et cela n'avait-il plus de secret pour elle.

Je constatais que ma femme attirait les regards. Nous étions assis sur des tabourets hauts et sa robe découvrait assez généreusement ses cuisses. De plus, nous étions tournés vers la salle plutôt que face au comptoir. Notamment, je voyais qu'un homme assis dans un fauteuil semblait hypnotisé, les yeux pointés vers l'entrecuisse de mon épouse pour ne pas manquer l'instant où elle décroiserait ses jambes, ce qu'elle faisait régulièrement. Il avait dû s'apercevoir qu'elle n'avait pas de culotte.

Une fois nos consommations avalées, nous nous sommes mis d'accord pour faire un tour du côté de la salle de soumission. C'est là que se tenait le gang-bang.

C'était une pièce très bien équipée. Il y avait une croix de Saint André à laquelle on pouvait attacher les quatre membres d'une personne avec autant de menottes. On trouvait aussi accrochés à l'un des murs tout un attirail de petite torture : martinets, liens de bondage, menottes, bougies, sondes urinaires, godes de toutes tailles, avec ou sans ceinture, plugs anaux et même trois modèles de fucking machines.

Au centre de la salle, il y avait une sorte de billot. Une femme y était attachée, le buste sur le plateau, les jambes en position debout et écartées liées à deux des quatre pieds et les bras étendus en croix et eux aussi fixés à la table. Elle était nue. Un homme était derrière elle, le pantalon sur les chevilles, en train de la besogner en lui tenant les hanches à pleines mains. D'autres hommes la caressait. Ceux-là semblaient attendre leur tour. Ils avaient la braguette ouverte et entretenaient leur érection avec une masturbation légère.

Sylvie regardait de tous ses yeux. Elle semblait intéressée à la fois par le sort de la femme, les mouvements de bassin de l'homme avec ses fesses qui s'agitaient d'avant en arrière et les sexes de ceux qui patientaient. L'homme et la femme soufflaient, marquant ainsi le rythme. Puis, on comprit qu'il éjaculait. Après quelques soubresauts, il se dégagea en faisant un pas en arrière, retira le préservatif qui recouvrait sa bite, remonta son pantalon et s'écarta de la table. On pouvait constater qu'il l'avait enculée parce que l'anus était encore un peu ouvert.

L'un des hommes qui attendait le remplaça. Il ne prit même pas la peine de se déshabiller. Il fourra la femme directement avec son sexe qui sortait de sa braguette. Lui aussi avait mis une capote. Cela semblait assez compréhensible pour un gang bang. Il se mit à pilonner sa partenaire plus vigoureusement que son prédécesseur et assez vite il se soulagea. Puis il sortit son sexe, le remit dans son slip et referma sa braguette. On vit que cette fois, elle avait été baisée par la chatte.

Un autre se présentait déjà pour prendre sa place. Il se déculotta complètement, exhibant une belle queue toute raide qui fit l'admiration des autres femmes présentes, y compris la mienne.

Je vis qu'un homme était derrière Sylvie et lui caressait discrètement les fesses à travers sa robe. J'étais très surpris qu'elle le laisse faire, elle qui est d'ordinaire plus farouche. Il descendit sa main pour atteindre la peau nue au milieu de la cuisse. Puis il la remonta doucement, en passant sous le vêtement. Je ne voyais plus exactement quels attouchements il faisait à ma femme mais on pouvait deviner en observant le mouvement de la robe et celui de la protubérance en dessous, qu'il la pénétrait avec ses doigts, profitant de l'absence de culotte. Je vis même Sylvie fléchir et écarter légèrement les genoux, sans doute pour faciliter le passage et permettre une pénétration plus profonde.

Après quelques va-et-vient, l'homme sortit sa main, la sentit puis en nettoya consciencieusement chaque doigt avec sa bouche. Il devait aimer le jus de mon épouse.

Sylvie se rapprocha de moi et m'avoua qu'on venait de lui caresser la chatte. Je lui ai demandé si cela ne l'avait pas importuné mais elle me dit la vérité : elle était très excitée par ce qu'elle voyait. La femme offerte et les hommes qui se succédaient pour se soulager en elle, tout cela la mettait dans un état très vulnérable.

L'homme qui l'avait caressée vint vers nous et nous demanda si ma femme accepterait de se faire attacher à la croix de Saint André. Elle rougit et se tourna vers moi. En somme, elle semblait très attirée par cette proposition puisqu'elle ne protestait pas et que même, cela lui empourprait les joues. Mais elle s'en remettait à moi. Je l'interrogeais du regard pour déterminer si elle était simplement surprise de cette offre ou si elle était vraiment prête à franchir le pas, sachant qu'elle serait alors à la merci de tous les hommes présents.

Je questionnais alors l'homme pour qu'il m'explique comment il allait s'y prendre. Il ne me répondit pas, mais interpréta ma question comme une acceptation. Il prit Sylvie par la main et la mena vers la croix. A ce moment, les personnes dans la salle étaient surtout intéressés par la femme sur le billot, qui continuait à se faire prendre, tantôt par l'anus, tantôt par le vagin. On ne faisait pas encore attention à ce qui allait arriver à Sylvie.

