Le Champagne et Ses Suites

BÊTA PUBLIQUE

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- Oups!

Elle nous révèle son slip en dentelle noire. Sur la photo que j'avais vue, elle était seins nus, mais en short. Les fesses rebondies qu'elle dandine à un mètre de ma figure sont de la même qualité que la poitrine, fermes et musclées. Je jette un regard rapide vers Charlotte, qui a les yeux collés à ce joli popotin, à la peau lisse et tentante. Je vois même le bout de sa langue qui sort pour lécher ses lèvres.

Farida joue avec les boutons de son chemisier. Une fois qu'ils sont tous ouverts, elle le garde fermé à deux mains. Elle se penche en avant, d'abord vers Adam puis vers moi. La vallée entre ses seins est profonde et alléchante. Quand c'est au tour de Charlotte, tout d'un coup Farida se met bien droite et ouvre les deux pans du chemisier en grand. Les yeux exorbités de ma femme montrent son étonnement et son plaisir. Que porte Farida comme soutif? Elle me fait encore patienter. Pour Adam ça ne doit pas être nouveau de voir sa femme en lingerie, mais pour moi, le seul à ne pas avoir profité de la vue, l'attente semble longue.

Finalement elle me fait face. De nouveau elle tient le chemisier fermé, avant de me révéler une épaule nue, puis les deux. Toujours en suivant le rythme de la musique, elle me tourne le dos et laisse glisser le chemisier le long de ses bras et de son dos. Elle le balance à la figure de son mari et se retourne vers moi. Quelle vision! Une paire de seins ô combien plus sexy que dans la photo! Le soutien-gorge est style balconnet, et ses seins nus reposent sur, mais ne sont pas du tout cachés par cette armature. Je comprends maintenant pourquoi Charlotte a eu l'air de les bouffer des yeux. Farida, qui ne porte plus que ce slip minime et cet accessoire érotique, est superbe. Ses tétons, larges de deux centimètres, ont les bouts comme des raisins sultanes secs. Superbe.

Sans un mot, Charlotte enlève le papier d'argent de la bouteille vide et pose celle-ci sur le parquet. Farida regarde ma femme, puis la bouteille. La chanson finit et elle arrête de danser. Le morceau suivant commence. Il est lent et sensuel. Farida commence à descendre son slip et nous montre un minou aux poils noires courtes et bien entretenues. Du bout du pied, elle m'envoie sa culotte à la figure en riant. Je la mets sur ma tête en couvre-chef, ce qui la fait rire encore plus, les autres aussi. Elle aspire profondément et se met à genoux. Elle est nettement plus petite que Charlotte, et dans cette position il lui sera difficile de rentrer la bouteille dans son vagin. Elle se relève et s'accroupit. En fléchissant les genoux, elle arrive à la bonne hauteur, où le goulot est à un centimètre de son sexe aux lèvres charnues.

- Attention! C'est parti! crie Farida. Elle se laisse descendre et la bouteille pénètre dans son vagin.

- Aïe, c'est froid! annonce-t-elle. Cela ne l'empêche pas de commencer une montée et descente qui ont l'air de lui procurer un immense plaisir.

- Mmm, c'est bon. Je suis une éhontée, vous ne trouvez pas?

- Si! Ça c'est Charlotte. Voilà! C'est aussi ce que j'ai ressenti moi, dit- elle. Et c'est ça qui est encore plus excitant. Être à la fois une femme adulte et mariée, et en même temps une garce qui se fait plaisir avec de petites perversions sexuelles.

- Oui! Oui! C'est ça! Oh, que c'est bon!

- Mais tu n'as pas encore fini, dit Madame d'un ton mesquin. Attends que je cherche la boîte à outils.

- Pas la peine, dit Adam. Il prend une des demi-bouteilles de la table et la tend à sa femme. Celle-ci a réussi à faire pénétrer la première bouteille assez loin pour lui permettre d'être agenouillée. Elle fait des montées et descentes, très lentement, et l'effet se voit sur sa figure.

- Je ne bouge pas, annonce-t-elle. C'est trop bon. N'hésite pas, Charlotte. Si tu veux vraiment me voir imiter ta photo, tu devras me le faire. Chiche?