L'homme lui fit lever les bras, pour les attacher aux deux montants supérieurs du X de la croix. Cela lui releva sa robe, découvrant assez largement ses cuisses. Puis, il se baissa et attacha le pied gauche. Il prit sa cheville, écarta ses jambes à soixante degrés et attacha le pied droit. Ma femme tenait sur ses pieds écartés, légèrement adossée à la croix. L'angle des cuisses faisait encore relever la robe.

L'homme vint ensuite nouer un bandeau autour des yeux de mon épouse. Puis, il s'éloigna et annonça à la cantonade que madame était servie.

Aussitôt, un autre homme s'approcha et pelota la poitrine de Sylvie. Il sortit le sein et le téta en aspirant le téton. Je ne sais pas si c'est ce suçon ou bien l'excitation, mais le téton était vraiment très érigé. L'homme le titilla avec sa langue, puis l'étira avec ses doigts.

Un troisième homme vint s'occuper de la partie basse. Il s'assit par terre. Dans cette position, il voyait parfaitement le sexe nu de Sylvie sous sa robe. Il semblait se contenter de se rincer l'œil. Puis, il se remit debout et leva la robe au dessus de la ceinture. On voyait que Sylvie avait la chatte humide. L'homme écarta les lèvres pour regarder la vulve. Elle était toute rose. Il n'y avait plus de doute pour personne : elle était très excitée.

Il caressa les lèvres avec ses doigts, puis pénétra le vagin. Il approcha sa langue du capuchon du clitoris et se mit à en lécher tout le pourtour. En même temps, il pistonnait la chatte avec ses deux doigts tendus. Il le fit de plus en plus vite, jusqu'à ce que Sylvie jouisse. Comme à son habitude, elle émit un petit jet d'urine. Etant donnée sa position, c'était comme si elle venait de pisser debout. L'homme retira aussitôt sa main et la laissa se soulager sur le sol. Mais elle l'implora de continuer et il reprit sa masturbation, la langue stimulant le clitoris et les doigts frottant la cavité vaginale. Peu après, Sylvie émit un second jet, l'homme sortant ses doigts mais ne cessant pas son cunnilingus, se faisant pisser sur le menton.

Sylvie faisait durer le plaisir, à chaque fois stoppant presque immédiatement sa miction. Elle se vidait la vessie, mais par petites doses. Chaque jet était déclenché par les contractions vaginales de l'orgasme. Elle ne pouvait s'empêcher de pousser une plainte à chaque fois qu'elle giclait.

Puis, son plaisir étant terminé, elle demanda à ce qu'on la détache. Les hommes présents qui commençaient enfin à s'intéresser à cette partie de la salle furent très déçus. Mais je vins délivrer ma femme et j'expliquais que c'était notre première visite et que nous devions nous habituer. Dans un club libertin, l'atmosphère est toujours très cordiale et il n'y eu pas de protestation.

Je commençais par baisser la robe et y rentrer le sein. Puis je dénouais les quatre membres et en dernier je lui ôtais le bandeau. Je l'embrassais alors et elle me serra dans ses bras.

Visiblement, c'était assez pour elle pour ce soir. Nous ne tardâmes pas à partir.

Sur le chemin du retour, je la questionnais pour savoir si cela lui avait plu. Elle me dit qu'elle avait été affreusement gênée de faire pipi par terre devant tout le monde. Je la rassurais en lui rappelant que l'homme avait continué à la branler et même à lui lécher le sexe pendant qu'elle se soulageait. Je lui indiquais également que les autres personnes présentes étaient toutes éblouies par le spectacle : sa position en offrande, l'obscénité de la scène avec cette femme troussée et dépoitraillée qui faisait sous elle, tout cela mêlé à son très long orgasme et au travail soigné de l'homme qui lui triturait et lui dégustait le con.

Elle me demanda si cela ne m'avait pas embarrassé de la voir se faire toucher par d'autres hommes. Je lui répondis qu'au contraire, j'en avais été très excité. Je le lui prouvais en ouvrant ma braguette et en sortant ma queue tout en tenant le volant. Elle n'eut aucun doute sur ma complaisance puisqu'elle pu s'assurer, avec sa main gauche, que je ne mentais pas (la conduite à gauche de nos automobiles ne permettent à la passagère de masturber le conducteur que de la main gauche, alors que la conduite anglaise permet une manipulation de la main droite, plus habile chez une droitière). Elle me branla jusqu'à ce que j'éjacule sur mon pantalon. Heureusement, la route était assez droite au moment de mon orgasme.