Sans un mot, Charlotte se lève. Elle prend la bouteille des mains d'Adam, et va se mettre debout devant Farida, les jambes écartées. Elle soulève le devant de sa robe et en fait une tente qui enferme la tête de Farida. J'arrête de respirer. Le sexe de ma femme doit être à des millimètres de la bouche de Farida! Quatre, cinq, dix secondes s'écoulent et les deux femmes restent apparemment immobiles. Cependant, je vois que Charlotte lutte pour ne pas sourire. Puis elle rit et se défait de sa robe complètement, ce qui révèle la figure de Farida. Le recul involontaire de celle-ci me suggère que les millimètres ont dû être franchis, et je bande encore plus fort.

- Passons aux choses sérieuses, dit ma femme. Elle se met à genoux face à Farida et avance, jusqu'à ce que leurs corps se touchent. La blonde et la brune, le contraste est des plus excitants. Étant plus petite de presque vingt centimètres, Farida se retrouve avec les seins de Charlotte près de ses lèvres. Ma femme ne réagit pas quand elle sent ces lèvres se refermer sur un téton. Elle fait glisser la demi-bouteille le long de la colonne vertébrale de Farida. La bouteille n'est pas tout à fait vide, et Farida frissonne au contact du vin froid et pétillant qui coule le long de son dos et disparaît entre ses fesses.

Je me lève et Adam m'imite. On passe derrière Farida, juste à temps pour voir que Charlotte lui a écarte les fesses et est en train de fourrer la petite bouteille entre elles.

- Doucement! dit Farida. Laisse-moi me détendre et ça rentrera tout seul.

Charlotte obéit. Je vois sa surprise quand la bouteille glisse entre les fesses de Farida. D'après la profondeur, ça ne peut être que dans son cul.

- Attends! dit Farida. Passe-moi l'autre demi-bouteille.

J'enlève le papier argent et je donne la bouteille à Farida. Elle sort le goulot de la grande bouteille de son sexe et la remplace par la petite.

- Voilà qui est mieux, dit-elle. Elle se soulève un peu et on voit que les deux bouteilles sont côte à côte sous son entrejambe. Elle nous regarde, et se laisse descendre, très lentement. Je vois celle de devant qui dilate son vagin. Les lèvres de sa vulve englobent le verre. Un coup d'œil vers Adam, qui est derrière sa femme, me confirme que la même chose se passe.

Farida continue à descendre. Presque la moitié de la bouteille a disparu. C'est plus difficile pour elle maintenant, et elle doit se forcer à les rentrer davantage.

- Charlotte? Tu veux appuyer sur mes épaules? Je veux être pleine, pleine au possible.

Ma femme lui met les mains sur les épaules et pousse. Farida crie.

- Stop. C'est bon. Ça ne rentre plus.

Elle met une main devant et une derrière pour maintenir les intrus en place, puis, avec l'aide de Charlotte, elle imite la position de la fameuse photo, sauf que ses seins, beaucoup plus gros que ceux de mon épouse, pendent entre ses genoux écartés et la pouffe. Elle est magnifique et je regrette ne pas avoir de film pour l'appareil.

Mon épouse lit mes pensées.

- Dans la chambre. Il y a un film sur le lit, elle me souffle. Je cavale chercher l'appareil. Heureusement je sais le manipuler bien mieux maintenant. De retour au salon, je prends la première photo, que je donne à Charlotte pour qu'elle compte les secondes. Un deuxième cliché, que je passe à Adam.

- Trente secondes, pas plus ni moins.

La troisième photo je m'en occupe.

- Fini, grogne Farida. Elle extrait les bouteilles et se met assise sur le pouffe.

- Je peux voir? dit- elle.

On a trois superbes (pour des Polaroïd!) photos en noir et blanc, toutes très nettes. Les fesses de Farida forment un cadre pour les culs des bouteilles qui la pénètrent. On voit ses longs cheveux et, au-delà de ses cuisses largement écartées, ses magnifiques seins qui pendent, avec ses tétons en pleine érection.

- Bravo, dit Charlotte. Tu m'as dépassée de loin. Quelle chance d'avoir une si belle poitrine! Je croquerais dedans, presque!