Je voulus ensuite savoir si elle souhaitait retourner à ce club un autre jour. Elle me répondit indirectement en me disant qu'elle avait été fascinée par la femme offerte, par cette succession ininterrompue de mâles la prenant sans considération, se soulageant en elle. "Tu aurais voulu être à sa place?". Elle m'expliqua qu'elle avait imaginé pour nous un scénario légèrement différent. Je fus intrigué qu'elle parle de nous et je lui demandais de m'éclairer. Elle voulait elle aussi être sans défense, sans possibilité de se soustraire aux saillies, mais elle voulait voir les hommes la prendre, donc avoir une position ressemblant plus au missionnaire qu'à la levrette. Ensuite, elle voulait que je sois tout aussi contraint qu'elle, pour en quelque sorte assister impuissant au spectacle de ma femme forcée et y prenant plaisir.

Mais dès qu'elle m'eût raconté son fantasme, elle se protégea et tenta de me rassurer en me disant que ce n'était qu'un rêve et que nous pouvions retourner là-bas juste pour voir, sans vraiment participer. Mais plus je réfléchissais, plus je m'identifiais au personnage du mari neutralisé. "Ma chérie, nous allons regarder quand ils organisent une nouvelle soirée gang-bang et nous irons faire un tour puisque ça te fait plaisir."

Une fois à la maison, le site internet du club nous apprit qu'il nous faudrait attendre deux semaines. Nous n'avons pas reparlé de notre future visite, ni du scénario. Mais je suis certain que dans sa tête, ma femme mettait en place tous les détails, comme je le faisais moi-même à ma façon.

Quand il fallut se préparer, je vis que Sylvie sortait de ses tiroirs un nouvel ensemble slip et soutien-gorge très sexy. Je lui en fis la remarque et elle m'apprit qu'elle avait consacré les deux dernières semaines à la recherche de ces sous-vêtements. Elle me surprit encore en me tendant un petit paquet cadeau, qui contenait un joli caleçon pour moi.

Au club, on nous accueillit comme des habitués, même si ce n'était que notre seconde visite. Nous étions arrivé assez tôt dans la soirée et le patron nous dit que les choses sérieuses ne commenceraient que dans une petite heure. Nous en avons profité pour faire le tour des autres aménagements du club, que nous pouvions visiter sans déranger personne puisque tous étaient inoccupés. La cabine de gloryhole sembla intriguer Sylvie. Elle y resta plusieurs longues minutes, essayant sans doute d'imaginer une femme accroupie en train de faire une fellation à un sexe. Pas à un homme, mais seulement à un sexe. En revenant vers le bar, je me rendais compte qu'elle était très troublée.

Je lui rappelais son scénario et lui demandais comment elle comptait s'y prendre pour le mettre en oeuvre. Elle me proposa d'en parler au patron, qui nous aiderait certainement dans nos préparatifs. Je la laissais et me dirigeais vers la salle de soumission. Je vis qu'elle entamait ses explications, que le patron l'écoutait très attentivement et qu'il semblait vivement intéressé. Ils me rejoignirent et le patron nous dit de nous mettre en place sans plus attendre, pour que les autres clients, au fur et à mesure de leurs arrivées, découvrent la scène. Déjà, plusieurs couples et plusieurs hommes seuls étaient au salon.

On commença par dégager un grand espace central. Puis le patron plaça Sylvie debout, les bras levés et écartés en V. On lui attacha les poignets à des anneaux suspendus au plafond. On la prit par les pieds et on souleva ses jambes pour attacher ses chevilles à deux autres anneaux tout aussi éloignés que ceux des bras. Heureusement pour elle, les attaches étaient rembourrées et semblaient ne pas blesser la chair. Sylvie avait les quatre fers en l'air, les fesses étant la partie la plus basse, à hauteur de ceinture des hommes qui l'installaient. Ainsi, elle ressemblait à un hamac. Sa robe était retroussée sur son ventre et on voyait sa culotte. On lui mit un bâillon, une sorte de grosse boule qui lui obstruait toute la bouche, fixée par un caoutchouc solide qui faisait le tour de sa tête. On ne lui mit pas de bandeau sur les yeux, selon son souhait.

Puis, on s'occupa de moi. On me demanda de retirer mon pantalon. On m'accrocha à quatre autres anneaux, dans la même position que ma femme. Nous nous faisions face elle et moi. J'étais aussi bâillonné.

Une fois que tout fut installé, le patron informa l'assistance que nous étions à leur disposition pour satisfaire toutes leurs envies, sans brutalité. Je fus assez surpris par la tournure de la situation. Je savais que Sylvie serait offerte, mais je ne me doutais pas que je le serai aussi. Or ma position était une invitation claire à abuser de moi autant que de ma femme. Mais je ne pouvais pas protester, seulement manifester une éventuelle hostilité en grognant, ce dont je m'abstins, ne voulant pas en plus me ridiculiser.

Un couple s'approcha de nous, l'homme venant se placer du côté de Sylvie et sa conjointe se rapprochant de mes fesses. Ils nous faisaient face et se tournaient le dos. La femme baissa mon caleçon, ou plutôt le releva le long de mes cuisses étant donnée ma position, découvrant mon anus, mes couilles et mon sexe. Je vis que son époux faisait de même avec la culotte de Sylvie. Nos slips restaient bloquées à mi-cuisse mais c'était suffisant pour découvrir nos orifices.

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