- Pourquoi presque? demande Farida. Je t'invite! Ma copine et moi, nous ne faisions pas que de danser quand on s'enfermait. Faute de garçons, il fallait quand même s'éduquer, non? Ses yeux brillent. Fallait voir la tête d'Adam quand je lui ai raconté comment on s'embrassait et se caressait pendant des heures!

- Et pas que ma tête! Je bandais comme un taureau, n'est- ce pas, Rida?

- Oh Oui! De ces nuits!

- Allez! dit Adam. Assez de folies pour une soirée! On rentre!

En regardant le canon que mon ami Adam semble avoir (mal) dissimulé dans son jean, je ne suis pas surpris quand il interrompt sa femme, qui a l'air de vouloir continuer la soirée. Je sens qu'il est très pressé de rentrer et de faire preuve à Farida de l'effet que son show a produit chez lui.

Elle se rhabille tant bien que mal, et fourre son soutif et son slip dans son sac avant de cacher ce corps tellement désirable avec son chemisier et sa jupe. Elle a tout de même un air débraillé quand elle se dirige vers la porte. Elle s'arrête pour embrasser profondément mon épouse. Moi, j'ai droit à une bise, pas plus. Farida et Adam partent et Charlotte se retourne vers moi pour s'emparer de la bosse qui déforme mon pantalon.

- Viens, dit-elle. Elle m'ouvre la braguette, me saisit par la bite et me tire vers le salon.

- Baise-moi, me dit-elle. J'obéis sans hésitation.

Vingt minutes plus tard, on est couchés tous les deux sur la moquette, épuisés, ruisselants de sueur, encadrés par le débris de cette soirée dont le déroulement, si inattendu, a été satisfaisant bien au delà des fantasmes que j'aurais pu créer pour ma femme.

On est trop crevés pour faire plus qu'un minimum de nettoyage...de nous-mêmes autant que du salon... avant de nous coucher. Charlotte, nue comme elle en a l'habitude au lit, s'allonge à côté de moi.

- Tu as aimé? demande-t-elle.

- Hum. C'était pas mal, je la taquine.

- Idiot!

- C'était exquis.. Vous avez été magnifiques, toutes les deux, mais surtout toi.. J'ai adoré comment tu es passée des fantasmes à la réalité sans la moindre hésitation.

- C'était facile, à cause de Farida. Qu'est-ce qu'elle est belle! Je suis sûre qu'elle m'apprendra énormément de choses.

Futur, pas conditionnel? Je suis surpris par le temps du verbe. Charlotte le remarque.

- Elle m'a fixé rendez-vous pour dimanche après-midi la semaine prochaine. Vous n'assisterez pas, ni toi, ni Adam, mais ne t'en fais pas, je te raconterai tout. Bonne nuit.

Elle se retourne et, d'après le petit ronflement, s'endort tout de suite. Malgré mes pensées qui tourbillonnent, je fais autant...

...Et c'est dimanche matin. Charlotte a la tête qui joue du tambour, me dit-elle, mais sinon, elle va bien. Nous avons l'habitude de passer un quart d'heure au lit le dimanche matin, à arranger le monde comme il devrait être, mais ce matin, c'est la veille qui nous occupe.

- Je ne m'attendais pas à ça, me dit-elle. J'ai anticipé une soirée avec des allusions qui m'auraient excitée et nourri mes fantasmes, mais, face à Farida qui était visiblement prête à aller plus loin, je me suis laissée entraîner.

- J'ai remarqué...et apprécié!

- C'est pas une blague ce que je t'ai dit. Elle m'a vraiment invitée pour un après-midi de sexe au féminin. Ça te dérange si j'y vais?

- Tu plaisantes. On en jouit tous les deux très fort en fantasme. Pourquoi serais-je contre que tu en aies l'expérience réelle? Ce serait de l'hypocrisie pure et simple! Et puis, il y a des choses que deux femmes peuvent s'offrir qui sont anatomiquement impossibles pour nous deux. J'aurais aimé être de la partie, Adam aussi, je parie, mais vas-y avec ma bénédiction, mon amour.

On passe une semaine relativement calme sur le plan sexuel. Je sens qu'elle gamberge et je ne veux pas mettre mes pieds dans le plat et tout gâcher. Sa visite chez Farida est précédée par des préparatifs qui auraient fait honneur à un premier rendez-vous galant d'adolescence. Charlotte se douche, s'épile, s'habille, se déshabille, se rhabille, se maquille et se pomponne pendant des heures. Moi, j'observe et je donne mes avis, qui sont, bien sûr, ignorés.

Elle revient quatre heures plus tard, le maquillage complètement défait, les lèvres boursoufflées par des baisers, sans le slip qu'elle avait mis comme seul sous-vêtement. Elle me pousse dans notre chambre et sur le lit. Elle a les yeux qui brillent.

- Je ne sais pas par où commencer, dit-elle. Il m'est arrivée de jouir deux fois de fil avec toi, mais avec Rida, c'était l'orgasme presque continu! Elle a une langue...oh, si tu l'avais vue faire, Yves! Regarde!

Elle me montre son minou. Fraîchement rasée avant son départ, Charlotte a les lèvres extérieures et intérieures de son sexe tout aussi gonflées et rouges que celles de sa bouche.

- Elle m'a sucée pendant une heure au moins! Plusieurs fois, j'ai cru que j'allais m'évanouir! Elle m'a mis quatre doigts, comme si elle voulait me fister. J'avais peur, mais c'était tellement bon que j'aurais accepté si elle avait insisté.

Elle secoue sa tête, incapable de trouver les mots pour expliquer les sensations qui l'ont submergée sous les caresses savantes de Farida. Elle avale, respire et se calme.

- Tu retourneras remettre ça?

- Certainement. Seulement...

- Seulement quoi?

- Pendant une pause, j'ai cru entendre un bruit dans la maison. Rida m'a dit que c'était Adam. J'avais supposé qu'il ne serait pas là. Ça m'a gênée, parce qu'il a dû m'entendre crier. Et c'est à ce moment-là qu'elle m'a demandé si un trio me tenterait.

- Et?

Elle rougit.

- Sur le coup, je n'ai pas osé lui dire non. J'ai dit que j'y réfléchirais.

- Tu en as envie?

Elle hésite, donc je sais qu'elle en a envie, très envie, même, mais je ne dis rien. J'attends.

- Je crois que si Adam était entré pendant que Farida et moi nous caressions, je n'aurais pas résisté. Le moment a été tellement fort, que ça m'aurait semblé tout à fait naturel, si j'ose dire. Il a vu mon état quand je suis partie, toute débraillée, et il m'a fait un grand sourire et une bise. Tu m'en veux?

- Absolument pas! Si vous aviez été ici, et tu m'avais entendu dans la maison, est-ce que tu aurais été tentée de me faire participer?

- Oh oui! J'aurais été aux anges si tu avais baisé Farida pendant que je la caressais et embrassais! J'aurais pas pu m'empêcher de t'inviter, si Farida avait été volontaire.

- Tu crois qu'elle l'aurait été?

- Convaincue, même! Elle me l'a dit, d'ailleurs.

Charlotte se tait, peut-être de peur d'avoir trop révélé. Il est vrai que je ne pousserais pas Farida hors du lit, mais je ne veux pas trop insister sur ses appâts, tellement différents de ceux de ma femme. Il y a un silence pendant quelques minutes. Moi, j'imagine les deux femmes ensemble, et je bande comme un bouc. Elle? Je n'ai aucune idée, jusqu'à ce qu'elle me dise:

- Yves? Depuis ce qui s'est passé ces derniers jours, il y a quelque chose de très profond qui a changé en moi. Je ne suis plus la même. Je crains que nos fantasmes ne me suffiront plus. J'ai trente ans et j'ai si peu d'expériences à me rappeler pour quand je serai une petite vieille. Aide-moi, s'il te plaît. Je me sens prête, pas seulement à fantasmer de choses érotiques, mais à les vivre. Tu aimerais ça, toi?

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1 Commentaires
Plaisirs54Plaisirs54il y a 9 mois

Grand plaisir de lire cette histoire, et intéressés par cette suite « non conforme » sur notre boîte mails.

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